Las de trop de sexe en si peut de temps la mère de Lise, Annie, voulut examiner mon anus et me plaçant a plat ventre sur le lit de sa fille entrepris de m'écarter les fesses.

A ses dires manifestement j'avais été sérieusement enculé récemment. Non je n'avais pas mal seulement je me méfiais de ne pas lâcher un pet qui m'aurait mis dans l'embarras.

Comme je lui décrivais mes sensations elle me proposa un lavement chaud avec un astringent qui resserrerait tout ça mais on va demander à mon mari.

"En attendant laisse moi mieux regarder."

Et c'est dans cette position que monsieur suivi de sa fille Lisa entra dans la chambre tandis que Annie la mère m'enfonçait un spéculum entre les fesses et l'ouvrait, exposant le plus intime de ma personne aux regards de trois personnes inconnues il y a si peut de temps.

En riant lise me dit

"Je vois que tu a fait 'intimement' connaissance avec ma mère"puis désignant un homme aux cheveux blancs

"Mon père, c'est lui qui a ouvert ton petit trou !"

"Et moi dont tu ne doit te rappeler que de la petite culotte !"

Finalement, il la trouvait plutôt bien cette Lise et se rappelant toutes les bêtises dites et faites sur son compte, tenta de s'excuser.

"Ecoute Lise, je te prie de m'excuser de mon attitude imbécile, mais si tu veut bien m'expliquer ?"

"A mon tour ! Il est vrai que la vengeance a été plutôt du genre sévère quoi que tu n'en aies pas retiré que des désagréments ?"

"Non bien sur ! Je ne peut le nier mais raconte"

"Hier soir comme tu avais montré mes fesses, j'ai décidé de me venger et je t'ai fait respirer une drogue qui a supprimé toute ta volonté et tes souvenirs."

Genre GHB la drogue des violeurs ?"

"Si tu veux mais rassures toi c'est finis ce truc. Devant tes réaction j'ai eut peur et j'ais appelé mon père et on t'a ramené ici et aujourd'hui j'ais fait le tour des relations. Tu es parti quelques jours en Provence sur un coup de tête ! Comme tu le fais parfois !"

"OK mais le reste ?"

"Ben je tais mis nu dans mon lit et comme tu bandait comme un dieux je me suis servie de ton sexe"

"Ah !"

"Oui plusieurs fois, et sans faiblir tu m'as rempli le sexe, et rougissant en regardant sa mère toujours nue, et l'anus aussi ! C'est d'ailleurs dans cette position que mon père te voyant n'a pas pu résister et comme maman ne le laissait pas faire de ce coté il s'est rattrapée, voila je pense avoir tout dit ? Ah non je t'ais bue aussi avant que tu ne me…."

"Avec la complicité active de madame j'ai tenté de vous suivre mais hormis des écorchures je ne souvient pas du 'Papa' sauf un certain vide dans mon rectum"

"Vous le regrettez ?"

"Il vaudra mieux en reparler une fois soigné mais c'est une expérience à tenter"

Lise bondit sur lui l'embrassant tandis que le père glissant un doigt dans un petit trou consentant demandait a son épouse si "C'était bien de ce côté et s'il pourrait à son tour y goûter ?"

"Bien sur et tout de suite si tu en as envie, ce gentil garçon m'a fait découvrir des sensations vraiment érotiques, mais ton engin me parait plus gros, quoi que moins raide que le sien"

et se tournant vers sa fille lui suggéra d'aider son père a lui donner un lavement pour son confort et ensuite d'en profiter elle aussi "Du lavement ?"

"Bien sur ! Et ensuite de sa bite"

Le père prépara tout un assortiment de bock, canules, poires, enfin une orgie que les toilettes ne suffirent pas à évacuer en même temps et le bidet, et le bac de la douche furent utilisé mais heureusement rien ne devait les obstruer et aucune odeur désagréable ne troubla ces jeux. Lise se retrouva dans mes bras toute douce et comme cette fois ci conscient je la pénétrais doucement je pus résister a la douceur de son ventre.

"Tu veut bien me donner ton petit cul ?"

"Tu le prends comme tu veux, il est à toi, mais utilise un peu de crème !"

Avec une caresse au petit trou qui se laissait enduire de lubrifiant j'introduisit un doigt curieux et sondais cet endroit brûlant en y faisant entrer le lubrifiant

"Fait doucement, cette nuit je n'ai pas pus aller jusqu'au bout malgré mon envie"

Je pris soin de masser le muscle qui surpris de ne pas avoir mal se détendis. J'entrais doucement un deuxième doigt continuant mon massage et quand je sentis prêtes les muqueuses mis le troisième doigt la dilatant au maximum.

Annie qui nous observait me fit remarquer

"Tu n'as pas pris autant de précaution avec moi ! Tu aime ça Lise ?"

"Oh oui je suis toute ouverte et devant je suis inondée"

"Bravo jeune homme je vais vous embaucher a la clinique pour faire jouir les vielles rombières qui aiment se faire tripoter"

"Vien profite de la leçon que jean nous administre pour faire comme eux" Et se couchant a coté de sa fille elle s'ouvrit les fesses indiquant à son mari le chemin qu'il devait prendre.

Il du moins bien la préparer car elle poussa de petits cris tandis qu'il entrait son boudin dans le four prévu.

Lise tendue malgré tout me sentant me présenter a la place de mes doigt paru toute surprise du glissement soyeux accompagnant mon entrée dans son rectum et mon bas ventre heurtant son anneaux.

Elle lança une main entre nous pour vérifier que j'étais bien tout entier en elle. La laissant faire je m'occupais de ses seins et de l'autre main caressais après avoir fait sailli,r un clitoris tout surpris d'être branlé comme une verge minuscule.

Très vite elle se mis a jouir, surprenant sa mère et son père surtout qu'elle restait sur un plateaux que je réussit a maintenir près de dix minutes quand enfin

"Jean sil te plait joui et arrête je n'en peux plus."

Je reviendrais prend ton temps !"je me dégageais doucement laissant l'anus ouvert et très rouge. Le père sortis de l'anus de son épouse pour ausculter sa fille

"Ce n'est rien, suffit de pommade et d'un peu de repos".

La verge toujours raide j'admirais les fesses d'Annie maintenant ouvertes et plus bas le sexe bavant sa sève.

"Si tu veut, et si elle le désire le cul de ma femme est libre"

"Quoi, voudrais-tu bien ?"

"Mais oui et s'il veut bien j'en profiterais pour utiliser son petit cul" Sans répondre je me présentais à l'entré de l'orifice suffisamment lubrifié et très doucement tout en massant un clitoris bien plus gros que celui de sa fille, j'entrais en elle jusqu'à buter contre ses fesses.

Le synchronisme entre ses fesses et sur son clitoris aboutis rapidement à la faire hurler de plaisir me pissant sur les doigts.

Je sentis mes fesses écartées et une pommade graisser mon cul. La séance de massage avait été comprise et tandis que je continuais doucement d'occuper la gaine étroite je sentais les doigts me dilater.

Enfin une grosse chose brûlante se présenta à la place des doigts et la pointe du sexe passé sans douleur cette fois je sentis mon rectum se remplir, raidissant et grossissant encore plus mon sexe.

Apres de longues minutes de vas et vient je délivrais a la mère ce que j'avais destiné a la fille !

Mais le père semblais avoir accumulé des réserves qu'il déversa dans mon rectum, chaque giclée accompagnée d'une poussé qui me faisait empaler encore plus la mère.

Il se retira me laissant la sensation de vide précédente mais les fesses de la mère semblaient ne jamais vouloir me lâcher.

Enfin je pus sortir une pauvre petite chose que je m'empressais d'aller laver a la salle de bain en profitant pour évacuer le don paternel et me rafraîchir rapidement d'une douche presque glacée.

Lise en avait fait autant et ses parents avaient regagnée la chambre conjugale.

Je soupçonnai Annie d'avoir gardé en elle ma jouissance.

Lise me pris en bouche ranimant doucement la pauvre chose et comme de la langue je caressais sa petite ouverture, elle eut envie de me faire la même chose, mais rapidement jugeant la chose trop fatigante elle se

contenta de garder mon sexe au chaud dans sa bouche en s'endormant

À suivre !