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Vues: 856 Created: 2014.06.27 Mis à jour: Il ya 11 mois

Ma deuxième copine, une révélation ?

Chapitre 11

Depuis que j'entretenais cette relation avec Maria où le sexe et la température rectale faisait bon ménage, je me sentais soulagé, libéré, de pouvoir aborder certains sujets. C'est ainsi que, à partir de ce fameux week-end où débuta notre « liaison », j'ai littéralement « bassiné » Maria avec le récit de la visite médicale que j'avais subie six ans plus tôt en terminale et qui s'était terminée par une prise de température rectale debout. Toutes les tentatives que j'avais faites pour aborder ce sujet avec Christine; ma précédente copine, avaient été vouées à l'échec et ne m'avait valu que des sarcasmes de sa part " C'est si important pour toi qu'une nana, même bien foutue, t'ai mis un thermomètre dans ton cher petit cul, tu n'as pas de sujet plus intéressant pour occuper ton esprit tordu" me dit-elle la première fois que je lui fis part de ce souvenir. Avec Maria, je trouvais une oreille complaisante quant je lui racontais sur l'oreiller, souvent d'ailleurs alors que l'un de nous au moins avait un thermomètre entre ses fesses, les détails de cet examen qui m'avait tant marqué. J'avais même avoué à Maria que j'avais cru, à tort, reconnaître en Caro la doctoresse qui m'avait alors examiné.Pourtant, lorsque Maria me téléphona un matin alors que je devais la rejoindre l'après-midi, je ne fis pas le rapprochement avec cette fameuse visite médicale quand elle m'annonça qu'elle me préparait une « surprise ».Et surpris, je le fus en effet. La Maria qui m'accueillit avait fait de gros efforts pour prendre l'apparence de la doctoresse qui m'avait fait passer cette visite. Elle avait coiffé ses cheveux en un chignon compliqué, ce qui lui allait plutôt bien et renforçait sa distinction naturelle. Elle avait apporté une attention particulière à son habillement, elle portait en effet une (mini)jupe, alors qu'elle n'en mettait jamais, ainsi qu'un chemisier blanc dont elle avait laissé plusieurs boutons ouverts. Elle avait retenu tous les détails que je lui avait donnés lors de mes bavardages sur cet événement. Elle avait même une vraie blouse blanche médicale, marquée au sceau des Hopitaux de Paris, piquée à Caro, avoua-t-elle plus tard, et elle portait le symbole de son pouvoir, son stéthoscope en sautoir. "Est-ce-que je ressemble à la doctoresse de ta visite médicale de terminale ?" me demanda Maria; "Tout à fait, répondis-je, et tu es superbe".Maria me dit : « Si tu veux bien, on va faire un petit jeu. Tu vas revivre cette fameuse visite médicale de terminale dont tu m'as tant parlée . Aujourd'hui, c'est comme une reconstitution policière, on va, tu vas , faire exactement ce qui s'est passé ce jour là. Les autres fois, si ça t'amuses de recommencer, on pourra ajouter des détails...tu es d'accord ? » Bien sûr que j'étais d'accord, le petit jeu de Maria m'excitait au plus haut point.« Pour commencer, tu te mets en slip » m'ordonna Maria. J'obéis. Un détail ne correspondait pas à la réalité historique : j'avais une belle érection,que j'avais du mal à cacher dans le minislip que j'avais mis ce jour-là, alors que lors de la vraie visite, j'étais bien trop paniqué pour bander.« On commence debout les deux, je crois » dit Maria, face à moi. J'étais toujours un peu gêné d'être presque nu face à ma copine. Elle commença par me regarder la gorge en utilisant un abaisse-langue de sa panoplie med-fet. Elle s'écarta du scénario original de la visite pour jouer un moment avec mes petits tétons bien dressés. Ensuite elle chaussa son stéthoscope et entreprit de m'examiner, comme pour de vrai, le cœur et les poumons. Comme l'avait fait la doctoresse, elle déplaca le petit disque froid de son instrument sur différents endroits de ma poitrine avant de trouver un endroit qui la satisfasse pour son examen. « Ton cœur bat trop vite », observa-t-elle, sans que je sache si elle était dans la réalité ou dans sa reconstruction, elle ajouta, comme la doctoresse de terminale, mais aussi comme Caro l'autre jour : « Il faudrait peut-être faire un électrocardiogramme » La pensée de mon rendez-vous chez Caro dans quelques jours pour justement un tel examen, m'angoissa tout-à-coup et fit sûrement accélérer mon rythme cardiaque et en tout cas me fit perdre mon érection. La reconstruction historique gagnait en précision .Comme dans la visite réelle, Maria me fit me tourner pour écouter mes poumons. Elle me demanda de respirer fort par la bouche et me suggéra de ne pas commencer à fumer, ce qui n'était pas sans sel puisque dans la réalité, à mon grand regret, ma copine en était à deux paquets par jour..J'étais de nouveau face à Maria, sachant à quoi je devais m'attendre . Elle allait me baisser le slip. Maria s'assit au bord de son lit et me fit m'approcher d'elle, debout, le bas-ventre au niveau de sa tête. Ses mains se posèrent un instant sur mon ventre, comme pour en apprécier la fermeté, puis elles saisirent l'étoffe de mon slip et abaissèrent d'un coup le vêtement jusqu'aux chevilles. Là, au contraire de la réalité historique en ce qui me concernait, mais comme un grand nombre de mes « camarades » de classe d'alors d'après leurs dires, je me présentais devant la « doctoresse » le sexe en érection, turgescent, bien dressé.....Maria prit mon pénis en main . Vu son état, elle n'eut pas besoin de le décalotter et se contenta d'apprécier sa fermeté. Avec un sourire ambigu, elle me dit : « Je croyais que tu m'avais dit que tu était tellement paniqué que tu étais incapable de bander au moment où elle t'a baissé le slip. Je suis un peu déçue que tu ne te sois pas remis plus dans l'ambiance de l'époque ». « Enfin, ajouta-t-elle, je suis contente de te voir « en forme » et j'aurais très envie d'envoyer balader ce jeu à la con et de te prendre dans ma bouche...mais, nous sommes des gens sérieux, n'est-ce pas, … on continue, hein... ».Passant à mes testicules qu'elle malaxa avec détermination, Maria me pressa de questions sur le déroulement de cette visite six ans plus tôt : « C'est là qu'elle t'a demandé si tu étais vierge ? ». « Oui et non » répondis-je avant de détailler : « C'est pas la doctoresse qui m'a posé la question, mais l'infirmière du lycée. Après que j'ai dit que je n'avais jamais eu de relations sexuelles, la toubib m'a fait un grand sourire et m'a dit : « Tu n'es pas le seul ».Maria m'interrogea encore : « Et c'est là que tu t'es excité sur les jambes et les seins de la doctoresse pendant qu'elle t'examinait ? » Je reconnus que oui, que malgré ma nervosité, j'étais particulièrement troublé par le physique de la jeune femme et les éléments que sa tenue laissait voir. « Elle devait être vraiment canon » fit Maria qui était revenu à ma queue, toujours majestueusement dressée. Je lui confiais : « Je pense que c'était surtout pour se venger par rapport à elle qui voyait tout chez nous et qui, nous le savions, allait en plus nous mettre son thermomètre dans le cul sous peu. Et puis, il y avait le contraste avec la vieille chouette antipathique qui nous avait examinés les années précédentes... »« Eh bien justement, fit Maria avec un large sourire, on va passer à la suite...tourne-toi, mon petit lycéen ». Je me tournais donc, présentant mon cul à Maria. Elle posa ses mains sur mes fesses, rien que ce contact était extraordinaire. Maria avait sélectionné un thermomètre classique dans sa collection. Elle m'écarta les fesses avec vigueur et douceur et me glissa le thermomètre, sans prévenir, dans mon rectum, comme je lui avais indiqué que la doctoresse avait fait. « Tu m'as bien dit qu'elle vous a pris la température comme ça, sans prévenir » fit Maria en enfonçant un peu plus son thermomètre . Tout à la sensation de l'engin qui me pénétrait, je confirmai ; « Oui, moi, c'est une fois le thermomètre en place qu'elle m'a dit quelque chose comme : « Détends-toi, je te prends juste la température ». J'ajoutai : « En fait, c'est le premier qui a passé la visite qui a eu la surprise, après tous les autres savaient à quoi s'attendre ». Maria, tout en maintenant le thermomètre en place avec ses pouces, gardait ses mains posées sur mes fesses, comme je lui avais dit que la doctoresse avait fait. « Et c'est ça qui t'a fait bander ? » demanda encore Maria. Je lui expliquai que c'était la première fois que quelqu'un me caressait les fesses, car j'avais bien l'impression que c'est ce qu'elle faisait. « Et c'est là que la psychologue et l'infirmière se sont permis des commentaires sur ton petit cul » interrogea encore Maria. Je confirmai, lui avouant peut-être pour la première fois que le commentaire relativement anodin des deux femmes (« ce garçon a un joli petit cul », « je trouve qu'il manque un peu de muscle ») avait eu raison de mon érection et m'avait fait éclater en larmes.Maria contrôlait ma température de manière plus sage que quand nous jouions avec les thermomètres dans nos petit jeux. Elle se contentait de maintenir l'engin en place sans le faire aller et venir dans mon rectum par exemple. Elle m'avoua qu'elle avait voulu faire les choses dans les règles pour cette première reconstitution, mais qu'elle avait plein d'idées pour si nous recommencions ce jeu : me masturber, elle, pendant le prise de température, me demander à moi de me masturber....Avant de me retirer le thermomètre, Maria me dit encore , d'un ton faussement sévère, que, si pour la prochaine « reconstitution », je bandais encore quand elle me baisserait le slip, elle me punirait en me prenant la température avec son instrument que j'appelais la « grosse Bertha ». D'ailleurs, elle n'aimait pas ce nom," trop commun pour nous" jugeait-elle, et me proposa de réfléchir à une appellation plus nordique. Ce débat eut lieu alors que j'avais encore le thermomètre dans mon rectum et que Maria continuait de me caresser les fesses. Le « marteau de Thor » n'apparaissait pas approprié pour qualifier un thermomètre, nous optâmes finalement pour la « lance de Freyja », toujours dans nos délires vikings.Maria me retira le thermomètre, toujours avec délicatesse, je n'avais aucune fièvre, 37,4 , loin des 38,2 de la vraie visite médicale que nous prétendions reconstituer. Maria en était un peu déçue. La préparation de cette reconstruction l'avait excitée au plus haut. Elle voulais faire l'amour. Comme "promis" plus tôt, elle prit mon pénis dans sa bouche avec délectation avant de me demander de la baiser, là, tout de suite, toute habillée. J'ai gardé le souvenir de sa minijupe retroussée et de sa culotte baissée, alors que je la besognais par derrière sur son lit de jeune fille. Ce fut une baise mémorable.

Cette période de ma liaison avec Maria fut sans doute l'un des moments les plus heureux de mon existence. Une seule chose troubla cette euphorie, en raison de mon attitude ridicule. J'avais cédé aux insistances de Maria et accepté de prendre un rendez-vous chez Caro pour un check-up à la suite de mon malaise ce mémorable week-end où notre aventure débuta, du moins du point de vue sexuel. J'ai déjà indiqué que à cette époque (comme aujourd'hui encore), j'étais hypocondriaque au dernier degré et j'avais une véritable phobie de tout ce qui était médical. Les examens complémentaires que Caro avaient prévus m'inquiétaient particulièrement parce que j'étais sûr qu'ils révéleraient telle ou telle maladie qui m'entrainerait dans une spirale infernale de consultations, voire d'hospitalisations. L'électrocardiogramme me faisait aussi particulièrement peur parce que l'on m'en avait parlé à presque chaque visite médicale que j'avais passée et mes parents, par négligence ou eu égard à mes phobies n'avaient jamais donné suite à cette demande des médecins scolaires. En plus, j'avais cru comprendre que l'EGC était un examen traumatisant, qui consistait à envoyer des décharges électriques au pauvre malade, bref une sorte de version soft de la chaise électrique.Vous pourrez juger de la force de mon amour pour Maria quand vous saurez que j'avais accepté que Caro me fasse faire une prise de sang pour apprécier mon état général et qu'elle me reçoive ensuite à son cabinet pour faire un debriefing de ses analyses et surtout pour subir un EGC puisqu'elle disposait de l'équipement requis. L'attitude de Maria à mon égard alors que j'attendais avec une véritable angoisse ces rendez-vous hésitait entre la gentillesse à mon égard et la douce moquerie face au « viking » qui avait peur des médecins.Maria m'accompagna faire ma prise de sang dans un laboratoire chic du 16ème où je n'eus pas à attendre et où la préposée aux prélèvements ne me fit vraiment pas mal. Ce point m'impressionna, mais à partir du moment où la prise avait été faite, je vécus dans l'angoisse d'un coup de fil du labo, ou de Caro, pour me dire que j'avais quelque chose d'abominable. Caro m'appela en effet, mais pour me rassurer, moins de 48 heures après les prélèvements. « tes analyses sont excellentes, me dit Caro, tu peux le dire à Maria . Quand tu viendra me voir, ce sera juste un examen rapide ».Je n'étais qu'à moitié rassuré, j'avais encore peur de l'électrocardiogramme et de tout ce que la sœur de Maria allait me faire. Des questions ridicules comme : me mettrait-elle nu pour l'examen, allait-elle m'examiner le sexe, allait-elle une nouvelle fois me prendre la température et dans sa « diaper change positon » si humiliante, occupait mon esprit.Le grand jour arriva enfin. Je n'arrivais plus à manger depuis 24 heures . Il avait été convenu que Maria m'accompagnerait. Nous étions comme un vieux couple ou plutôt la maman qui amenait son fils caractériel chez le médecin.Le debriefing de mes analyses fut rapide : tout était parfait. Caro voulut quand même m'examiner rapidement. Elle me demanda de me mettre entièrement nu et de m'allonger sur son lit d'examen. Elle commença par « vérifier » ma température en m'imposant une no deuvelle fois sa « diaper change position ». « et pourquoi pas sur le ventre » demanda Maria à sa sœur. « Le rectum est plus facilement accessible » répondit Caro en me mettant justement son thermomètre. Elle ajouta:" Et puis, je trouve plus sympa de regarder le patient les yeux dans les yeux pendant que le thermomètre mesure la température".. Bien sûr, je ressentais une certaine humiliation de me retrouver devant Maria et sa soeur dans cette position ridicule avec mon sexe qui pendouillait lamentablement, mais je sentais à peine le thermomètre pourtant bien enfoncé dans mon pauvre rectum. Ce qui occupait mon esprit, c'était l'électrocardiogramme qui m'angoissait de plus en plus à mesure que le moment de cet examen approchait. Pendant les trois minutes que dura cet examen, alors que je n'en menais pas large, Maria me réconforta par son sourire désarmant de tendresse. Caro utilisa ce temps pour examiner mon sexe flasque et minuscule qu'elle decalotta à plusieurs reprises avant de palper rapidement mes testicules. Elle retira finalement le thermomètre et constata que ma température était un peu élevée en raison de ma nervosité : 37,9. Pareil pour ma tension à 15/10 . La doctoresse m'ausculta rapidement le cœur et les poumons ; Elle me dit : « tu as échappé à la radio des poumons parce que tu ne fumes pas, si tu pouvais convaincre Maria de t'imiter ». « No way » chuchota entre ses dents mon amie. Caro m'examina ensuite avec rigueur le ventre et l'abdomen. L'examen clinique était terminé, restait l'électrocardiogramme, lequel se passait dans une autre salle.J'étais tétanisé de peur. Caro me fit allonger sur un lit d'examen et son infirmière , une petite boulotte à laquelle je ne portais aucune attention, vint me mettre les différentes électrodes. Lorsque je fus appareillé, j'eu une véritable crise d'angoisse . Je me mis à sangloter et à crier ma peur de l'examen. Maria vint s'assoir au bord du lit et me gratifia de son sourire le plus angélique. Elle prit ma main et la serra très fort dans la sienne. « Je te promets que tu ne sentiras rien, mon petit viking » fit-elle. Je me calmais un peu, mais m'attendais à recevoir une décharge électrique qui me ferait sauter au plafond. Je serrais convulsivement la main de Maria. J'attendais que l'examen se déclanche. Maria lâcha ma main, j'eu un moment de panique. Elle me dit avec un large sourire : « Voila, mon gros béta, c'est fini et tu n'as rien senti ». L'examen s'était déroulé sans que j'en sois conscient . Je me sentais complétement ridicule en me levant du lit d'examen. Sans commentaire sur mon attitude, Maria examina les tracés qui traduisait l'activité de mon cœur. « Tout est parfait là aussi ». Le check up était terminé et j'étais en parfaite santé.« On recommencera dans 5 ans » dit Caro avec un sourire entendu en me serrant la main.Maria et moi allâmes nous remettre de nos émotions dans son appart tout près de là. Maria voulait faire l'amour tout de suite pour fêter l'heureuse issue de cet examen. Dans un premier temps, je boudais dans mon coin. J'avais honte de mon attitude. « J'ai été ridicule » dis-je à Maria. Celle-ci sut trouver les mots pour me consoler. Tout en caressant très tendrement mon pénis, elle me dit : « Mais non, tu avais peur . C'est normal d'avoir peur de ce que l'on ne connais pas . Je trouve que tu as été très courageux d'accepter tout ce cirque de check up que nous t'avons imposé, Caro et moi »rMon sexe commençait à réagir à ses caresses. Comme elle le faisait dans nos moments de grande tendresse, Maria a guidé mon pénis maintenant bien dur dans son vagin et nous avons fait l'amour passionnément, délivré, du moins en ce qui me concerne, de l'angoisse que m'avait causé ce check up. Alors que j'étais littéralement en elle et que ses mains agripaient vigoureusement mes fesses, Maria m'avoua qu'elle avait eu "envie de moi, comme jamais", d'abord quand sa soeur m'avait mis son thermomètre dans le cul et décalotté mon pénis, si petit, si mignon, en même temps, puis plus encore, quand j'avais paniqué au moment de l'électrocardiogramme et que j'avais aggripé sa main de façon si désespérée.

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