Alain70


Vues: 904 Created: 2008.01.19 Mis à jour: 2008.01.19

Marie, jeune fille au pair

Chapitre 2

Petite culotte de coton rose, tee shirt blanc, Marie déambulait dans sa chambre. La musique était douce, le soleil passait à travers les stores de la fenêtre. C'était une belle journée de printemps. Cela faisait déjà 6 mois qu'elle avait commencé son job de jeune fille au pair chez Madame Williams à Londres. Elle s'y plaisait bien. Très bien même... Ce plaisir était renforcé par une complicité assez forte, bien que particulière avec sa patronne. Madame Williams et Marie étaient amantes. Madame Williams avait une vie privée assez mouvementée. Un mari absent, quelques amants de passages... et Marie. Madame Williams était très portée sur les jeux de soumissions et de domination. Marie, bien que découvrant ce domaine très spécial appréciait aussi beaucoup leurs jeux. Au-delà du côté sexuel de leur relation, une amitié et une attirance sincère se construisait.

Marie s'allongea sur son lit et se plongea dans le roman qu'elle dévorait actuellement. Le soleil se projetait, par bandes alternées, sur sa belle peau blanche. La journée s'annonçait calme.

Elle devait retrouver Madame Williams à 16h pour faire un peu de shopping. Madame Williams lui avait promis quelques petits sous-vêtements affriolants. Soudain, le téléphone sonna.

C'était Sophie, une amie de très longue date de Marie. Elle était à Londres pour quelques jours. Une réunion d'affaire. Sophie faisait des études de finances. Elle était brune au carré, les yeux bleus, et assez petite, mais elle avait des formes généreuses. Elles se connaissaient depuis la première année du collège. Et depuis, même si elle passaient beaucoup moins de temps ensemble, elles étaient toujours en excellents termes. Sophie et Marie se retrouvaient souvent pour partir ensemble durant les grandes vacances, pour visiter ici et là quelques capitales européennes. C'est Sophie qui lança l'idée :

« Une soirée pyjama ? comme au bon vieux temps ? C'est une idée très sympa » répondit Sophie qui était plus que ravie de retrouver son amie et de passer toute une nuit à discuter.

Elles fixèrent la date au lendemain. Sophie resterait dormir à la maison. Madame Williams avait donné son accord. Le lendemain, quand Sophie franchit le pas de la grande porte, elles passèrent quelques minutes à se toucher, s'embrasser, comme deux adolescentes un peu excitées, un peu gamines...Sophie sortait de sa réunion. Elle était encore en tailleur noir.

Marie se moqua un peu d'elle. Elles prirent un repas rapide et Sophie suivit Marie dans sa chambre. Sophie fut impressionnée par la taille et le luxe de la chambre. Elles se mirent rapidement à l'aise et commencèrent à discuter. Sophie était en tailleur su le lit, simplement vêtue d'un petit short de molleton rose et d'un haut assorti. Marie était debout, elle avait un pantalon de pyjama gris et un débardeur blanc. Elle s'assit sur le lit, près de Sophie. Marie avait décidé de rapidement lui avouer son petit problème, et ce, de la manière la plus naturelle possible. Entre copines de longue date, elles pouvaient tout se dire. Elle prit son inspiration et commença.

« Écoute, Sophie, il faut que je te dise quelque chose d'assez intime, j'ai un petit souci maintenant, j'espère que tu ne te moqueras pas... » « Non, va y, dis-moi, qu'y a-il ? ce n'est pas grave j'espère ? » Sophie avait pris un air grave.

« Mais non, ne t'inquiète pas ! Ce n'est rien, enfin, rien... Si, c'est un peu ennuyeux....bon, voilà...Ça va te paraître bizarre, mais j'ai des petits soucis la nuit...En fait, il se trouve que je refais pipi au lit » « Ha bon ? » Sophie était très étonnée « tu refais pipi au lit ? à cause de quoi ? » « je l'ignore, ça m'a prit depuis mon arrivée ici, je pense que c'est du au changement de vie où quelque chose comme ça... » Marie était contente de pouvoir enfin en parler à quelqu'un. Elle se sentait un peu soulagée.

Sophie semblait comprendre son amie. Comment cela aurait-il pu en être autrement ? Marie enchaîna alors.

« Le problème c'est que maintenant, je suis obligée de... heu....hum, voilà, je suis obligée de porter des couches la nuit...Alors ne te moque pas s'il te plait » « Des couches ? non, ma chérie, ne t'inquiète pas, je ne me moque pas, ce n'est pas drôle ! ».

Sophie lui prit les mains.

Marie était un peu plus libérée. Ça y est ! Elle l'avait annoncée à son amie. Sophie enchaîna « alors maintenant, tu mets des couches toutes les nuits ? c'est ça ? ».

« Oui, toutes les nuits. C'est devenu systématique et je ne peux rien y faire... » « Ma pauvre...Tu es allée voir un médecin ? » Marie ne voulu pas rentrer dans les détails. Elle mentit « oui, mais ils ne savent pas trop...ils m'ont dis que ça allais passer, et qu'en attendant, les couches étaient une solution. » Sophie sembla convaincue. Marie se leva du lit. « Bon eh bien d'ailleurs, je vais aller en chercher une, avant de commencer notre petite nuit de souvenirs ! comme ça je serai fin prête » Marie se dirigea vers son placard. Elle l'ouvrit. En bas, le paquet de couche était ouvert, « presque fini, il va falloir que j'en rachète » pensa Marie. Elle tira un change complet du paquet.

Puis elle se dirigea vers la salle de bain. « Je reviens » dit elle en souriant à Sophie. Sophie la regardait aussi en souriant de manière complice. Dans la salle de bain, Marie baissa son pantalon. Elle retira aussi sa petite culotte. Elle déplia la couche et l'enfila. Elle n'était pas très à l'aise. Elle avait l'habitude de la mettre allongée sur son lit ou de se faire langer par Madame Williams...Elle réussi toutefois à l'enfiler. Elle était un peu trop serrée, mais bon...La couche allait un peu se détendre durant la soirée. Elle remonta son pantalon de pyjama puis sorti de la salle de bain.

Sophie était toujours sur le lit. Elle tenait un des changes complet de Marie à la main. « Ça ressemble beaucoup aux couches Pampers ce truc ! » « Oui, c'est exactement pareil, mais c'est pour les grands...Et c'est sans les p'tits dessins dessus... » Marie vint s'asseoir sur le lit auprès de son amie.

Sophie la regarda « ayé ? tu as une couche là ? » Marie prit une voix enfantine « oui, j'ai mis ma couche toute seule comme une grande ! » Elles rirent. Sophie regarda la couche qu'elle tenait à la main un peu plus en détail. Elle semblait intriguée. Elle commença à la déplier. « Ça se met comment ce truc ? c'est grand quand même non ? » « Non, ça paraît grand, mais en fait, c'est ta taille, bon arrête de jouer avec ou tu y a droit ! je te la mets de force et là tu verras si elle te va ou non ! » Elles se remirent à rire. Toujours d'humeur joyeuse, Sophie insistait « eh oui, regarde, il y a la taille dessus...là c'est M. dis donc, c'est un peu comme pour les fringues ! » Marie prit la couche des mains de son amie, elle regarda Sophie les yeux rieurs. Et sur un ton qui se voulait plus sérieux, mais qui ne faisait guère illusion, elle lui lança « Bon, Sophie, ça suffit ! tu l'as mérité ! je te la mets ! tu vas voir ce que ça fait ! tu n'as qu'à pas te moquer ! » et joignant le geste à la parole, elle commença à tirer sur le petit short de Sophie. Dans le jeu, Sophie fit mine de se débattre « attends, attends, tu vas me le déchirer, c'est fragile !! » « Tu n'en aura plus besoin avec ta couche » rétorqua Marie entre deux éclats de rires.

Finalement Sophie arrêta Marie. « Bon, ok ok, je le retire...Donne-moi la couche, je vais la mettre » «ha mais non ma chérie, c'est moi qui te la mets ! Tu ne sais pas comment on fait ! T'es pas assez grande toi ! » pour la seconde partie de cette phrase, marie avait repris un ton enfantin.

Sophie baissa son petit short. Elle découvrit un petit pubis poilu brun.

« Soulève tes fesses, vilaine » ordonna Marie. De bon gré, Sophie s'exécuta. Marie glissa la couche sous ses fesses. Elle rabattit le change sur le ventre de Sophie, saisie le premier coté et scotcha l'adhésif du bas. Puis tira sur le côté opposé et scotcha le second adhésif du bas.

Elle fit de même pour les deux du haut puis contempla son travail. Devant elle, Sophie, sa meilleure amie était simplement vêtue d'un change complet et d'un petit haut en molleton.

« tu vois, c'est la bonne taille ! elle te va très bien ! tu est un beau bébé ! bon, ça me décomplexe un peu, ça. Je vais retirer mon bas de pyjama moi, j'ai un peu chaud à force de rigoler... » Marie baissa alors son pantalon, laissant apparaître sa couche blanche. De son côté Sophie s'était levé et marchait avec sa couche « c'est marrant comme truc, on la sent bien quand même hein ? » « Ce sont des couches assez épaisses. Ce sont des couches pour la nuit. Pour le jour c'est plus fin. » Marie rougit...et bégaya... « Enfin, de ce que j'en sais.... ». Elle n'alla bien sur pas plus loin. Elle n'était pas sensée aussi porter des couches la journée...Ca c'était juste entre elle et sa maîtresse.

La soirée allait commencer. Marie sortit l'album photo. Elles s'allongèrent sur le lit et commencèrent à feuilleter leurs souvenirs. Bien plus tard dans la nuit, après de nombreux fous rires, elles s'endormirent sous la couette, chacune avec son change complet. Le lendemain matin, après une longue grasse matinée, Marie ouvrit les yeux. Elle s'étira un peu.

À côté d'elle Sophie était allongée sur le ventre et dormait encore profondément. Marie souleva doucement la couette. Elle pouvait ainsi observer à loisir sa meilleure amie, quasiment nue, avec la couche qu'elle avait porté durant toute la nuit. Marie trouva Sophie belle ainsi.

Sophie se retourna et se mit en position latérale. Sa couche fit un bruit de froissement caractéristique qui excita un peu Marie. Elle se mit à imaginer Sophie attachée, comme elle, aux mains de Madame Williams... « Elle serait paniquée » pensa t elle...

Quelques minutes plus tard, Sophie s'éveilla...Elle s'étira aussi longuement. Elle regarda Marie et lui dis «bon, bonne nouvelle, j'ai pas fait pipi dans ma couche...et toi ? » Marie répondit qu'elle, c'était toutes les nuits qu'elle pissait dans sa couche. Elle se leva et parti à la salle de bain, sa couche humide aux fesses. Elle jeta sa couche sale et passa sous la douche pour se réveiller. Quand elle sortit de la salle de bain, Sophie était toujours étendue sur le lit, avec sa couche, les yeux perdus dans le vague. Elle se réveillait doucement.

-« j'ai trop bien dormi moi...et toi ? » - « moi aussi » répondit Marie, « alors ? ça fait quoi de remettre des couches ? » - « Bof, t'oublie rapidement, tu la sens quand tu te réveilles la nuit quoi...c'est marrant, mais même si je ne fait plus pipi au lit depuis longtemp, on se sent plus en sécurité quand on dort avec une couche...c'est bizarre... » Sophie se leva et s'étira...Elle était belle. Elle s'assoit sur le lit et reste les yeux dans le vague, quelques instants. Elle semblait reculer le moment ou elle allait devoir retirer sa couche.

Soudain, elle se leva. » Bon, il faut que j'aille travailler moi... ». Elle descotcha les adhésifs de sa couche qui tomba à ses pieds. La couche était sèche. Elle mit rapidement sa petite culotte de satin noir, sa jupe. Elle chercha un peu son soutien gorge dans son sac. Elle le sortie, l'enfila, en ajustant ses gros seins rond. Elle enfila une chemise grise en satin puis finit par ses dim up. Sophie était prête à aller travailler. De son coté, Marie était aussi habillée. Elle était simplement vêtue d'un jean et tee shirt blanc qui lui moulait avantageusement la poitrine.

Elles descendent jusqu'à la porte et s'embrasse. Marie voit Sophie s'éloigner vers Hide park, toute belle toute pimpante. Elle la revoit avec sa couche ce matin...

Marie remonte dans sa chambre. Elle sait que Madame Williams souhaite qu'elle porte une couche dans la journée. Alors elle ouvre son placard. En bas, près du paquet de Tena slip maxi, deux paquets sont aussi ouverts : un paquet de drynites pour 40-60 kg et un paquet de Tena slip super. Ce sont ses couches pour le jour. Elle saisi un change complet. Puis, rapidement, elle baisse son jean et sa petite culotte blanche en dentelles. La culotte au niveau des genoux, elle s'assied les fesses à l'air sur le lit, déplie la couche et la glisse sous ses fesses. Elle rabat rapidement la couche et scotche les adhésifs. Elle remonte sa petite culotte de satin par-dessus, puis son jean. Elle le reboutonne. Pour un œil expérimenté, la couche se devine. Pour les autres, qui pourrait imaginer qu'elle porte une couche sous son jean ? pour plus de précaution, Marie enfile un pull ample qui lui descend à mi-fesse. Ainsi vêtue elle part se promener. Elle avait rendez-vous avec Madame Williams. Durant l'après-midi, elle se promenèrent dans Londres faisant un peu de shopping. Elles dînèrent même en ville. Pendant toute la journée, Madame williams savait que marie portait sa couche. Elle n'avait pas besoin de vérifier. Pas encore. C'est quand elles rentrèrent que Madame Williams pu observer que marie lui obéissait bien. Elles montèrent dans la chambre de marie. Madame Williams ordonna à marie de se déshabiller. Lentement...Marie commença par retirer son pull, puis son tee shirt.

Elle ôta son jean. Madame williams pu ainsi observer marie en chaussettes, soutien gorge et en petite culotte. Dépassant de sa petite culotte, on distinguait parfaitement le change complet de marie.

« c'est bien ma chérie, tu as bien mis ta couche. Retire tes sous-vêtements maintenant mon bébé ». marie s'exécute. Elle dégrafe son soutien gorge. Ses deux seins rond font face à madame williams. Elle retire ses chaussettes, puis baisse sa petite culotte.

« ta couche est propre ou tu en veux une autres ? » « elle est propre, mais j'ai envie de faire pipi » « Très bien. Si elle est propre, tu la garde. Pour ton envie de pipi, tu le sais, tu as ta couche.

Maintenant, Mets toi à quatre patte ma chérie. » Marie s'exécute. Madame williams mis une laisse autour du cou de marie, qui était, à ses pieds. Elle s'asseya sur le bord du lit. Elle lui fourra dans la bouche un bâillon boule rouge, qu'elle serra derrière la nuque de Marie. Elle regarda marie, à quatre pattes, sa couche-culotte aux fesses et son bâillon boule dans la bouche. Elle tira un peu sur la laisse, ce qui eu pour effet de rapprocher marie. Madame williams lui tapota doucement le dessus de la tête. « Tu es une bonne fifille. Tu es sage mon bébé. Maintenant, lève-toi et retourne-toi »Marie s'exécute. Madame williams lui menottes les poignets dans le dos. Elle sens l'acier froid. Madame williams se lève. Elle tire marie par sa laisse. Marie la suit debout, juste vêtue de sa couche, les mains menottées dans le dos.

Madame Williams l'entraîna dans sa chambre. Elle la tire dans un coin de sa chambre. C'est l'endroit ou se trouve le placard. C'est un long placard en bois incrusté dans le mur. Les portes sont en fait des persiennes ou le jour passe. Madame Williams fait coulisser la porte. A cet endroit la penderie est vide. Madame Williams pousse Marie à l'intérieur et attache sa laisse au montant de la penderie. Debout, les mains dans le dos, Marie ne peut pas bouger la tête à cause de son collier attaché à la tringle verticale. Madame Williams mets le doigt sur le bâillon boule de Marie. Elle essuya un peu de bave qui coulait. « Voilà ma chérie, toi, tu restes bien sage, et moi, je vais me faire sauter... » Sur ces paroles, elle ferma la porte du placard.

Marie pouvait entr'apercevoir la chambre à travers les persiennes.

Quelques minutes passèrent. Soudain, elle entend du bruit. La porte s'ouvre. Un homme, assez grand, d'une cinquantaine d'année entre dans la pièce, suivie de Madame Williams, très belle, en tailleur noir et chemise anthracite. « Elle est vraiment classe » pense Marie. Lui est habillé en costume sombre. Il commence à la prendre dans ses bras. Il la caresse par-dessus sa jupe. Il lui retire sa veste, qui tombe à ses pieds. Elle fait de même. Ils s'allongent sur le lit.

Marie voit tout. Elle voit l'homme qui continue de déshabiller Madame Williams tout en la caressant et l'embrassant. Ils sont en sous-vêtement. Madame Williams a de beau porte- jarretelles noir. L'homme est nu. Il retourne Madame Williams. Marie voit l'homme qui sort une paire de menotte du tiroir de la commode. Il menotte alors Madame Williams. Elle a les mains dans le dos. Elle est à quatre pattes sur le lit, la tête dans l'oreiller et les mains menottées dans le dos. L'homme lui baisse alors son string noir et commence à la prendre par derrière.

Marie entend l'homme insulter Madame Williams. « Alors petite pute, tu aimes ça hein te faire baiser comme une chienne ». L'homme prend le string de Madame Williams et lui enfonce dans la bouche. Puis il lui attache solidement un foulard pour la bâillonner. Il se remet en position et continue de la sauter. Madame Williams gémit sous son bâillon, elle tire sur ses menottes. L'homme continue. Marie ne perd aucune miette du spectacle. Elle se tortille dans sa couche, elle est très excitée, mais ne peut pas se caresser à cause de ses menottes.

L'homme retourne Madame Williams, toujours en train de gémir sous son bâillon, elle le regarde, le regard brillant. Il continue de la sauter, violement. Il l'insulte.

Ils firent l'amour pendant quelque temps encore. Marie avait fait pipi dans sa couche à force d'attendre. L'homme partit et madame williams se rhabilla, lentement. Elle ouvrit le placard, retira juste les menottes de marie et la laissa seule, ridicule avec sa laisse, son bâillon et sa couche-culotte Tena toute mouillée.

Marie retira son bâillon seule, et détacha le collier de sa laisse. Elle était seule dans la chambre...un peu honteuse, elle rentra dans sa chambre rapidement. Elle se doucha, mis une couche de nuit propre, une Tena slip maxi et s'endormi rapidement.