Vues: 586 Created: 2014.03.20 Mis à jour: 2014.03.20

Étude clinique

Chapitre 2

J'enlève mon boxer et mes chaussettes, puis j'étire mon pénis qui était un peu comprimé par l'élasthanne. Je suis gêné, c'est la première fois depuis longtemps que je suis entièrement nu devant un médecin. Je commence à me demander si j'ai bien fait de de m'inscrire pour cette étude. J'aurais mieux fait d'aller griller des hamburgers dans un fast food pendant les vacances. Mais ce serait moins bien payé. Le médecin relève à nouveau la tête et me dit :

— C'est parfait. Oh, je suis distrait, j'ai oublié qu'une infirmière devait d'abord effectuer quelques mesures. Je vais l'appeler.

— Je peux me rhabiller si vous voulez.

— Non, non, elle ne sera pas choquée, elle a l'habitude.

Il décroche le téléphone et presse un bouton.

— Mlle T., j'aurais un jeune homme à mesurer. Pourriez-vous venir ? Merci.

Le médecin se lève, ouvre une porte et me désigne un autre local attenant au sien :

— Veuillez entrer, Mlle T. arrive dans deux minutes.

J'entre et il referme la porte. J'examine l'intérieur. Il y a un lit d'examen et plusieurs appareils, ainsi qu'une table avec des seringues. Je m'assieds en attendant. L'infirmière frappe à une porte donnant directement dans le couloir puis entre. Elle me salue :

— Bonjour Monsieur. Oh, vous êtes déjà en petite tenue, j'espère que vous n'avez pas froid.

— Bonjour Madame. Non, ça va.

— Je m'appelle Julie, et vous ?

— Nicolas K.

— Permettez-moi de vous appeler par votre prénom. Vous êtes encore jeune et je ne suis pas beaucoup plus âgée que vous.

— D'accord.

Elle allume un ordinateur, introduit son mot de passe puis ouvre mon dossier.

— K765 ? Nous allons alors souvent nous revoir, je vais aussi participer à cette étude. Nous aurons déjà fait connaissance. Pourriez-vous vous mettre sous la toise, les pieds contre le mur ?

Elle introduit ma taille dans l'ordinateur.

— Et maintenant sur la balance. OK, vous avez le poids idéal. Je vais faire d'autres mesures. Mettez-vous debout près de l'ordinateur, je pourrais mieux écrire.

Elle prend un centimètre de couturier et me mesure le tour du crâne, du thorax et de l'abdomen, elle mesure ensuite la longueur d'un bras et sa circonférence. Elle se baisse et me mesure la longueur de la jambe, de l'aine aux pieds, en effleurant un testicule, ce qui me fait tressaillir.

— Oh, excusez-moi, me dit-elle. Mais je peux pas faire autrement.

— Ce n'est pas grave.

— Je suis confuse, mais comme il s'agit d'une étude concernant la sexualité, je dois vous mesurer les organes génitaux.

Je suis aussi confus qu'elle. Elle mesure alors la longueur de mon pénis et sa circonférence en me disant :

— Je vais enlever 2 cm, j'ai remarqué qu'il a un peu grossi depuis le début, mais ne vous inquiétez pas, c'est normal à votre âge. Pas de souci avec votre zizi ? C'est important pour l'étude.

Elle continue à examiner longuement mon sexe, outrepassant certainement ses compétences. Elle finit par me décalotter, ce qui augmente encore mon début d'érection. Puis elle me demande de m'asseoir et mesure ma pression artérielle.

— Vous avez un peu trop. Est-ce toujours comme ça ?

— Je ne sais pas, je ne la mesure pas régulièrement.

— Êtes-vous nerveux en ce moment ?

— On le serait à moins. Je n'ai pas l'habitude de ce genre d'examens.

— Comme je l'ai dit, ne vous inquiétez pas. Tout ceci est parfaitement naturel.

Elle me prend ensuite du sang, ce qui calme mon excitation. Puis elle me demande de m'asseoir devant un appareil, je dois souffler pour mesurer la capacité de mes poumons. Je dois ensuite me coucher sur la table d'examen. Le fait d'être ainsi exposé à la vue de l'infirmière fait remonter mon niveau d'excitation ainsi que mon pénis qui se retrouve très rapidement sur mon ventre. L'infirmière me rassure :

— Restez calme, respirez profondément, ne vous inquiétez pas.

Elle me met alors des électrodes sur la poitrine et sur une jambe afin de faire un électrocardiogramme.

— Tout est en ordre, le pouls est trop rapide, nous mettrons cela sur le compte de la nervosité. J'aurais terminé avec vous, mais...

— Mais quoi ?

— Je vais appeler le professeur, il est certainement allé boire un café. Ah, il répond. Monsieur le professeur, notre patient a un cas 32, avons-nous le temps ? Très bien, merci.

Elle pose le téléphone, je demande :

— C'est quoi un cas 32 ?

— Un petit code entre nous, ça veut dire que vous bandez.

— Je suis confus.

— Je vous ai dit de rester calme Nicolas. Nous avons le temps de régler ce problème.

— Comment ?

— Je peux vous aider ou préférez-vous rester seul ?

Comments

dudu Il ya 10 ans  
clyso Il ya 10 ans