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Vues: 961 Created: 2014.05.07 Mis à jour: Il ya 2 ans

Ma deuxième copine, une révélation ?

Chapitre 3

Maria avait accepté de faire l’amour avec moi, mais elle venait de m’ordonner de me déshabiller.

« Et toi » je lui demandai. Christine était habillée comme d'habitude, de la manière la moins sexy possible, avec un jean et un pull a col roulé.

« Pour le moment, déshabille-toi toi, moi, on verra plus tard. De toute façon, je t’ai dit que je suis trop moche. Mais toi, je suis sûre que tu es beau et que tu me donneras encore plus l’envie de baiser, ou tu préfères dire de faire l’amour avec toi, quand je te verrai nu » Elle ajouta: " En fait, je rêve de te voir nu depuis le premier jour"

Je me levai du fauteuil et je commençai à enlever mes vêtements. Il est vrai que nous avions fait des tas de choses ensemble (sauf l’amour, justement), mais que nous n’avions jamais retiré nos habits l'un devant l'autre. Je me retrouvais donc debout devant Maria, d’abord torse nu, puis en slip et je ne me sentais pas du tout fier de mon corps. J'étais maigre moi aussi, moins que Maria peut-être (et alors ? ) et je n’avais aucun muscle. Même si Christine, qui me voyait à poil depuis trois ans, m’affirmait que j'étais « bien foutu », j'étais sûr qu'elle disait çà pour être gentille et je n’en étais pas du tout persuadé moi-même. Pour essayer d’améliorer mon apparence, je bombais le torse. Et tout-à-coup, là, en slip devant Maria qui ne perdait rien du spectacle, je pris conscience d'une chose terrible. J'étais en train de me déshabiller devant une fille, qui venait d'accepter de faire l'amour avec moi et je réalisais que je ne bandais même pas. Avec le minislip que je portais, elle ne pouvait pas ne pas s'en rendre compte. Je me disais que j'étais complètement ridicule, qu’elle allait se foutre de moi, qu’elle allait me mettre à la porte avec interdiction de revenir l'importuner. Le comble du ridicule: je venais demander à une fille de baiser et j'étais incapable d’assumer. Je sentais que je dégoulinais de sueur. Mon coeur battait la chamade. A 24 ans, c'étais la première fois que j'avais une panne sexuelle, et cela en face d'une fille dont je rêvais, alors que cela ne m'étais jamais arrivé avec Christine malgré tous les problèmes que j'avais avec elle. Je commençais à me sentir vraiment mal. Je n'allais quand même pas tomber dans les pommes….

Maria étais a peu près à deux mètres de moi, bien calée sur le canapé. Son regard parcourrait mon corps. « Tu es vraiment super mignon, me dit-elle en souriant, mais je veux te voir nu ». « Retire ton slip » ordonna-t-elle d‘un ton ferme. Elle ajouta mi sérieuse, mi-amusée, « c’est toi qui a eu cette idée de faire l’amour aujourd’hui, non? alors, ne fais pas ton timide. je suis sûr que tu en as une belle »

Je retardais l’échéance, espérant un miracle biologique qui refusait de venir, en lui demandant une nouvelle fois: « Et toi, quand est-ce-que tu te déshabilleras? ». « Plus tard, répéta-t-elle, et comme je te l’ai dit, j’ai peur que tu sois déçu. Mais toi, tu es beau et je suis sûre que tu es encore plus beau nu, alors baisse ton slip, s’il te plait. Je commence à être impatiente ».

La mort dans l'âme, je me résignais à lui donner satisfaction, je craignais qu’elle ne prenne très mal les choses quand elle verrait mon pénis minuscule comme celui d’un enfant, flasque, alors qu'il aurait du se dresser en hommage à elle.

Je fis glisser le slip, me débarrassai du vêtement, mon sexe était minuscule, ridicule, je le cachais de mes mains….

« Ne te cache pas » , fit Maria. Elle ajouta: « Si tu veux faire l‘amour,il faudra bien que je voie ta queue,.. Non ? ». Je laissais mes bras le long du corps, lui révélant ce que je considérais comme l’étendue du désastre. Maria était maintenant assise au bord du canapé, tout près de moi nu.

Elle assise, toute habillée et moi debout nu, la situation me rappelait les visites médicales de mes années de lycée, surtout celle de terminale où une jeune doctoresse nous avait examinés. Là aussi, j'étais trop paniqué pour bander, alors que la plupart de les camarades se vantaient de leurs érections.

Découvrant mon état, Maria eut un sourire rayonnant que je ne compris pas ( serait-elle un peu sadique en plus? me suis-je dit) .

« Approche-toi » fit-elle. J’obéis et tentai de plaider ma cause: « Je suis désolé, je t’aime vraiment, tu sais, je suis très ému, c’est pour çà que….enfin, tu comprends »

Prenant mon pénis, toujours aussi inconsistant dans sa main, elle me dit avec un large sourire: « Tu n’as pas à t’excuser, au contraire, c’est comme ça que je voulais te voir avec ta....( elle hésita un instant sur les termes à employer) queue au repos. Si tu t’étais présenté devant moi avec une grosse bite (excuse-moi pour la vulgarité) énorme, prête à me "défoncer le cul" , comme disent les garçons, je crois,....comme l’ont fait certains mecs que j’ai eu, là j’aurais été choquée, je t’aurais peut-être même mis à la porte de chez moi….pour toujours. "

J'étais éberlué par son discours, certes soulagé qu'elle se satisfasse de mon sexe "au repos", mais en me disant que je ne comprendrais jamais rien à la psychologie féminine. Tout en continuant de caresser mon pénis, puis de le faire sauter entre ses doigts, avec une infinie douceur et des gestes qui me paraissaient experts, bien que sans effet sur l’état de mon organe, elle poursuivait son discours: " Là, tu es si mignon avec ta jolie petite queue. Là, je suis touchée, émue et j'ai envie de toi, ...Tu sais, l’amour, ça doit être quelque chose de doux et de tendre, et c’est ce que je veux faire avec toi, pas quelque chose de brutal, je suis sûr que, quand il le faudra, ta queue sera assez ferme et dure pour me donner du plaisir". Son regard abandonna un instant mon sexe pour me fixer avec intensité droit dans les yeux. " je crois que c'est le plus beau jour de ma vie", dit-elle. Elle ajouta:"Je t'aime vraiment très fort, tu sais"

Elle passa à mes testicules, qu‘elle fit rouler longuement entre ses doigts. "Tes petites couilles sont vraiment adorables, je pourrais les caresser des heures" dit-elle en souriant toujours. Elle revint à ma queue. « Tu permets ? », me demanda -t-elle lorsqu’elle entreprit de me décalotter.

Pour ma part, j’étais vraiment dans un état second, ne comprenant pas ce qui m’arrivait et toujours incapable de bander alors que la fille dont j’avais tant rêvée était en train de me prodiguer les caresses les plus intimes. Pour l'heure, elle jouait avec mon prépuce, décalottant et recalottant mon sexe, toujours flasque et minuscule, en un geste très lent, avec une infinie tendresse. Soudain, Maria abandonna mes organes sexuels à leur triste sort et se leva de son canapé pour se mettre debout face à moi. « Embrasse-moi » dit-elle en approchant son visage du mien. Il est vrai que nous ne nous étions encore jamais embrassés, à peine quelques petits bisous sur les joues. Nos bouches s’unirent l’une à l’autre, nos langues dansèrent une ronde infernale, ce fut un baiser extraordinaire.

En plus, nous nous tenions l’un contre l’autre, avec cette différence qu’elle était habillée et moi nu. Mes mains s'étaient posées sur ses hanches, puis glissèrent jusqu’à ses fesses, mais par dessus ses vêtements, déjà une sensation extraordinaire, alors que ses mains à elle se crispaient sur mes fesses nues. Le contact de ses mains était si doux, si sensuel. Et là, le miracle se produisit. Je sentis mon sexe, augmenter rapidement de volume, s’allonger et se durcir et, comme nous étions serrés l’un contre l’autre, elle le sentis aussi. Détachant un instant sa bouche de la mienne, elle sourit et me dit: « Là, c’est moi qui te fait bander, …et j’aime ça ».

Ce baiser nous laissa pantois, ivres de sensualité. " C’était merveilleux " dit Maria. Reprenant brièvement en main mon pénis, maintenant bien dur, elle ajouta avec un sourire entendu : " On dirait que tu as aimé aussi".

" Bien sûr", répondis-je. Je lui livrai une pensée,qui me venait tout juste: " Est-ce-que c’est pas un peu dommage d’avoir attendu trois ans ? "

" La faute à qui? ", demanda Maria, précisant: " C’est bien le garçon qui est sensé faire le premier pas, non " Elle hésita un instant et dit: " et puis finalement, c’était peut-être si bien, justement parce qu’on a attendu trois ans ".

Soulagé d’assumer ma virilité, je me sentais quand même un peu gêné d’être complètement nu devant Maria toujours toute habillée et je lui demandais une nouvelle fois: " Et, toi, quand est-ce-que tu te déshabilles? "

" Tout à l’heure, tu pourras me déshabiller, répondit-elle, avant je veux voir ton corps, explorer ton corps."

Fasciné par la promesse qu'elle venait de me faire, je me demandait néanmoins ce qu’elle voulait dire par "explorer mon corps". Nous étions face à face, debout tous les deux à quelques centimètres l'un de l'autre. "Ne bouge pas" , fit-elle en posant ses mains sur mes épaules. je sursautai à ce contact si doux Ses mains descendirent sur ma poitrine. Je bombais bêtement le torse. Elle le remarqua et s’en amusa. Mes pectoraux n’étaient pas très développés et je n’avais presque pas de poils sur le thorax. Elle joua cependant avec les quelques poils qu’elle trouva. Puis ses mains se portèrent sur mes tétons, ses doigts jouant avec mes mamelons." Waouh, fit-elle en constatant que mes mamelons présentaient, eux, une belle érection et se dressaient sous ses caresses. "Tu as presque plus de poitrine que moi, observa Maria en titillant mes petits bouts de sein, je peux te dire que ça ne marche pas avec tous les garçons..... J’adore " Je savais que j’avais la chance d ‘avoir des mamelons érectiles, comme la moitié des hommes, je crois. Maria joua un long moment avec mes tétons, les pinçant à la limite du douloureux. Elle y porta ensuite sa bouche et ce fût encore plus délicieux.

J’appréciai bien sûr vivement ses caresses. Je n’osai pas, je ne voulais pas faire des comparaisons avec celles que m’avait prodiguées Christine pendant trois ans. Rassuré sur l'état de ma virilité, je m'abandonnais à la sensation de vivre un grand moment de ma vie.

Tout-à-coup, Maria interrompit ses caresses et me dit: " Surtout, ne bouge pas, je vais chercher quelque chose, je pense que tu vas aimer ". Puis elle sortit du salon pour aller dans une autre pièce, ou la salle de bain.

Je restais seul, debout, nu au milieu du salon cosy de Maria. Je constatais que mon amie avait nettement pris la direction des opérations, ce qui ne me déplaisait pas vraiment Je me demandais à quelle surprise je devais m'attendre.

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patou39 Il ya 10 ans  
dudu Il ya 10 ans  
Woyzeck Il ya 10 ans  
dudu Il ya 10 ans  
clyso Il ya 10 ans  
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patou39 Il ya 10 ans  
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