Vues: 924 Created: 2014.12.11 Mis à jour: 2014.12.11

Visite médicale

Visite médicale

NDA Afin d’éviter tout problème avec le modérateur qui sommeille en moi, je tiens à préciser que le narrateur de cette histoire est majeur et que c’est une fiction (ou que cela pourrait être le scénario d’un jeu sexuel).

Notre ancien médecin de famille avait pris sa retraite et un jeune l’avait remplacé. Je voulais faire du sport et mes parents avaient insisté pour que j’aille faire une visite médicale. J’étais embarrassé, je n’avais plus envie de me déshabiller devant ma mère. Je le lui dis, elle me répondit :

— Tu iras seul, tu n’es plus un bébé.

Ma mère prit un rendez-vous. C’était à la fin de la journée, après l’école. J’attendis quelques minutes à la salle d’attente, puis le médecin vint me chercher. Il était effectivement jeune, pas plus de 30 ans. Il me fit enter dans son bureau.

— Bonjour Pierre. Tu permets que je te tutoie encore ?

— Bien sûr.

— Alors tu veux faire du sport ?

— Oui, du foot.

— Tu as bien fait de venir, il faut s’assurer que tout est en ordre. Tu n’as pas de souci ?

— Euh… non.

— Tu est sûr ? Tu as hésité avant de répondre.

— C’est que…

— Tu peux tout me dire, cela restera entre nous.

— C’est assez intime.

— Ne te gêne pas. On va commencer par voir cela, on fera le reste de l’examen après. C’est ton zizi, pardon ton pénis qui te pose un problème ?

— Oui, répondis-je en rougissant.

— Viens, enlève tes baskets et couche-toi sur la table d’examen.

Je fis ce que le médecin avait dit. Pendant ce temps, il mit des gants.

— Alors, dis-moi tout, qu’est-ce qui ne fonctionne pas ?

— Quand je bande, pardon…

— Parle comme tu en as l’habitude, pas besoin d’utiliser des noms scientifiques.

— Quand je bande, la peau reste en place, je n’arrive pas à la retirer.

— Tu te branles souvent ?

— Tous les jours ou presque.

— Et tu as déjà des éjaculations ?

— Oui, je crois.

— Tu as du plaisir à faire cela ?

— Oui.

— Tu as déjà une petite amie ?

— Non pas encore, j’ai encore un autre souci…

— Une chose après l’autre. Tu me permets de regarder ?

— C’est que…

J’étais gêné, je sentais que je commençais à bander.

— Ne t’inquiète pas, reprit le médecin. Tu n’es pas le premier que j’examine, ni le dernier.

Le médecin remonta le bas de mon sweat-shirt jusqu’au nombril puis décrocha la ceinture de mon jeans, il ouvrit la braguette et descendit la fermeture éclair. J’avais mis un boxer neuf bleu foncé.

— Quel beau sous-vêtement tu as. Tu l’as choisi toi-même ?

— Oui, ma mère me dit que je suis assez grand pour m’en occuper.

Il baissa le jeans puis tâta le pli de l’aine et les testicules par-dessus l’étoffe. Il baissa ensuite le boxer. Je sentis mon pénis maintenant libre se dresser.

— Oh, fit le médecin, tu en pleine forme.

— Je suis confus.

— Ne crains rien, ça arrive souvent à ton âge, et c’est parfait, je pourrais mieux t’examiner. Tu as une bite magnifique, déjà très bien développée.

Le médecin prit délicatement mon pénis érigé dans sa main et commença à essayer de décalotter le gland. Il nettoya mon méat avec une lingette, car du liquide en sortait déjà. Il répéta plusieurs fois l'opération, ce qui me procura une excitation extrême. Mon bassin ondulait et je craignais de ne pas pouvoir me retenir. Le médecin me dit :

— Reste calme, je suis un spécialiste, tu es en de bonnes mains.

Cela ne me rassura pas et ce qui devait arriver arriva, j'eus un formidable orgasme et je répandis ma semence sur mon ventre. Le médecin se formalisa pas, il sourit et me dit :

— Déjà ? Tu es précoce. Il te faudra faire des exercices pour te retenir. Reviens me voir, je te montrerais comment faire. Quant à ton prépuce, fais aussi des exercices comme je te les ai faits.

À ce moment-là, une pensée effleura mon esprit. Je me demandai si le docteur n'avait pas abusé de la situation, mais tout cela lui paraissait parfaitement normal. Il me nettoya. Je lui demandai :

— Puis-je me rhabiller maintenant ?

— Non, tu es venu pour un examen général. Tu peux enlever tous tes vêtements, tu n’a plus rien à me cacher.

Je me retrouvai nu devant le médecin. le reste de la visite se déroula normalement. Il me demanda encore :

— Tu avais encore un autre souci ?

— Oui, je crois que je n’aime pas les filles, je préférerais les garçons.

— Je ne peux pas t’aider, dit-il en riant, ce n’est pas une maladie, mais on peut très bien vivre comme cela.

Comments

clyso Il ya 9 ans