Jean
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Vues: 612 Created: 2007.10.05 Mis à jour: 2007.10.05

Souvenirs de Jean

Chapitre 7 - Les dangers de la poudre !

Jean prend doucement conscience de son corps.

Il n'est pas dans sa chambre !

De plus les draps du lit glissent sur lui et il se sent très faible. Il se met debout et avise une porte de salle de bain.

La vue de sa tête dans la glace le fait vomir, des glaires seulement mais il boit beaucoup puis prend conscience de son anus, son rectum semble traumatisé ?

Sur la cuvette des toilettes il se soulage aussi d'une sorte de pâte blanche et comme il s'essuie constate des traces de sang.

Son anus a été forcé !

Un trou de mémoire sur la soirée d'hier.

Il se rappelle avoir plaisanté sa collègue d'étude Lisa en robe de velours sang, il lui avait demandé si elle venait ravitailler son père toubib, et matière de mauvaise plaisanterie avait soulevé la robe jusqu'a dévoiler sa petite culotte d'ailleurs ravissante.

Plus tard au lavabo il l'avait rencontré qui se lavait les mains.

Il s'était platement excusé mais Lisa n'avait pas l'air de lui en vouloir.

De près c'était une assez belle fille avec des fesses un peut trop grosses mais on devait y être confortable !

Elle lui tendit un flacon avec une poudre blanche irisée en lui disant "Sent"

Il inspira sans trouver d'odeur particulière mais à partir de ce moment tout devenait flou dans sa tête.

Elle avait récupéré ses affaires et l'avait entraînée comme un chiffon dans une voiture puis … Plus rien !

Sauf cette migraine qui commençait à se dissiper et l'impression d'avoir l'anus entrouvert !

Il se remit au lit pour sombrer immédiatement dans un profond sommeil.

Son second réveil fut plus confortable avec une bonne odeur de café chaud.

Près du lit une femme dans la cinquantaine le regardait s'éveiller

"Buvez tant que c'est chaud"

En buvant, il prit conscience de sa nudité et tira le couvre lit pour au moins dissimuler son sexe et une érection naissante.

Comme il allait parler, la femme lui fit signe de garder le silence.

"Ne parlez que pour m'expliquer ce que fait un jeune homme nu dans le lit de ma fille, les draps de satin tachées de sang, peut être avez-vous vos règles ? Ce n'est pas son cas et sa virginité n'est plus qu'un souvenir depuis longtemps ! Mon mari le docteur vas arriver et vous lui expliquerez de tout celas, de toute façon j'ai cachée vos vêtements. Alors avez-vous une explication ?"

"Non, aucune sauf que mon mal de tête est passé grâce aussi à votre café et que sans vouloir vous offenser j'ai mal au cul, je pense avoir été sodomisé pendant mon sommeil artificiel"

"Quel drôle d'histoire?"

"Juste une question madame vous étés la mère de Lisa ?"

"Oui bien sur, mais quel rapport ?"

"Et elle est ou ?"

"Justement elle vas arriver avec mon mari"

"Comme ça on pourra s'expliquer tous ensemble"

"Peut être avez-vous une pommade calmante ?"

"Mon maris s'occupera de votre anus !"

"Non c'est devant"et me redressant je me mis debout exhibant une verge tendue mais irrité qui attira toute son attention.

"Il semble que vous, vous en soyez beaucoup servis récemment. Je vais vous donner une pommade dont se sert mon maris."

Lui tendant un tube elle se rendit compte qu'il n'oserait pas s'en servir devant elle, alors prenant le tube en versa sur toute la longueur de la verge et entrepris doucement de faire pénétrer la crème.

"Ne craignez rien j'ai été infirmière !"

Bien sur son érection ne faisait qu'augmenter ! Et un jet suivit d'autres me soulagèrent"Merci de vos soins madame"Ca la fit rire.

"C'est bien la première fois que je branle un patient !"

Depuis mon lit je pouvais voir les cuisses de la mère de Lisa qui s'était assise à mes cotées.

"Il est prévu leur retour vers quelle heure ?"

"Nous sommes en début d'après midi donc vous attendrez jusqu'à ce soir, mais celas ne semble pas être une punition ? Mon sexe, décidément en pleine forme se redressait, surtout que je pouvais voir la petite culotte qui doucement exhibait une tache bien révélatrice.

"Je vais vous passer a nouveaux de la pommade"

Je la laissai faire et comme j'étais bien enduit je la saisis aux épaules la renversant en arrière, et comme elle tentais de protester embarrassée d'une main toute grasse je fini par lui prendre la bouche qu'elle ouvris après quelques manières.

Je lui retroussai la robe et saisissant la petite culotte de chaque coté, la fit glisser jusqu'à la débarrasser.

Lui écartant les jambes je n'eus aucune difficulté à m'enfoncer en elle.

Comme je la pistonnais sans relâche je sentis une main grasse m'écarter les fesses et se glisser dans mon anus.

Habilement elle joignit d'autres doigts pour enfin masser en rythme ma prostate.

Comme j'avais déjà jouis je pus faire durer, mais enfin comme elle partait m'inondant de cyprine et autres liquides moins avouables, j'accompagnais sa jouissance mais les mauvais traitements infligés à mon anus laissèrent quelques traces qui décidèrent la mère à changer, avec mon aide, les draps.

La douche ultra moderne nous débarrassa de tout ceci et je m'amusait a l'enduire de savon complimentant son corps, elle, en s'amusant comme une petite folle m'enduisit la verge de savon qui lui échappa des mains et comme se penchant pour le ramasser je ne pus résister et forçait une bague pas très rebelle lui arrachant une protestation

"Même mon mari n'y as pas droit !"

"Pourquoi ce n'est pas bon ?"

"Si mais continue bien au fond"La jouissance nous acheva !

La maintenant coller contre moi je me laissais dégonfler sachant que ma prostate ne me laisserait uriner que suffisamment relâché.

"OH le salaud ! Il me pisse dans le cul ! Je t'en donnerais des clystères, mais vas y, vide toi".

Elle se mit à quatre pattes dans la douche pour y pisser à son tour et y vider mon injection heureusement libre d'autres choses.

La douche mutuellement passée on se sécha et l'on se laissa tomber sur les draps propres, nus, côte à côte et c'est ainsi que Lisa et son père nous trouvèrent…….