Suite des souvenirs d'ado.

Jean explore le sexe chez deux dames complices.

Ce jour-là à j'étais arrivé de bonne heure chez mes complices Béa et Alice, Serge l'homme a vraiment tout fait m'avais indiqué la fameuse chambre jaune où je trouvais ma tenue.

Ma petite culotte transparente, ma robe légère avec ses bonnets cousus a l'intérieur et un magnifique jupon que je m'empressais d'enfiler. Mon déguisement me fut confirmé par Serge qui en me regardant fut obligée de déplacer sa verge bien visible a travers son pantalon.

J'allais dire bonjour à mes amies qui ne purent s'empêcher de glisser leurs mains sous mon jupon pour me caresser les fesses mais comme Béa voulait glisser son doigt dans mon anus, j'arrêtais son geste lui expliquant que je n'avais pas encore été à la selle ce jour.

"Très bien, nous attendons justement Sylvie qui serras j'en suis sure une amie."

Elle arrivait.

La voiture repartis de suite et Sylvie fit son entrée. Quelle étais belle, mais d'une beauté glacée dans sa robe de coupe princesse avec un jupon blanc très bouffant et une petite poitrine pointue.

Un tour de taille si fin, et des fesses fermes mais petites. Les présentations et les embrassades terminées on nous envoya dans la chambre bleue Béa parlant à son oreille avant de nous congédier.

"Dis-moi Nanette. Béa m'a demandé de t'aider a aller à la selle tu veut bien ?"

Et sans attendre ma réponse elle ouvrit le lit déjà garni d'une alèze en caoutchouc rouge

"Tu préfère la poire ou le bock ? Et se répondant a elle-même"

"Sans doute la poire parce qu'il faut entrer plus souvent la canule et de plus on peut en changer. Allez, nue et a quatre pattes présente moi tes fesses !je vais me mettre en tenue !"

Elle quitta rapidement sa robe et son jupon pour se présenter en petite culotte mais ses jolis petits seins ont l'air.

Un tablier de caoutchouc vint compléter le tableau.

"Ecarte toi les fesses à l'aide de tes mains". Je sentis sur mon anus la gelée puis son doigt me pénétra explorant mon rectum.

"Tu vas pouvoir faire plaisir à Serge !"

Mais déjà une longue canule souple se glissait en moi, puis ce fut l'injection d'eau tiède sans doute dans le colon et déjà elle retirait la canule pour la remplacer par une plus courte mais bien plus grosse qui s'enfila sans autre cérémonial entre mes fesses.

Je reçus cinq poires avec des canules de plus en plus grosses la dernière m'arrachant des gémissements.

Me saisissant la verge elle entrepris de me branler doucement veillant à ne pas me faire éjaculer.

Puis se glissant sous moi se contorsionna pour se trouver juste a ma verticale. Cherchant entre ses cuisses je la senti relever sa culotte agrafée a l'entrejambe et saisissant ma verge tendue se l'enfoncer en elle.

J'eus un râle de bonheur à me sentir ainsi enveloppé d'une gaine chaude et ruisselante, mais la crainte de ne pouvoir me retenir freinait mon bonheur c'est ainsi que je la vis presser une poire électrique qui apparemment n'alluma rien mais quelques minutes après alors que je lutais de toutes mes forces pour ne pas me relâcher Serge entra dans la chambre.

Sylvie entoura ma taille de ses jambes pour me retenir en elle tout en m'écartant les fesses.

"Serge tu veut bien aider notre amie jeannette qui craint de perdre son clystère"

"Bien mademoiselle"et je sentis sur ma rondelle se poser la pointe de la verge de Serge qui sans effort profitant de la dilatation inéluctable du sphincter anal s'insinuait doucement dans la place.

"Tu peut laisser aller tu as un solide bouchon"

En effet je cessai de me crisper diminuant mes crampes mais profitant mieux de la grosse verge chaude qui glissait en moi amplifiant mes mouvements dans mademoiselle Sylvie.

Ce qui m'intriguait c'est que je sentais entre mon propre pubis et Sylvie un objet qui semblait prisonnier de la petite culotte. Je voulus déplisser au moins la culotte pour éviter les tires bouchons et rencontrai une sorte de petite verge.

J'en fus très surpris, voyons je n'étais pas dans l'anus de Sylvie mais mes attouchements suffirent a provoquer l'orgasme de Sylvie et les contraction spasmodiques autour de ma verge et dans sa main me firent jouir aussi entraînant la jouissance de Serge qui était toujours dans mon rectum prisonnier mais bouchon salvateur.

Me tenant toujours empalé Serge se redressa m'arrachant à Sylvie sans me laisser le temps de voir d'où je sortais, puis il me porta dans la baignoire où enfin il sort du petit cul vorace.

Ce fut comme l'explosion d'une bouteille de champagne, les gaz, les eaux, les matières et le sperme couvrirent les cuisses de Serge qui en riant se servit de la douche pour leur rendre la propreté désirée.

Apres m'avoir séché il me confia une bassine d'eaux chaude, un gant et une serviette et me conseilla de m'occuper de Sylvie.

Je commençai par faire glisser cette drôle de culotte, mais surpris je pus constater la présence d'un"clitoris"de la taille d'un sexe mais sans fente a l'extrémité et dessous un sexe de fille qui bien qu'étroit débordait de sperme et enfin entre des petites fesses un anus en forme de petite taupinière qui aurait déjà eu à supporter des canules sans doute aussi redoutables que celle que je venais de subir.

J'entrepris de laver doucement Sylvie qui dormait à demi mais me laissait sonder de mon doigt tous ses orifices.

Quand elle fut propre, je voulus lui rendre le plaisir subit et je butinai de ma langue fureteuse tous les orifices présents et la petite verge/clitoris oscillant devant moi, je l'enduisis de vaseline et me plaçant accroupis au-dessus d'elle guidai l'objet dans mon anus bien sûr sans souffrir, les dimensions n'étant pas celles de Serge.

Le réveil de Sylvie fut bien sûr un régal pour les deux, mais si elle jouis il n'en fut pas de même pour moi mais elle voulut me saisir d'une main enduite de vaseline.

Je crus a une branlette mais elle me guida dans son petit trou ou elle eut tôt fait de me faire jouir il lui lançant le reste de mes réserves de sperme au fond d'un rectum accueillant, elle me laissa récupérer tandis que je débandait doucement

J'en profitai pour vider ma vessie au fond d'elle surprise d'une telle injection.