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Vues: 652 Created: 2012.04.26 Mis à jour: 2012.04.26

L'examen médical du permis de conduire

Chapitre 2

EPISODE 2

J'ai patienté longtemps, cette fois.

Le couloir étroit, sans aération m'a mis mal à l'aise. Je transpirais de partout, effet de claustrophobie !

Enfin, une porte s'ouvre et j'entends mon nom. Je me lève vite, ne supportant plus cet inconfortable situation d'attente et me dirige vers la personne qui m'a appelé. Il s'agit d'une infirmière, petite de taille, mais assez jolie qui me fait entrer. Je m'aperçois de mon erreur : ce n'est pas une infirmière, mais c'est... le médecin. Une femme dans ce milieu-là était chose rare à cette époque. J'étais à la fois ravi d'avoir affaire à une femme, mais j'étais aussi surpris !

Elle m'interroge et me pose les mêmes questions que l'infirmier de tout-à-l'heure (si je bois, si je fume...). Elle me demande aussi, si depuis l'obtention de mon permis (il y a donc un peu plus de deux ans), j'ai causé un accident, mais pas si j'en ai été victime. De toutes les façons, je n'ai pas été responsable ni victime de quoi que ce soit.

Autre question : combien de kilomètres ai-je fais depuis ? et bien d'autres questions du même genre.

Le médecin a tout noté, sans perdre un mot de mes réponses.

Puis, un grand silence se fit, pendant qu'elle remplissait le dossier. J'ai eu le temps d'observer le lieu dans lequel je me trouvais : rien ne laissait croire que j'étais dans un cabinet médical ! Pas de table d'examen, pas d'appareil, rien... Un bureau, tout simplement ; mais il y avait une autre porte dans le fond de la salle.

Quittant son fauteuil, le médecin me dit :

- Très bien, monsieur. Suivez-moi, s'il vous plait.

Elle et moi, avons alors quitté la pièce où nous nous trouvions, par l'autre porte, qu'elle m'ouvrit. Et là, j'ai trouvé un déshabilloir et le cabinet médical, avec tout le nécessaire pour les examens.

Le médecin me dit en m'ouvrant la porte de la cabine :

- Entrez là. Déshabillez-vous. Prenez votre temps !

La cabine du vestiaire, comme en d'autres endroits, n'avait pas de porte, côté cabinet médical : je me suis déshabillé sous le regard du médecin (je ne sais pas d'ailleurs, si elle m'a regardé...). J'étais toujours angoissé à l'idée qu'on me regarde me dévêtir, mais une fois en petite tenue, ça ne me génait plus !

Innocemment, je demande :

- Pardon, docteur. Mais... qu'est-ce que l'enlève ?

- Mettez-vous en sous-vêtements, ça ira pour l'instant.

Est-ce que " pour l'instant " signifiait que plus tard... ?

J'ai eu tout l'heur d'apprécier !

Je retire donc tout, mais je garde slip et débardeur. Je rejoins le médecin, assise derrière son bureau. Je m'approche d'elle et elle me prend la tension, écoute mon coeur... Elle me fait tout ça, moi assis et elle debout. Elle me demande de m'accroupir et de me relever, me fait faire quelques exercices d'élongation et d'étirement... Elle contrôle ma vue et mon audition, un peu comme la première fois. Elle me fait assoir sur la table et teste mes réflexes. Elle me demande de m'allonger sur la table et de patienter, pendant qu'elle va noter sur mon dossier, toutes ses constatations.

Le temps m'a paru long !

Le médecin revient vers moi en s'excusant de m'avoir fait attendre (eh oui ! l'informatique n'existait pas encore à cette époque et il fallait tout écrire à la main). Un large sourire barre son visage.

- Ne vous en faites pas, tout est parfait. Je vais vous examiner à présent. Retirez votre débardeur.

Et je me retrouve face au médecin en slip !

Elle me reprend la tension, allongé cette fois et ré-écoute mon coeur. Elle palpe mon ventre, un peu dur, me dira-t'elle, me fait plier et déplier les jambes plusieurs fois. Je suis tendu, je n'aime pas être là... J'ai peur qu'elle ne valide pas mon permis... Ca me ferait mal : j'ai mis longtemps pour l'avoir et ça fait deux ans que je roule. J'ai pris goût à la conduite et j'ai vaincu ma peur du volant. Si elle ajournait mon permis, ça me serait insupportable.

Elle a vu que j'étais stressé. Elle me rassure :

- Ne vous en faites pas, je ne vais pas vous manger ! Voilà, j'ai presque fini.

Elle est venue se positionner face à mes parties. Elle me demande de plier légèrement mes jambes et de les écarter un peu, ce que je fais.

Elle palpe alors mes bourses, par-dessus le slip : j'avais écarté mes jambes pour qu'elle puisse y passer sa main. J'étais loin de m'imaginer qu'elle allait le faire ; mais j'ai compris à cet instant la raison pour lquelle elle voulait que je me mette dans cette position !

J'ai senti une délicieuse et agréable caresse à ce moment. Ce qui a fait monter mon taux d'adrénaline, surement ! Un frôlement magnifique ! Un moment de bonheur indéfinissable !

Elle m'a dit que tout va bien et m'a demandé d'étendre mes jambes, de les déplier, puis de les écarter, grandement.

- Rassurez-vous, je ne vais rien vous faire. Juste un petit contrôle. Laissez-vous faire, ça va aller !

Je n'avais pas d'autres choix que d'obéir, sous peine d'invalider mon permis !

Je me suis donc étendu sur cette table et j'ai ouvert mes jambes, très largement.

En détournant mon attention grâce à son joli sourire à mon endroit, j'ai senti une main pénétrer sous mon slip. Je ne l'avais pas vu venir. Je me suis contracté, involontairement :

- Laissez-vous aller. Je n'en ai pas pour longtemps !

Et je me suis totalement abandonné après un court moment d'hésitation.

Le médecin a effectivement glissé une de ses mains sous mon slip et j'ai eu droit à une nouvelle palaption des testicules. Bien plus prononcée, celle-là, puisqu'à même la peau, et je dirais même, un tantinet plus érotique... car ça a duré un peu plus longtemps à mon avis. Mais... qu'est-ce que j'étais bien ! L'effet de surprise (être palper une seconde fois) m'a carrément anesthésié !

Si mes souvenirs sont bons, je crois que c'est la seule fois de ma vie où mes bourses ont été scrutées deux fois dans le même laps de temps !

Mais je n'ai pas compris en quoi cette palpation pouvait influencer la validation d'un permis de conduire ! Mystère, mystère !

Est-ce que le médecin a fait de l'excès de zèle ? Voulait-elle profiter de la situation ?

Je ne saurais jamais !

La peau du scrotum s'est durcie sous la main du médecin et une petite érection a commencé à se faire sentir.

- Très bien, dit le médecin. Pas la peine d'aller plus loin. Tout est en ordre, finit-elle par dire en retirant brusqument sa main de là où elle était. Rhabillez-vous, je valide votre permis.

Ouf ! c'était tout ce que je demandais.

Je suis descendu de la table en réajustant mon slip qui s'était un peu démis de sa place originelle et je me suis rapidement rhabillé devant elle. Mais là, c'est sûr : elle ne m'a pas regardé faire. De toutes les façons, elle connaissait tout de mon intimité ! qu'est-ce que ça pouvait faire qu'elle me regarde ou pas ?

Toujours avec un franc sourire, elle me tend le certificat de validation permant de mon permis. A moi de le faire refaire en préfecture.

Elle me raccompagne en me disant :

- Soyez prudent, c'est le principal. Bonne route, monsieur et bonne continuation !

J'ai oublié un détail important : ces deux visites furent payantes et non remboursées par la sécurité sociale. Les médecins étaient ceux qui exerçait au sein de la Sécurité Routière.

Dans le 3ème épisode, je parlerai des raisons qui m'ont conduit (c'est le cas de le dire) à changer d'auto-école... et à passer devant un... psychiâtre !

A SUIVRE...

Comments

jjvil45 Il ya 2 mois  
Wazabi Il ya 12 ans  
n/a Il ya 12 ans  
Wazabi Il ya 12 ans  
n/a Il ya 12 ans