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Vues: 960 Created: 2010.12.20 Mis à jour: 2010.12.20

Jeux médicaux avec ma cousine

Chapitre 2 - Cinq ans plus tard

Je traversai le couloir des résidences universitaires et toquai à la porte 406. Il était environ deux heures de l'après-midi. Une jeune femme vint m'ouvrir la porte.

-Salut Laurine, fis-je.

-Ah ! Salut ! Viens, entres.

Ma cousine m'accueillit avec le sourire dans sa petite chambre.

-Tu as beaucoup grandi, remarqua-t-elle.

En effet, je la dépassais maintenant d'une tête. J'avais dix-huit ans et elle vingt-deux. Elle ressemblait beaucoup plus a une jeune femme maintenant.

-Toi aussi tu as bien changée, répondis-je. Tes études se passent bien ici ?

-Oui, bien.

On discuta pendant une bonne partie de l'après-midi, contents de se retrouver après qu'elle soit partie un an et demi à l'étranger. On était content de se revoir mais on avait aussi très envie de se remettre à nos jeux « intimes ». Ce fut elle qui fit le premier pas : on était assis sur son lit, n'ayant plus rien à se raconter, et elle mit sa main sur mon épaule pour me chuchoter :

-Tu veux continuer nos petits jeux coquins ?

-Oui, ok, répondis-je.

Ne sachant pas trop par où commencer, on décida d'aller prendre une douche ensemble pour redécouvrir nos corps. Ça faisait bizarre d'être plus grand qu'elle maintenant. Elle ferma la porte de la salle de bain et commença à se dévêtir, puis je l'imitai.

Sa poitrine avait bien poussée depuis la dernière fois. En fait, tout son corps s'était transformé de celui d'une adolescente à celui d'une jeune femme.

-Ouah ! Tu es devenu un vrai homme, maintenant, fit-elle en observant mes muscles, puis mon pénis en érection.

-Et toi une jolie femme, fis-je avec le sourire.

Elle me tira avec elle derrière le rideau de la douche et fit couler de l'eau chaude sur nos corps, puis m'enlaça. Je la pris aussi dans mes bras et on commença nos petits attouchements.

-Tu as de la vaseline chez toi ? Demandai-je en sentant son anus tout serré.

-Oui, j'ai même un thermomètre, une poire à lavement, et une boîte de suppositoires que j'ai acheté spécialement pour ton arrivée.

Une fois sortis de la douche et séchés, on regagna la chambre tout les deux, complètement nus. Laurine ouvrit le frigo et me fit :

-Installes-toi comme tu veux, je vais commencer par te mettre des suppositoires.

Je me mis à quatre pattes sur son lit, les genoux écartés et les fesses relevées le plus haut possible. Elle revint vers moi et posa la boîte de médicaments sur sa table de nuit, sous mes yeux, puis en retira un suppositoire.

-Tu es prêt ?

-Oui, vas-y.

Elle ouvrit un tube de vaseline déjà bien entamé et m'en étala une noisette sur l'anus, puis quand elle jugea que c'était assez lubrifié, elle enfonça son doigt de quelques centimètres. Quel plaisir ! J'avais oublié cette sensation, depuis tout ce temps.

Une nouvelle fois, son doigt s'enfonça dans mon derrière, plus en profondeur.

-Voilà un premier suppositoire pour toi, fit-elle.

Elle en attrapa deux autres dans la boîte, puis me les fit entrer de la même façon.

-Tu veux que je t'en remette ou ça va ?

-Ça va, fis-je. Je pense que trois ça suffira.

Je restai en position et elle me fit des caresses, tout en me titillant le petit trou.

-Tu ne mets plus ton doigt ? Demandai-je après avoir attendu une bonne minute.

-Non, fit-elle. J'attends que tu passes aux toilettes. Mais si tu en as besoin, ça ne me dérange pas.

-Non c'est bon, de toute façon je vais bientôt y aller.

Je me rassis normalement sur le lit et la pris sur mes genoux. Mes mains passèrent d'abord sur ses seins, puis descendirent lentement vers son entre-jambes, mais pas au niveau de l'anus cette fois. Guettant sa réaction, je lui écartai légèrement les cuisses d'une main et glissa un doigt dans son intimité. Elle sembla apprécier le geste. Je continuai donc de la toucher ainsi en mettant cette fois deux doigts, mais je fus vite arrêté par des contractions qui me firent aller aux toilettes. Impossible de me retenir plus longtemps, je la reposai sur son lit et filai sur la cuvette.

Quand je sortis des wc, je m'apprêtai à faire le même traitement à Laurine, mais elle me fit comprendre que ce n'était pas encore terminé pour moi. En effet elle tenait dans sa main une poire à lavement qui, vu la largeur de la canule, était plutôt utilisée pour les douches vaginales. Elle terminait de lubrifier l'embout.

-Allez, viens sur mes genoux prendre ton lavement, me fit-elle en brandissant l'objet.

Elle s'assit sur le lit et m'aida à m'installer correctement en m'écartant un peu les cuisses. Quand je sentis l'embout me toucher le petit trou, je poussai pour aider l'insertion et la canule glissa dans mon rectum sans problème, et sans douleur.

Elle n'attendit pas plus longtemps et pressa la poire pour m'injecter l'eau. Je me rappelai maintenant de cette sensation d'eau qui m'envahit le ventre, comme elle me l'avait déjà fait auparavant. Elle termina de vider la poire et commença à en préparer une deuxième en me maintenant sur ses genoux.

-Je ne tiendrai jamais deux poires, fis-je. Je n'ai pas l'habitude.

Mais elle recommença à me remplir quand même,m'expliquant que si je voulais je pouvais faire dans la bassine.

-Non, je préfère les wc, fis-je.

-Comme tu veux. Viens on va te placer au-dessus de la cuvette pour retirer la poire de ton derrière, pour éviter les fuites.

Elle m'accompagna aux toilettes, attendit que je recule mes fesses au-dessus de la cuvette, puis se pencha derrière moi et tira sur la poire. Cette fois j'eus un peu mal à l'anus, mais je savais que j'allais pouvoir me soulager très vite. En effet, un flot commença à couler et Laurine me laissa seul pour évacuer le reste. Encore une fois ce fut très agréable, comme une sensation de soulagement qui durait plusieurs minutes.

Cette fois-ci, quand je sortis des toilettes, Laurine ne m'avait pas préparé de poires ou de suppositoires. Elle m'attendait, complètement nue, sur son lit.

Cette fois, plutôt qu'une envie de lui mettre un thermomètre ou un suppositoire, j'avais surtout envie de faire l'amour avec elle. Je me couchai auprès d'elle, la serrai dans mes bras et glissai la couverture sur nous. Après s'être embrassé et caressé, je dirigeai mon pénis vers son sexe, mais elle se dégagea et se retourna dans le lit.

-Occupes-toi plutôt de mon petit trou, fit-elle en plaquant ses fesses contre moi.

-Tu ne veux pas qu'on fasse l'amour ?

-On fera l'amour cette nuit. Pour l'instant occupes-toi de mes petites fesses.

Demandé comme cela, je ne me fis pas prier davantage. Je la serrai contre moi et guidai d'une main sûre mon pénis tout dur contre son petit trou. En poussant à plusieurs reprises, mon sexe peinait à entrer, et je vis que Laurine endurait ça plutôt que d'y prendre du plaisir, respirant bruyamment la bouche ouverte, sans rien dire.

-Attends, fis-je en la libérant de mes bras. Je vais te mettre de la vaseline, tu as l'anus tout serré.

-Merci, fit-elle simplement en restant couchée sur le côté.

Je retirai la couverture et me redressai, repérant rapidement le petit tube de vaseline. La jolie paire de fesses de ma cousine s'offrait à moi. Déposant une noisette de gel sur mon doigt, j'écartai son derrière pour voir plus facilement son anus, puis commençai tendrement un massage sans entrer tout de suite mon doigt. Au moment de pousser, je pénétrai son petit trou sans problème, et en profitai pour étaler du gel à l'intérieur aussi.

-Voilà, fis-je. On peut continuer.

Je revins auprès d'elle, repositionnai mon pénis entre ses fesses, et la serrai contre moi pour entrer. Cette fois je sentis mon gland s'enfoncer d'un coup, visitant son rectum tout chaud. Je n'avais pas prit le temps de lui faire un lavement, mais elle ne semblait pas gênée pour autant, continuant à se balancer en avant et en arrière au même rythme que moi.

Au bout d'une bonne minute, ma semence se libéra et fila dans son derrière. Le souffle haletant, je restai en elle un moment pour me reposer, et elle m'accompagna dans ma sieste.

Je me réveillai dans le lit, avec Laurine, celle-ci dormait encore. Je jetai un coup d'œil au réveil pour voir qu'il n'était que 19h. Comme je bougeai dans les couvertures Laurine se réveilla et décida de faire quelque chose à manger pour nous deux.

Elle se leva, enfila un t-shirt et se dirigea vers la cuisine. La voir ainsi se promener les fesses à l'air me redonna tout de suite une érection. Je me levai et allai près d'elle. Pendant qu'elle se lavait les mains au lavabo, je m'accroupis derrière et écartai ses fesses avec mes pouces.

-Qu'est-ce que tu fais ? Demanda-t-elle sans se retourner.

-Je vais te faire un bon lavement, je crois. Tu n'as pas encore été aux toilettes depuis que je suis là.

-Attends qu'on aie fini de manger alors.

J'obéis et laissai son petit cul tranquille. Elle termina rapidement le repas et le partagea avec moi. Nous étions tout les deux assis sur le canapé pour manger. Moi complètement nu, et elle avec son t-shirt. Je remarquai le fin duvet qui ne cachait presque pas son sexe. « Cette nuit, repensai-je, on fera l'amour ».

Une fois le repas terminé, on débarrassa et je lui rappelai que je devais lui faire un lavement. Elle approuva, m'aida à préparer une bassine d'eau, puis alla se pencher en avant sur le cabinet, les jambes écartées. Je commençai par entrer une première fois mon doigt rapidement dans son petit trou visible. Elle n'avait pas besoin de vaseline, mais je décidai de lui en rajouter un peu quand même.

À nouveau, avec une noisette de gel sur mon doigt, je lui fis un petit massage très doux pendant qu'elle attendait son lavement. Mon autre main se balada sur ses lèvres vaginales déjà toute humides.

-C'est le lavement qui t'excite comme ça ? Fis-je en retirant doucement mon doigt de son cul.

-Oui, j'aime aussi quand c'est mon tour, répondit-elle sans se retourner.

-Bon, on va commencer alors !

J'apportai la bassine et la poire à côté d'elle, et m'accroupis à hauteur de ses fesses. Je remplis la poire complètement, puis appuyai l'embout sur son petit trou. Il rentra d'abord de quelques centimètres, puis termina sa progression en pénétrant entièrement dans son derrière. Seule la poire dépassait à présent.

-C'est bon, je peut commencer ?

-Oui, vas-y envoi l'eau.

Je pressai la poire, vidant toute l'eau dans son intestin. Recommençant l'opération, je plantai une nouvelle fois la poire dans son derrière et entendis cette fois des gargouillis alors que son ventre gonflait doucement.

Au moment où je retirai la deuxième poire, un jet d'eau coula sur le sol. Je mis rapidement mon doigt sur son anus pour l'empêcher d'évacuer.

-Tu as besoin de te soulager ?

-Oui, s'il-te-plaît.

-Attends. Encore une dernière poire et je te laisse faire. Serre bien les fesses maintenant.

Je retirai mon doigt, et me dépêchai de planter une nouvelle fois l'embout dans son cul. Un nouveau gargouillis se fit entendre au moment où je commençai. Son ventre se remplissait de plus en plus, je le voyais se gonfler au fur et à mesure que je pressais la poire.

-Tu arrives à te retenir ? Demandai-je.

-C'est difficile ! J'ai l'impression que je vais pas tenir longtemps ainsi.

-Ça tombe bien, c'est fini. Serre encore les fesses le temps que je retire la poire.

Elle plaqua ses mains derrière elle, mais ne put empêcher un nouveau jet d'eau de sortir au moment où j'enlevai l'embout.

Je remis la poire dans la bassine. Il n'y avait presque plus d'eau. Laurine était déjà sur la cuvette et commençait à se vider, les mains sur son ventre. Elle regardait en l'air, la bouche ouverte, respirant fort tellement elle se soulageait.

Je lui laissai un peu d'intimité et quittai les toilettes en fermant la porte.

Comments

clyso Il ya 3 ans