Vues: 522 Created: 2015.05.02 Mis à jour: 2015.05.02

Le sanatorium

Chapitre 2

L’infirmier entra dans la salle d’attente, il avait une quarantaine d’années et était vêtu d’une blouse blanche immaculée.

— Bonjour, nous dit-il. Les jumeaux terribles sont de retour. Sacha, qu’es-tu en train de faire ?

— Rien, je t’assure, camarade infirmier. D’ailleurs je suis Kolia.

L’infirmier s’approcha, prit le pendentif en or au cou du jumeau qui se masturbait, le regarda et dit :

— Non, tu es bien Sacha. Je vous connais depuis tant d’années. Tu peux continuer, cela ne me dérange pas, au contraire.

— C’est vrai, camarade infirmier ? Tu aimes voir un jeune qui se branle ?

— Cela me fait surtout plaisir que tu aies atteint l’âge où l’on peut de branler, et j’en suis fier, c’est un peu à cause de moi et de mes soins. Mais je suis aussi curieux de voir ce que sont devenues vos petites bites. Je vais fermer la porte pour qu’on ne te dérange pas.

— Tu en es un, camarade infirmier ?

— Oui, j’en suis un, et cesse de m’appeler camarade.

— Bien, camarade infirmier.

Sacha eut l’air décontenancé, il avait certainement pensé que l’infirmier le réprimanderait et qu’il devrait arrêter. Maintenant il était obligé de continuer. Il se leva, décrocha la ceinture de son peignoir. Sa bite dressée apparut dans toute sa longueur. Je n’en avais jamais vue de si longue. J’avoue quand même que ce n’était que la deuxième que je voyais en érection, après la mienne, je n’avais pas beaucoup d’expérience. Sacha prit tout son temps, il avait des mouvements lents. J’étais comme fasciné. Je sentais mon propre membre prendre l’ascenseur. Je me demandai pourquoi ? Comment se faisait-il qu’un homme qui se branlait m’excitât à ce point ? En étais-je aussi un ? Sacha demanda :

— Je peux éjaculer, cama… Piotr ?

— Fais comme tu veux.

Sacha accéléra ses mouvements et projeta son sperme. J’eus un mouvement de recul, de peur qu’il m’atteigne. Kolia se leva, se plaça derrière son frère, et le pris dans ses bras. Il lui chuchota à l’oreille :

— Sacha, ça va ?

— Oui, ça va bien.

— Excusez-moi, mais c’était la première fois que Sacha jouissait en présence d’un si nombreux public. Je voulais être sûr qu’il allait bien.

— Ne t’inquiète pas frérot, quelqu’un a un mouchoir ?

J’en avais un propre et je le lui tendis. Il me dit :

— Merci, tu pourrais me nettoyer toi-même pour me remercier.

J’hésitais, puis je pris sa bite dans ma main gauche et je lui essuyai le gland avec mon mouchoir en étoffe. Il eut un soupir d’aise. Je nettoyai ensuite les taches sur le sol blanc. Je remis le mouchoir dans ma poche. Une sonnerie retentit.

— Ah, nous dit l’infirmier, le médecin est de retour. Je dois interrompre cette petite distraction. Qui veut passer le premier ?

— Je crois qu’Evgeni était avant nous, dit Kolia. J’aimerais bien aussi imiter mon frère.

— Ne t’en fais pas, me dit Sacha, tu auras aussi l’occasion de te branler devant nous, tu ne vas pas pouvoir te défiler si facilement. Tu nous laisses le mouchoir ?

Ma bite reprit l’ascenseur, mais ce n’était vraiment pas le moment, j’allais devoir me déshabiller chez le médecin. J’essayai de penser à autre chose et de respirer profondément.

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mondoi Il ya 9 ans  
Woyzeck Il ya 9 ans  
mondoi Il ya 9 ans