L'Accueil Provincial… (Suite 12)

Le cuisinier vint nous saluer avant le déjeuné, la Dame nous le présenta comme étant un excellent "Maître Queue" , ce qui, avec la main qu'elle lui passa furtivement sous le tablier pour lui effleurer le paquet sembla équivoque, était-il lui aussi au service de chacune et chacun et pas seulement pour les plaisirs gustatifs, pour ma part, j'avais déjà le désir de mon Chef à satisfaire et la jeunette à visiter rectalement, je laissais au "Gâte Sauce" le soin de faire goutter la sienne aux femmes, à moins que lui aussi ne pratique les deux sexes, autour de la table ronde, nous étions installés de façon à avoir le sexe opposé à chacun de nos côtés.

Je ne vous conterais pas la richesse du repas qui nous fût servit, bien qu'il mériterait toutes les éloges de par la délicatesses et le raffinement des mets que nous avons dégustés, mais parce que les échanges de propos érotiques accompagnés de caresses intimes sous la table étaient tout autant savoureux, aucune des femmes n'avait remit culotte après la douche et entre deux bouchées, les mains s'en allaient vagabonder entre les cuisses ouvertes, on ouvrait les braguettes pour en sortir les verges, chacun branlant chacune et réciproquement, la serveuse officiait sans s'en apercevoir ou alors très discrète, feignait de ne rien voir…

Assise sur ma gauche, la Dame touchait mon sexe, jouant avec mon prépuce en me massant le gland, la jeunette à ma droite écartait largement, laissant passer mes doigts sur ses nymphes mouillées, la quadra face à moi branlait d'une main mon Chef pendant que le Mari lui astiquait la moule, je délaissait l'entre-jambe de la jeunette pour donner quelques câlins à mon hôtesse qui le méritait bien, très humide également, elle avança son bassin en écartant les cuisses, venant à la rencontre de mes doigts promeneurs, que je faisais glisser jusqu'à son petit trou, mais la place était prise, le diamant d'un Rosebud en fermait son entrée…

- Je suis comme vous…prête à être saillit… d'ailleurs l'êtes-vous toujours…? votre chef s'impatiente… Lui donnerai-vous vos fesses à la fin du repas…?

- Comme il vous sied Madame… le jouet dans mon sphincter commence à me peser mais le rend accueillant pour être sodomisé…

- A la bonheur mon ami… Vous serez le spectacle après les pâtisseries… D'ailleurs, être enculé en est une elle aussi…L'anus de la jeunette sera votre dessert…

- Je vous en remercie… Mais comment à mon tour, puis-je vous être agréable…?

- Passez donc sous la table me déguster un peu et en faire de même à tous nos invités…

C'est sans aucune honte que j'ai glissé au sol, venant à quatre pattes lui honorer la vulve, lui butinant les lèvres en buvant son miellat, jouant avec le Rosebud planté dans son anus, puis tel une "servante" obéissant aux ordres, j'ai léché et sucé les sexes de tous le monde, mais seule la jeunette a eu le supplément, de ma bouche et ma langue sur l'entrée de son fondement, délicieux orifice à l'anneau boursouflé qu'elle ouvrit en poussant, afin que ma baveuse vienne s'enfoncer dedans, puis je suis remonté pour m'asseoir ma place, la Dame m'a remerciée ainsi que les convives puis ce fût la quadra qui vint nous régaler…

Et il en fût ainsi jusqu'à la fin du repas, chacun allant dessous faire offrande de sa bouche, même la Dame y passa, me retirant le plug pendant qu'elle me pompait, afin que ma rosette reprenne forme humaine pour recevoir le pieux de mon chef de stage, la serveuse desservait, sans voir que sous la table, il ce passait des choses, je vis que la quadra lui caressait les fesses dès qu'elle était penchée et que celle-ci ne cherchait pas à y échapper, en allant évacuer un petit besoin, je croisais le cuisinier qui sortait des toilettes, puis le Mari qui en sortait aussi, il leva le pouce en l'air avec un sourire satisfait…

Nous sommes passés aux sucreries et digestifs, ce qui était le signal de mon passage à la casserole, j'ai donc pris les devant en m'agenouillant aux pieds de mon chef pour le faire durcir, mais surtout en espèrent qu'avec un préliminaire buccale, il en viendrai à jouir plus vite une fois qu'il m'aurait embroché, la jeunette est venue derrière moi pour me déculotter et me lubrifier de sa douce bouche, entre futur culs cassés il fallait s'entraider, les convives étaient assis en cercle autour de nous, attendant avec des mots grivois le moment tant attendu, la verge de mon chef me paraissait moins grosse, il faut dire que je l'avais contenté plusieurs fois...

Je me motivais en pensant à la jeunette et à son anus vierge de présence masculine, alors agenouillé et couché en avant, j'ai offert mon derrière comme une sodomite, exposée aux regards des invités vicieux, et quand il est venu positionner sa tige sur ma frêle ouverture, j'ai ouvert mon anus tout en serrant les dents, la Dame m'a lubrifiée d'une noisette de vaseline, tout en oubliant pas d'en mettre sur son gland, et me tenant aux hanches, il a forcé de suite pour me trouer le cul et

la chose est passée, longue comme une journée sans fin dont on ne voit pas le bout, élargissant mon trou comme un bras dans une manche…

Mais c'est une fois au fond, emplissant mon conduit, que j'ai sentis sa taille, j'ai même cru manquer d'air tellement mon râle fût long, la Dame auprès de moi me caressait le sexe, me parlant d'une voix douce, se voulant rassurante…

- Ca va aller… ça va aller… pensez à la jeunette que vous allez fourrer…

J'entendais les convives qui commentaient la scène, gloussants des mots grivois sur l'état de mon trou, encourageants mon chef à se mettre en mouvement…

Je dois dire qu'au bout d'un moment de vas et viens précautionneux, la pénétration est devenue plus agréable, mon rectum acceptait cette présence et je retrouvais peu à peu le plaisir d'être sodomisé et après quelques coups de reins, mon chef se retira, il avait eu ce qu'il voulait et préservait son érection pour d'autres pénétrations, en me relevant, j'aperçu la serveuse dans un coin de la salle, elle semblait maintenant observer franchement ce qui se passait entre nous, depuis combien de temps me demandais-je, avait-elle assistée à mon enculade, en tous cas, la main qu'elle se passait sur les seins n'était pas anodine…

Elle avait entrebâillée le haut de sa tunique et roussée le bas, elle se caressait lascivement en regardant les femmes se toucher entre elle, la jeunette couchée sur la quadra en soixante neuf sur la table du déjeuné se faisait brouter goulument pendant que la Dame, le visage entre ses fesses, lui faisait feuille et pétale de rose en préliminaire de la sodomie qu'elle allait recevoir, vautré sur le canapé, son mari se faisait tailler une pipe par mon chef qui lui avait rentré deux doigts dans l'anus, je retrouvais mon érection perdue lors du défonçage de mon rectum, la Dame venait de rentre la première bille d'un chapelet anal dans l'orifice de la fille…

La serveuse vint prendre buccalement la place de mon chef, penchée en avant et croupe relevée, elle invitait à la saillie, mon chef lui baissa culotte et en lui écartant les fesses des deux mains, se mit à lui lécher la motte, le visage enfouit dans sa raie, c'était un gourmand lui aussi, j'entendais le bruit de ses lèvres en sussions sur le volcan plissé, était-elle lavementée…?, nous ne le savions pas, mais il se régalait de l'endroit qu'il mangeait, la Dame me fit signe de venir auprès d'elle et de prendre sa place pour préparer l'anus dont l'anneau du chapelet dépassait comme une bague, puis elle s'agenouilla pour me sucer la queue…

A SUIVRE…