Vues: 563 Created: 2014.12.14 Mis à jour: 2014.12.14

Encore des histoires

Ma cousine Geraldine

Un beau jour d'août, alors que nous étions seules chez elle, cette chère Géraldine, dix-huit ans m'a dit :

"Claire, je ne me sens pas bien, tu veux bien aller me chercher le thermomètre qui est dans la petite armoire à pharmacie ?"

Quand je suis revenue, j'ai eu un choc en la voyant allongée sur le lit, jupe relevée, culotte baissée, m'offrant une vue éblouissante sur ses fesses magnifiques. Son menton était sagement posé sur ses mains croisées. Jambes repliées, elle souriait en me fixant, amusée par ma réaction. Ne sachant que faire, j'ai fini par lui tendre l'instrument. D'un air sérieux, elle m'a demandé :

"Claire, ma chérie, tu ne voudrais pas me le mettre toi-même ?"

Sans même attendre ma réponse, elle a saisi le thermomètre et l'a porté à sa bouche pour l'humecter avec sa salive. J'étais à deux doigts du coup de sang. Je me suis assise à côté d'elle. Géraldine a écarté les jambes et j'ai découvert sa conque à peine duveteuse et humide. De sa main, elle a écarté l'une de ses fesses : J'ai délicatement introduit le thermomètre dans son anneau et j'ai senti un frémissement la parcourir. J'ai continué à pousser le tube de verre dans son cratère, jusqu'à :

"Stop ! Ne le rentre pas plus loin."

"Je t'ai pas fait mal au moins ?"

"Non, mais je ne l'avais jamais reçu si loin ; il est comment ?"

" Je vois à peine le 39"

"Ouah !

Elle a effectué de rapides contractions anales. Voyant que ça lui plaisait, j'ai commencé à agiter le thermomètre dans sa corolle. Elle a gémi, puis s'est détendue. J'ai a retiré l'instrument, annoncé le niveau de la température. Elle a poussé une exclamation en mettant la main devant sa bouche. D'un ton dégagé, elle m'a dit :

"Je vais devoir prendre un lavement !"

Remontant sa culotte, elle s'est absentée un moment. Elle est réapparue avec une énorme poire en caoutchouc surmontée d'une grosse canule avec une olive au bout. D'un geste très suggestif, elle a enduit de vaseline l'extrémité du pal. Elle a ensuite retiré sa culotte, s'est agenouillée sur le lit, les jambes généreusement écartées. Elle m'a confié la poire à lavement et s'est cambrée en posant ses mains à plat sur le mur. Elle attendait. Abasourdie, je sentais ma conque s'humidifier...

J'ai introduit la canule assez volumineuse dans son petit cratère, comme je l'avais fait avec le thermomètre. Elle remuait les fesses pour que l'engin pénètre aussi profondément que possible.

J'ai vu avec émotion son anneau se distendre pour laisser passer la partie renflée de la canule, puis se resserrer sur cette tige épaisse qu'il avala avec gourmandise. Poussant un soupir d'aise, Géraldine a donné de grands coups de reins pour faire aller et venir la canule. En gémissant, elle m'a demandé de presser la poire. Son derrière se tortillait sous mon nez pendant que la poire se vidait. J'ai renfilé la poire quatre fois… Elle m'a quitté un instant pour aller aux toilettes. Quand elle est revenue, je n'ai pas pu m'empêcher de la basculer en travers de mes cuisses, d'écarter les jolies fesses et d'y planter à nouveau le thermomètre, complètement cette fois-ci. Il a fallu qu'elle réclame à plusieurs reprise pour que je me décide à la délivrer de son occupant…

Elle m'a proposé de me prendre ma température…

" Une autre fois si tu veux bien !..."

Comments

clyso Il ya 9 ans