L'Accueil Provincial…

Il y quelques années, mon entreprise m'a dégottée une semaine de formation, à plus de trois cent kilomètres de chez moi, en province, de plus dans un bled ou il n'y avait même pas un hôtel, si bien que je me suis retrouvé à dormir chez l'habitant, un couple de la cinquantaine, connaissance du directeur de la boîte, qui avait l'air content de me recevoir vu qu'il ne ce passait pas grand-chose par chez eux et que d'avoir de la visite ça leur faisait plaisir…

La dame m'a accueillie fort aimablement, très affable, se mettant en quatre pour m'installer confortablement, et avenante s'enquérant de mes moindres désirs, elle m'a fait visiter la maison, un pavillon cossus méticuleusement tenu, il sentait bon l'ordre et la propreté, elle m'installa dans ma chambre et me montra les communs, finissant par les sanitaires et la salle de bain, elle ouvrait les placards en m'indiquant le linge et les produits de toilette, me disant de me servir autant que j'en avais besoin…

Je ne sais pas si ce fût volontairement ou pas, qu'elle en ouvrit un où trônait du matériel pour lavement, deux poires, une vaginale et une rectale, ainsi qu'un broc en faïence à l'ancienne, en émail et fleurs peintes, avec son robinet et son long tuyau souple, comme elle voyait mon air surprit et gêné, elle s'excusa avec un sourire en précisant que tous le monde ne pratiquait pas ce genre d'hygiène intime mais qu'au besoin je pouvais m'en servir si je le désirais, je n'avais qu'à le lui dire, j'étais abasourdis par son naturel…

Plus tard au dîner, je fis la connaissance du mari, un homme polis mais discret, pas très bavard, alors que son épouse ne tarissait pas de question sur ma vie et d'anecdotes sur la leur… C'était une grande blonde au yeux bleus, un peu forte, coiffée en nattes, un peu façon gretchen, toujours en blouse ou portant tablier, lui était brun au yeux verts, la même taille mais plus mince, il formait un couple de bon ton, avec ces arrangements qui font qu'il n'y a pas de vague ou du moins de disputes, lui sortait souvent, elle, restait à la maison…

D'ailleurs, ce soir là, il n'avait fait que dîner avec nous car il avait un tournois de belote à son club, qui n'était en fin de compte que le bistro du coin, m'avait-elle dit après sur le ton de la confidence, un prétexte à se retrouver entre homme pour boire, et autre chose sans doute, mais dont elle ne voulait pas me parler, en mon fort intérieur, j'imaginais qu'il y avait de la "Gueuse" là-dessous, de la femelle aux mœurs dissolus, et qu'elle se savait cocue jusqu'à l'os mais préservait son couple en faisant mine de rien…

Elle m'a servit une petite poire(William) fort délicieuse après son départ et a débarrassée la table, comme je commençais tôt ma formation le lendemain, je l'ai salué avant de me diriger vers ma chambre en passant à la salle de bain pour me laver les dents, elle m'y a précédée, prétextant quelque chose à y prendre, et ouvrant le fameux placard à objets de lavement, s'est saisie de la poire pour douche rectale en me disant qu'elle s'en faisait toujours une petite le soir pour un sommeil paisible, aimablement, elle m'en proposa une…

Interloqué encore, par façon naturelle à proposer une telle chose, je restais quelques secondes sans voix, voyant que j'hésitais à ravaler mes pudeurs, elle enchaîna sur les bienfaits du lavement rectal, surtout comme dans mon cas, stressé par la journée chargée de demain avec ma prise de poste dans une entreprise inconnue, avec des gens inconnus, pour un travail en formation, un bon lavement ne pouvait que me faire du bien, devant son attitude bienveillante, j'acceptais en me disant, pourquoi aller refuser ce plaisir …

Tout en préparant l'eau du lavement en y ajoutant quelques gouttes d'huile d'eucalyptus, mon hôtesse m'a demandée si je préférais une forme de canule plutôt qu'une autre, elle en avait un choix adapté à chaque morphologie, pour que l'introduction soit aussi un plaisir, sans affres et sans douleur, pour les anus sensibles et étroits ou pour ceux habitués aux choses plus longues et larges, ne voulant pas passer, pour un sombre sodomite, aux yeux de cette Dame que je ne connais pas, j'ai choisi une canule d'une taille moyenne…

Quand elle m'a demandée de baisser pantalon et slip, en m'indiquant la position que je devais prendre, je n'ai pu retenir un début d'érection, penché en avant, mains en appuie sur le bord de la baignoire, fesses tendues vers elle comme une soumission, le mélange de la gêne et du désir honteux de me faire prendre l'anus, échauffait mon esprit en durcissant ma verge, les pans de ma chemise cachaient à peine la chose, j'ai rougis quelque peu mais la Dame élégante, m'a excusée de suite, me disant que souvent ça arrivait à son mari …

La situation était quand même un peu surréaliste, arrivé l'après midi dans un bled que je ne connaissait pas, chez des gens que je ne connaissais pas, j'était en ce moment déculotté et en érection devant une Dame, lui tendant mon derrière pour recevoir un lavement, et pendant que d'un doigt elle me lubrifiait l'orifice, elle me parlait de son mari qui bandait en se faisant lavementer, elle ajouta même qu'il aimait la canule la plus grosse, que c'était un cochon, qu'il… enfin, je verrai bien, elle ne veut en dire plus…

Douce lavementeuse, elle m'a massée si bien, les plis et la rondelle, que le tube est entrée en une seule glissade, j'en ai même regretté de n'avoir pas choisis le modèle le plus gros, pendant que le liquide jaillissait en moi, m'inondant le rectum, elle m'a proposée quelques vas et viens de la canule, apaisants et décontractants selon elle, je n'attendais que ça mais j'ai joué l'ignorant, lui disant " - vous croyez…?",

- oui…oui… vous allez voir… Vous vous sentirez mieux… elle m'a branlée l'anus par de petits mouvements délicieux et jouissifs…

Je n'ai eu qu'un regret une fois la poire vidée, c'est que, en bonne épouse, jamais à un moment elle n'ai touchée mon sexe ni même mes testicules, peut-être ne masturbe t'elle pas la première fois me suis-je dis pendant qu'elle m'essuyait les fesses, j'en étais bon pour une veuve poignée, les gargouillis de mon ventre se faisaient entendre et une première petite crampe annonciatrice me fit serrer l'anus, elle m'indiqua l'un des deux wc pendant qu'elle préparait la poire pour son lavement, choisissant la canule que son mari aimait…

L'envie de rester la regarder se le faire était forte, mais celle d'aller évacuer l'était encore bien plus, alors je suis allé m'enfermer aux toilettes, me retenant encore en me touchant le sexe, puis j'ai tout relâché au de trois minutes, divin soulagement et plaisir rectal, je me suis masturbé en pensant à la Dame et revoyant la scène où elle m'a lavementée, je l'imaginais elle, se remplissant le ventre, et moi à ses côtés, branlant ma verge raide, l'arrosant de mon sperme en jouissant comme un fou…

A SUIVRE…