Vues: 585 Created: 2014.11.05 Mis à jour: 2014.11.05

Francis a la Crève…

Francis a la Crève…

Francis a la Crève…

Là c'est le pompon… je finis les vacs, mais la chaleur est encore là, août, c'est pas que j'aime pas, mais quand tu retourne au taf après un mois de glandouille habillé juste d'un marcel et d'un short, les doigts de pieds en éventail dans les pompes à Jésus, trempage journalier dans la grande bleu, apéro et glaçons, vin frais et grillades au feu de bois, sieste en hamac, et câlins crapuleux avec une divorcée du camping, bref, quand tu reprend le boulot après tout ça, tu voudrais qu'il fasse moins beau pour les autres, surtout que, et c'est là le pompon, j'ai choppé une crève de la mort, en deux jours, pourquoi moi…?, pour qu'est-ce…?, j'en sais rien, mais je me tape un 39 de Tempé, j'ai même pas eu de plaisir à me mettre le thermomètre, seul, vu que ma femme est encore en vacs, on avait pas les mêmes dates cette année, je transpire comme un goret, j'ai la tronche comme un melon, pas capable d'aligner deux idées d'affilé, je tousse, je crache, je mollarde même, et mon pif se répand de lui-même, hors de contrôle, la totale…

Je me prendrais bien un petit arrêt de travail, ça me prolongerais les vacs, mais je peux pas, la "conjoncture", je finis par aller jusqu'à la pharmacie pour avoir des louzoù qui vont bien, ici aussi c'est encore les vacs, deux pelés, quatre pintades, mais derrière le comptoir, je repère ma pharmacienne préférée, une préparatrice de la quarantaine, un mètre soixante dix, mince, cheveux mi-longs noir corbeau, coupés façon Cléopâtre, d'ailleurs c'est son surnom dans le quartier, avec son nez fin et pointu, bronzée toute l'année et couverte de bijoux comme une reine, le truc qui retient l'œil, ce sont ses fringues, du noir, rien que du noir, l'hivers elle est souvent en cuissardes et fute en cuir, ça pète dans une pharmacie ça, là, avec la chaleur, elle porte des pompes façon spartiates à talons avec une robe courte semi transparente, sa blouse blanche est ouverte sur un top dentelle échancré largement, ce qui permet d'apercevoir une belle paire de seins qui ont bien prit le soleil, malgré ma crève, j'en ai une demi molle…

J'ai le droit à un grand sourire de bienvenue, on cause un peu, elle vient de reprendre après trois semaines en Espagne, ça la "faich", me dit- elle en aparté, elle trouve que j'ai bonne mine et me demande où je suis partis, je lui tousse sous son mignon nez pour lui faire comprendre ce qui m'amène…

- Houlala…! Vous avez l'air d'en tenir une bonne…!? Me dit-elle pleine de compassion.

- Oui… depuis deux jours… je voudrais quelque chose pour faire passer ça… s'il vous plaît…

- Fièvre…?

- Oui… 39° ce matin…

- Bon…Je vois… Toux grasse, nez qui coule… la totale quoi…! Je vais vous donner plusieurs choses à prendre…

- Hum…

Elle s'affaire, virevolte devant les rayonnages, comme dans une danse, je l'observe, elle a de jolis pieds soignés dans ses sandales Romaines, je bande un peu plus, elle revient à moi les mains emplies de boîtes en tous genres…

- Voila… Avec ça, vous devriez retrouver la forme en quelques jours… me promet-elle avec un large sourire affectueux…

Je m'accoude au comptoir pour l'écouter me débiter la posologie des prescriptions, l'étagère du pose-cabas est à la hauteur de ma braguette, je me frotte discrètement la boursoufflure dessus pendant qu'elle m'explique, en la regardant dans les yeux, bleus qu'ils sont, brune aux yeux bleus, ça aussi c'est beau, elle énumère les cuillérées de sirop pour la toux, le nombre de comprimés pour la fièvre, les gouttes dans le pif pour le rhume, le pschitt-pschitt pour la gorge, elle termine par le nombre de suppos à mettre, et là je dis…Pardon…?!

Je ne sais pas ce qui m'a pris, mais la connotation suppo et anal m'est venue de suite à l'esprit et j'ai comme une envie d'en parler avec elle…

- Quoi…?! Les suppositoires…? C'est pour vous dégager les bronches… Vous connaissez …? Me demande-t-elle surprise par ma réaction

- Heu… Oui… Mais heu…

- Vous savez les utiliser quand même…?

- Ben… c'est-à-dire que…

- Vous n'aimez pas…?

- Ce n'est pas ça… Mais…

- Oui…? M'interroge-t-elle à voix basse en voyant ma gêne, simulée, mais ça, elle ne le sait pas…

- C'est surtout mon épouse qui s'occupe de faire ça d'habitude… et elle est en vacances… et moi je sais pas… Lui dis-je faussement honteux.

- Hum…! D'accord… Je vois… dit-elle en rosissant légèrement sous son bronzage, gênée par ma révélation intime de vie de couple.

Un instant, elle semble chercher de l'air, évitant mon regard, regardant à gauche, à droite, derrière, mais pas moi, je l'ai déstabilisée quelque peu, elle cherche une réponse appropriée sans doute, pourtant ça doit en entendre de belles une pharmacienne, elle est troublée et j'aime son trouble, cela me file une gaule d'enfer, on dirait une pucelle qui voit sa première bite, elle fait quelque pas, regarde sa montre, revient vers moi, me fixe de son regard azuré, hésite encore quelques secondes puis se reprend…

- Bon… S'il n'y a que ça pour vous rendre service… J'ai ma pause déjeuné dans une heure… Vous n'habitez pas loin… Je peux passer vous montrer comment faire… ça vous va…?

- Heu… Oui… Merci… je ne veux pas vous déranger non plus…

- C'est en tant que pharmacienne que je me déplace chez vous… me dit-elle sur le ton de la professionnelle.

- Et en tout bien, tout honneur… ajoute-t-elle avec un sourire complice.

Elle me range les médocs dans un pochon, je casque, je dis "au revoir Madame…" et tourne les talons vers la sortie en cachant mon érection avec le sac de louzoù, elle me dit aussi "au revoir Monsieur…", et non pas, "à tout à l'heure…", confidentielle, jusqu'au bout des ongles, tout en cheminant jusqu'à chez moi, je flotte sur un nuage en me disant que je viens de faire fort, elle aurait pue se braquer, mal prendre la chose, mais non, à croire qu'elle en a envie, parce que quand même, si à chaque fois qu'elle vend une boîte de suppos, il fallait qu'elle aille faire une démonstration, elle en aurait des anus à doigter, elle m'intrigue avec son look depuis le temps qu'elle bosse là, j'ai dû l'intriguer aussi d'ailleurs, à mon âge, ne pas être capable de s'enfiler un suppo tout seul, elle a de quoi se poser des questions, et si le résultat de ses cogitations a été sa proposition, je sent que je vais prendre un pied de grande ampleur, j'espère qu'elle vienne avec sa blouse blanche, pour le contexte paramédical d'ambiance…

En l'attendant, je range un peu l'appart, puis je me prend deux douches, une pour le corps, une pour le petit orifice, un coup de jet rapide avec le tuyau, être clean de ce côté-là, pour une dame qui s'en occupe, c'est important, je suis pris d'un doute soudain, comment vat-elle trouver mon appart, j'avais pas d'ordonnance, elle sait que j'habite le quartier mais pas où…! Merde… l'excitation fait place à l'angoisse, midi approche, je tourne en rond, je guette au balcon, une clope, un café, une autre clope, l'heure de midi passe, je me dis qu'elle a changée d'avis, qu'elle s'est reprise en réfléchissant sur mon attitude et sur le fait que je soit marié, déçus, je jette un dernier regard dehors, et là, coup au cœur, je la vois arriver, elle m'aperçoit, je lui fait un signe de la main et file à l'interphone, sa sonne, je lui ouvre, sa collègue de relève est arrivée en retard s'excuse-t-elle, je dis "pas grâve…", on se prend un rafraîchissement, je lui demande pour mon adresse, elle me rappelle que je suis dans l'ordi de la pharmacie…

- Bon… Si nous passions au but de ma visite…? Et pour me laver les mains, c'est où…? demande-t-elle en sortant sa blouse blanche de son sac à main ainsi qu'une paire de gants en latex…

J'avais recommencé à bander en la voyant arriver du balcon, mais là, elle me gâte, je la regarde bouger dans sa jupe presque transparente, je la regarde mettre sa blouse, aller à la salle de bain, revenir pour enfiler ses gants, tout cela finit de me durcir le membre et quand elle me demande de baisser mon pantalon pour m'installer sur le canapé, il ne me reste que mon slip déformé pour cacher mon érection…

- Prenez la position s'il vous plait… me dit-elle courtoisement mais fermement, tout en ouvrant la boîte de suppositoires.

Comme un con, sans réfléchir, je fais comme avec ma femme quand elle s'occupe de moi, je me mets à quatre pattes sur mes coudes, jambes fléchies et croupe tendue vers elle, comme si je m'apprêtais pour un plaisir profond, chose que mon épouse sait faire à merveille, ça ne loupe pas, Cléopâtre me tague de suite…

- Et bien dites donc…! Pour un suppo, vous en faites beaucoup là…! C'est comme ça avec Madame…?

- Heu… Oui… Pardon… Allongé sur le côté ça ira…? Excusez-moi…

- Non…non… ça va… Restez comme cela… si c'est votre habitude… me dit-elle en me baissant le slip d'un geste bref et d'une main assurée…

- Personnellement, je le chauffe avant de l'introduire… m'explique-t-elle en me montrant le cône malaxé entre ses doigts.

- Je sais que d'autres personnes le chauffent en bouche, moi je n'aime pas le goût que ça a…

- Votre femme fait comment…? Si je peux me permettre…?

- Comme vous Madame… Comme vous…

- Pas de "Madame" entre nous… Moi, s'est Hélène et vous c'est Francis… J'ai vu dans l'ordi…

- Vous avez fais une petite toilette de la zone anale, je suppose…? Me demande-t-elle en m'écartant les fesses délicatement pour m'inspecter…

- Oui…Bien sur Mad…heu…Hélène…

- Bien, bien…Francis… Très important l'hygiène… Mais dites-moi…?! Vous avez un sphincter souple…! Constate-t-elle étonnée en passant un doigt dessus…

- Heu… oui… Peut-être…? Je ne sais pas… lui dis-je, jouant l'ignorance…

- Tatata…Francis…! Pas à moi… c'est Madame aussi qui vous assouplie…? Me demande-t-elle sur un ton moqueur tout en me caressant la rondelle du bout d'un doigt…

- Ben… Heu… c'est gênant votre question…

- Allez Francis…! Je suis tenue au secret professionnel… vous pouvez me le dire…

- D'ailleurs, je suis certaine que vous m'avez pipeauté au sujet des suppos… Et tout cela pour un touché rectal pendant que votre épouse est absente… pas vrai…? Me demande-t-elle suspicieuse en enfonçant doucement une phalange dans mon anus…

- Oui… J'avoue… Je vous ai mentis… Pardon…

- Allons… Ce n'est pas grâve… Faut rendre service à son prochain… Et ça ne me gêne pas de vous le faire… En fait, j'aime bien faire ça…

- Merci Hélène… Vous êtes compréhensive…

- Alors comme ça, Francis aime bien se faire visiter par derrière…?

- Oui…

- C'est Madame avec ses doigts…? des jouets aussi…? Me demande-t-elle en enfonçant son doigt plus loin…

- Les deux…

- Je vois... Et le machin des garçons, il aime aussi…?

- Heu…ça non…!

- Allez… Avouez… vous mentez mal…Je suis certaine que vous y avez goutté au moins une fois… me dit-elle sur un ton charmeur en remuant son doigt en moi…

- Bon…Oui…une fois…

- C'est bon hein…? Une bonne verge dans le derrière…? Je le sais, j'aime ça aussi…

- C'est pas dégueux…

- Et bien mon petit Francis… Comme vous avez dis la vérité, je vais vous récompenser… le suppo sera pour après…

Cléopâtre fouille dans son sac et en sort un petit tube de lubrifiant qu'elle me montre…

- Avec ça, je vais vous donner ce que vous désirez… Masturbez-vous si vous voulez, pendant que je vous sodomise…J'ai vus tout à l'heure, que vous aviez le paquet dans la culotte, une belle chose apparemment… Faudra m'y faire goutter, mais une autre fois…

Ma pharmacienne, assise derrière moi, me donne alors un plaisir Royal, elle connait son affaire tout autant que ma femme, mais la situation est un plus, pendant qu'elle me caresse l'entre fesse et l'anus en me lubrifiant, je tourne la tête vers elle, pour me régaler de sa tenus blanche, de ses mains gantées, de son visage de Cléopâtre aux yeux bleus, elle aussi me regarde et, provocatrice, fait remonter sa jupe en écartant largement les cuisses pour me montrer qu'elle ne porte pas de culotte, son sexe aux poils noirs courts taillés en ticket, est entrouvert sur des lèvres brillantes d'une mouille légère, que je ne peux n'y toucher ni boire, me fixant droit dans les yeux, elle me montre sans parler, son index et majeur rassemblés, je lui tend mon postérieur, elle enfonce ses deux doigts et m'encule lentement…

Elle fait tant durer la pénétration que je crois recevoir une chose sans fin, puis viennent les premiers mouvements, petits soubresauts au début qui se transforment rapidement en vas et viens défonceurs, elle me travaille le conduit, me fouille profondément en écartant ses doigts en moi, je me masturbe, et je sent bientôt monter dans mon rectum, les sensations brulantes qui annoncent l'orgasme, j'entend son souffle derrière moi, je la regarde une dernière fois, avant de me vider à grands jets sur le tissus du canapé dans un cris rauque et prolongé, ses doigts restent encore un moment en moi, provoquant une suite de petits orgasmes qui vont en s'affaiblissants, elle sait qu'elle vient de me faire prendre un terrible pied, pas besoin de mots inutiles…

Avant de repartir à la pharmacie, nous buvons encore un verre rafraîchissant, elle va pisser et laisse la porte ouverte, je l'écoute faire, elle me demande quand ma femme revient, je lui dis dans deux semaines, alors elle me dit que ce sera suffisant pour goutter à tous les plaisirs…

- Tu me mangera le minou… me dit-elle

- Et si tu sais bien me le faire… Tu pourra m'enculer…

- Oui Hélène…Je te le ferai…

- Je te sucerai aussi… j'avalerai ton foutre… Tu verra comme je suis bonne pour ça aussi… Et toi…? As-tu des "choses" encore plus cochonnes à me faire…?

- Heu…oui… Si tu le veux…

- Alors tu me les fera… Toutes… Mêmes les plus perverses et dégoutantes… Je veux profiter totalement de nos deux semaines…

Sur ce, elle m'embrase du bout des lèvres et s'en va en me disant à demain, même heure, je referme la porte le cœur encore battant, quelle bonne tranche de sexe vais-je encore m'offrir…

En retournant au salon, j'aperçois les médocs sur la table, marrant, dans l'action, on en a oubliés le suppo, je me l'enfile d'un rapide doigté, sa glisse tout seul, je suis encore entrouvert et lubrifié, maintenant, va falloir serrer les fesses pour le garder...Quelle aventure... Hahaha...

FIN…

Comments

mondoi Il ya 9 ans  
dudu Il ya 9 ans  
mondoi Il ya 9 ans  
chevreuil Il ya 9 ans