EPISODE DEUX : le test

Le lendemain soir, je rentrai à l'appartement avant Damien. Je partis faire un tour aux toilettes, puis profitai d'être seule pour prendre une petite douche rapide. Cette fois, je pris particulièrement soin de bien me nettoyer le petit trou, en prévision de ce soir.

Lorsque Damien arriva à son tour à l'appartement, il me découvrit dans la cuisine en tenue décontractée, entrain de préparer le repas.

-Salut, lança-t-il en passant l'entrée.

Il posa ses affaires, et vint me rejoindre dans la cuisine pour m'embrasser. Soudain, tandis que nos lèvres se caressaient, sa main vint se plaquer sur mes fesses.

-Hmm, t'as envie maintenant ? Demandai-je en passant ma main sur la bosse qui s'était formée à son entre-jambes.

-Oui, tout de suite...

Ça lui arrivait de temps en temps de rentrer à l'appartement tout excité comme aujourd'hui. On passait alors généralement à l'acte sans trop perdre de temps.

-Ici ? Dans la cuisine ? Demandai-je.

-Oui.

Il commença à se déshabiller, et je fis de même, envoyant mes vêtements un peu partout autour de moi. Une fois que je fus nue, Damien me porta pour me poser sur le rebord de la table, et me fit l'amour comme un sauvage.

Cinq minutes plus tard, on était tous les deux transpirants, entrain de reprendre notre souffle, en ramassant nos vêtements. Ce genre de petits moments étaient agréables dans la vie de couple qu'on menait.

On passa ensuite rapidement à table pour engloutir un repas bien mérité, et on décida de se poser devant un film pour passer la soirée.

J'avais enfilé uniquement ma culotte et un tee-shirt trop grand pour moi, et lui son caleçon et un tee-shirt également. On s'installa confortablement sur le canapé en allumant la télé.

Le film se termina vers 22 heure. Je décidai de faire mon petit test à ce moment-là.

Le générique de fin défilait à l'écran. Moi, j'étais écroulée dans les bras de mon copain. Je jetai un rapide coup d’œil en direction de son caleçon : pas d'érection. Parfait !

-Ça va être le moment de prendre mon suppositoire, lançai-je.

-Ah, oui, c'est vrai, répondit-il. J'avais oublié.

"Héhé, petit menteur, pensai-je."

Je me relevai pour me dégager de ses bras, et me retournai vers lui. j'approchai mon visage du sien.

-Alors, on fait comme hier ? Demandai-je. Tu t'en occupes ?

Même s'il essaya de le cacher, un air ravi traversa son visage.

-Oui, si tu veux, répondit-il en prenant un ton neutre.

-Tu es sûr ? Ça ne te dérange pas ? Sinon je me débrouille seule pour le mettre...

-Non, pas de souci, fit-il. Fais voir tes fesses et le suppo, et je m'occupe du reste !

Je me levai, partis rapidement en direction du frigo, et revins au salon avec la boîte de suppositoires. J'en sortis un devant lui, et commençai à le déballer en prenant bien mon temps.

Bingo ! En observant son entre-jambes, je vis son caleçon tout tendu.

-Ouah ! Ça t'excite beaucoup, apparemment ! Fis-je en donnant un signe de tête vers sa bosse qui s'était formée.

Son visage rougit un peu, mais il semblait plus à l'aise que la veille au soir.

Tandis que je venais de lui remettre le suppositoire en main, j'entrepris de me pencher vers lui pour lui enlever son caleçon. Ce fut chose faîte en une dizaine de secondes. Je commençais alors à le masturber un peu.

J'étais quatre pattes sur le canapé, et dans cette position, il ne pouvait pas facilement atteindre mes fesses, mais c'était voulu. Voyant qu'il ne pouvait rien faire dans cette position, il perdit très vite patience.

-Bon, tu veux que je te le mettes, ou pas, ton suppositoire ? Me demanda-t-il en me montrant qu'il le tenait toujours entre ses doigts.

Je me tournai vers lui avec un sourire.

-Alors tu aimes ça ? Me donner le suppo ? Demandai-je, amusée.

-Oui, avoua-t-il enfin, c'est vrai que ça m'excite.

-Mmmh, tu veux voir mon p'tit cul-cul, alors ?

-Oui, vas-y, montres-le-moi !

Je décidai que je l'avais assez fait attendre comme ça, et changeait d'orientation dans le canapé, tout en restant à quatre pattes. Je dirigeai ainsi mes fesses vers lui, en les tirant bien en arrière pour qu'elles s'écartent naturellement.

-Tu vois mon petit trou d'cul ?

Je me rendis compte que c'était l'alcool du repas qui m'aidait à lui parler ainsi sans retenue.

-Oui, je le vois très bien, fit-il. Tu es prête pour le suppo ?

-Oui, vas-y. Mets-le dans mon p'tit cul ! J'suis prête.

Il ne me fallut pas lui répéter une deuxième fois : je sentis comme hier la pointe du suppositoire se poser sur mon anus, et d'une poussée il rentra son doigt et poussa le médicament dans mon intestin.

Il laissa cette fois son doigt rentré, alors sans rien dire je me mis à balancer un peu mes fesses pour le laisser me taquiner.

"Voyons où ça va nous mener, pensai-je."

Il continua à me taquiner en faisant de petits va-et-viens avec son doigt, mais ne tenta rien de particulier. Au bout d'une minute, un peu lassée par ce geste, je m'avançai pour retirer mon cul de son doigt. Cela me procura une légère sensation de soulagement.

-Bon, on va au lit ? Lui demandai-je. J'ai un autre orifice dont je voudrais bien que tu t'occupes, aussi.

-Ok, on y va.

Il éteignit la télé, et me suivit dans la chambre.