L'Accueil Provincial… (Suite 9)

En cette veille de w.e festif, les confidences allaient bon train, c'est ainsi que pendant qu'elle m'insérait la canule à ballonnets pour me lavementer d'un broc bien remplit, son Mari me conta qu'il avait aussi connu le mari de la nourrice, mais quelques années plus tard, il était alors jeune appelé du contingent, l'homme le ramenait de la gare quand il venait en permission… C'est à cette occasion qu'une fois ils s'étaient arrêtés en chemin pour une envie pressante à l'abri d'un bosquet, il avait été surprit qu'il ne cache pas sa verge pendant la miction, lui la montrant ostensiblement tout en se décalottant d'avant en arrière…

La scène l'avait troublé, elle lui revenait sans cesse à l'esprit et le soir dans son lit, il se mit à bander, pourtant il n'était pas attiré par les hommes, bien qu'il ai prit goût assez tôt aux attouchements annaux reçus lors de soins comme la prise de température, les suppositoires et les lavements que lui faisait la Bonne à la maison, il n'avait jamais ressentit l'envie de toucher une verge, à part la sienne qu'il masturbait souvent, mais là, dans la chaude douceur et intimité des draps, il se laissa aller à des caresses troublantes sur son entre-fesse, y introduisant un doigt tout en se polissant le gland d'une main saliveuse…

Dans le film onaniste qu'il se faisait, le sexe bandé approchait de son visage et il ne le repoussait pas, acceptant tout ce que l'homme lui demandait de faire, il éjacula quand celui-ci le retourna pour le sodomiser, son index profondément enfoncé dans l'anus lui donnait l'illusion… Par la suite, la réalité évolua à chacune de ses permissions, il se laissa branler par le mari de la nourrice et lui rendit la pareille, puis vinrent les fellations dans la voiture, avec pour la première fois, le doigt d'un homme dans sa rosette, c'est après plusieurs permes que l'homme lui vanta les plaisirs de la sodomie, l'ayant trouvé très souple rectalement…

Pour l'amener dans ses "Plans" et lui prouver ses dires, le mari lui avait tendu ses fesses un soir au fond d'un bois appuyé contre un arbre et il avait découvert de nouvelles sensations et un plaisir intense à entrer dans son trou, lui qui ne l'avait pas encore fait à une femme, puis ça avait été son tour, un souvenir cuisant qu'il n'oublierait jamais, l'homme l'avait dépucelé à quatre pattes dans les herbes, déchirant son sphincter d'une affreuse douleur, se servant de son pieu comme un taureau en rut, il en avait pleuré et crier d'arrêter mais le vil sodomite était devenu sourd, il vola son plaisir et se vida en lui, égoïste enculeur de puceaux de l'œillet…

Cela ne l'avait pas empêché quelques semaines plus tard, une fois rondelle cicatrisé et colère rangée, d'aller retrouver l'homme pour une deuxième tournée, et c'est cette fois là qu'il apprécia la chose avec le gros morceau, l'homme l'invita au "Club" dont il devint un membre, autant passif qu'actif, entré par la petite porte, il en visita d'autres tout en donnant la sienne, la Province est ainsi quand tu sais te placer, recevoir et donner étaient les maîtres mots, c'est ainsi qu'il connu la Dame son épouse, fille d'un fellationniste connu pour ses talents, dont l'épouse pratiquait la science des lavements…

A SUIVRE...