Vues: 628 Created: 2014.12.14 Mis à jour: 2014.12.14

Encore des histoires

Acte intime

Il y a une demi-heure à peine, j'ai eu, à quarante-cinq ans, un des plus extraordinaires orgasmes de ma vie conjugale.

- Chéri, voudrais-tu me rendre un service ?

- De quelle nature ?

- Voudrais-tu avoir la gentillesse de me donner un lavement ?

- Oui, chérie, je ne demande pas mieux !

Tout émoustillée, je sors de J'armoire à pharmacie bock, tuyau, canule. Quand je juge l'eau à point, de la voix la plus caressante possible, j'appelle mon époux : Après avoir posé deux oreillers au milieu du lit, Il me prie de me coucher sur le ventre, puis me retire mon panty.

La coiffeuse, placée juste en face du miroir de la tête du lit, me renvoie l'image de ma croupe qui, rehaussée par les oreillers, semble a ce moment le centre de ma personne.

Avec douceur et fermeté, il me fait écarter les cuisses. Mon Dieu, il a maintenant « tout» sous les yeux : en plus des fesses, ma vulve et mon anus. Je suis vraiment offerte.

Il repart vers la salle de bain et en revient en agitant quelque chose ; le thermomètre ! Il veut me prendre la température… Après tout, pourquoi pas…

Ça y est, avec son index, il me caresse le pourtour de l'entrée. Dieu, que c'est bon ! Dommage, Il arrête déjà, mais son doigt viole maintenant ma petite entrée et procède à ce que je ressens comme un massage circulaire. Mon fondement me paraît baigner dans la vaseline.

Il maintient mes fesses écartées et je sens le thermomètre se poser sur mon anneau, s'immobiliser, puis s'enfoncer doucement. Il progresse lentement et tout d'un coup je sens ses doigts juste entre mes fesses ! C'est impossible ! Pourtant c'est vrai. Ca ne me fait pas mal bien au contraire…

- Serre bien ta rondelle, que le thermomètre ne ressorte pas !

Il repart vers la salle de bain, mais bientôt j'aperçois dans le miroir le bock, le long tuyau. Arrive le moment émouvant d'un geste habile, de deux doigts, il rouvre mon cratère et retire le thermomètre et, aussi doucement enfonce progressivement la canule. Je sens sa lente progression dans mon derrière. Il me dit de « serrer » pour qu'elle reste bien en place. Je contracte ma rosace. Cela produit une sensation agréable, non seulement « par-derrière », mais aussi « par-devant ». J'ai récemment lu que chez nous, les femmes, le muscle releveur de anus est aussi le contracteur du vagin. Pour une fois, la nature a bien fait les choses ! Mais toutes ces réflexions sont interrompues par la main de mon mari qui, entre mes fesses, ouvre le robinet. Le jet d'eau se précipite dans mes entrailles. J'aime sentir le liquide m'envahir progressivement. Mais cela va trop vite, ce sera bientôt fini ! Pourtant, j'ai préparé un grand lavement de deux litres. Pour faire une bonne toilette intérieure et pour que le processus dure plus longtemps !

Avec ce long tuyau qui sort de mes fesses, on dirait que j'ai une longue queue. Mais je trouve la main de mon mari aussi il ressemble à son fouet ! La main de mon mari s'insinue à nouveau dans la raie fessière. Il ferme le robinet. J'espère bien qu'il ne va pas retirer toute de suite la canule ! Non, il me la laisse en place.

Il doit se douter que j'aime ça, Ou bien il a plaisir à me voir ainsi pénétrée. Depuis le début, je me sens délicieusement passive, livrée à son pouvoir. Pour finir, il me libère de sa canule, mais ce n'est pas un soulagement du tout, c'est une frustration ! Il me conseille de rester comme je suis, aussi longtemps que je pourrai tenir. Je reste là, face à mon image dans la glace, les fesses surélevées, largement étalées. J'ai conscience de mon impudicité. Ah, cela devient intolérable ! J'ai beau serrer ma rosace, mes fesses, je ne pourrai pas tenir. Or, plusieurs mètres séparent mon lit de la porte de la salle de bains. Angoissée, je crie :

« Je n'arriverai jamais à marcher jusqu'à la salle de bains. Mon ingénieux époux m'apaise : «N'aie pas peur, retourne-toi lentement. Oui, comme ça ! Bon, maintenant, accroche-toi à mon cou et je te prends en dessous des genoux.»

Délicatement, il me transporte à la salle de bains, m'installe précautionneusement sur le trône, disparaît et ferme la porte.

Ah, Dieu, il était temps ! C'est la délivrance !

Comments

mondoi Il ya 9 ans  
patou39 Il ya 9 ans  
clyso Il ya 9 ans