Je m'appelle Adèle et je suis infirmière dans un hôpital de la région parisienne. Mais le petit jeu que je préfère, c'est l'introduction du thermomètre. Amoureusement, complaisamment, je le plonge, le retire, le remets. Je le fais coulisser, aller et venir, avec délectation.

Parfois, j'ai "mes coups de folies" : prendre, par exemple, la température à des jouvencelles que j'allume par mes conseils"

"Tends-moi ton joli derrière ! Ne sois pas si prude ! Restes tranquille, il faut que je l'enfonce plus profondément… Ouvre bien ta raie. Ecarte tes fesses avec tes mains. Offre-toi un peu plus … Ça va te faire du bien."

"Dis donc, t'es bien foutue, toi ! Tes copains, ils ne doivent pas s'embêter" …

Des fois, ça les fait rire, mais certaines, ça les fait mouiller. D'où je suis placée, Je le vois comme aux premières loges !

Un jour, une toute jeune fille rechigna à me montrer docilement son joli derrière. Elle faisait sa mijaurée. Je l'ai fessée jusqu'à ce que les hémisphères de son magnifique fessier deviennent rouges comme des tomates. Elle se résigna enfin, se tournant sur le côté, elle me tendit docilement son derrière bien écarlate, s'empalant presque sur mon instrument, faisant entrer le tube de verre sur un tiers de sa longueur.

Avec beaucoup de douceur, je poussais le tube de verre un peu plus loin que la moitié.

"Ça va, je ne te fais pas mal" ?

"Non, pas du tout, c'est même pas désagréable, loin de là, mais j'ai honte de montrer mes grosses fesses !"

"Tu n'es pas sérieuse, j'espère ! Ton derrière est magnifique, bien proportionné. Je ne comprends pas pourquoi tu peux penser ça ?"

"C'est mes copines, elles se moquent de moi."

"Elles son jalouses, je crois

" Évidemment, à coté de toi, ça doit être des gamines."

"Oui vous avez raison"

Tout en parlant, j'avais bougé doucement le thermomètre, le poussant de plus en loin, jusques qu'à ce que mes doigts reposent dans la raie.

"Tu sens comme je t'ai enfoncé le thermomètre ?"

"Oui, j'ai l'habitude, maman me l'enfonce autant depuis que j'ai sept ou huit ans"

"J'ai l'impression que ta maman est une adepte de la température dans le derrière ?"

" Oh oui ! Ma grande sœur reçoit encore le thermomètre de sa main."