Vues: 381 Created: 2015.10.10 Mis à jour: 2015.10.10

L'Accueil Provincial…

Chapitre 11

L'Accueil Provincial… (Suite 10)

Après avoir évacué mon copieux lavement, la Dame en revint à ma préparation rectale pour le lendemain, le plug qu'elle me proposait de garder en moi toute la nuit faisait le double de taille de celui que j'avais reçu en cadeau et son mari tenait absolument à assister à sa mise en place, il gloussait de délectation en se caressant le sexe quand son épouse commença à m'enfoncer la chose lubrifiée dans l'anus, l'engin me semblait encore plus énorme en forçant sur mon sphincter, et même en poussant il avait du mal à passer ma petite porte, puis m'élargissant d'un coup il entra en moi douloureusement, m'arrachant un gémissement…

Le mari écarlate d'excitation vint devant moi présenter sa verge bien raide et me demanda "s'il vous plait", je le finissais de la bouche et il lâcha son foutre que je recrachais dans un mouchoir tendu par sa femme… Puis nous avons parlés du lendemain, les deux secrétaires étaient de ses "bonnes" amies, adeptes des lavements et de tout ce que pouvaient se faire des femmes entre elles, tout en acceptant parfois la présence de quelques hommes qu'elle savaient honorer, seule la jeunette n'avait jamais offert son étroit petit trou à une verge, préférant être saillie par les jouets de son amante quadra, mais demain allait être un autre jour…

Au petit matin, je me réveillais avec la sensation d'avoir le rectum plein, je m'en ouvrais à mon hôtesse qui me l'enleva dans un écartèlement démesuré, le temps d'un petit popo et d'un autre lavement avant de me le remettre, puis elle fila à la cuisine donner ses ordres au personnel qu'elle avait embauchée pour le service, un couple du métier, elle serveuse et lui bon cuisinier, la trentaine tous deux à la pleine fleur de l'âge, mon hôtesse et son homme s'étaient déjà lavementés et en attendant la venue de nos trois invités, buvaient de grands verre d'eau tout en me conseillant d'en avaler autant, il faut pour certains jeux, avoir la vessie pleine…

Vers dix heures, les secrétaires ont sonnées à la porte, la Dame leur ouvrit en les félicitant sur leur élégance, la quadra était vêtue d'une longue robe à volants de tissu léger et brodé façon Empire qui lui donnait une silhouette androgyne, coiffée d'un chapeau blanc à larges bords, elle tenait d'une main une ombrelle de dentelle de soie, magnifique, on se serai crus au Derby d'Epsom, par contre son amante jouait dans la régression, vêtue en collégienne de la perfide Albion, cheveux coiffés en nattes et lunettes sur le nez, chemisier blanc fermé par une cravate noire, une jupe Ecossaise au dessus du genoux et les socquettes blanches sur des souliers vernis…

- Entrez mes Chéries…Vous êtes vraiment superbes… Complimenta la Dame en leur bisant les lèvres…

- Vous êtes trop aimable… Répondit la quadra, - Mais attendez de voir le dessous de celle-ci… Ajouta-t-elle, en désignant la jeunette du doigt…

- Ah bon…?! Est-ce si grâve…? demanda la Dame…

- Montre à Madame, petite vicieuse…!!! Allez… Montre-lui…!!!

La jeunette remonte alors timidement le bas de sa jupe Ecossaise, dévoilant un slip d'homme, de ce modèle ancien d'un coton blanc informe, qu'on appelle "kangourou" à cause de la poche faite sur le devant et qui sert aux Messieurs à sortir leur engin pour faire leur miction, mon hôtesse sourie, amusée par cet anachronisme de la part d'une jeune femme, elle lui dit qu'après tout, elle porte ce qu'elle veut, du moment qu'il est propre et qu'elle s'y sent bien, mais la quadra grommelle, que ça fait bien deux jours qu'elle ne s'en sépare pas et qu'elle a honte pour elle de la savoir souillée, sans parler du parfum de ses intimités…

Pour illustrer ses mots, la quadra en colère, glisse une paire de doigts entre vulve et gousset et nous les fait sentir, les passant sous nos nez, je suis à peine surpris car l'autre jour dans le "local", j'avais déjà humé ses odeurs délicates, mon hôtesse la gronde gentiment en lui disant qu'elle sent la petite fille négligée et qu'elle mérite une fessé, son mari demande à ressentir les doigts et offre de la toiletter en lui faisant minette, il en bande déjà, sa braguette à gonflée affichant une belle bosse, quelqu'un sonne à la porte, c'est mon Chef qui arrive, la quadra lui explique, faisant sentir ses doigts, qu'on va fesser la gueuse pour manque de propreté…

La Dame la déculotte, montrant à tous le monde l'entre jambe souillée, puis chacun notre tour, assis sur une chaise, nous fessons la jeunette courbée sur nos genoux, une série de dix claques qui lui rougissent le cul, elle pleurniche un petit peu mais apprécie aussi d'être un peu tripotée par chacun des fesseurs, qui laissent glisser des doigts sur ses endroits sensibles, elle mouille d'être punie, exposée aux regards, la journée commence bien et s'annonce très plaisante, pendant la punition, les mains des spectateurs se sont laissées aller à des attouchement, évaluant les braguettes et le fond des culottes…

A SUIVRE…

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mondoi Il ya 8 ans  
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patou39 Il ya 8 ans  
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clyso Il ya 8 ans  
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