Vues: 623 Created: 2011.02.05 Mis à jour: 2011.02.05

Une journée de soumission

Chapitre 4

Quelques semaines plus tard...

C'était cinq heure de l'après-midi. Après les cours j'avais rejoins directement la maison de Jessie pour une nouvelle séance de plaisir.

Elle avait raison : j'avais finalement gardé un bon souvenir de la dernière fois, et n'avais pas pû m'empêcher de revenir aujourd'hui. Je ne savais pas encore ce que j'allais demander cette fois-ci. J'hésitais entre être le dominant ou le dominé, sans arriver à trancher.

Une fois devant la maison, mon estomac se resserra, et je poussai la porte pour entrer dans le hall.

Comme la dernière fois, la pièce était vide, et j'attendis de me faire accueillir par Jessie. J'espérais que ça ne durerait pas trop longtemps, car je n'avais pas envie de croiser d'autres "clients" de cette maison.

À ce moment-là, une jeune fille, qui devait avoir à peu près mon âge, arriva du salon.

-Salut, lança-t-elle. Je suis Clémence. Désolée je ne t'avais pas entendu entrer.

J'étais surpris de voir une autre personne ici.

-Euh, baffouillai-je. J'attendais Jessie...

Clémence était vraiment très jolie : la jeune fille blonde aux cheveux lisses portait une tenue de sport qui mettait bien en valeur ses formes. Elle était un peu plus petite que moi, avec une allure élancée, et une peau légèrement bronzée.

-Je suis une de ses assistantes, précisa Clémence. Jessie est occupée en haut avec un autre homme, alors c'est moi qui m'occupe de toi, pour aujourd'hui.

Je n'en croyais pas mes yeux. C'était avec cette jolie fille que j'allais passer la soirée ! Je ne me fis pas prier davantage et acceptait de la suivre dans sa propre chambre. Celle-ci était un peu plus petite que celle de Jessie, équipée d'un plus petit lit et d'une garde-robe.

Clémence m'invita à entrer et referma la porte à clé.

-Viens avec moi, fit-elle.

Elle se dirigea jusqu'à la garde-robe où se trouvaient diverses tenues plus suggestives les unes que les autres. En-dessous je remarquai une caisse en carton où étaient disposés des jouets sexuels destinés à être introduits dans différents orifices.

-Je te laisse choisir ma tenue pour ce soir, annonça Clémence, ensuite tu me diras ce que tu veux qu'on fasse, ok ?

-Ok.

Elle s'assit sur une chaise et attendit que je fasse mon choix. Les tenues étaient nombreuses : cuir noir, policière, écolière, infirmière, pom-pom girl, il y avait de tout. Certaines étaient même "ouvertes" exprès au niveau de l'entre-jambes pour laisser directement un accès aux zones intimes.

Après avoir réfléchi un moment, j'en attrapai une et lui tendis.

-Celle-ci, fis-je.

J'attendais tranquillement, assis sur le lit, que Clémence se change devant moi : scène que je trouvais particulièrement excitante. J'étais beaucoup moins intimidé avec une fille plus jeune comme elle, et engageai la conversation.

-Je ne savais pas que Jessie avait des assistantes, fis-je. Tu as quel âge ?

-Dix-huit ans, répondit-elle. Je viens juste de commencer dans cette maison.

Pendant qu'elle se changeait, je contemplais discrètement ses gros seins qui retombaient légèrement.

-Et toi ? Tu as quel âge ? Demanda-t-elle à son tour.

-Pareil. Dix-huit ans.

-Bon, voilà, j'ai enfilé ma tenue, fit-elle en se relevant face à moi.

Clémence avait maintenant l'air d'une petite infirmière très mignonne. J'avais choisi la tenue la plus réaliste possible pour elle : elle portait une chemise blanche qui descendait jusqu'aux cuisses, et avait pris soin de laisser quelques boutons ouverts pour dévoiler le haut de sa poitrine. Elle n'avait pas mis de culotte, ni de soutient-gorge dessous.

-Parfait, commentai-je.

-Tu aimes bien les infirmières ? Demanda-t-elle en s'accroupissant pour être à ma hauteur.

J'approuvai et elle posa ses mains sur mes cuisses. Ses mains glissèrent lentement vers ma braguette. Elle me renversa doucement en arrière, puis elle tira sur mon pantalon pour l'enlever en même temps que mon caleçon, libérant mon pénis qui se redressa instantanément.

Elle s'agenouilla ensuite sur moi et enleva également mon t-shirt.

-Voilà, comme ça mon patient est complètement nu, commenta-t-elle à haute voix.

Je la laissais mener la marche, me contentant de rester immobile. Elle sortit alors d'une poche de sa chemise un thermomètre en verre et se recula en dehors du lit.

-Montre-moi ton petit trou, fit-elle à voix basse en soulevant mes jambes.

Pour l'aider, j'attrapai mes jambes afin de les empêcher de retomber, exposant ainsi mes parties intimes à Clémence.

-Parfait ! Reste ainsi, je vais chercher du lubrifiant.

Elle partit ouvrir un tiroir et revint avec un tube dans ses main. Après avoir bien lubrifié le thermomètre, elle m'écarta les fesses et déposa un peu de lubrifiant aussi sur mon anus, sans rentrer son doigt. Elle reprit alors en main le thermomètre et je sentis qu'elle le faisait glisser en moi. Le contact était agréable, et Clémence se mit à le faire bouger dans mon derrière pour accentuer le plaisir.

-Tu aimes qu'on s'occupe de ton petit trou, hein ?

-Oui, avouai-je, l'encourageant à continuer.

Quand elle eut fini de prendre ma température, elle me demanda si je voulais quelque chose en particulier, et je répondis que je voulais bien un suppositoire, mais elle parût un peu surprise.

-Désolée, je crois qu'il n'y en a pas ici. Mais si c'est pour te faire aller à la selle je peux te faire un lavement si tu veux.

-Jessie m'en avait mis, la dernière fois, insistai-je.

-Tu es sûr ?

-Oui.

-Bon, ben je vais aller voir en bas dans le frigo. Attends-moi ici.

J'attendis les fesses à l'air, et quelques minutes après elle revint avec une boîte transparente dans ses mains.

-Tu as raison, il y avait plusieurs boîtes de suppositoires en bas, fit-elle.

Elle se plaça en face de mon derrière et retira un des médicaments de la boîte. Ses doigts vinrent écarter un peu mes fesses et elle maintint le suppo contre mon anus.

-Tu es prêt ? Demanda-t-elle.

-Oui.

Elle poussa alors le suppositoire profondément dans mon cul, enleva son doigt, et vérifia que je n'expulsais rien. C'était la première fois qu'une fille de mon âge s'occupait de moi ainsi, c'était très excitant, même si ça n'avait duré qu'un court instant.

-Voilà, on n'a plus qu'à s'occuper en attendant qu'il fonde, fit-elle.

Elle se remit dans le lit contre moi, et instinctivement, je glissai mes mains sous sa chemise, caressant ses cuisses et ses fesses. Comme elle ne faisait pas de remarques, je me mis à lui défaire ses boutons pour la dénuder elle aussi.

Moins d'une minute après, elle était couchée sous moi, nous nous regardions dans les yeux. Elle caressait mon pénis tout dur pendant que je lui carressais les seins. Au bout d'un moment, je lui chuchotai à l'oreille :

-Retournes-toi, s'il-te-plaît.

Elle comprit ma demande et avant de pivoter d'un demi-tour, elle me glissa à l'oreille :

-Mets du lubrifiant, s'il-te-plaît.

-Ok, fis-je en me relevant.

Je pris le tube qu'elle avait utilisé en main, l'ouvris, et écartai les fesses que me présentait Clémence jusqu'à apercevoir sa petite rondelle rose. Je fis directement tomber quelques gouttes de lubrifiant dessus et entrepris un léger massage du doigt.

Clémence, accoudée au matelas, la tête dans ses mains, attendait calmement que je fasse mon travail.

-Je ne t'ai pas proposé, fis-je, mais tu préfères peut-être avoir un suppositoire aussi, avant de commencer ?

En fait, l'idée m'était venue à l'instant, j'espérais qu'elle répondrait oui.

-Pas besoin, répondit-elle. Je me suis fait un lavement tout à l'heure, j'ai le cul bien propre.

-Ok.

J'écartai encore une fois les fesses de Clémence, et me plaçai au-dessus d'elle, appuyé sur les avant-bras. Mon pénis était dirigé droit vers son petit trou.

-Je vais entrer, avertis-je.

-Vas-y, pousse, me fit-elle.

J'entrai en elle. Son cul était doux et tiède. Je commençai aussitôt à faire balancer mon bassin d'avant en arrière tandis qu'elle gémissait. De légères contractions me rappelèrent le suppositoire qui agissait lentement dans mon rectum, alors j'accélérai mes mouvements et éjaculai finalement dans son intestin.

Clémence et moi respirions bruyament, l'un contre l'autre, après ce petit exercice. Soudain je me crispai et eus une légère grimace.

-Qu'est-ce qu'il y a ? Demanda-t-elle.

-Non, rien, c'est le suppo.

Elle me sourit, contente que son médicament agisse bien.

-Je vais m'absenter un moment, annonçai-je.

Elle m'expliqua rapidement le chemin des toilettes et me demanda si je voulais qu'elle enfile à nouveau sa tenue d'infirmière pour quand je reviendrais.

-Non, reste comme ça. Je préfère quand tu es toute nue.

-Ok, à toute de suite.

Je filai sur la cuvette et me dépêchai d'évacuer tout ce que je pouvais pour profiter pleinement de mon temps avec Clémence.