Vues: 563 Created: 2014.12.14 Mis à jour: 2014.12.14

Encore des histoires

Soins pour deux vicieuses

Marc et Paul ont un instant disparu de la salle, nous laissant toutes les deux en punition, attachées aux radiateurs. Un instant plus tard ils sont revenus, déguisés en infirmiers, blouse blanche et calot blanc avec une croix rouge à l'avant; Marc nous a lancé :

"Bonjour, mesdames, c'est l'heure de vos petits soins"

Paul poussait une petite table roulante garnie d'instruments. J'ai tout de suite compris que ces salauds (c'est ce que je pensais sur le moment) voulaient nous donner un lavement : sur la table il y avait une grande casserole d'eau chaude, un morceau de savon et un couteau, deux thermomètres et surtout deux superbes poires à lavement, une en caoutchouc brun avec une petite canule jaune et l'autre encore plus grosse, blanche avec une épaisse canule noire. Marc, le ton bien égrillard, quoique se voulant professionnel, nous a dit :

"Nous ne sommes que les infirmiers, nous exécutons les ordres du médecin : prises de température et lavement d'un litre pour chacune des malades, vous aurez donc chacune le contenu le ces deux poires qui font un demi-litre, je vais les remplir d'eau savonneuse.

"Nous commencerons par vous, Madame"

"Dites lui de venir s'installer sur la table."

A t il ajouté en se tournant vers moi.

Consciencieusement, il s'est mis à râper du savon dans l'eau chaude, à remuer le bout avec son couteau, puis par pressions il a rempli complètement les deux poires et a dit alors à Paul

J'étais terrorisée à l'idée du lavement que j'allais recevoir, pas à l'idée de le recevoir devant mon mari et ses amis, mais terrorisée par le souvenir d'un lavement reçu quand j'avais seize ans à la clinique et que j'avais dû évacuer sur le bassin!

La honte suprême pour moi, la pire humiliation pour une femme. Mais là, la situation était différente, je me suis laissée faire, je savais que tout cela allait exciter les hommes de jouer les infirmiers.

Je me suis donc allongée sur la table de la salle à manger, un coussin sous le ventre pour bien relever mes fesses, Paul m'a écarté les jambes pour bien mettre en évidence la raie des fesses et dégager le petit anneau qui était l'objectif de tous leurs soins. Je me sentais excitée à l'idée de m'offrir ainsi à la vue de ces deux hommes excités comme des boucs et de mon amie Anne. Qui ne perdait rien du spectacle. Ce qui m'excitait encore plus c'est que tout à l'heure ce serait son tour "Madame, détendez-vous, ne serrez surtout pas votre petit trou, vous vous feriez mal."

J'ai senti qu'il m'écartait les fesses ; l'extrémité du thermomètre se posa sur mon étoile, s'immobilisa un instant, puis l'instrument commença à s'enfoncer lentement, jusqu'à ce que ses doigts reposent dans ma raie. Pour les exciter encore davantage, je poussais un cri et reçut une petite tape sur les fesses.

"Soyez sage, je sais par votre époux qu'il prends souvent votre température !"

Il me laissa un bon quart d'heure avant de retirer le tube de verre,

"37°8, c'est un peu trop, un lavement est vraiment nécessaire

Paul a pris un petit bout de savon trempé dans l'eau et il m'en a consciencieusement lubrifié l'œillet.

Je sentais qu'il faisait durer le plaisir. Il a approché la canule de mon cratère, l'a posée dessus. Au contact de l'instrument, je me suis contractée, il m'a alors tapoté de nouveau les fesses en me demandant de me décontracter, en me disant que ce n'était rien, pas plus douloureux que le thermomètre ou qu'un suppositoire et d'un coup il m'a planté la canule dans le derrière et a aussitôt fait une première pression sur la poire. En même temps que je sentais la canule avancer dans mon derrière, je sentais un jet d'eau chaude me couler dans le ventre, c'était à la fois douloureux et agréable. Paul a rapidement vidé le contenu de la poire dans mon ventre, l'a retirée et, immédiatement, Marc m'a enfoncé l'autre canule, la plus grosse dans la rosette. Je n'ai pas pu retenir un cri de surprise et de douleur, mais il a lui aussi très vite vidé sa poire dans mon fondement et a retiré lentement la canule en me demandant de serrer les fesses.

"Voilà, Madame, vous voyez que ce n'est pas terrible ! Maintenant il faut vous allonger et attendre un quart d'heure,"

Il m'a aidée à descendre de la table et n'a amenée près du canapé; je m'y suis allongée et j'ai attendu la suite …

Anne a été invitée à s'allonger à ma place ; elle s'est soumise en maugréant.

Paul a longuement secoué le thermomètre,

"Alors ma chérie, je m'apprête à prendre ta température devant ta meilleure amie, que ressent tu ?"

"J'ai honte !"

"Pourtant, tu devrais être habituée ! Sa mère ne se gênait pas pour lui mettre le thermomètre en présence de parents, d'amies etc…

Elle me l'a souvent répété et me l'a souvent démontré…"

Il a attendu vingt minutes avant de retirer l'instrument.

"38°, ho là là, vite un lavement !"

Paul est allé à la cuisine chercher de l'eau chaude; il a préparé les deux poires mais, quand il s'est approché d'Anne, elle a sorti le grand jeu : Elle s'est mise à supplier en criant :

"Non, non, pitié, pas de lavement, par pitié !"

A se recroqueviller sur elle pour qu'on ne la touche pas, puis à hurler. Heureusement que la maison était isolée ; dans un appartement on aurait ameuté tous les voisins. Paul lui a parlé doucement :

"Madame, ne vous mettez pas dans des états pareils, vous avez vu votre voisine, ce n'est pas terrible, juste un petit lavement pour vous soulager ; sinon le docteur ne sera pas content de vous … ".

Anne s'est mise à pleurnicher, elle a suivi Paul et s'est installée comme moi sur la table, mais quand Marc a voulu écarter ses fesses pour préparer son petit cratère, elle a refusé et s'est contractée vigoureusement ; moi j'étais à deux mètres et je suivais tout cela, bien excitée par le spectacle. Malgré mon litre d'eau dans le ventre je me trouvais bien et le spectacle du lavement qu'on allait donner à mon amie m'émoustillait. Quand Marc a voulu écarter ses fesses, Anne a refusé, et elle a recommencé à hurler en se débattant, en suppliant, en menaçant : alors Marc est allé chercher des lanières et avec Paul, en un tour de mains, ils l'ont solidement ligotée et lui ont attaché les deux mains et les deux jambes aux quatre pieds de la table. Elle continuait à hur1er à fendre l'âme, mais cette fois 1 elle ne pouvait plus serrer les fesses, son derrière était là, largement exposé et offert. A ses infirmiers qui prenaient leur rôle au sérieux.

Marc lui a passé la main dans la raie des fesses comme pour préparer le terrain, a lubrifié son petit trou avec du savon, ce qui a de nouveau déclenché des hurlements :

"Non, je ne veux pas, non, ne me touchez pas avec votre instrument" J'étais moi même très excitée par la vue de son œillet intime tout plissé qui se contractait comme pour se défendre. Entre ses fesses je voyais quelques poils de sa toison de vraie brune. Marc a pris la poire avec la plus grosse canule et, d'un mouvement ferme, il a forcé le petit trou d'Anne qui a poussé un hurlement de fauve blessé quand elle a senti que toute résistance était inutile et qu'elle avait la canule enfoncée dans le derrière jusqu'à la garde.

Marc a pressé lentement la poire• et le hurlement s'est transformé en gémissement plaintif. Le spectacle m'a alors fortement excitée : voir là, à deux mètres de moi, ma copine offerte comme une victime à un sadique. Son mari qui lui forçait l'anus pour lui donner un lavement d'eau trop chaude ; voir ses fesses exposées là, écartelées par la canule qui fouillait son intimité, alors que moi-même je venais de subir les mêmes assauts de nos deux,mâles surexcités. C'était trop, je sentais mon bas-ventre qui me picotait et mon vagin inondé. Je mouillais comme une salope.

Marc a fini son lavement et cédé la place à Paul : nouveau hurlement d'Anne quand il a planté la grosse canule ; nouveau gémissement ; son fessier essayait de se trémousser pour expulser de son domicile très particulier la canule qu'elle ne voulait pas, mais elle a eu droit à son litre d'eau comme moi ! Puis très vite nos deux hommes ont libéré Anne. Marc est parti avec elle, ils sont montés à l'étage dans leur chambre, moi j'ai couru aux toilettes, puis je suis revenue sur le canapé où nous avons fait l'amour comme des bêtes.