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Vues: 1548 Created: 2014.08.09 Mis à jour: Il ya 2 ans

Une romance imprévue

Chapitre 1

Une romance imprévue - 1 ► 4

Cette histoire est une suite de mon précédent opus « une visite médical imprévue », mais peut parfaitement être lue de manière indépendante.

C'est vraiment une histoire de fou qui me tombe dessus ;

Jusqu'à ce matin, j'attendais tranquillement mon départ pour les Etats Unis, puis est arrivée cette lettre me demandant de passer une visite médicale avant ce départ justement, je suis allé passer cet examen auprès de la remplaçante de notre médecin de famille et je me retrouve, invité à déjeuner demain par une nana de 25 ans, qui doit donc me considérer comme un gamin avec mes 20 ans, qui m'a vu à poil pendant au moins une demi-heure, qui m'a taté la queue et les couilles et qui m'a mis un thermomètre dans le cul.

J'hésite sur la conduite à tenir. Je me fais peut-être encore un cinéma. La toubib veut peut-être juste être gentille avec moi . Et si elle veut me sauter, pourquoi ne pas me laisser faire. Physiquement, ce n'est pas tout-à-fait mon idéal, mais je ne peux pas demander à Catherine Deneuve ou Faye Dunaway (mes actrices fétiches, nous sommes en 1972) de venir me dépuceler . Elle est plutôt mignonne et a priori sympa. Ne plus être puceau me ferait sans doute du bien et me donnerait peut-être un peu de la confiance en moi qui me manque tellement.

Je repense à la « scie » de ma mère, qu'elle m'a encore sortie ce matin : elle pense qu'une copine médecin me ferait du bien. J'ai toujours dit à ma mère mon désaccord avec cette idée et maintenant, l'ironie du sort fait que, si je réponds à l'invitation de demain, je cacherai la nature de celle-ci à mes parents. D'abord, je ne sais si cela leur plairait que je « sorte » avec une vielle de 5 ans mon ainée et en plus, je ne suis pas sûr que ce que fait la toubib soit tout-à-fait conforme à la déontologie médicale. Donc, je dirai à papa et maman que je vais voir une copine qui rentre des States et doit me donner des tuyaux.

Pour l'instant, je vais voir Philippe, peut-être mon meilleur ami, en tous cas un garçon que je connais depuis l'école primaire avec qui je refais régulièrement le monde et à qui je vais raconter ce qui m'arrive. Si je réussis mieux que mon camarade dans les études, Philippe est beaucoup plus à l'aise que moi avec les filles et me raconte régulièrement ses conquêtes. Il sait que je suis puceau et se moque (gentiment?) de moi à ce sujet

Philippe m'accueille dans sa chambre dans la villa familiale.

Je raconte à Philippe les événements de la journée.

- Il m'arrive une histoire dingue...Tu sais que je pars en Californie début août..

- Tu me bassine avec çà depuis le mois de mars, si je ne m'abuse...

- Ce matin, j'ai reçu une lettre de l'organisme qui prend en charge le voyage, m'annonçant que je devais passer une visite médicale....

- Te connaissant, je pense que tu n' as pas dû aimer...

- Non, j'ai d'abord paniqué, j'étais prêt à renoncer à ce voyage, puis je me suis dit que ce serait trop bête. Ma mère a voulu téléphoner au Docteur Blom, notre médecin de famille. C'est sa remplaçante qui a répondu et a proposé de me prendre aujourd'hui.

- Et elle était comment la remplaçante ?

- Jeune, 25 ans mais elle en fait 20, plutôt mignonne, petite, brune, un joli visage. Elle était en jean et Tshirt. J'étais son seul client de l'après -midi, alors elle a fait les choses sérieusement, comme elle a dit.

- Whaow, et elle t'a baissé le slip ?

- Pire, elle m'a demandé de me déshabiller complètement et elle m'a fait rester nu pendant toute la visite, presque une heure

- Elle a du s'amuser, la gamine…J'espère que tu bandais, au moins?

-Pas au début, tu me connais, j'étais complètement paniqué. Comme j'étais géné d'être nu devant elle, elle m'a dit qu'elle fait passer des visites médicales dans des lycées et qu'elle a vu 500 queues cette année

- Whaow, une sacrée salope alors, et elle t'a taté la bite et les couilles ?

- Ben oui.

- Elle t'a quand même pas pris la température dans le cul ?

- Ben si. D'ailleurs, ça figurait en toutes lettres sur le certificat qu'il fallait remplir : « température rectale » Mais, attends, le meilleur. A la fin de la visite, elle m'a proposé de déjeuner avec elle demain. Qu'est-ce-que tu en penses ?

- Je pense que, soit elle s'emmerde comme un rat mort dans son cabinet, sans client tu m'as dit, et elle veut juste être gentille avec toi, soit elle a envie de se faire un petit puceau et çà ne te ferait vraiment pas de mal de te faire dépuceler, en plus par une toubib, elle connaît sûrement des tas de trucs..Alors, vas-y, fonce....

Muni de ce conseil de mon ami Philippe, je rentre chez mes parents pour le diner. Je les assure que la visite médicale de cet après-midi s'est bien passée et que la doctoresse était très « gentille ».Je leur raconte qu'elle m'a fait écouter mon cœur, ce qui passionne ma petite sœur. Presque certain que je vais rejoindre la jeune doctoresse demain à midi, J'assure mes arrières en leur disant qu'une copine de la fac m'a appelé pour que déjeunions ensemble demain.

Une romance imprévue - 2

Je passe une mauvaise nuit à me demander quoi faire, même si j'ai quasiment décidé d'honorer l'invitation de la doctoresse. Peut-être qu'elle veut juste parler avec moi des Etats-Unis ou d'autres choses ? Je me fais sans doute un cinéma en pensant qu'elle veut baiser. D'ailleurs, à 25 ans, elle a vraisemblablement un mec et aucune raison de perdre son temps avec un petit puceau comme moi. Ou alors, elle a une âme de Saint-Bernard et elle veut « m'aider ». Alors, pourquoi ne pas en profiter ? Parce qu'elle est médecin et pour ça justement me fait peur, ou parce que, même si je la trouve mignonne et « baisable », elle ne correspond pas à mon fantasme de la fille idéale avec laquelle je rêve de « perdre ma virginité », une grande blonde éthérée, de préférence scandinave, avec des yeux bleus.

La doctoresse ( appelons la Chantal, j'aurai moins peur...), Chantal, donc, m'a donné rendez-vous à midi au cabinet médical du docteur Blom et je m'y rends donc, l'esprit toujours préoccupé. Sur la porte du pavillon, une affichette, que je n'avais pas vu hier, invite les patients, en raison de l'absence de la secrétaire à entrer dans la salle d'attente. Ce que je fais, cette dernière est vide . Je suppose que la toubib est avec un client et n'ose pas frapper à la porte du cabinet. Je m'assoie, toujours en proie à mes questions existentielles. Tout à coup, avec un mélange de véritable angoisse et d'excitation, je me dis que Chantal m'a peut-être donné rendez-vous à son cabinet pour se livrer à quelques vérifications sur ma personne. L'idée me vient qu'elle va peut-être vouloir me prendre la température, comme çà, pour voir...Et qu'elle va me caresser les fesses comme hier....

La porte du cabinet s'ouvre, une vieille dame sort, suivie par Chantal. Elle se saluent, la vieille sort et Chantal se tourne vers moi. Je remarque immédiatement qu'elle est en jupe, plutôt courte, et qu'elle a de jolies jambes, un Tshirt « Fruit of the Loom » moule sa poitrine. Elle me gratifie d'un grand sourire. « Je n'étais pas sûr que tu viendrais » me dit-elle. Elle ajoute : « Tu peux m'attendre un instant, j'arrive tout-de-suite ». Elle me laisse dans la salle d'attente, ce qui semble exclure tout examen, d'ailleurs je me souviens qu'elle a dit hier : « je ne t'examinerai pas ».

Je fantasme sur ses cuisses quand elle revient. Elle se plante devant moi et me demande : « Tu remarque quelque chose ». Bêtement, je réponds : « oui, vous êtes en jupe et ça vous va bien » . « Mais non, dit-elle, d'abord je t'interdit de me dire « vous », ça me vieillit, et deuxièmement, je veux dire, là, par rapport à il y cinq minutes » Encore plus bêtement, je ne vois pas ce qu'elle veux dire et reste muet. « Je viens d'enlever mon soutif , dit-elle en baissant la voix. Pour recevoir des clients, comme la vielle que tu viens de voir, je suis obligé d'en mettre un, mais pour me balader dans Paris avec un copain, je suis mieux sans, non » Elle change de sujet et m'annonce : « Je t'emmène au Quartier latin manger le meilleur « Chili con carne », « au Nord du Rio Grande » , et après, je te révélerai mon secret ». « Tout ça, si tu es d'accord, bien sûr » ajoute-t-elle encore, toujours avec un large sourire. Nous quittons donc le cabinet médical pour prendre le métro.

Une romance imprévue - 3

Sur le chemin de la station de métro, Chantal se montre enjouée. Elle m'annonce qu'elle est libre pour le reste de la journée. Elle me prend la main, je me laisse faire, partagé entre une certaine appréhension, qui me reste vis-à-vis de la doctoresse, et ma joie d'être pour une fois, avec une fille, mignonne en plus, comme les autres garçons de mon age. Je suis tellement nul avec les filles que je me suis rarement trouvé main dans la main avec une nana et cette sensation est déjà extraordinaire pour moi. La main de Chantal est fraîche et douce et j'ai l'impression d'elle joue doucement avec ma main en frottant son pouce contre ma paume. Tout en marchant, elle me dit de sa voix douce et chaude : « Tu sais, je n'étais vraiment pas sûre que tu viendrais »,elle ajoute en riant : « ça montre que ton cas n'est pas désespéré ». L'instant d'après, elle se reprend : " Excuse-moi, je parle comme un médecin, je vais me surveiller pour ne plus le faire aujourd'hui".

Nous devons nous taper presque toute une ligne de métro pour arriver au Quartier latin, un itinéraire que je connais bien pour le parcourir presque chaque jour pour aller à mes cours,..Ou au cinéma pendant cette période de vacances. Sur ler quai du métro, un groupe de jeunes mâtent sans vergogne Chantal , ses jambes superbes dévoilées par sa jupe vraiment très courte et ses seins en liberté sous son T shirt S'ils savaient qu'en plus elle est médecin, alors qu'on lui donnerait à peine vingt ans. A priori, je suis plutôt « attiré » par les filles grandes, mais aujourd'hui je trouve Chantal superbe, elle est certes petite, mais menue et remarquablement proprotionnée. Nous montons dans un wagon presque vide. Nous nous mettons sur une banquette libre sans vis-à-vis. Sitôt assise, Chantal m'attire à elle. Elle reprend la main qu'elle me tenait et la glisse sous son Tshirt. « Tu peux me caresser » me dit-elle à voix basse. Ma main trouve rapidement ses seins,à la fois doux et fermes, que j'agrippe maladroitement, alors que Chantal approche son visage du mien en me disant : « Tu as dèjà embrassé une fille, quand même ». En fait, mon expérience dans ce domaine se limite à quelques tentatives inabouties, mais je laisse la jeune femme faire quand elle colle sa bouche contre la mienne

.Ce trajet en métro restera dans ma mémoire. Ma langue se frotte frénétiquement contre celle de la jeune femme, ma main droite agrippe ses seins sous son Tshirt et ma main gauche se déplace sur les cuisses de Chantal, de plus en plus haut, frolant sa petite culotte, que je n'ose cependant pas lui retirer. Sa peau est d'une douceur extrême. Je ne me suis jamais aussi mal conduit dans le métro, ni ailleurs. Chantal m'encourage à me montrer plus audacieux, alors qu'elle-même d'une main me caresse le torse et de l'autre a ouvert mon jean et s'est carrément glissé dans mon slip pour saisir mon pénis et le faire durcir. J'ai complétément oublié qu'elle est medecin et qu'elle a cinq ans de plus que moi.

Nous sommes arrivés à destination. Le voyage en métro a duré moins d'une demi-heure, mais l'attitude de Chantal ne me laisse aucun doute sur ses intentions. Je peux m'attendre à "passer à la casserole" avant ce soir, mais cette perspective m'inquiète de moins en moins. Nous retrouvons une attitude plus digne pour marcher, main dans la main quand même, jusqu'au restaurant où Chantal a décidé de m'amener. Nous profitons de ce bref trajet pour nous « calmer » et retrouver notre souffle. « Pour un petit puceau, tu te débrouilles pas mal » me dit Chantal. Elle ajoute : « Et n'oublie pas, je t'ai promis de te révéler un secret après le repas ». Nous arrivons au restaurant annoncé. Nous nous installons au milieu d'un public de touristes et d'étudiants, où nous ne détonnons pas trop.(à suivre)

Une romance imprévue - 4

Le restaurant a ouvert récemment, mais Chantal le connait. La presse en a parlé car l'endroit prétend être le premier authentique restaurant américain de Paris. Les prix paraissent très élevés au tout petit bourgeois que je suis, mais Chantal a promis de m'inviter. La nourriture est en effet excellente . Chantal me suggère avec insistance le « chili con carne » et l'apple pie avec crême à la vanille. Elle veut également m'initier au vin de Californie, alors que je serais volontiers resté au Coca. Je me sens fier d'être en compagnie d'une fille (femme) aussi superbe, qui attire tous les regards, et pas seulement à cause de son Tshirt

Ce repas, avec l'attente un peu longue entre chaque plat nous permet de nous découvrir un peu plus l'un l'autre. En fait, cinq ans d'écart à cette période de la vie, c'est beaucoup. Je commence juste mes études avec un double cursus Droit et Anglais, alors que Chantal, malgré la durée de sa formation, entre déjà dans la vie active. Elle a beaucoup plus à raconter que moi. Elle dit avoir fait médecine parce qu'elle était bonne élève, plus que par vocation. Elle a beaucoup travaillé en première année, puis s'est laissé porter par le courant les années suivantes. Ses parents, petits commerçants en Alsace, sont très fiers d'avoir un « docteur »dans la famille. Quant à elle, elle affirme avoir peur des responsabilités de son métier et se sent mal à l'aise quand elle doit soigner des malades en fin de vie. Se souvenant de mon hypocondrie et de ma phobie des médecins, elle passe rapidement à ses centres d'intérêt dans la vie. Elle est comme moi fascinée par l'Amérique et y a fait plusieurs séjours. Elle aime le cinéma et la BD et nous nous découvrons un tas de goûts communs . Nous évoquons notamment la série des « Blake et Mortimer » de P. E.Jacobs et l'inéfable Achille Talon de Greg

Au moment du dessert, elle prend un air grave et me dit : « Je m'excuse, tu dois me trouver « chiante », je parle tout le temps et je sais que je ne suis pas rigolote ». « Mais pas du tout, répliqué-je avec sincérité, vous, enfin tu, es passionnante pour un petit jeune ignorant comme moi ». Elle poursuit son idée : « Tu sais, reprend-elle en posant sa main sur la mienne, je me sens très seule en ce moment. J'avais un copain depuis la terminale, on a fait toutes nos études de médecine ensemble, on ne se quittait pratiquement pas, on avait dit qu'on se marierait et qu'on ouvrirait un cabinet ensemble.... » Chantal laisse alors échapper un sanglot et termine son verre de vin, sans doute pour se donner du courage. Je suis un peu abasourdi, je n'ai pas trouvé Chantal particulièrement dépressive depuis les 24 heures que je la connais, notamment dans le métro. Je m'attends à une conclusion dramatique de son histoire avec son copain. Elle reprend son récit : « Il y a trois mois, au moment où on passait nos derniers exams, il m'a plaqué soudainement, sans prévenir,... Pour une aide-soignante antillaise très conne, avec un cul énorme, qui lui a mis le grapin dessus pendant un stage. Il ne m'.a donné aucune explication. Depuis, je passe mon temps à me demander ce que j'ai pu faire de mal, et comme on a vécu quasiment ensemble 6-7 ans, je me sens désespérément seule ». « Tu comprends » conclut-elle en accentuant la pression sur ma main, alors qu'une larme coule sur son beau visage. Je vois dans son aveu une excuse pour son comportement un peu excessif à mon égard. Elle se reprend et me gratifie d'un large sourire. « En plus, je gâche ce déjeuner auquel je t'ai invité, je suis vraiment conne, je te demande pardon » J'essaie de la rassurer, mais je ne suis pas un expert en psychologie, féminine surtout. « Mais non, c'était très bien » l'assurè-je bêtement.

.Elle passe aux toilettes. Je pense qu'elle pleure et cela me rend triste. Je me demande si elle a toujours l'intention de me sauter, après cette crise. Elle revient à table, commande l'addition, et se montrant de nouveau enjouée, me dit : « Je t'avais promis un secret, je te rassure, ce n'est pas le récit de mon abandon par un sale type. » . « J'ai cru comprendre de nos conversations, hier et aujourd'hui que tu es un grand romantique et je pense que ça va te plaire», poursuit-elle en sortant une grosse clé en fer de son sac.

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dudu Il ya 10 ans  
clyso Il ya 10 ans  
n/a Il ya 10 ans  
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clyso Il ya 10 ans  
patou39 Il ya 10 ans  
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Rabban the Clyst Il ya 10 ans  
rodindebxl Il ya 10 ans  
patou39 Il ya 10 ans