Vues: 474 Created: 2014.12.14 Mis à jour: 2014.12.14

Encore des histoires

Jeux d'eau avec Irene

Depuis trois ans, je cohabite avec Irène, une jolie blonde. Je me prénomme Pauline et je suis très brune. Nos relations étaient purement amicales jusqu'au jour où elle est tombée malade.

Malgré sa réticence, j'ai réussi à lui prendre sa température, tournée sur le côté, dans son petit macaron rose.

Le thermomètre une fois en place, je l'ai maintenu tout en caressant machinalement ses jolies fesses. Je me suis très vite rendue compte que cela lui plaisait… Elle avait 38°5 !

Le médecin m'ayant conseillé de lui administrer un lavement pour calmer ses douleurs intestinales, je suis allée en ville, acheter un tuyau de caoutchouc, un jeu de canules, un broc que j'ai rempli d'eau tiède et savonneuse.

Puis j'ai retroussée la nuisette d'Irène. Après avoir enduit son oeillet de pommade, avant le lavement, j'ai repris sa température. L'introduction du thermomètre a été ponctuée d'un soupir de satisfaction… J'ai prolongé le maintien de l'instrument bien plus longtemps que nécessaire, le consultant à plusieurs reprises… La température était montée à 39°.

Après le retrait du tube de verre, j'ai fait pénétrer la canule entièrement dans son joli petit derrière.

Ce premier lavement l'a soulagée, car le lendemain, elle était guérie.

J'avais rangé le matériel dans le placard de la salle de bains. Un jour, je l'ai surprise nue sur le lit, prête à s'administrer un lavement. J'ai remarqué aussi le thermomètre sur le chevet, qui avait sans aucun doute visité son petit cratère Elle m'a avoué que ce n'était pas la première fois, puis elle a ajouté :

- C'est très excitant, surtout quand la canule te pénètre. Tu devrais essayer !

Un picotement me démangeait l'entrecuisse. J'étais troublée de voir son corps nu à la peau laiteuse, ses beaux seins et son minou entrouvert d'où émergeait un long clitoris. Sans être gênée par ma présence, Irène a posé une noisette de pommade au bout de son doigt et s'est lubrifié l'anus.

Puis elle a enfoncé la canule dans sa pâquerette, très lentement. Ses tétons se sont mis à bander ! Quand le liquide tiède a commencé à la remplir, elle a gémi en caressant sa conque ; ensuite, elle a écarté ses grandes lèvres en me faisant admirer l'intérieur rose pâle de son bijou. Très excitée, j'ai alors décidé de me déshabiller.

Elle m'a jeté un regard complice quand je me suis allongée contre elle. Je l'ai embrassée sur la bouche, puis j'ai mordillé les pointes de ses seins. Je les étirais juste ce qu'il fallait, pour bien l'exciter. J'ai fait glisser mes lèvres sur son ventre, jusqu'à sa toison.

Là, j'ai embrassé ses nymphettes et j'ai léché son clitoris. Sa main et ma bouche se frôlaient, car elle continuait à se masturber pendant que je frottais ma fente au couvre-lit.

Irène s'est mise à jouir en agitant plus vite la canule enfoncée dans son derrière. Je me sentais frustrée. Mais j'ai continué à l'embrasser sur les seins et le liliacée. Elle cambrait son beau corps de toutes ses forces !

A la fin, elle s'est effondrée dans mes bras, la bouche entrouverte. Plus tard, comme si elle lisait dans mes pensées, elle a dit :

"Ecoute, je vais aller laver la canule et te donner un bon lavement. Tu verras, c'est super !"

Je n'ai pas protesté et me suis allongée sur le dos et retiré ma culotte. Quand elle est revenue, elle secouait le thermomètre…

J'ai écarté les cuisses et lui ai livré mon œillet. Elle a lubrifié mon anneau, puis, tendrement, elle a enfoncé le thermomètre, doucement profondément. J'étais bien, comme une fillette livrée aux soins de sa gentille maman.

Je ne savais pas combien de temps le thermomètre était resté en place lorsqu'elle l'a retiré.

"37°8, pas de fièvre !"

La canule à glissé entièrement dans mon étoile : l'eau tiède et savonneuse s'est écoulée lentement dans mes entrailles. J'aimais bien cette sensation nouvelle ! Tout en m'administrant le lavement, Irène me branlait le clito et remuait ses doigts dans mon manchon.

Moi, je me caressais les seins. Quand elle s'est penchée sur moi, j'ai happé ses tétons durcis entre mes lèvres. Elle m'a rendu la pareille. De temps à autre, elle remuait la canule enfoncée dans mes entrailles, ce qui l'excitait beaucoup. J'ai commencé jouir.

Elle a continué à me branler la chatte. Mon clitoris devait être très gros, car je le voyais dépasser entre mes doigts ! Quand mon orgasme s'est apaisé, j'étais vannée.

Depuis, Irène et moi pratiquons notre petit jeu plusieurs fois par semaine. C'est devenu un rituel !

Nous avons acheté des canules plus ou moins grosses, certaines comportent des petits trous sur toute leur longueur, d'autres ont leur extrémité percée d'un trou unique de fort diamètre. J'ai mes préférences et elle aussi. Nous maîtrisons parfaitement la technique du lavement ce qui nous permet de pratiquer des tas de caresses intimes. Pour commencer, nous nous caressons, à poil sur le lit. Je la lèche et elle me lèche, parfois en soixante-neuf. Et puis, une fois bien échauffée, nous nous plaçons face à face, dos relevé et jambes écartées. J'enfonce alors un thermomètre dans son cratère que j'agite pendant un moment. Puis la canule de son choix transperce sa rosace et plonge entièrement, et elle fait de même pour moi. Nous nous remplissons doucement d'eau tiède, en nous branlant mutuellement.

J'adore contempler sa chatte béante et luisante, et surtout cette canule enfoncée entre ses fesses. Depuis, nous nous passons d'hommes et pratiquons exclusivement notre "vice", du reste bien innocent.

A n'importe quel moment de la journée, l'une de nous deux, fréquemment, pose sa main sur le front de l'autre,

"Je te trouve bien chaude !"

A cet instant, elle entraîne l'autre dans la chambre, pour lui prendre sa température…