Vues: 1300 Created: 2013.03.16 Mis à jour: 2013.03.16

En famille chez le médecin

Chapitre 1

Cette histoire est une fiction, tous les personnages sont imaginaires et ont plus de 18 ans.

Bonjour, je m’appelle Pierre. Lorsque cette histoire se déroule, j’allais bientôt avoir mon bac et je ne savais pas encore dans quelle faculté j’allais m’inscrire. J’aurais bien aimé devenir médecin, comme mon père, mais je ne savais pas si j’avais vraiment la vocation. J’avais d’autres options en vue. Trois jours avant, nous avions discuté avec mes parents et ma mère avait eu une idée, elle avait dit à mon père :

- Tu devrais lui faire visiter ton cabinet samedi prochain. Je serai avec mon amie. Vous pourriez ensuite déjeuner en ville.

Mon frère Quentin, qui a une année de moins que moi, a tout de suite dit :

- Cela m’intéresse aussi, je viens avec.

Mon père a été d’accord et le samedi matin, en prenant le petit déjeuner, mon père nous a dit :

- Vous devriez boire avant de partir. Je pourrai contrôler si vous urinez correctement.

Je ne vous ai pas encore dit que mon père était urologue. J’étais tout à coup inquiet. Jusqu’à présent, nous avions seulement parlé d’une visite du cabinet, pas d’examens. Ma mère a sorti deux bouteilles d’eau du réfrigérateur et nous les avons bues.

Nous sommes arrivés au cabinet médical après quelques minutes en voiture. Tout paraissait bizarrement vide en ce jour de congé. Le cabinet était moderne, décoré avec des peintures abstraites. Mon père nous dit :

- Je vais vous donner un questionnaire à remplir, comme pour les autres patients.

La première partie concernait les questions administratives : nom, adresse, date de naissance, numéro de sécurité sociale, etc.

La deuxième partie était plus indiscrète, nous devions indiquer nos maladies, médicaments, à quelle fréquence nous urinions, si nous avions des dysfonctions érectiles. Heureusement, papa n’a pas lu les réponses, du moins pas en notre présence.

Nous sommes allés directement dans la salle d’examens, elle était grande, avec de nombreux appareils. Mon père s’est assis à son bureau et a créé des dossiers sur son ordinateur. Il ne se rappelait plus de nos dates de naissance, pas étonnant qu’il oublie toujours nos anniversaires ! Il m’a ensuite dit :

- Pierre, tu peux aller uriner. La machine se trouve derrière ce rideau.

J’étais content de me soulager. Il a ensuite dit à mon frère :

- Tu peux aussi y aller. Je vais venir avec toi. Tu as un long prépuce, j’aimerais voir comment sort le jet.

Contrairement à Quentin, je suis circoncis. Mon père a ensuite dit à mon frère :

- Pour montrer à Pierre comment se déroule une visite, j’ai besoin d’un cobaye. Pourrais-tu te déshabiller ? Tu peux garder ton t-shirt et tes chaussettes.

Mon frère n’a pas eu l’air surpris et il s’est rapidement déshabillé. Je ne l’avais plus vu nu depuis plusieurs années. Il n’avait plus mis de slip blanc comme quand nous étions enfants, mais un caleçon bleu clair. Il avait maintenant un longs pénis avec toujours un long prépuce qui recouvrait tout le gland. Ses testicules étaient assez bas. Mon père a mis des gants et a commencé l’examen. J’étais resté en retrait, mais mon père m’a soudain dit :

- Pierre, mets aussi des gants et viens examiner ton frère, il faut bien commencer si tu veux devenir médecin.

J’étais très gêné. Mon père m’a demandé de le décalotter. C’était la première fois que je le faisais. Il m’a fait ensuite palper les testicules. J’avais peur de faire mal à Quentin. Mon père m’a montré comment faire et m’a dit :

- Il faudra contrôler vous-mêmes régulièrement si vous n’avez pas de problèmes.

J’ai continué à examiner le pénis de mon frère sous tous les angles. Mon père m’a ensuite dit :

- Nous allons contrôler la prostate, Quentin, mets-toi à quatre pattes sur le lit. C’est une position gênante, mais Pierre verra mieux.

Mon père a d’abord introduit un doigt dans l’anus de mon frère, puis m’a demandé de le faire. J’étais de plus en plus gêné et j’ai aussi introduit mon doigt, sans savoir que faire. Mon père m’a indiqué comment trouver la prostate.

Mon frère n’était pas resté insensible à cet examen et il avait maintenant une belle érection. Son pénis était bien plus gros que le mien. Mon père lui a dit :

- Je vois que tu as de bonnes dispositions depuis que tu sors avec Giselle.

- Euh, comment le sais-tu ?

J'étais très étonné, je ne savais pas que mon frère avait une amie. Quant à moi, j'étais encore puceau et je passais mes soirées devant mon ordinateur.

Quentin s'est ensuite couché sur le dos et mon père à contrôlé la tension de son pénis en érection avec un appareil Doppler. Il a ensuite fait une échographie. C'est moi qui ai introduit le capteur dans l'anus. Ensuite, mon père m’a dit :

- Nous allons rendre dans la salle de récolte d’échantillons. Pas besoin de te rhabiller puisque nous sommes seuls.

Cette salle avait un lit, une table avec quelques magazines, une télé avec un lecteur de DVD, ainsi qu’un lavabo. Mon père a donné un verre en plastique à Quentin.

- Nous allons te laisser seul quelques minutes. Tu peux mettre un film. Mets bien tout dans le verre.

Je suis allé au laboratoire avec mon père. Il m’a dit :

- Nous regarderons seulement le sperme au microscope. La laborantine pourrait faire des examens plus détaillés.

Quentin est rapidement arrivé avec l’échantillon. Mon père a dit :

- Pas mal, tu étais bien excité. Va te rhabiller, je vais préparer la plaquette.

Nous avons ensuite examiné le sperme, mon père n’a pas trouvé d’anomalies. Les spermatozoïdes étaient en nombre suffisant et bien formés.

J’étais content de ne pas avoir été à la place de mon frère et de ne pas avoir eu d’examen, mais m’on père m’a dit :

- Pierre, c’est à ton tour de passer à la casserole…