Jessie continuait de pousser son doigt dans mon petit trou. À chaque fois que je croyais que c'était terminé, elle revenait en enfonçant à nouveau son doigt entièrement. La vaseline qu'elle m'avait étalé faisait bien son travail et m'empêchait de résister.

-S'il-vous-plaît, c'est dégoûtant, fis-je.

Cette remarque sembla la toucher car elle arrêta et me réinstalla sur le dos. Comme avant elle se rapprocha de moi, penchant son corps contre le mien de façon très intime, et me chuchota :

-Tout les hommes aiment les doigts dans le derrière,expliqua-t-elle comme pour me convaincre. Mais tu as raison, c'est pas très propre.

Elle marqua une pause.

-On va y aller progressivement, expliqua-t-elle. Tout d'abord te rendre un peu plus propre, si c'est ça qui te gêne.

Je la regardai d'un air interrogatif, et alors elle se dégagea de moi pour aller vers la porte de la chambre.

-Je reviens dans trente secondes, fit-elle en se tournant vers moi, avant de quitter la pièce.

De toute façon, je ne pouvais presque pas bouger avec ces sangles aux pieds et aux mains. Jessie revint rapidement, elle tenait une boîte transparente dans ses mains.

-Tu ne vas pas forcément aimé ça, commença-t-elle, mais je pense qu'un suppositoire t'aidera à te soulager rapidement.

Je grimaçai.

-Non, s'il-vous-plaît ! Fis-je en la voyant s'approcher dangereusement de moi. Je ne veux pas de suppositoire. Si vous voulez, je vais aux toilettes maintenant.

-Calme-toi, fit-elle en ouvrant la boîte. Un suppositoire n'a jamais tué personne.

Elle sortit un des médicaments gélatineux et le tint un moment entre ses doigts. Ça me faisait penser à ma mère qui voulait m'en mettre quand j'étais petit.

-Je vais te le mettre, enchaîna-t-elle. De force si tu m'y oblige.

Elle me laissa sur le dos et me souleva les deux jambes. Cette position ne me laissait pas indifférent : malgré le fait que j'allais recevoir un suppositoire, je trouvais ça assez excitant !

-C'est bien, détend-toi, fit Jessie. C'est peut-être un peu humiliant, mais je te promet que ça va te laisser un bon souvenir.

Je sentis le toucher froid du médicament sur mon petit trou.

-Je compte jusqu'à trois et tu pousses, ok ? Allez, un, deux,trois...

J'obéis et je sentis à peine son doigt rentrer puis ressortir de mes fesses.

-C'est bien. Allez un deuxième et c'est bon.

-Ok, fis-je, sachant que je n'avais guère le choix.

Je commençai à me prendre à son jeu. De toute façon,maintenant qu'elle m'en avait mis un j'allais devoir aller aux toilettes.

-Un, deux, trois...

Je poussai à nouveau et Jessie m'enfonça un deuxième suppositoire.