Vues: 555 Created: 2014.08.09 Mis à jour: 2014.08.09

Une romance imprévue

Chapitre 14

Une romance imprévue - 53 ► 56

J'obéis aux instructions de mes deux doctoresses. Je suis allongé sur le dos, je bande toujours comme un âne et mon sexe, fièrement dressé, pointe vers le plafond. Je n'ai jamais été aussi serein à une visite médicale. Je ne sais quelle est la suite du programme. J'attend avec impatience de faire l'amour avec Solange et aussi, puisque cela doit logiquement faire partie de la visite, que la sœur de ma copine me prenne la température. Sera-ce aussi excitant qu'avec Chantal ?

Cette dernière annonce à sa sœur: "On va faire un petit examen de l'abdomen pour terminer. Tu va pouvoir réviser ton anat, soeurette".

Solange pose ses mains sur mon ventre, juste sous mes côtes, et commence à palper mon abdomen. Le contact des mains est d'une douceur infinie et je continue à bander comme un diable. Chantal s'en amuse. Elle observe: "Avec nous, tu n'as plus d'effet "blouse blanche", je pense que tu seras moins calme lundi pour ta vraie visite, hein Honey".

Elle continue de mitrailler la scène "de crime". À un moment, je me demande où en sont nos stocks de pellicules pour nos appareils.

A un moment, en appuyant sur un point sur le côté droit de mon bas-ventre, Solange, qui avait jusqu'à présent une attitude plutôt rigolarde, affiche tout-à-coup un air préoccupé. Elle interrompt son examen, fait deux pas vers sa sœur et l'entraine dans un coin de la chambre où elle s'entretient avec elle à mi-voix. Je me demande ce qui passe et l'hypocrodriaque que je suis commence à s'inquiéter, même si je me dis que Chantal m'a examiné avec sérieux il y a seulement cinq jours et m'avait a priori rien trouvé d'inquiétant.

Chantal revient vers moi et pose sa main sur mon bas-ventre et appuie sur différents points. "Tu n'as pas mal quand j'appuie là". J'articule, de plus en plus inquiet: "non".

Tout en continuant à palper mon bas-ventre en élargissant le champ de ses investigations, Chantal constate avec un sourire: " Tiens, tu ne bande plus, Honey" et, retrouvant son sérieux, félicite Solange: "Tu as raison, soeurette,... il va falloir faire quelque chose".

De plus en plus inquiet, je demande: "Mais, que se passe-t-il?"

Chantal me fait son plus beau sourire et me dit de sa voix la plus douce: "Tu as une belle appendicite, avec complications en plus. Il faut t'opérer…. d'urgence…

Une romance imprévue - 54

Je reçois la nouvelle comme un coup de poing dans la figure. Je panique complétement. Je fonds en larmes et je me mets à trembler convulsivement. Solange suggère: "il faudrait peut-être lui donner un calmant". "Surement pas, tranche Chantal avec fermeté, si on doit l'opérer, il ne faut surtout rien lui donner"

Je pleure toutes les larmes de mon corps. La seule idée de devoir être opéré, de devoir passer plusieurs jours dans un hôpital, ce qui ne m'est jamais arrivé, est pour moi la pire des catastrophes et suffirait à me faire perdre mes moyens et toute dignité, mais en plus j'en viens rapidement à me demander ce qui va se passer avec mes parents ( Que diront-ils quand ils apprendrons que je suis en Alsace, avec une "fille" en plus?). Et en plus, si on m'opère, même si tout se passe bien, je vais devoir faire une croix sur mon voyage en Californie.

Chantal s'adresse à moi, sans la tendresse que justifierait la situation, me semble-t-il.

"Calme-toi un peu, c'est toi l'homme ici, non?, me dit-elle sans dissimuler son ironie. C'est une toute petite opération, que même moi je saurais faire à la limite, tu as la chance d'avoir deux copines, toubibs en plus, qui vont s'occuper de toi….

Je proteste: "mais que vont dire mes parents, quand ils sauront que je suis parti en Alsace sans leur dire ?"

"Je suis sûre qu'ils se précipiterons ici avec des tas de cadeaux pour leur petit chéri et que ta mère sera ravie que tu te sois trouvé une copine toubib, c'est bien son rêve, non" répond toujours sans tendresse excessive Chantal

"Et le voyage, je ne peux plus partir…" me lamenté-je

"Ecoute, reprend Chantal, tu m'as dit je ne sais combien de fois que tu ne voulais plus aller en Californie, si c'était pour me perdre. Après l'opération, tu pourras te reposer ici quelques jours et je te promets qu'après cà, on se fera un voyage du tonnerre de Dieu aux States."

Chantal, qui dirige manifestement les opérations, poursuit: "Je t'emmène tout-de-suite aux Urgences à Strasbourg. Mais d'abord, je vais passer un coup de fil là-bas, où je connais tout le monde, pour annoncer notre arrivée" S'adressant à Solange, elle lui demande: "Prend la température de notre petit Honey pendant que je téléphone, cela devrait confirmer le diagnostic"

Chantal quitte la pièce; Je continue de geindre doucement, allongé, toujours nu et toujours sans érection.

Solange me propose de me prendre la température. Je ne vois pas à quoi cela servirait ("on me la prendra surement là-bas avant de m'opérer") et je ne pense même plus au coté érotique de la chose, alors que l'idée m'excitait au plus haut point il y a quelques minutes.

Assise au bord du lit à coté de moi ,Solange me fait un grand sourire et me dit: "Tu sais, j'avais très envie de faire l'amour avec toi. Laisse-moi te prendre la température, j'en ai très envie aussi" En plus , elle m'annonce qu'elle veut me la prendre sur le dos, dans la fameuse "diaper change position". En mal de confidence, elle me raconte: " Tu sais, je prends toujours la température comme ca. J'aime voir la réaction des gens sur leur visage quand je leur mets le thermomètre. Je fais ca à l'hôpital avec les malades, mais surtout avec tous les mecs qui veulent me baiser. Il y en a qui sont surpris ou qui n'aiment pas, cela m'amuse beaucoup" Elle ajoute avec un sourire coquin: "ma sœur à craqué pour ton petit cul, ce que je comprends d'ailleurs, il est en effet très mignon, mais moi, c'est autre chose qui me plait chez toi .Je te laisse deviner quoi"

Bêtement, je lance "ma queue ?"

Elle rigole; "Petit prétencieux, va ! Désolé de te le dire, mais ta queue n'a rien d'extraordinaire, et je la trouve beaucoup plus mignonne; sympa, quand elle est au repos, comme maintenant". Elle poursuit: "Ce qui me plait chez toi, ce sont tes yeux. Tu as quand même remarqué qu'ils ont exactement la même couleur que les miens. Je suis sûre qu'on pourrait faire des tas de choses ensemble" Elle me dit tout cela en me regardant avec insistance dans les yeux justement, au sujet desquels j'ai déjà dit que l'on aimerait se noyer dedans.

Cette conversation m'a un peu calmé, même si la perspective d'être opéré très bientôt continue de m'angoisser. J'obéis à Solange quand elle me demande de replier mes jambes sur ma poitrine. Malgré mes angoisses, j'apprécie de sentir la thermomètre de Solange envahir petit à petit mon rectum avec une lenteur sans doute calculée. La position, peu confortable, accentue la perception de la pénétration .Solange est au moins aussi douce que sa sœur. Distrait un instant de mes peurs médicales, je regrette de ne pas avoir fait l'amour avec Solange, qui vient de me révéler quelques aspects troublants de sa personnalité. Pour l'heure, une des mains de la jeune femme maintient le thermomètre plus que bien enfoncé dans mon petit cul,, que ces dames trouvent, parait-il, si mignon, pendant que l'autre joue avec mon pénis, toujours totalement hs, et mes testicules. Ses yeux semblent plantés dans les miens. Malgré les circonstances, j'apprécie la douceur de ses caresses et surtout son sourire ambigu, mélange de compassion et de désir érotique assumé. Nous nous sommes accordés sur un temps de mesure de trois minutes. Elle retire le thermomètre et annonce de sa voix chaude: "38,5", ce qui semble confirmer le diagnostic. "Je suis désolée", dit Solange avec un triste sourire. Elle ajoute: "je suis sûre que tout va bien se passer…. et puis après, tu pourras venir te reposer ici". Alors que je m'abandonne à mes pleurnicheries, elle ajoute, avec plus qu'une pointe de malice dans son regard: " je serai là…."

A ce moment, Chantal revient dans la pièce. Solange lui annonce ma température.

Chantal me dit: "tu sais ce que cela veux dire". Je fonds à nouveau en larmes.

Une romance imprévue - 55

Je pleure à chaudes larmes parce que je suis mort de peur. Je n'ai jamais été hospitalisé, jamais été opéré, et là, on va m'opérer en urgence, en pleine nuit. Je suis toujours allongé nu sur le lit king-size de notre chambre d'ami et mes deux "copines" sont debout au pied du lit . Elles m'observent pleurnicher et je suis conscient de ne pas leur donner une image très virile de ma petite personne, mais je m'en fous. j'ai l'impression de lire plus de compassion dans le regard de Solange que dans le visage fermé de Chantal; Je trouve d'ailleurs que Chantal pourrait me montrer un peu plus de sympathie. dans ces circonstances. Je me demande aussi si elle va assister, voire participer, à l'opération qui m'est promise. Et va-t-elle m'amener aux urgences avec la Mustang ou aurai-je droit à une ambulance, sirènes hurlantes .

A un moment donné, Solange se tourne vers Chantal et lui lance: "Allez, on lui dit". Le temps que mon cerveau, embrumé par les émotions de la journée, saisisse le sens de cette phrase, Chantal, la voix assourdie par une gène soudaine, déclare: "C'était une blague, tu n'as pas l'appendicite, tu n'as absolument rien" .

Là, je réagis en deux temps. Je ressens tout d'abord un soulagement immense. On ne va pas m'opérer, je ne vais pas à l'hôpital, j'irai bien en Californie, mes parents ne sauront rien de mon voyage en Alsace. Je suis sur un petit nuage.

Cependant, très vite, quelques secondes plus tard, c'est un sentiment de colère qui m'envahit et j'en veux terriblement aux deux soeurs qui m'ont mené en bateau. Je n'aime pas tellement les blagues en général et là, j'en veux à Chantal et Solange d'avoir mis à jour les aspects les moins flatteurs de ma personnalité.

Bondissant tout nu hors du lit, je me retrouve face aux deux nanas, qui elles ont conservé leurs "déguissements" de la pseudo-visite médicale, que j'invective vigoureusement. "Mais pourquoi, vous avez fait ça ? Vous êtes complétement folles, toutes les deux ! Vous savez bien que j'ai un problème avec tout ce qui est médical. Vous vous rendez compte du choc pour moi?" J'en veux surtout à Chantal: "Tu as 25 ans, tu as passé l'âge de "faire des blagues", non? Tu es médecin, cela te donne des responsabilités ! Je croyais que tu me connaissais un peu et que tu savais que je n'apprécierais pas l'idée d'aller dans un hôpital, etc..".Mais je n'oublie pas Solange dans mes récriminations, malgré ou justement parce qu'elle vient de me prendre la température avec délicatesse. Je l'interroge sans ménagement: "Solange, tu m'as aussi menti en m'annonçant une température élevée ? La jeune fille bredouille: "Oui, tu avais un petit 37,6, normal compte tenu de…" Elle ne termine pas sa phrase et éclate en sanglots. Je constate en passant que mon sexe a retrouvé la belle érection qu'il avait conservé pendant toute la soirée.

Les deux filles me paraissent un peu embarrassées dans leurs réponses. Chantal déclare: "C'était juste une blague,...On l'a peut-être fait un peu trop durer…...C'était aussi pour voir si ta phobie des médecins se calmait ou pas". Elle ajoute: " Ce n'est pas si grave". C'était la phrase à ne pas dire. Je réplique violement: "Si pour moi, c'est très grave, Cela montre que tu ne me comprends pas, je ne peux pas accepter ça". Je marque une pose et décrête d'un ton que je veux ferme et volontaire; "Je crois que c'est fini entre nous, Chantal". alors que j' attendais, ou espérais, que Chantal fonde en larmes et me demande humblement pardon, la jeune femme reste calme et répond sur un ton aussi ferme que le mien: "Quoi! Tu veux me larguer pour une petite blague, tu débloques,.... tu es complétement fou, ….tu es malade, mais là je ne peux rien pour toi, c'est un psy qu'il te faut…..." Elle poursuit: "je te rappelle que nous sommes chez mes parents, je devrais te mettre à la porte, tout de suite, mais nous sommes des gens civilisés, on attendra demain, mais tu prendras le train pour rentrer à Paris. Plus de Mustang pour toi, petit ex-puceau." Elle conclut par une remarque qui ne contribue pas vraiment à détendre l'atmosphére: "je vois que ta colère te fait de l'effet et que tu bandes, et pas mal… Je crois que je ne l'ai jamais vu aussi grosse. Dommage que personne ne puisse en profiter…." Face à ce commentaire de ma copine en titre, je caresse un instant l'idée de faire preuve de brutalité et faire profiter les deux filles de ma queue justement. Et si je les violais là maintenant toutes les deux? Voila ce que ferait un "vrai mec" sans doute.! mais je suis trop gentil, ou trop lâche, et je ne fais rien..

Un silence pesant s'installe. Les deux sœurs se sont bien foutu de moi. Je surréagis peut-être, mais j'ai l'impression qu'il y a quelque chose de rompu entre Chantal et moi .Elle ne me comprend vraiment pas .Je n'ai plus envie de " jouer" avec elle, ni avec sa sœur. Si nous étions à Paris, je prendrais la porte. Là, je suis chez les parents de ma "copine" et c'est plus compliqué.

Chantal fait observer qu'il est déjà trois heures du matin et que nous pourrions peut-être tous aller dormir un peu. Solange quitte à petits pas, puis en claquant la porte, "notre" chambre. Je crains un peu le face-à-face avec ma "copine" après le départ de Solange. Mais Chantal semble s'être un peu calmée et propose: "J'espère que tu acceptes quand même de dormir dans le même lit que moi, pour cette nuit. Je te promets que je te violerai pas". Je cède à l'"invitation" et je passe à la salle de bain. J'essaie de me calmer en me passant de l'eau sur le visage. Le miroir me renvoie l'image de ma belle érection. Je reviens dans la chambre et trouve Chantal nue, endormie ou faisant semblant de dormir, pelotonnée sur un coin de notre lit nuptial. Je m'étends sur le lit. je suis, bien sûr, incapable de dormir. Je repasse dans ma tête les évènements des dernières heures. J'ai le sentiment d'un énorme gachis.

Dans la pénombre relative de la chambre, mes yeux sont attirés malgré eux par les fesses superbes de ma copine, qu'elle expose sans vergogne.

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Je viens de dire à Chantal que "tout est fini" entre nous. Et tout ça parce qu'elle m'a fait croire , avec sa sœur Solange, que j'avais une crise d'appendicite et qu'il fallait m'opérer d'urgence. Je dois avouer que j'ai "marché" à fond et, à aucun moment, n'ai imaginé qu'il s'agissait d'une "blague".

Justement, je n'aime pas les blagues, je n'en fais jamais, et peut-être à cause de mon rapport particulier avec la médecine et les médecins, je trouverais dégueulasse de faire croire à quelqu'un qu'il a telle ou telle maladie. Il me semble que Chantal aurait dû savoir cela.

C'est peut-être ma paranoia qui est à l'oeuvre quand je rapproche cet "incident" de notre "fâcherie" il y a trois jours à propos de cette prise d?e sang qu'elle m'avait commanditée pour estimer que cette chêre Chantal, décidément, ne me comprend pas. Puis-je "rester" avec elle dans ces circonstances ?

On m'objectera que mon énervement face à cette blague apparait un peu dérisoire par rapport à tout ce que la jeune femme m'a apporté. Tout d'abord, elle m'a, avec une constante délicatesse, dépucelé et tout appris des choses de l'amour. D'autre part, grâce à elle, je vis depuis à peine une semaine un véritable "conte de fée": la terrasse parisienne, la Ford Mustang, le Leica, le château de ses parents… Suis-je prêt à renoncer à tout cela pour une petite blessure d'amour propre? Ne devrais-je pas avaler sagement la couleuvre sans rien dire ? En plus, n'ai-je pas déjà fâché Chantal par ma réaction excessive? Elle, veut-elle encore de moi? N'ai-je pas tout gâché? Elle m'a déjà menacé de me mettre dans le train pour Paris…..

Bref, je ne sais plus où j'en suis, et soudain, je suis pris d'une nouvelle crise de sanglots.

Chantal, que j'ai dû réveiller, se retourne vers moi. Appuyée sur son coude, elle présente maintenant à ma vue ses seins ronds et fermes, leurs tétons bien gonflés, d'autant qu'elle a allumé sa lampe de chevet qui insuffle une lumière blafarde à toute la pièce. Elle me gratifie de son sourire le plus enjoleur et murmure: "Tu sais, je ne te laisserai pas me larguer". En même temps, ses doigts saisissent ma queue qui est resté dressée pour des raisons mystérieuses. Je ne sais plus quoi faire ou dire. Elle reprend la parole sur'un ton badin: "Je suis encore méchante: je t'avais promis de ne pas te violer, c'est pourtant ce que je suis en train de faire, non?" . A ce moment, elle se redresse et viens s'assoir sur mes hanches. "On va d'abord baiser, je crois que ça nous fera du bien à tous les deux… puis il faut qu'on parle, je crois….rassure-toi, je ne veux pas te mettre dans le train pour Paris". Tout en parlant, elle place ma queue à l'entrée de son vagin et s'empale dessus avec fermeté. Pour moi, la sensation de mon pénis, prisonnier de son fourreau intime est; comme à chaque fois, extraordinaire. Je retrouve ma Chantal, j'oublie toute cette histoire de blague. Mes mains se crispent sur les fesses charnues de ma copine. Tout en commençant à aller et venir sur mon pénis, Chantal confirme de sa voix suave: "Là, tu as droit à une petite séance de nostalgie,....rappelle-toi, Honey notre terrasse à Paris !".

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clyso Il ya 6 ans  
Svensson Il ya 6 ans  
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