Vues: 739 Created: 2013.07.04 Mis à jour: 2013.07.04

L'examen de Mme Fontane

Chapitre 2

La situation de Mme Fantane n’avait guère évolué depuis ces derniers temps ; le mauvais temps était arrivé et les seules feuilles qu’elle avait vues tomber étaient les factures et les rappels des impôts ; l’assurance devait encore attendre les conclusions de sa dernière visite médicale dont elle gardait un souvenir ambigu…elle y pensait souvent avec un sentiment de honte mais elle y rêvait régulièrement, et se réveillait avec le pyjama humide….

Un beau matin, une nouvelle convocation arriva, signée du Dr Noh, mais à une adresse différente de la fois précédente ; le courrier disait simplement que la commission médicale avait besoin de nouveaux éléments pour boucler le dossier.

Elle se rendit le jour dit à l’adresse prévue, fermement décidée à ne pas répondre à toutes les sollicitions du médecin, car malgré ses besoins financiers elle n’était pas prête à tout pour recevoir les indemnités prévues.

Elle entra dans la salle d’examen et à la différence de la fois précédente, les médecins, encore des hommes l’attendaient autour d’un instrument médical bien étrange…

- « bonjour Mme Fantane ; suite à notre rencontre il nous a paru important de vous faire passer un test spécial, réalisé grâce à une nouvelle technologie et qui va nous permettre de mesurer la gravité de vos cicatrices » dit le Dr Noh.

« le rayon alpha permet de détecter des lésions internes profondes et à la manière d’un scanner nous informera sur les traces laissées par vos blessures »

Mme Fantane était rassurée car des scanners, elle en avait déjà passé, et jamais on ne lui avait demandé de se dévêtir.

« La spécificité de cet appareil est qu’il agit par rayonnement en milieu aqueux… » il avait bien dit aqueux… « je vous demande donc de vous plonger dans ce bac, qui est à 37° je tiens à vous rassurer…et de maintenir une position immobile le temps nécessaire. Bien entendu vous pouvez gardez les vêtements que vous souhaitez »

Elle commençait à réfléchir à la façon de rentrer dans cette drôle de baignoire perchée à hauteur d’homme sans devoir de déshabiller…et envisageât plusieurs solutions :

- garder tout : impossible ;

-rester en sous vêtements, pourquoi pas, mais il seraient mouillés à sa sortie et dehors il faisait bien froid

Elle rageait et encore une fois se sentait piégée, car au pire elle garderait son soutien gorge mais devait retirer le bas…

Un peu plus crâne que la fois précédent elle demanda aux membres de la commission de se retourner, ce qu’ils firent avec un léger sourire et elle entreprit de retirer son pull vert, sa jupe noire en coton et avec beaucoup d’hésitation son boxer .elle monta l’escalier , commença de rentrer dans l’eau tiède et s’aperçu en s’immergeant que son soutien gorge risquait de mouiller vu le niveau d’eau….elle le retira en maugréant ce qui devait amuser encore plus l’assistance retournée qui devait bien se douter de la situation.

Elle était donc assise dans ce caisson, totalement nue mais protégée de la vue par les parois de la baignoire…

« Nous allons lancer l’examen » dit le Dr en pressant les boutons d’un clavier de commande…

C’est alors que la baignoire avança jusque devant un portique de lumière fluorescente et la jeune femme mis plusieurs secondes pour s’apercevoir que les parois l’autorisaient à voir à l’extérieur...et donc à comprendre que l’inverse était vrai ; les rayons rendaient le matériau translucide ; les médecins voyaient par le fond les formes toujours aussi rebondies de Mme Fantane et devinaient les replis les plus tendres de son anatomie…et ces fesses, mon dieu, quelles fesses !!!!

Arrivé en fin de course, le bac s’arrêta ; le Dr Noh lui demanda de sortir, et lui proposa de se sécher avec les linges restés près de…ses habits. Il lui fallait donc rejoindre le point de départ de cette navette originale mais cette fois plus rien ne la protégeait.

Hésitante, elle eu la présence d’esprit de demander qu’un des badauds aille lui chercher une des serviettes, mais cela n’allait pas tout résoudre ; sans se hâter, l’un d’eux retourna chercher le précieux tissu et revint pour l’accrocher à un des barreaux de l’échelle….elle comprit là qu’il ne ferait rien de plus. Il lui fallut donc sortir de l’eau, totalement nue et mouillée et tenter de cacher son anatomie avec ses mains…. dont elle avait besoin pour s’accrocher à la rampe. Tremblante elle se retourna pour commencer sa descente et offrit encore une fois un spectacle que seul St Pierre et quelques proches avaient eu privilège de bénéficier en des époques lointaines où Vénus sortant de l’eau, rivalisait encore avec le dieu des chrétiens. Ses pieds cherchaient les marches et à chaque fois ce contrechamp exhibait une vue sur son sexe épilé et luisant. Ses fesses encore elles, développaient des rondeurs à chaque mouvement et étaient plus suggestives que jamais.

Arrivée au sol, vite s’enrouler dans le linge sec !

Comme par hasard, on lui avait fourni le plus petit de la série, à peine plus grand qu’un gant de toilette, il allait avoir du mal de tout emballer.

Que faire, cette fois encore ?

La réflexion « je cache le haut car ma poitrine est légère » ou « je cache le bas car c’est la partie la plus intime de mon corps » lui fit perdre un temps précieux occupé par ces messieurs à jauger les formes parfaites de Mme Fantane.

Déboussolée elle se retourna et lâcha la serviette, fendit l’assemblée sans rien cacher de son corps parfait pour retrouver ses habits sauveurs.

Tous l’avaient suivie pour faire part des conclusions de la visite mais aussi peut être pour la voir se sécher, et s’habiller à la hâte ; dans sa tête un grand vide l’avait envahie ; tellement surprise de se retrouver dans la même situation que la fois précédente elle n’avait plus aucune défense ni retenue qui lui permettent de se rendre compte du spectacle exceptionnel qu’elle offrait face à la commission.

Ses gestes étaient ceux d’un automate, et elle aurait pu totalement s’abandonner à toute autre demande si elle avait été formulée. Il aurait fallut qu’elle se rhabille bien vite mais elle agissait comme sous hypnose.

Elle fit les mêmes gestes que si elle avait été dans sa salle d’eau, et au final prit le temps nécessaire à bien se sécher, à essuyer chaque parcelle de son corps et de son entre corps ; elle commença par les bras, puis son torse en prenant soin de ses petits seins, ses cuisses généreuses et s’attarda sur sa chatte comme si elle ne réussissait pas à la sécher. Le filet noir qui la prolongeait était toujours aussi bien entretenu et laissait supposer qu’elle s’occupait régulièrement de son corps et de cet endroit en particulier.

Elle devait reprendre son boxer resté au sol.

Pourquoi se mit elle à repenser aux derniers exercices du Dr Noh ? Maintes fois elle s’était remémoré la scène et avait même refait le geste devant un miroir pour se rendre compte de ce qu’ils avaient pu voir : un vrai désastre….

Elle se retourna, se pencha jambes tendues pour ramasser sa lingerie ; elle pris conscience qu’elle proposait la même position que lors de l’exercice de mobilité, mais il était trop tard ; elle ne pouvait expliquer ce qui l’avait poussé à agir ainsi…

Elle aurait dû très vite remettre ce sous vêtement mais pivota devant le cercle de curieux et l’étoffe à la main, sembla attendre de nouvelles consignes ; elle avait conscience d’être totalement nue devant eux mais n’essayait plus de masquer quoi que ce soit, livrée intégralement au regard du Dr et de ses collègues.

Qu’elle était belle, la peau mate encore luisante, ses longs cheveux noirs tombant sur ses épaules à la courbe si douce, ses seins qu’elle jugeait petits mais qui grâce à leur forme irréprochable et leurs tétons pointus les rendaient presque arrogants….

Ses hanches étaient le point de départ de cuisses fermes et galbées et son triangle lisse aurait pu être décrété « centre du monde »

Etait elle la seule envoûtée ?

Le boxer chut. La pointe de ses seins s’étaient durcie ; la bouche entrouverte, les yeux mi-clos, nonchalamment elle mis sa main libre sur son sexe chaud ; on aurait pu croire à de la pudeur mais elle ne pouvait réprimer ce geste et mit peu de temps pour en finir.

« Je vous remercie » les trois mots du Dr Noh résonnèrent comme un signal qui en instant semblait la réveiller ; elle s’empressa d’enfiler tout son petit bagage d’habits et se précipita vers la sortie ;

« Je transmets les conclusions en haut lieu » dit le Dr Noh avant qu’elle ne referme la porte……..

Comments

valor69 Il ya 11 ans  
clyso Il ya 11 ans  
n/a Il ya 11 ans