Vues: 1007 Created: 2014.08.09 Mis à jour: Il ya 1 an

Une romance imprévue

Chapitre 32

Une romance imprévue 125En cette fin juillet, quelques minutes suffisent à la Ford Mustang, conduite avec brio par Chantal, pour rejoindre le studio de la jeune femme. Je suis un peu énervé par le côté medfet de ma copine et le fait qu'elle me mène par le bout du nez, pour ne pas dire de la queue. D'une voie plaintive, je demande à ma copine: "Pour mon dernier jour avant mon départ, est-ce-qu'on ne pourrait pas tout simplement faire l'amour". Chantal défend son projet: "On va juste s'amuser un peu,...je vais me déguiser en mère de famille californienne vicelarde et je te parlerai uniquement en anglais,...j'ai compris que tu fais de l'anglais en plus de ton droit, alors ca ne devrait pas te poser de problèmes,.et après on baisera comme des dingues et je t'apprendrai un truc assez génial, d'accord Honey? " J'ai toujours un peu cette impression que Chantal me traite comme un enfant, mais je me laisse faire. Chantal revient à son projet:".dis moi, est-ce-que tu te souviens des détails que ta copine californienne t'a donnés sur cette visite médIcale ? " Je réponds un peu vivement: "copine, ce n'est pas ma copine,...je ne l'ai jamais vue en vrai…". Chantal, en train de doubler une FIAT 500 immatriculée à Rome, manifestement perdue dans les rues de la capitale, me reprend: "il y a copine et copine, non? tu m'as bien dit que c'était la plus mignonne des trois, francophile en plus et tout et tout, ….et puis n'oublie pas notre pacte: tu dois sauter les trois filles, plus la mère, sinon je ne veux plus te voir,...OK Honey?" J'essaie de me remémorer les propos de la petite Californienne: "elle a juste dit que sa mère allait nous peser, puis nous examiner rapidement avant de finir par nous mettre un thermomètre dans le cul". Chantal rigole franchement: "Le thermomètre dans le cul, c'est ca qui t'a marqué, hein Honey,...pour te peser, on aurait dû aller au cabinet et pas à mon studio,...enfin, je pense qu'on peux oublier ce détail ,...au fait, est-ce-que tu connais la taille et ton poids en mesures anglosaxonnes ? J'ai beaucoup fait l'exercice avec une prof ftnalement pas si débile et je réponds du tac au tac: "six feet, one hundred and twenty pounds". Chantal commente: "Je suis sûre que la maman va vouloir te faire gagner "twenty pounds" pendant ton séjour….Personnellement, je ne serais pas contre, j'en ai un peu marre de baiser un squelette" Je suis un peu vexé et demande à Chantal: "C'est vrai, tu me trouves vraiment trop maigre ?". "Mais non, m'assure sans conviction ma copine, je blague". Chantal gare avec précaution sa luxueuse voiture dans le box qui lui est attribué au sous-sol de son immeuble. Alors que nous gagnons le studio, Chantal tient à me raconter une anecdote: " quand je suis arrivée à Harvard, une étudiante m'a dit "I want a guy with a double six". Comme une conne, j'ai dû lui demander de m'expliquer. C'était assez évident: a guy, six feet tall with a six inches penis". On arrive devant le studio, je me dis que Chantal a encore beaucoup de choses à m'apprendre.Une fois dans le studio, Chantal veux organiser sa "visite médicale". Elle commence, comme annoncé, par se déguiser en American Mom. Sans aucune pudeur a mon égard, elle se débarrasse de ses vêtements, y compris son soutif, et enfile le short mini qu'elle portait pour notre départ en Alsace ainsi qu'un Tshirt "fruits of the loom". "Je pense que la dame restera habillée "casual"...tu verras, en Amérique, surtout en Californie, les nanas se baladent toute la journée en short " Je reste en plan, hésitant sur la conduite à tenir. Chantal m'interpelle: "Allez, déshabille-toi,...moi, quand je fais passer une visite, tu as vu que je mets les gens à poil dès le début, mais on va laisser à ta "Mom" la joie de te baisser le slip le moment voulu" Je me déshabille donc, gardant mon slip, un peu inquiet quant aux intentions de ma copine. Avant de commencer son examen, Chantal me prévient: "N'oublie pas que tu as trois nanas, sans doute passablement excitées et déjà amoureuses de toi, qui observent l'examen et qui ne perdent pas une miette du spectacle". Ma copine,, qui a chaussé son stéthoscope, vraiment craquante avec son short et son Tshirt qui laisse ses seins libres, se place face à moi. "on a dit un examen rapide, alors on peut rester debout, face à face" J'ai droit à une auscultation en règle. A son habitude, Chantal promène le disque de son instrument sur mon torse, puis écoute plus particulièrement un endroit qui semble l'intéresser. Comme promis, ma girlfriend me donne ses instructions en anglais, et commente éventuellement dans cette même langue. " your heart seems to be running pretty fast,...did not you tell us your girlfriend is a doctor, ...I hope she takes good care of your heart" .Une nouvelle fois, l'idée de me faire un électrocardiogramme revient sur le tapis. Chantal déguisée ajoute à mon trouble quand elle annonce: " I have got all the equipement for that, we could do it any time" "Ne panique pas, me dit Chantal en français, j'imagine seulement" avant de me demander "Turn around for me, please". Comme lors de ses précédents examens, Chantal, cette fois en anglais, me félicite de ne pas fumer et part dans un plaidoyer anti-tabac, destinée aux filles censées être présentes: "I don't care what you do with your boyfriends, but I absoluttely forbid you to smoke, OK girls"..Satisfaite de son examen jusque là, Chantal me prend tendrement la main et m'amène face au lourd fauteuil sur le bord du quel elle s'assoie et m'invite à lui faire face, mon bas-ventre au niveau de sa tète. Ma copine palpe un instant le haut de mes cuisses et le bas de mon ventre. Je bande bêtement et pas qu'un peu. "En vrai devant la maman américaine et ses trois girls, je pense que tu feras moins le mariole" note en français ma girlfriend; Elle ajoute: "tu sais que je n'aime les petits coqs qui bandent quand je leur baisse le slip". Chantal saisit l'étoffe de mon slip et le fait tomber sur mes chevilles. Elle saisit mon sexe dressé et déclare; "Oh, that's interesting" Je ne comprends pas ce qu'elle veut dire et j'en perds mon érection.Chantal palpe, avec son habituel mélange de fermeté et de douceur ma verge, puis décalotte et recalotte plusieurs fois mon pénis. En même temps, elle s'adresse à notre public imaginaire: "So, girls, what is so special about this penis ?" Elle commente ensuite en français: "Là, je pense qu'une des nanas va réagir et va donner la réponse...tu as quand même compris ce qui se passe, la maman découvre que tu n'est pas circoncis, "cut" ,coupé, comme disent les Américains...tu sais que, en Amérique, presque tous les petits garçons sont circoncis à la naissance". Tout en poursuivant son examen par une palpation rigoureuse des testicules, Chantal poursuit sur le sujet de la circoncision: "Tu seras peut-être le premier garçon non circoncis que les trois nanas verront,.... Je pense que tu peux t'attendre à ce qu'elles viennent à tour de rôle, te tâter la queue et jouer avec ton prépuce qui va les fasciner". Toute cette histoire ne peux que renforcer mon angoisse face à cette visite médicale annoncée si, à cause de mon pénis non circoncis, je dois être tâté et tripoté comme une bête de foire par trois nanas lubriques. "Mais, ne t'inquiète pas, conclut Chantal, cela ne les empêchera certainement pas de vouloir coucher avec toi". A ce stade, ma copine m'annonce que nous en avons terminé avec cette visite médicale, sauf pour le dernier élément annoncé, le thermomètre dans le cul. "Je ne sait pas du tout comment notre chère maman voudra procéder, déclare Chantal,...elle pourrait te mettre sur le lit d'examen, à plat ventre ou sur le dos, ou, si elle veut être sympa avec son petit French boy, te prendre sur ses genoux,.... ou bien elle pourrait demander à une de ses filles de te prendre la tuture-cucul à charge de revanche pour toi de lui prendre sa température à elle". Après une hésitation, Chantal propose de me prendre la température sur ses genoux, perspective qui ne me déplait pas. Je me place sur les cuisses, charnues sinon dodues, de ma coplne. Comme elle porte son short mini, le contact de ma queue, maintenant bien dressée contre la peau nue de la jeune femme est extraordinaire, pour moi comme pour elle, du moins j'espère. Est également sensationnelle la sensation de l'insertion du thermomètre. J'ai l'impression qu'elle ne l'a jamais aussi bien enfoncé. Le sentiment de plénitude que je ressens pendant les cinq minutes de cette prise de température est au delà des mots, indescriptible, d'autant que Chantal se montre particulièrement inventive dans ces petits jeux avec le thermomètre et d'une tendresse angélique quand elle me caresse les fesses. Je sens que ma queue tendue, qui frotte désespérément contre la cuisse si douce de la jeune femme, ne pourra pas tenir beaucoup plus longtemps. Chantal a ce commentaire: "tes vilains coups de soleil sont guéris et tes petites fesses légèrement dorées sont encore plus excitantes,.." Elle ajoute, tout en me retirant le thermomètre avec une infinie délicatesse: "là, j'ai très, très envie de toi, tu sais…". La jeune femme m'indique que, pour une fois, elle va me donner le résultat, mais en mesures anglosaxonnes, à charge pour moi de convertir en degrés Celsius. Elle annonce donc, "ninety-eight,point nine", ce que je traduis par "37,2". "Bravo", me complimente Chantal qui poursuit "Chose promise, chose due, on va baiser et je vais t'apprendre un truc,...je pense que tu vas aimer"une romance imprévue 126.Chantal retrouve son coté un peu bossy pour m'inviter à m'allonger sur le lit du studio et me faire part de ses intentions. "On va faire l'amour, mais sans bouger, sans remuer,...on va attendre jusqu'à ce qu'on vienne ,...je vais me placer sur toi, je vais empaler mon vagin sur ton pénis bien dur et on ne va pas bouger, OK Honey". Ma copine joint rapidement le geste à la parole et se place sur moi dans cette "cowgirl position" que nous affectionnons tous les deux. Je suis un peu surpris, pour ne pas dire déçu, par l'initiative de Chantal qui m'avait annoncé une baise exceptionnelle. Son idée me parait un peu tordue. Alors que je sens son vagin venir à la rencontre de ma queue, je me permets d'interpeler ma copine: "Tu es sûr que ca va marcher,....pour notre dernière baise avant mon départ, on aurait pu faire autre chose, non ?" . Tout en plaçant ses mains sur ma poitrine et en commençant à jouer avec mes tétons, Chantal me répond: "D'abord, on triche un peu avec mon programme de base puisque je te caresse tes petits seins à toi, … et surtout, je voulais te montrer que si on pense très fort à l'autre, on peut jouir sans avoir à s'agiter comme des malades,...et enfin, je ne suis pas sûr que ce soit la dernière fois que l'on fait l'amour avant ton départ". Je suis un peu surpris par les paroles de Chantal, même si je sais, moi, ou crois savoir grâce à la partie de mes "visions" dont je ne lui ai pas parlé, que nous aurons encore tout le temps de baiser du fait du retard de mon avion. Pour l'heure, Chantal se tient immobile sur ma queue et moi j'aggripe les fesses de ma copine tout en m'efforçant de penser très fort à elle. "Regarde moi bien dans les yeux" me demande Chantal, qui, comme dit précédemment, caresse tendrement mes petits mamelons durs. J'ai par ailleurs une vue imprenable sur la poitrine respectable de ma girlfriend, je pense que je peux l'appeler comme ça à la veille de mon départ pour les States. Si j'essaie de penser très fort à ma copine, alors que je sens la pression de ses muscles les plus intimes sur mon sexe dur, avec cette instruction de ne pas bouger d'un pouce, une partie de mon esprit reste occupée par la visite que doit faire Chantal à mes parents ce soir, qui me préoccupe toujours. J'ai une nouvelle fois l'impression que la doctoresse lit dans mes pensées quand elle me dit de sa voix le plus douce et la plus sensuelle: "Ne pense pas à ce que tes parents vont dire ou faire ce soir,..je suis sûre que tout va bien se passer, n'oublie pas que j'ai une arme secrète pour ton père…." Tout en essayant de me concentrer sur notre baise, je ne peux m'empêcher de gamberger sur cette "arme secrète" à laquelle ma copine à déjà fait allusion. Chantal va-t-elle s'habiller de manière particulièrement sexy?...je ne suis pas sûr que ce soIt le genre d'argument de nature à faire plier mon père.J'avais un petit doute sur l'idée de Chantal et sa promesse que nous allions venir sans bouger, mais je dois rapidement reconnaitre que ma copine ne m'a pas trompé. Un ensemble de sensations s'impose à moi alors que Chantal me chevauche sans le moindre mouvement. D'abord il y a les caresses habiles de Chantal sur mes tétons dressés, puis le contact de mes mains sur les fesses, si douces au toucher, si chaudes, de ma copine, enfin et surtout cette sensation de mon pénis emprisonné dans le fourreau du vagin de ma partenaire avec la pression diabolique que lui imposent les muscles les plus intimes de ma girlfriend. Je me rends compte que mon pénis va bientôt, très bientôt, exploser en une éjaculation formidable. En même temps, la jeune femme laisse échapper une suite de soupirs de plus en plus langoureux, de plus en plus intenses. D'une voix rauque, ma copine, avec sa délicatesse, veux s'assurer que je l'accompagne bien dans ce merveilleux voyage initiatique qu'elle m'a concocté: "je ne vais pas tarder à jouir,...et toi, ca va". ;C'est juste à ce moment que j'ai un formidable orgasme et que ma semence se répand dans l'intimité de ma chère Chantal en une dizaine de jets impétueux. Ma copine jouit une fraction de seconde plus tard et tremble de tout son corps pendant un temps qui me parait très long. Même si j'étais encore puceau il y a dix jours, je suis capable d'apprécier la vigueur de l'orgasme que je viens de ressentir. "Alors, qu'est ce que tu en dis, me demande Chantal en s'effondrant sur moi, est ce que ça ne vaut pas l'orgasme indien de ma chère petite sœur,...j'espère que tu ne vas pas encore tomber dans les pommes". J'assure Chantal qu'il n'y a pas de risque de ce coté, mais l'intensité de l'orgasme que nous venons de vivre n'était sans doute pas très éloigné de celui provoqué par Solange. Nous reprenons peu à peu nos esprits, Chantal toujours sur moi, ce qui me permet de continuer à lui caresser ses fesses avec toujours autant de bonheur. Après un moment, je m'enhardis même à glisser un doigt dans l'anus de ma copine. Chantal s'en amuse: "Ne me dis pas que tu veux encore m'enculer en plus ?", Je n'y pensais pas vraiment, mais ma chère doctoresse vient de me donner une idée. "Rien ne me ferait plus plaisir,...surtout pour notre dernière baise" J'ajoute: "Je pense que je suis encore capable de t'honorer encore au moins une fois, surtout si tu m'aides un peu,....tu vois ce que je veux dire…""Je vois parfaitement ce que tu veux dire, mon petit Honey, et comme nous allons être séparés pour un long mois, je ne peux rien te refuser" déclare Chantal sur un ton passablement égrillard, tout en se redressant pour s'assoir auprès de moi toujours allongé et saisir mon pénis, flasque après sa dernière prestation. Passablement enjouée, Chantal me demande en anglais:"handjob or blowjob", ce que je suis en mesure de comprendre, même si je ne suis pas sûr d'avoir entendu ces termes. "Fais comme tu veux" dis-je à ma copine. Chantal m'annonce: "tu sais que j'adore te succer" et immédiatement prend mon pénis dans sa bouche et se met à l'œuvre. Ma copine a eu l'occasion de me succer plusieurs fois ces derniers jours et je sais qu'elle est experte dans ce domaine. Ma queue retrouve rapidement toute sa vigueur et Chantal, à regret, du moins j'espère, abandonne sa besogne; "Tu récupères vachement vite", me dit Chantal qui se place d'ores et déjà en position pour se faire sodomiser. La jeune femme se met sur le ventre sur le lit et pousse la disponibilité jusqu'à écarter elle-même ses fesses plantureuses. "Viens" me dit-elle simplement. La vue de ces splendides fesses offertes m'excitent au plus haut point. Je me place sur ma copine et je glisse ma queue dans la raie des fesses de la jeune femme, je trouve l'anus et je donne plusieurs vigoureux coups de rein pour pénétrer en plusieurs assauts successifs le rectum de Chantal. Ma copine ne peut retenir de petits cris alors que ma bite envahit peu à peu.son intimité Je sais que je lui fait mal et en suis géné. Mais Chantal elle-même m'encourage: "Tu me fais vachement mal, tu sais, mais je t'en supplie, continue,;;; j'adore cette sensation quand je te sens dans mon cul, c'est quelque chose de si fort,... vas-y, encule moi, mon amour". Ma queue va et viens maintenant en cadence dans le rectum de Chantal alors que mes mains se glissent sous son torse pour aggripper les seins de la jeune femme. Chantal gémit doucement. Je viens trop vite, comme d'habitude. Nous reprenons nos esprits sur le lit en nous tenant par la main. Chantal me dit: "C'était super,....j'aime tellement quand tu m'encules,....". Alors que nos respirations retrouvent leur rythme normal, Chantal se lève du lit et m'annonce: "J'ai une dernière chose à te montrer, seulement te montrer, n'ai pas peur, avant de te laisser rejoindre Papa et Maman et préparer ma visite". Toujours sur le lit, j'entends Chantal qui s'agite dans la salle de bain et je me demande à quelle surprise je dois m'attendre.Une romance imprévue 127Chantal n'est pas longue à revenir auprès de moi et ce qu'elle me fait découvrir m'impressionne et m'affole un peu. En effet, ma copine se présente à mes yeux entièrement nue, mais les fesses bardées de différentes lanières de cuir qui maintiennent en place un instrument que je n'ai jamais vu jusque alors, sauf peut-être sur les illustrations des œuvres du Marquis de Sade que j'ai pu feuilleter et que j'identifie rapidement comme un gode-ceinture dont la destination parait évidente. Le gode en question, vraisemblablement en latex, couleur chair, reproduit un sexe de taille respectable, en érection bien sûr. Moi qui n'ai jamais mis dans mon rectum que des thermomètres, je panique un peu lorsque j'interroge Chantal sur ses intentions concernant cet engin: "Tu ne veux quand même me mettre ce truc dans le cul ,..c'est trop gros, ca ne rentrera jamais,...je ne me suis jamais fait enculer,...je suis pas un pédé…." Amusée par ma réaction, Chantal me met son monstrueux appendice sous le nez, prend délicatement ma main pour m'inviter à apprécier la texture de celui-ci et me donne quelques indications: "Bien sûr que j'adorerais t'enculer, mon petit Honey, avec cet engin, mais je viens de te dire que pour le moment, c'était seulement pour te montrer,...en fait, cet accessoire est à la base plutôt destiné aux dames entre elles,...il me semble que, même dans Proust, que je t'invite à lire dans les meilleurs délais, un des protagonistes se demande comment font les dames entre elles,...tu as la réponse…" Fasciné par le discours de ma copine, j'écoute avec attention ses développements: "Bien sûr, ca peux aussi servir aux dames pour faire l'amour avec leurs copains,...tu te souviens que je t'ai dit que je rêvais de défoncer ton adorable petit cul…" "Et tu veux vraiment faire ca avec ce truc ? " demandé-je, toujours paniqué. "Ne viens pas tenter le diable, répond Chantal, je te répète que, aujourd'hui, c'est juste pour te montrer,...mais j'ai très, très envie d'essayer avec toi, par exemple en septembre" Elle ajoute, sur le ton pervers qu'elle sait prendre en de telles circonstances: "Je ne sais pas encore si, pour toi, ce sera une punition ou une récompense,...tu en penses quoi, Honey ? " D'une voix faible, j'articule difficilement: "Ca me semble plutôt une punition" Chantal reprend: "Va pour la punition, ...si tu reviens de LA sans avoir sauté les trois demoiselles de ta famille d'accueil, plus la maman, ton petit cul aura droit au "strapoon", c'est comme ca que ca s'appelle en anglais, et là gare à tes fesses, je crois que c'est le cas de le dire…." Je me laisse prendre au jeu de ma copine et lui demande: "Et est ce qu'il y aura une récompense ?". "Bien sûr, répond du tac au tac la jeune femme: "Si tu baises les quatre nanas, je te laisse ma Mustang, je pense la changer de toute façon" Je suis sidéré, mais plutôt satisfait, de la dernière promesse de ma girlfriend. La promesse de la Mustang me ramène au rêve éveillé dans lequel je vis depuis dix jours.Chantal se débarrasse de son attirail et me montre que le gode lui-même peut se détacher de l'ensemble pour être utilisé par la dame pour se faire plaisir. D'un ton désolé, elle me dit: "Je pense que tu réalises que je risque d'avoir besoin de ce joujou pendant que tu t'enverras en l'air avec tes petites Californiennes,...mais je ne veux pas te priver des avantages de ce voyage initiatique,.. j'espère que tu apprendras plein de chose dont tu me fera profiter à ton retour". C'est normalement la dernière fois que nous nous voyons avant mon départ, si on excepte la visite "protocolaire" à mes parents ce soir. A ce sujet, je confirme à Chantal que, alors que c'est ma mère qui est au départ la plus enthousiaste à notre relation, la qualifiant de "conte de fée", c'est mon père qui semble le plus favorable à ce que je la rejoigne à Strasbourg pour y faire les Sciences Po locales au motif que cela me dégourdirait un peu. Pour ma part, j'ai cru comprendre que, si notre relation se maintient, je peux espérer assister prochainement le père de Chantal dans ses affaires et que mon avenir sera de toute façon assuré. La promesse de Chantal de me laisser sa splendide voiture me confirme bien que je suis, comme disait ma chère maman, dans un conte de fée.Sur le seuil du studio, Chantal m'assure vouloir éviter les adieux déchirants et se déclare convaincue que tout ira bien et que notre amour triomphera de ce mois de séparation. j'ai pour ma part une petite angoisse quand je pense que, il y a un mois justement, j'ignorais jusqu'à l'existence de Chantal. "Je t'aime très fort, tu sais" me dit Chantal en m'embrassant avec, me semble-t-il, plus de tendresse que de sensualité érotique. Je suis un peu gêné de ne pas annoncer à Chantal que d'après les visions dont sa sœur m'a gratifié, nous aurons vingt-quatre heures de plus pour batifoler du fait du retard de l'avion. C'est donc avec un mélange d'inquiétude et de relative sérénité que je regagne le domicile familial. Mon esprit continue de battre la campagne. Et si Chantal se trouvait un autre mec, plus proche d'elle en âge et plus en rapport avec son milieu où je me sens un peu étranger et un peu gêné de voir ces gens qui ont un rapport à l'argent si différent de celui que j'ai connu jusqu'ici ? Mais, d'un autre coté, c'est Chantal qui a tenu à me présenter à ses parents et à faire la connaissance des miens, ce qui semble indiquer qu'elle croit au sérieux de notre histoire. Réfléchissant à la situation, j'arrive à la conclusion que j'aime Chantal parce que je me sens bien avec elle et parce que c'est elle qui m'a tout appris Les dix jours qui viennent de se passer ont été merveilleux et m'ont convaincu que c'est bien Chantal qui pourrait être la femme de ma vie.; Dans le même temps, l'image du "strapoon" que m'a montrée ma copine ce soir me poursuit et je n'arrive pas à chasser de mon esprit la question que je n'ai pas osé poser à ma girlfrriend: a-t-elle fait usage de cet accessoire avec sa sœur Solange.? .Une romance imprévue 128Je rejoins mes parents pour le diner familial, le dernier avant mon départ et le prélude à la visite annoncée de Chantal. Je me sens largement soulagé que mes parents aient laissé ma petite sœur en Normandie chez une copine pour la retrouver demain après m'avoir largué à l'aéroport, même si elle n'a pas cessé de me charrier parce que je n'avais pas de copine. Je me demande si Chantal ne va pas trouver mes parents trop "ploucs" pour ne pas dire trop pauvres par rapport au milieu dans lequel elle vit. J'avoue que, par ailleurs, l'image du "strapoon" qu'elle m'a montré continue de me poursuivre. A-t-elle vraiment l'intention d'en faire usage dans nos jeux érotiques, en bref de me le mettre dans le cul? l'idée me fait un peu peur, même si je conçois que se faire sodomiser par sa copine avec un tel engin ne remettrait pas forcément en cause ma virilité. Mon père commente la prochaine visite: "Elle pousse un peu, ta copine? je pense que je peux l'appeler comme ca, non?...Qu'a-t-elle de si important à nous dire qui ne puisse attendre le mois de septembre….A-t-elle peur que tu fasses une fugue au Mexique ou ailleurs? On dirait qu'elle veux vraiment te mettre le grapin dessus….A priori, c'est pourtant toi qui pourrais faire un beau mariage si elle est si riche que ca" J'essaie maladroitement de défendre Chantal: "Je crois que c'est parce que j'ai vu ses parents qu'elle veux vous voir…" Mon père a soudain une illumination: "Elle n'est pas enceinte, au moins ?" A ses mots , je manque m'étouffer avec ma soupe. Je crois que nous n'avons jamais évoqué la question avec Chantal même si au moment de l'orgasme, elle a pu me demander de lui faire un enfant. Mais j'ai soudain un doute. Mes connaissances en médecine sont limitées, mais d'après ce que j'ai entendu de copains ou copines concernés par le problème, j'ai retenu qu'il faut un certain temps à une fille pour découvrir qu'elle est enceinte. Il me semble que les dix jours que nous avons passés ensemble sont trop brefs pour ce cas de figure. D'une voix faible, je réponds à mon père: "Pas que je sache". Ma mère me parait un peu perdue dans ses fantasmes: "Un bébé dans la famille, ce serait merveilleux,....moi qui craignait de ne jamais être grand-mère." Pour ma part, j'ai beaucoup de mal à m'imaginer en père de famille même si j'ai soudain un doute: on a quand même bien baisé, je ne sais même pas si Chantal prend la pilule. Un silence un peu pesant s'installe autour de la table familiale.Chantal a parlé d'une arme secrète pour "séduire" mon père. Je crois disposer également d'un argument en faveur de ma copine et de notre liaison. Je me lance au moment du dessert et j'annonce: "Tu sais, papa, les deux milles francs ( note de l'auteur: je rappelle que nous sommes en 1972, trente ans avant l'instauration de l'Euro, et que, en terme de pouvoir d'achat un franc de l'époque correspond plus ou moins à un Euro d'aujourd'hui) que tu m'a donnés comme argent de poche pour mon voyage,...eh bien, je voudrais te les rendre…" "Mais tu es fou, réagit mon père, tu auras besoin de cet argent là-bas ….et crois moi, je regrette de ne pas pouvoir te donner plus"; Je fais alors cette révélation: "C'est que la mère de Chantal m'a donné une enveloppe en me disant que c'était quelques dollars qu'elle avait trouvés dans les poches de ses habits, puisqu'ils vont souvent en Amérique,...et en fait, il y en a pour plus de 2000 dollars". Mon père est impressionné: "Mais ca fait plus de 10000 Francs, C'est de la folie,...Tu ne vas pas emmener tout cet argent,...tu aurais dû refuser." J'arrive à répondre: "Je crois que c'est là que je les aurais vexé, papa,...Je crois que ces gens ont un rapport à l'argent différent du notre,...et j'espère que vous pourrez en profiter". Mon père semble abasourdi, tétanisé par ce qu'il lui arrive. Puis il se calme peu à peu. Un pale sourire apparait sur son visage et il me dit: "Je te remercie vraiment pour ces deux milles francs, ca paiera, au moins en partie, les réparations de la voiture". Il ajoute: "on dirait que, grâce à toi, ...et à Chantal, nous allons enregistrer des changements positifs dans notre vie, même si j'en suis un peu gêné". Ma mère a ce seul commentaire: "le conte de fée continue"La vieille horloge du salon sonne neuf heures et quelques secondes plus tard la sonnette de la porte d'entrée se fait entendre. C'est Chantal. Elle porte un ensemble bleu pale avec une jupe à peine mini, très BCBG, qui la rajeunie encore, si c'est possible. Ma copine a amené des fleurs pour Maman. Le cœur battant, je fais les présentations. Nous nous asseyons au salon autour d'une table basse. "Vous prendrez bien du thé" propose Maman depuis la cuisine. "Volontiers" répond sagement Chantal pendant que je l'invite à prendre un petit gâteau. Ma mère arrive avec la théière et s'installe. On entendrait une mouche voler. Mon père veut lancer la conversation: "Vous êtes médecin, si j'ai bien compris, mais vous faites si jeune". C'est alors que ma mère et moi avons la surprise d'entendre Chantal répondre à mon père en suédois, sa langue maternelle. Mon père, d'abord surpris, se prend rapidement au jeu et c'est un dialogue dans la langue scandinave qui s'instaure rapidement; Ma mère et moi sommes stupéfaits, nous comprenons tous les deux à peu prés le suédois du fait de nos nombreux voyages dans le pays, mais le parlons difficilement; Nous arrivons tout deux à comprendre l'essentiel de la conversation, et c'est Chantal elle-même qui a intervalles irréguliers nous fait part de la substance de la discussion; Mon père évoque ses racines en Suède, sa venue en France, sa rencontre avec ma mère et parle beaucoup de moi, de mes études et évoque ma peur des médecins, demandant à Chantal comment elle compte gérer cela. Mon père est visiblement sous le charme. c'était donc cela l'arme secrète de Chantal. Je suis complétement bluffé, je ne savais pas que Chantal parlait le suédois. Par égard pour ma mère, la conversation revient au français pour évoquer ce qui se passera en septembre. A cette occasion, je découvre que Chantal a déjà prévu que, si je m'inscris à Sciences Po Strasbourg, je pourrais cohabiter avec Solange et elle-même dans le grand appartement dont dispose la famille dans le centre de Strasbourg. Je repense un instant à l'offre explicite de "ménage à trois" que m'a faite Chantal. Je suis surpris de la facilité avec laquelle mes parents semblent se rallier à cette idée. Chantal indique que mon installation à Strasbourg pourrait être l'occasion d'une rencontre entre nos parents respectifs en Alsace. L'heure tourne et Chantal se prépare à rentrer chez elle. C'est alors que, à ma surprise, ma mère lui propose de passer cette dernière nuit avec moi, ici dans ma chambre. Chantal commence par refuser, puis se laisse convaincre. Elle précise cependant qu'elle devra partir tôt demain matin et ne pourra nous accompagner à l'aéroport, car elle doit rencontrer le médecin dont elle assure le remplacement. Je suis sidéré, mais ravi, du développement de la situation...Texte ▲ https://fr.zity.biz/index.php?mx=docs;ox=showpart;idp=15213 ▲

Comments

Drzakou Il ya 5 ans  
dudu Il ya 5 ans  
clyso Il ya 5 ans  
clyso Il ya 5 ans