Vues: 504 Created: 2015.09.25 Mis à jour: 2015.09.25

L'Accueil Provincial…

Chapitre 2

L'Accueil Provincial…(Suite 1)

Ma nuit fût calme, sans angoisse aucune, ainsi que mon réveil à l'aube, l'effet du lavement sans doute, je ne lui connaissait pas ce pouvoir apaisant, n'y ayant jamais prêté attention lorsque j'étais enfant, ni les dernières fois où j'en avais reçu d'une amante, pour qui c'était une condition sine-qua-none en préambule à toute relation sexuelle anale, que ce soit dans ses fesses ou les miennes, je dormais toujours bien après une sodomie ou une fellation accompagnée d'un touché rectal, mais je dois avouer que je me sentais bien ce matin, le souvenir du lavement par la dame restait présent à mon esprit, me donnant même une demie molle…

M'ayant entendue me lever, elle était descendue préparer le petit déjeuner, serviable et aimable dès le matin, comme je finissais de me beurrer un toast, elle vint à me parler du lavement de la veille, se voulant rassurante, elle m'annonça que ca ne posait pas de problème avec son mari, d'ailleurs elle le lui avait dit, j'en ai eu un hoquet et j'ai faillis m'étouffer avec mon toast, voyant mon désarroi, elle me demanda de ne pas m'inquiéter car il trouvait très bien que je profite de ses méthodes d'hygiène et d'ailleurs, je n'étais pas le premier invité à accepter un lavement, je n'eu pas le temps de répondre, son mari descendait à l'instant…

Il me salua plus aimablement que la veille au soir, souriant, prenant des nouvelles de mon sommeil et de ma forme pour aller à ma formation, allusion discrète me suis-je dis, au soin rectal fait par son épouse, j'ai bredouillé un remerciement et me suis levé pour partir, la Dame m'a accompagnée jusqu'au perron, me disant…

- Vous voyez…?! Il ne vous en tient pas grief… C'est un cochon de toute façon… enfin…Vous verrez bien…

C'était la deuxième fois qu'elle me disait cela, que "je verrai bien", voir quoi…? qu'est-ce qu'elle entendait par là…?

Ma première journée de formation fût longue et chargée, malgré un accueil convivial par la direction et les personnes avec qui j'allais travailler, je devais trouver mes marques et mon responsable de stage était loin d'être aussi affable que les autres personnes, une tonne de dossiers m'attendaient sur le bureau que l'on m'avait attribué et à part quelques consignes données à la vas vite, je devais me débrouiller seul, c'est donc seul que j'ai passé ma journée, seul à table à l'heure du déjeuné, il n'y a qu'en fin d'après midi que mon responsable est venu voir si j'avançais un peu, pas plus aimable que le matin, j'avais hâte de rentrer…

En arrivant chez mes hôtes par contre, l'accueil et la gentillesse de la Dame me remonta le moral, son mari nous servit un apéritif pendant qu'elle s'enquérait de ma journée, devant ce que je lui décrivait, elle me prit en pitié et pleine de sollicitude me demanda si j'avais été à la selle aujourd'hui, gêné par la présence de son mari, je lui répondais timidement que non, elle me proposa délicatement de me faire un autre lavement avant le couché pour me déstresser, son mari ne disait mot, assit devant les infos TV mais je le voyais par moments tendre l'oreille discrètement, nous avons dînés puis prit une tisane au salon, apaisante elle aussi…

Après avoir débarrassé, la Dame est venue me faire signe de la suivre à la salle de bain, elle avait passé un grand tablier blanc à bavette sur sa blouse et portait une paire de gants en caoutchouc rose moulant ses mains, en ouvrant son placard à matériel, elle me proposa un lavement plus important au vu de la journée que j'avais passé et sachant que je n'avais pas été aux wc, je lui laissais choisir la meilleur solution, elle opta pour 750ml avec le broc, ce qui faisait déjà plus que la petite poire de 300ml reçue hier, ensuite elle me fit déplacer un banc à tiroirs recouvert de moleskine blanche au milieu de la salle de bain…

Pendant qu'elle préparait son mélange salvateur en y ajoutant une décoction de tilleul, deux goutes de paraffine et une pincée de bicarbonate de sodium, je m'aperçu que la porte était restée ouverte et que son mari passait et repassait devant, jetant à chaque fois un coup d'œil vers nous, j'ai même vus qu'il se massait le devant du pantalon… La Dame n'y prêtait pas attention, comme habituée à ce manège, un peu complice même, me suis-je dis, ouvrant un des tiroirs du banc, elle en sortit une sonde à double ballonnets qu'elle me conseilla pour un meilleurs maintient puis elle me demanda de baisser culotte et de m'installer sur le banc…

J'obtempérais de bonne grâce, rien que de savoir qu'elle allait me préparer l'anus de ses doigts gantés me faisait déjà bander, mais cette fois, je ne cherchais pas à lui dissimuler mon début d'érection en ôtant mon sous vêtement, elle regarda ma verge en disant que j'étais bien proportionné, mieux que son mari d'ailleurs, je me suis agenouillé puis courbé sur le banc, lui présentant mes fesses et ma raie dans une presque impudeur, aussitôt j'ai sentis ses doigts vaselinés commencer leurs doux attouchements préliminaires et j'ai de suite poussé sur mon sphincter pour le détendre et l'ouvrir, son autre main à caressée mes bourses…

- Hooo…mais dites donc…! je vois que votre petite entrée a envie d'être câliné ce soir… me dit-elle affectueusement…

- C'est grâce à Vous qu'elle se sent mieux Madame… Vous êtes si bonne avec moi… lui répondis-je respectueusement…

- Allez…pas de flatteries entre nous Monsieur… Je pense ne pas me tromper en disant que vous aimez cela…? Répond-elle en m'introduisant un doigt…

- Hummmaaa… Qu'allez-vous penser de moi, là…madame…? lui dis-je faussement gêné…

- Je pense que je ne suis pas la première à entrer par là…pas vrai…? Sans doute votre épouse m'a-t-elle précédée…?

Sur ces mots, je sens qu'elle retire son doigt et de suite, une chose plus volumineuse me pénètre l'anus, je pousse un petit râle, elle me prévient qu'elle vient de me rentrer deux doigts en fuseau, je pousse pour m'adapter en lui disant que mon épouse ne me le fait que rarement et d'une phalange à peine, elle m'interroge alors sur les lavements, je lui avoue que ma femme déteste faire cela ainsi que d'en recevoir… C'est là que, l'ayant oublié, je l'entend prendre son mari à témoin…

- Tu te rend compte mon Chéri…!? Monsieur n'a pas la chance que tu as de m'avoir pour tes soins "spéciaux"…

Décontenancé par cette traitrise, je regarde derrière moi et aperçois le mari à la porte, braguette ouverte, se caressant le sexe en regardant sa femme me faire son double touché rectal, j'en ai une contraction anale de surprise, ce qui me fait encore plus ressentir le fuseau qui me fouille, je bredouille un "Maaais…! heuuu…!"...

- Je vous avais prévenus… C'est un cochon…! Si vous voulez qu'il s'en aille, dites-le… me dit la Dame…

- Je ne suis pas chez moi…qu'il reste s'il veut…c'est un peu gênant quand même…

- Il veut juste regarder votre lavement, le cochon… on y va…?

Sur ses mots, elle m'enlève ses doigts pour vaseliner la canule et le ballonnet de la sonde, je n'ai jamais reçu ce genre d'objet dans les fesses et attend avec fébrilité les effets que cela va provoquer, elle me dit de pousser, je pousse, je sens la canule puis la pression du petit ballon contre mon sphincter pendant une à deux secondes, puis mon anus l'avale comme on pond un œuf, mais dans l'autre sens, cela me rappelle un peu les sensations données par un chapelet anal que j'avais essayé avec une amante sodomite, la Dame me dit que c'est bien en place et qu'elle va un peu gonfler le ballon pour l'étanchéité…

Le mari est toujours dans l'encadrement de la porte, pantalon et slip sur les chevilles, il se masturbe doucement en regardant mes fesses et ce qu'il y a dedans, sa femme ouvre le clamps et l'arrosage commence, je sens le liquide chaud m'inonder doucement, très agréable, surtout qu'ayant les mains libres, ma lavementeuse vient s'occuper délicatement de ma verge et de mes boules, elle s'adresse de nouveau à son époux, comme si elle cherchait à le provoquer…

- Regarde ça mon Chéri… Regarde ce bel engin qui durcit… Tu voudrais bien le toucher, hein…?...mon gros cochon…!? dit elle en me décalottant le gland…

L'homme en profite pour s'approcher à petits pas, les jambes entravées par ses vêtements, il vient aux côtés de sa femme et tend la main vers moi, comme s'il voulait me toucher, je jette un regard interrogateur à la Dame, qui aussitôt le repousse de la main…

- Ah non mais…!!! Pas touche…!!! Faut demander la permission au Monsieur avant…!!! Hein…Monsieur…!?

- Vous voulez bien Monsieur…? me demande alors le mari…

Je commence à comprendre ce que la Dame voulait me faire savoir avec sa phrase " Vous verrez bien…", son mari a l'air d'aimer aussi toucher les hommes, et peut être plus, les fameuses parties de Belote au club ne sont qu'une façade pour cacher des soirées vicieuses et bisexuelles, je percute d'un seul coup que je suis tombé entre les mains d'un couple "très complice", aimant recevoir pour pouvoir s'amuser, elle dans son rôle d'infirmière lavementeuse, et lui, profitant du spectacle et tentant sa chance d'avoir quelques relations coupables, voir sodomites, avec l'invité…

A SUIVRE…

Comments

mondoi Il ya 9 ans  
arthur Il ya 9 ans  
mondoi Il ya 9 ans  
clyso Il ya 9 ans  
mondoi Il ya 9 ans  
arthur Il ya 9 ans