L'Accueil Provincial…(Suite 2)

J'hésitais à répondre d'un "oui…" franc, bien qu'ayant déjà eu par le passé quelques expériences avec des copains, dont une fellation mémorable que j'avais offert pour un anniversaire et dont j'étais assez fier, je ne voulais pas passer pour un gars "facile", ce que je n'étais pas d'ailleurs, préférant garder de la hauteur pour dominer la chose tout en restant courtois, le Celte, sous ses côtés sauvages et bourrus, sait rester respectueux quand il n'est pas chez lui… De plus, voulant faire plaisir à tous le monde, et surtout à moi-même, j'envisageais maintenant de satisfaire la Dame, si elle le demandait, je fis oui de la tête, aux câlins du mari…

J'avais déjà été masturbé par un ami pendant une excursion en forêt, branlette avec un doigt, mais sans comparaison avec l'objet que j'avais présentement dans l'anus, quand il a prit ma verge pour la sensualiser, sa Dame est retournée s'occuper de mes fesses, donnant un coup de pompe pour gonfler le ballon, qu'elle bougeait en moi par des petits mouvements, je me sentais remplit, des sphincters et du ventre, le liquide m'emplissait à diffusion réduite, devant on me branlait, derrière on m'enculait, j'étais le plus heureux, en plus de mes deux "Hôtes", qui eux aussi prenaient, du plaisir à bien faire…

Le mari à présent se masturbait plus fortement, par instant, je le regardais faire, son sexe était moyen mais plus large que long, il avait plusieurs fois mouillé mon gland de sa salive, pour mieux me caresser en pouce et index, j'avais fermé les yeux, pensant à une pipe, s'il l'avait proposé, je n'aurai pas dis non, au bout de dix minutes, il a prit son plaisir, déchargeant sur le sol par de grands traits de foutre, puis il est repartit en me disant merci, sa Dame m'a annoncée que le broc était vide, le retrait du ballon fût comme si je pondais, mais une chose plus grosse que celle qui était entrée, j'avais ma deuxième crampe et je serrai les fesses…

Après une expulsion bruyante et chargée, j'ai retrouvé la Dame pour me laver les fesses, le soin qu'elle y mettait m'a redonné vigueur, d'une main savonneuse elle me lavait la raie tandis que savamment de l'autre, elle me massait le paquet, elle s'excusa pour l'égoïsme de son mari qui ayant prit son pied, ne m'avait pas fait prendre le mien, d'ailleurs, si je le voulais, elle était disponible pour bien me soulager, de la bouche et des mains mais aussi de ses fesses, je n'avais qu'à choisir l'orifice souhaité, en fin d'après midi, elle avait prit une douche et s'était lavementée, pendant qu'elle me rinçait, sa bouche suçait ma verge…

J'hésitais un instant, tellement sa fellation méritait des éloges, mais comme elle me l'avait proposée, je cédais pour l'anal, lui faisant sur le banc, sans la déshabiller, prendre la même position que pendant mon lavement, puis je troussais sa blouse et sa jupe sur ses hanches, lui baissant sa culotte de blanc coton côtelé, appuyée sur les coudes, elle me tendait sa croupe, un fessier arrondit fendu d'une raie velue, qui s'égarait plus bas sur une vulve en broussailles, légèrement entrouverte sur des nymphes écarlates, d'où pendait un filet de son désir mouillé…

Lui écartant les globes, j'approchais mon visage de la vallée perdue, découvrant son volcan aux pentes sombres et plissées, puis d'une bouche humide lui embrassais l'endroit, mes lèvres en anneau lui massaient le bourrelet et d'une langue en pointe j'en titillait l'entrée, je sentis qu'elle poussait pour ouvrir son cratère, j'ai glissé quelques doigts sur les chairs de sa vulve, mais sans y pénétrer caressant alentours lèvres et petit bouton, puis j'ai entré ma langue dans sa rondelle étroite, elle en a soupirée d'aise et de plaisir, s'ouvrant bien plus encore à ma baveuse en pointe…

Quand je l'ai entendu implorer à voix basse, "- maintenant…! maintenant…!", je me suis relevé pour mettre une capote, comme je tendais la main pour prendre la vaseline, elle m'a dit, "- Pas besoin…prenez- moi comme je suis…", alors j'ai obéis, si tel est son désir, il faut le respecter, j'ai appuyé mon gland sur l'anus entrouvert et m'y suis enfoncé en l'écoutant gémir, je ne fais jamais ça sauf si on le demande, car c'est là deux barrières qu'on franchit brutalement, celle du respect de l'autre qui vous offre l'interdit et celle du sphincter qui n'est pas préparé, cela ressemble au viol sauf s'il est demandé…

- Ahaaarrr…Ouiii… ont été ses seuls mots quand je l'ai pénétré, suivit d'un long feulement pendant que j'enfonçait le reste de mon sexe, comme à mon habitude, j'allais pour faire une pause, le temps qu'elle se fasse à cette présence dans son rectum mais elle s'est mise à bouger son derrière en me disant des mots que la morale réprouve…

- Allééé…! - Faites-moi le cul…! - Baisez-moi…! Enculez-moi…! Défoncez-moi…!, je ne reconnaissais plus ma charmante hôtesse…

Elle devenait harpie et sorcière sodomite, la situation et son attitude me durcissait encore plus, alors je lui ai fais ce qu'elle me demandait, ce qu'elle exigeait même, de ruades équines en coups de reins barbares, je lui ai ramoné le conduis, n'oubliant pas à chaque fois de ressortir ma queue pour bien lui la remettre et lui déplisser l'orifice, accroché à ses hanches, ongles plantés dans ses chairs, je l'a sodomisais comme un morceau de viande, j'ai vu qu'elle se masturbait d'une main très active, alternant de vifs frottements sur sa vulve et des pénétrations, les doigts joints en fuseau, cherchant à se fister d'une main presque entière…

Je sentais que je venais, mais il me fallait tenir pour qu'elle jouisse avant moi ou du moins en même temps, ses râles devenaient forts et un bruit d'eau coulant au sol a attiré mon attention, elle se vidait sous elle, mélange de fontaine et de miction incontenues, un flot intarissable fait de puissantes giclées alimentant la flaque qui grandissait au sol, alors sous cette vision, j'ai jouis comme un salaud, en m'agitant encore dans son cul élargis, j'ai lâché ma purée au fond de la capote en lui disant merci de m'avoir soulagé, elle en a fait de même quand je me suis retiré, puis s'est mise au ménage pour éponger le sol…

En montant me coucher, j'ai eu une surprise, posé sur mon oreiller, il y avait un petit paquet fait de papier cadeau et d'un ruban doré, auquel était accroché une carte anonyme portant ces quelques mots…" Merci pour votre gentillesse…" Lequel de mes deux hôtes pouvait bien avoir cette attention, me demandais-je en ouvrant le paquet, la Dame venait de me remercier et pas qu'un peu, ou alors son mari…? Parce que je l'avais laissé me toucher et me regarder pendant mon lavement…? Le Plug anal que je découvrais m'éclaira de suite, maintenant restait à savoir si c'était une invitation à aller plus loin avec lui…?

A SUIVRE…