Vivou


Vues: 573 Created: 2010.03.20 Mis à jour: 2010.03.20

Vivou et Caro

Le retour

Bien fatigués sur le coup des six heures du matin, Caro et moi prenons congé de nos hôtes. Nous récupérons vestiaire et voiture et nous voilà bientôt côte à côte pendant que j'engage doucement la voiture sur le chemin du retour. D'une voix alanguie, elle me dit :

- Emmène moi dans un endroit tranquille, s'il te plaît.

Ah, ça, l'avait pas prévu, le Vivou ! Je réfléchis rapidement et finis, trop inquiet des risques de la grande ville la nuit pour un couple dans une voiture isolée, par prendre le chemin de chez moi.

Une fois arrivés, elle s'est endormie en suçant son pouce. Je la porte jusque chez moi. Franchement, jamais je n'aurais pensé que j'éprouverais autant de plaisir à la porter. Bien que fatigué, le trajet me semble trop court. C'est tellement bon de sentir ses douces formes contre moi à travers le latex, de sentir sa tête reposer contre mon cou.

Je la dépose délicatement sur mon lit et je reste là quelques instants à la contempler. Quel pied, ce qu'elle est belle ! Quelle sensualité avec son pouce dans sa bouche. Bon, Vivou, maintenant, qu'est-ce que tu fais ? Déjà, je vais me doucher. C'est l'affaire de dix minutes, mais aprés je me sens mieux.

A poil, je retourne dans la chambre. Mon démon intérieur et ma conscience s'enguirlandent en privé pendant quelques instants et c'est ma conscience qui gagne : Parole donnée... Mais, quand même, je ne vais pas la laisser comme ça. Le plus délicatement possible, je vais la déshabiller. Je commence par lui enlever ses bottines et ses bas. Elle est couchée sur le côté, j'en profite pour délacer sa robe.

Tout doucement, je me glisse derrière elle, la soulève legérement pour la faire glisser sur mon ventre. Centimètre par centimètre, je fais glisser la robe. Ca prend un temps fou, mais c'est tellement bon d'être délicat avec Caroline ! Ensuite, je peux, de ma position, délacer le corset. En la soulevant légèrement, je le fais glisser par le côté pour le dégager.

Je reste un moment à la regarder. Je suis là, nu, les jambes écartées, assis sur mon lit, la tête de Caro reposant sur mon ventre, mon sexe tendu perdu dans ses cheveux. Elle continue toujours à sucer son pouce et une idée me vient à l'esprit.

Verra-t-elle la différence entre son pouce et mon sexe ?

Alors tout doucement, je lui retire son pouce et glisse, coquinement, mon sexe entre ses lèvres. Sa bouche s'ouvre toute seule. Je ne peux m'empêcher de donner un petit coup de rein pour que mon sexe s'enfonce dans sa bouche.

Hooo la coquine, elle suce mon sexe comme si c'était son pouce. Mon dieu, vais-je tenir sans jouir ? Je l'admire, vêtue seulement de sa culotte en plastique. Par contre, je suis ensuite obligé, tout doucement, de quitter à regret ma place et de la reposer sur le dos.

Mais là, ça devient franchement fou. Je fais coulisser délicatement sa culotte en plastique le long de ses jambes.

Puis, délicatement, j'écarte ses jambes. Le contact humide de sa couche ainsi qu'une délicate odeur me rappellent que, ce soir, je n'ai pas été seul à mouiller ma couche.

Encore plus délicatement que pour le reste, pour faire durer le plaisir, j'écarte doucement les plis de la couche. Le papillon est là, délicatement lové dans la vulve accueillante. Tout doucement, je l'enlève. Je le porte à mes lèvres dans l'intention de bénir ce objet qui a été, lui, dans un endroit tant convoité.

Ma langue se pose dessus. Huumm, que c'est bon. Je commence à le lécher quand mes yeux se posent sur la vulve de Caroline, exposée à seulement quelques centimètres de mes yeux. L'occasion est trop belle.

Je m'approche doucement. A l'évidence, il a fait chaud ici ce soir ! Elle est encore entrouverte et un filet de cyprine s'en échappe. Je tends la langue et, incapable de résister, commence à lapper ce nectar. Oh, oh, ça s'agite là haut. Caro a gémi dans son sommeil. C'est tout, fausse alerte. Je continue mon exploration, savourant la texture ferme de ses lèvres. C'est quand ma langue effleure son clitoris qu'elle recommence à gémir. Curieux, j'insiste. Aprés quelques minutes, elle commence à s'agiter. Ma langue, elle aussi, s'agite ! Elle gémit à qui mieux mieux, poussant de temps en temps un curieux bruit de gorge. Puis, brusquement, son corps s'arque et.... elle serre les jambes !

Voilà ma bouche aplatie contre son vagin, mes yeux collés à son clitoris ! Zut, je jouis... Pas fait exprés, c'était trop.

Puis, tout doucement, vague par vague, tout se calme, tout se détend.

Elle dort toujours. Quel tempérament !

Je reste là, le visage humide contre son sexe, la contemplant d'entre ses jambes, sa jolie petite touffe, son ventre délicatement galbé, ses seins encore durs et ses mamelons dressés. Et, pour couronner le tout, ce visage angélique, si innocent dans le sommeil.

Je prend plusieurs couches longues, les glisse dans un change-complet et les mets sur les fesses de Caro. C'est comme si c'était mon petit bébé... coquin. Je lui enfile après sa culotte en plastique.

Je me loge contre elle, frottant mon sexe contre sa couche.

C'est dans cette position que le sommeil me prend, moi aussi, interrompant un moment que j'aurais voulu faire durer une vie.