Alain70


Vues: 896 Created: 2008.01.19 Mis à jour: 2008.01.19

Marie, jeune fille au pair

Chapitre 4

Le lendemain matin, Marie et Mathieu échangèrent assez peu durant le petit-déjeuner. Ils étaient tous les deux un peu gênés, l'excitation était retombée, le ciel était gris, ils ne l'étaient plus et il fallait aller travailler... La radio passa une vieille chanson d'Aznavour, interrompue par le flash info. Le petit-déjeuner terminé, ils se préparèrent rapidement et descendirent les escaliers. Dans la rue, en se dirigeant vers la bouche de métro la plus proche, ils échangèrent quelques banalités. Le trajet dans le métro bondé ne se prêtait pas vraiment à la discussion. Ils avaient prévu, comme deux amants débutants, d'arriver un peu décalé, pour ne pas que les collègues jasent trop sur leur cas.

Ils se croisèrent assez peu durant la journée et durant les jours suivants. Marie ne savait plus vraiment comment aborder Mathieu de nouveau. Lui de son côté semblait assez gêné de croiser Marie. Physiquement, elle l'attirait pourtant toujours autant. C'était la première fois qu'il sortait avec une fille aussi jolie, mais à chaque fois qu'il la croisait, il ne savait pas quoi dire. Marie n'était pas amoureuse, mais Mathieu lui avait semblé être un partenaire bien sympathique. S'était elle trompée ? Avait-elle été trop loin rapidement ? Madame Williams manquait à Marie. C'est elle qui lui avait fait découvrir que les rapports entre dominés et dominants pouvaient être un jeu sexuel bien agréable. C'est elle aussi qui lui avait montré l'importance de la complémentarité des deux partenaires. Les idées passaient et se bousculaient dans la tête de Marie. Comment retrouver un ou une partenaire comme madame Williams ? Le ciel s'assombrissait, Elle ne rentrerait pas à pied ce soir.

De retour à son appartement, Marie remarquât que son répondeur affichait un nouveau message. C'était encore son amie Sophie, qu'elle avait oublié de rappeler malgré son premier appel. Elle décrocha le téléphone et composa son numéro. Après une longue conversation, elles avaient décidé de manger ensemble dans la semaine. Ce fut fixé au mardi, chez Sophie.

Ce soir-là, Marie s'apprêta particulièrement, elle profita de l'occasion pour mettre sa nouvelle robe en maille grise qui lui moulait avantageusement le corps. Des collants noirs un peu épais, ses petites bottes en cuit et un petit trench beige dont elle noua la ceinture autour de la taille complétaient sa tenue pour la soirée. Enfin, elle glissa par précaution une couche culotte Tena Slip Maxi au fond de son sac à main, au cas ou elle se retrouvait à dormir chez Sophie. Voilà, Marie était prête.

Elle passa à la boulangerie prendre un dessert et partie chez son amie. Elle était réellement contente de la revoir. Sophie ouvrit la porte. Elle était superbe. Elle était vêtue d'un jean droit sombre, d'une chemise blanche et d'un pull noir que Marie devinait en cachemire. Une paire de lunettes rectangulaires en écaille lui donnait un petit air BCBG qui lui allait vraiment bien. Sophie avait intégré un fond d'investissement qui appartenait à une grande banque française. Elle gagnait très bien sa vie. Son appartement était grand, aux murs clairs et au plancher de bois sombre. Sophie était un peu plus petite et plus ronde que Marie. Elle avait un visage d'ange. Les cheveux mi long, la raie sur le coté, une petite frange et des yeux bleus lui donnait un petit air canaille qui venait contre balancer son coté si doux. Sophie lui avait manqué et elles avaient beaucoup de choses à se raconter. Elles se jetèrent dans les bras l'une et l'autre et se serrèrent tendrement. Marie se sentait bien avec Sophie, et c'était réciproque. Elles passèrent la soirée à se raconter leurs conquêtes, leurs nouveaux jobs en France et quelques souvenirs.

La soirée était bien avancée, Marie et Sophie avaient déjà vidée deux bouteilles de rosé. Elles étaient gaies et elles se sentaient bien. Les contacts corporels se faisaient plus fréquents. Au fur et à mesure de la soirée, Marie se sentait de plus en plus attirée par Sophie. Et ce n'était pas que l'alcool. Elle l'avait déjà été plusieurs fois inconsciemment, mais cette attirance n'était toujours resté qu'une pensée un peu vague. Ce soir, elle se sentait différente. Depuis Madame William, Marie savait que certaines femmes pouvaient l'attirer autant, voire plus que certains hommes. Ce soir, Marie se sentait fascinée par Sophie. Elle se savait prête mais n'osait pas vraiment sauter le pas ne sachant pas du tout comment Sophie réagirait. A deux heure du matin, les deux amis étaient complètement affalées l'une contre l'autre dans le canapé du salon. Les lunettes de Sophie traînaient sur la table basse. La fatigue était de plus en plus forte, mais elles se sentaient bien. Les mains s'effleuraient de plus en plus, les jambes se croisaient moins innocemment. Elles étaient de plus en plus tactiles et de moins en moins bavardes. Sophie avait retiré son pull et sa chemise très cintrée, au col un peu trop ouvert, laissait deviner une bretelle de soutien gorge blanc. Marie se retourna vers Sophie et lui passa la main doucement dans ses cheveux bruns.

- " tu es décoiffée ma jolie ".

Sophie ne réagit pas. Elle regardait Marie, un peu dans le vague. Alors Marie se penche et vole un baiser à Sophie. Celle-ci se laisse faire, surprise. Elle ne la repousse pas. Sentant cela, Marie retarde un peu plus le moment ou elle va quitter ses lèvres. Sophie semble aimer cela. Elle commence à lui rendre son baiser. Elles s'embrassent plus franchement. C'est si bon. Le coeur de Sophie bat la chamade. C'était la première fois qu'une fille l'embrassait. La sensation était étrange. Elle avait le goût de l'interdit. Enfin, elles se regardent. Ni l'une ni l'autre ne semblent vraiment trop gênée. Marie lui prend les mains et recommence, doucement. Sophie se laisse aller, complètement. elle se sent bien. Elle décide de s'abandonner à Marie. Elle se sent en confiance et physiquement, elle aimait ce qui lui arrivait. Elle réfléchirait plus tard. Son corps seul parlait. Maris pris alors Sophie par les hanches et commença à lui caresser les fesses. Ses mains remontèrent dans le dos, caressant sa peau, toute chaude, elle buta contre l'élastique du soutien-gorge. Les mains passèrent alors rapidement sur le devant de sa belle poitrine, sentant sous ses doigts les seins de Sophie durcir sous la dentelle du soutien gorge. Elle sent aussi poindre ses petits tétons sous le satin. Les mains douces de Marie montèrent ensuite jusqu'à sa nuque. Enfin, Marie posa ses mains sur le visage de Sophie et continua de l'embrasser tendrement. Elle commença alors à retirer la ceinture de Sophie et à déboutonner son pantalon. Sophie se laissait complètement faire, hypnotisée. Elle laissa apparaître une petite culotte blanche en satin. Elle avait maintenant le pantalon baissé à mi-cuisse. Elle avait la chair de poule. Maris le sentait sous ses doigts. Les mains de Marie remontèrent encore sous la chemise de Sophie, elle sentait son coeur battre. Elle sentait sa peau, toute douce et chaude. Marie déboutonna doucement le chemisier blanc de Sophie. Elle était en petite culotte et soutien-gorge devant elle, le jean sur les genoux. "Elle est superbe" se dit Marie... Ni l'une ni l'autre ne savaient dans quoi elles s'engageaient. Mais cela leur plaisait, cela les excitait terriblement toute les deux. Marie poussa Sophie sur le canapé et lui retira entièrement le pantalon.

- " j'ai un lit tu sais Marie " lui glissa Sophie dans l'oreille. - " Alors allons-y " lui répondit elle.

En petite culotte et soutien gorge, Sophie se leva et pris la main de Marie pour l'entraîner dans sa chambre. A ce moment, elle se jeta sur le lit et regarda son amie, encore habillée dans sa jolie robe grise. Marie s'allongea à côté d'elle. Sophie glissa sa main sur la cuisse de marie et remonta jusqu'à sa petite culotte, sous la robe. En se rapprochant, Marie colla sa poitrine contre celle de Sophie, elles s'embrassèrent. Hésitante, Sophie caressa les seins de Marie par- dessus la robe. Marie lui pris la main et l'accompagna.

- " tu aimes ça ? Tu aime me caresser les seins ?" demanda Marie ? - " oui, j'aime bien" soupira Sophie.

Sophie se mit sur le dos et marie lui monta dessus. Sophie recommença à caresser les seins de Sophie.

- " tututut... Pas si vite petite coquine ".

Marie prit les mains de Sophie et lui passa au-dessus de la tête. Avec une main, Marie tenait les poignets de Sophie. Avec l'autre elle la caressait de partout. Sophie était aux anges.

- " Pas très pratique de me caresser avec une seule main non ? " lui demanda t-elle en souriant.

- " Je ne veux pas te laisser faire, tu risquerais d'avoir les mains un peu trop baladeuses, petite vilaine... " - " Non promis " Sourit Sophie.

Marie lui alors lâcha les poignets et continua sa découverte du corps de son amie. Elle glissa doucement sa main dans sa petite culotte. Sophie se laissait faire, elle frémissait de plaisir. Quelques minutes plus tard, elles se caressaient de plus belle.

-" je prendrait des mesures la prochaine fois ! tu n'est pas très obéissante ! " souffla Marie dans l'oreille de Sophie.

- " Tu n'as qu'à m'attacher les mains... Je ne pourrais pas recommencer... " répondit Sophie la voix tremblante.

Marie était soufflée... Son amie semblait aussi aimer ces petits jeux... Elle était un peu prise au dépourvu par sa réponse. Elle lui répondit rapidement qu'on verrait cela plus tard et elles continuèrent dans un long câlin très sensuel. Sophie eu durant ce câlin le droit d'utiliser ses mains. Elle en profita grandement. Souvent, elle glissa ses doigts dans la petite culotte de Marie. C'était tout doux. Elle n'y sentait pas de poils mais la peau fraîchement épilée de son amie. Plus bas, Marie mouillait.

Elles restèrent longtemps collées l'une à l'autre après le câlin oscillant entre sommeil et demi sommeil. A un moment, marie pourtant se leva et parti s'enfermer dans la salle de bain. Elle sortit sa couche-culotte de son sac et se langea debout rapidement et maladroitement. Elle n'aimait pas mettre une couche en position verticale. Elle remonta rapidement sa petite culotte par-dessus la couche, comme pour la cacher inconsciemment à son amie et retourna dans le lit de son ami. Malgré le bruissement caractéristique de la couche, Sophie ne semblait pas réagir. Celle-ci dormait ou faisait semblant. Quand Marie s'allongea de nouveau, Sophie vint se recoller à elle, peut être de manière plus insistante encore. Elles s'endormirent pour quelques heures... Durant ce moment, la main de Sophie vint plusieurs fois effleurer, de manière plus ou moins volontaire, la couche-culotte à travers la petite culotte de dentelle de Marie.

Le matin se passa très différemment d'avec Mathieu. Les deux amies étaient réellement heureuses et complices. Elles blaguaient sur leur nuit passée ensemble.

- " Je ne te savais pas si dirigiste mademoiselle ! " lui sortit Sophie en souriant.

Marie lui répondit malicieusement qu'elle ne la savait pas si coquine...

La matinée passa rapidement et il fallut aller travailler, trouver une excuse pour son retard et recommencer à penser à autre chose... La journée fut longue. La semaine le fut encore plus. Sophie ne rappelait pas Marie. Cette dernière se posait mille questions. Avait elle été trop loin ? Sophie n'avait peut être pas aimé ? Peut être ne voulait elle plus la voir ? C'est un coup de fil vendredi soir qui interrompit son calvaire. Sophie était partie en déplacement toute la semaine et l'invitait à prendre un thé samedi après midi chez elle. Sa voix au téléphone lui avait semblée tout à fait naturelle. Elle n'était pas du tout revenue sur la soirée et Marie n'avait pas osé lancé la discussion au téléphone. Le samedi après midi, Marie alla chez son amie. Sophie semblait réellement ravie de revoir Marie. Elle avait pour l'occasion mis une petite jupe courte de laine grise, un col roulé et un collant noir. Les deux tasses de thé furent bues singulièrement vite, ce moment fut entrecoupé de regards très évocateurs. Elles avaient envie l'une de l'autre, sans tarder. Elles passèrent dans la chambre de Sophie. Les rideaux étaient déjà baissés, la lumière était tamisée. C'est Sophie qui commença à déboucler la ceinture de Marie. " j'ai beaucoup aimé la dernière fois tu sais ? " lui susurra Sophie à l'oreille. Marie ne répondit pas. Elle l'embrassa et passa sa main sous sa jupe. Elle sentit en lui caressant les cuisses que Sophie ne portait pas un collant mais des bas attachés à un porte- jarretelles. Mmmm... . Son amie avait sorti le grand jeu pour elle. La simple culotte de satin de la dernière fois était bien loin... Elles se déshabillèrent. Pas entièrement. Marie était en petite culotte et soutien gorge de dentelle rouge foncé, et Sophie avait une petite culotte de satin noir, très jolie, ses bas, son porte jarretelle et un tee shirt gris. Elle avait déjà retiré son soutien gorge. Sur le lit, un peu tremblante, Marie sortit un petit sac en plastique de son sac. Sophie était debout, devant le lit.

- " Je t'ai rapporté un petit cadeau... heu... Un peu spécial... Regarde ce que je t'ai acheté tout à l'heure... " Marie sortie l'objet du sac " tatatin ! des menottes ! " Marie n'osa pas dire à son amie qu'elle utilisait ces menottes depuis maintenant plusieurs mois... .

Marie sortie la paire de menottes en acier qu'elle avait rapporté de chez elle. Sophie sourit,.

- " Eh bien, on dirait que je vais être ta prisonnière alors ? ".

- " j'en ai bien peur oui... " - " je fais quoi alors madame ? " mmmmm Sophie l'avait appelée Madame, Marie était excitée...

" - eh bien, tu commences par me donner ton petit poignet... " Lui répondit elle en essayant d'être la plus sérieuse possible.

Sophie lui tendit son poignet. Marie lui prit. Elle lui referma le bracelet d'acier dessus.

- " retourne toi maintenant " lui demanda Marie.

Sophie s'exécuta. Elle lui saisit alors son second poignet et la menotta dans le dos.

- " Et voilà, tu es ma prisonnière ! " sourit Marie.

Sophie fit mine de se débattre en bougeant un peu ses poignets.

- " je peux faire de toi ce que je veux ! " ajoutait Marie.

Toujours debout devant le lit, Sophie se retourna vers elle et sourit :

- " c'est un programme qui me plait beaucoup. "

Sophie s'allongea sur le lit. Marie s'approche un peu plus de sa prisonnière. Elle commence à lui caresser le devant de sa petite culotte. Elle insistait doucement en descendant à l'entre jambes. Sophie ondulait en suivant le rythme donné par la main de Marie. Lentement, elle s'étire, les poignets menottés dans le dos. Les deux amies s'embrassent pendant que la main de Marie se glisse dans la petite culotte de dentelle noire de son amie. Marie retourne Sophie sur le ventre et admire ses superbes fesses à travers sa culotte. Elle prend l'élastique de sa culotte et lui baisse alors juste à mi-cuisse. Le visage contre l'oreiller, Sophie tire sur ses menottes.

- " attend, je vais mieux t'installer ma chérie, et tu va me retirer ce tee shirt "

Marie détache un poignet de Sophie. Elle lui ôte son tee shirt et l'allonge sur le dos. Elle lui reprend doucement les poignets et la menotte maintenant aux montants du lit.

- " Voilà, c'est bien comme ça " les deux gros seins de Sophie pointaient d'excitation. Oui c'est super " soupira t'elle.

- " Chut, tu ne parles pas... " - " Oups, pardon " répliqua Sophie doucement.

Marie continue de caresser Sophie qui gémit de plaisir et tire doucement sur ses menottes. Elle ondule et frotte ses cuisses l'une contre l'autre comme pour garder la main de Marie le plus près possible de son sexe chaud. Marie glisse alors la culotte de Sophie jusqu'à ses pieds et la récupère prestement. Elle en fait une boule et la fourre dans la bouche de Sophie, qui surprise de se retrouver bâillonnée avec sa propre petite culotte laisse échapper un petit cri, vite étouffé. Elle lui retire ensuite ses bas et les utilise pour lui attacher les jambes écartées aux montants du lit. Sophie est maintenant nue, il ne lui reste autours de la taille que son porte-jarretelles de dentelle noire qui ne tient plus rien. Marie sert les liens de Sophie pour l'obliger à maintenir les jambes bien écartées.

" Voilà, c'est mieux comme ça... " Lui chuchote Marie... " J'ai remarqué que tu n'étais pas très bien épilée ma chérie... " dis Marie en regardant la toison brune de Sophie. " Je crois qu'il va falloir arranger cela la prochaine fois... " Ne pouvant répondre, Sophie hocha la tête affirmativement. Marie commença alors à lécher le bout des seins de Sophie. Elle était aux anges. Sa langue explora d'autres endroits très intimes. Le câlin dura une bonne partie de l'après midi. Un bel après midi ou elles furent en symbiose. Il était 17 heures, Elles en redemandaient. Marie retira le bâillon de Sophie et se leva laissant son amie menottée sur le lit. Elle se dirigea vers la cuisine pour prendre une bouteille d'eau. Elle bu et tendit la bouteille à son amie, toujours attachée. Comme à un bébé, marie lui porta la bouteille à la bouche et l'aida à boire. Evidement, Sophie en mit un peu à coté.

" le biberon serait plus pratique " dit Marie en riant. Elle regarde maintenant son amie, toute nue, toujours menottée aux montants de son lit. Marie s'approche d'elle, s'assied sur le bord " -excuse moi Marie, mais là, j'ai envie de faire pipi " lui susurre Sophie.

" - eh bien vas y ma chérie... " " - Oui mais là, tu ferais mieux de me détacher, sinon, je vais faire pipi au lit ". souffla Sophie

Marie la regarda, plus fixement. C'était le moment d'aller plus loin. Son coeur s'accéléra. Elle décida se saisir cette perche que lui tendait Sophie. Elle approcha sa tête, lui mis la main dans les cheveux, maternelle et lui répondit doucement

-" Tu sais, si tu fais encore pipi au lit, il faut te mettre des couches mon bébé. "

Marie marqua une pause. Sophie la regardait sans rien dire. Son coeur s'accélérait.

- " Tu connais les couches n'est-ce pas? " Continua Marie. " Tu te rappelle de Londres ? tu avais dormi avec une couche le soir ou on s'était revue. ".

Ca y est Marie s'était jetée à l'eau. Elle avait eu la voix qui tremblait un peu. Comment Sophie allait-elle réagir ? Sophie rougit. Bien sûr qu'elle se souvenait de ce soir-là. Cette expérience l'avait marquée, même si elle se l'était un peu niée sur le coup. Elle avait été excitée par le fait de dormir en couche. Elle ne l'avait évidemment pas dit à Marie qui portait des couches par nécessité. C'eu été inconvenant. Mais si Marie lui proposait, pourquoi pas ? elle se sentait en confiance, mais ne savait pas trop comment réagir.

- Oui, je me rappelle. Mais là, chez moi, comme ça,... tu m'excuses mais, je n'ai pas de couche ici. " lui dit elle, pensant botter en touche.

Marie enchaîna :

- J'en ai une moi, ne t'inquiète pas...

Marie se leva et pris son sac à main. Elle en sortit une couche-culotte épaisse pliée en trois. C'était une Abriform extra plus. Sophie sentit son excitation monter d'un cran. Son coeur battait très fort. Elle frissonnait. Mais elle ne savait pas quoi dire. Marie se rapprocha du lit en dépliant la couche.

Par réflexe, Sophie voulut serrer les jambes. Mais elles étaient solidement attachées au lit

- " non arrête, tu ne va pas me mettre une couche quand même ! ".

Marie s'assit sur le lit.

- " tu faisais moins la timide à Londres dis donc ! tu préfères peut être faire pipi dans ton lit ? soulève tes fesses, et vite. Allez ! "

marie donna une petite tape sur la cuisse de Sophie. Sophie hésita et souleva ses fesses. Marie glissa la couche. Sophie sentit le change tout doux sous ses fesses. Marie prit la couche et lui plaqua sur sa petite chatte. Elle pris les adhésifs et lui mit lentement la couche en place. " Et voilà petite pisseuse, te voilà protégée ". Elle tapota sur le devant de la couche. Sophie resserra un peu les cuisses, autant que ce que lui permettaient ses liens, et sentit l'épaisseur de la couche qu'elle avait entre les jambes. Elle était toujours menottée au lit, et son envie de faire pipi était bien présente ...Marie était repartie à la cuisine porter la bouteille d'eau au réfrigérateur. Sophie se retenait de plus en plus. " Marie ! " appela Sophie, " détache-moi ! faut vraiment que j'aille aux toilettes, sérieusement ! " Marie ne cru pas utile de répondre immédiatement. Elle revint dans la chambre et lui dit pour seule réponse " tu sais Sophie, maintenant, tu as ta couche, ton beau lit ne craint plus rien ".

Sophie tira un peu sur ses menottes. Non, elle ne pouvait pas faire ça. Pas elle. Pas la jeune tradeuse qui, hier matin encore, menait de main de maître une réunion très importante face à l'ensemble de son staff. Elle sentait toujours ses poignets prisonniers de l'acier. Elle ne savait plus ou elle était, mais l'envie de faire pipi était elle, toujours bien là. Un frisson d'excitation lui parcourait tout le corps. Elle avait la chaire de poule. En tirant sur ses jambes, elle avait un peu trop serré les liens de ses chevilles. Voyant cela, Marie lui détacha complètement les jambes. " je ne veux pas que tu te bloques la circulation sanguine mon bébé ". Les jambes libres, Sophie frottait maintenant ses cuisses l'une contre l'autre, ce qui avait pour conséquence de lui faire encore plus sentir qu'elle portait désormais une couche-culotte, comme une gamine, qu'elle n'était plus. Elle ne pouvait pas se lâcher, c'était impossible. Mais avait elle le choix ? Elle hésitait de plus en plus, mais elle savait déjà qu'elle finirait par abandonner. Elle ne pouvait pas faire autrement. C'est Marie qui lui imposait ce jeu, pas elle. Elle n'avais pas le choix. Elle allait lâcher prise. Elle ne pouvait définitivement plus résister. L'envie était trop forte, elle abandonna. Elle se lâcha alors. Une douce chaleur envahit sa grosse couche. " mon dieu " pensa t-elle " qu'est ce que je suis en train de faire ? ". Elle était simplement en train de mouiller sa couche comme une gamine... elle n'en revenait pas... Marie regardait Sophie menottée au lit, quasi nue, superbe, avec sa couche qui se remplissait. Elle était aux anges.

- " Voilà " dis Sophie d'une petite voix... " je crois bien que j'ai fait pipi dans ma couche... ".

Elle était toute rouge.

- " Alors, on va changer la couche maintenant ma belle " répondit Marie.

Elle s'assit à coté d'elle.

- " Par contre, j'ai une mauvaise nouvelle pour toi. Tu as utilisé la seule couche propre que j'avais emportée... Et comme tu ne veux pas que je mouille ton lit cette nuit, je pense que tu va devoir aller me chercher un nouveau paquet de couche. Maintenant, je vais te détacher, tu vas t'habiller et descendre à la pharmacie qui est au coin de la rue. Ils en vendent. J'en ai déjà acheté en revenant de chez toi. "

Sophie était rouge d'émotion. Mais Marie ne lui laissa pas le temps de réfléchir. Avec une petite clef, elle ouvrit les menottes de Sophie.

- " Mets ton jean ma chérie, tu as 10 minutes ".

- " Attends, tu es folle, je ne sais même pas quoi choisir ! " lui dit Sophie qui se mit en position assise sur le lit.

Elle commença à déscotcher sa couche mouillée.

- " Tu te débrouilles ! Tu es grande ! " lui répondit marie en souriant malicieusement.

Sophie se leva alors rapidement du lit en prenant soin de ne pas regarder sa couche toute mouillée, encore grande ouverte sur le lit. Elle enfila sa culotte, pris un jean et ramassa son portefeuille sur un meuble de l'entrée.

En partant, Marie attrapa Sophie par la ceinture, dans le dos et lui glissa un glaçon dans la culotte.

- " Eh qu'est ce que tu fais !! tu es grave ! " - " Ca, c'est pour t'habituer ma chérie ! tu vas voir que ce n'est pas agréable d'avoir une petite culotte mouillée ! ça va te motiver pour acheter tes premières couches !! "

Elle lui sourit tendrement et la poussa dehors. Elle referma la porte. Interdite un instant, Sophie sortit alors le glaçon de sa petite culotte et le jetta sur le parquet du palier. Celle-ci était maintenant effectivement bien mouillée. Heureusement, cela ne transparaissait pas sur le jean. Ce n'était pas désagréable d'ailleurs !

Sophie descendit les escaliers, sortit dans la rue et alla jusqu'à la pharmacie. La nuit commençait à tomber. C'était l'inconvénient avec ces soirées d'automne. Elle entra dans la boutique éclairée et se dirigea vers le comptoir. Une jeune femme et une dame de cinquante ans s'affairaient derrière. " Oui ? " demanda la jeune femme, " vous désirez ? " Sophie était dans un état second. Elle bafouilla " je... je voudrait un paquet de couche pour adultes s'il vous plait. " " Quelle taille désirez vous ? c'est pour une personne alitée ou non ? " " heu... je... c'est pour une personne de taille normale " " Normal c'est quoi ? C'est comme vous ? " Sophie rougit encore plus " oui, voilà, comme moi ". La femme d'une cinquantaine d'année se retourna et jeta un coup d'oeil rapide vers Sophie par-dessus ses lunettes.

" la personne n'est pas alitée je suppose ? " demanda la jeune femme.

" je... je ne sais pas, non, enfin si, c'est pas pour moi " Pourquoi avait elle dit cela !

la dame appela la jeune femme et lui chuchota à l'oreille qu'elle ferait mieux de montrer ce qu'ils avaient comme produit. La jeune femme se retourna et demanda à Sophie de la suivre vers une des vitrines. La nuit commençait à tomber, la vitrine était éclairée. Heureusement peu de monde passait à ce moment-là dans la rue. C'était interminable pour Sophie. Marie devait bien rigoler. Dans la vitrine, Sophie crut reconnaître un paquet bleu qu'elle avait déjà vu chez Marie. Elle le montra à la pharmacienne. " c'est cela, je crois que c'est cela que prend la dame habituellement ". la jeune femme attrapa alors le paquet et le tendis à Sophie. Elle lui dit alors " ce sont des Tena Slip Maxi, effectivement, c'est pour une personne à forte incontinence, elle doit sûrement être alitée ". Rouge de honte, Sophie paya rapidement. Elle sentait la pharmacienne plus âgée la dévisager. Sophie évitait son regard. La jeune pharmacienne qui la servait n'avait pas de sac assez gros pour Sophie. Elle semblait désolé, mais Sophie était tellement pressée de quitter la boutique qu'elle lui répondit que ce n'était pas grave et elle sortit avec son gros paquet à la main. Elle remonta rapidement la rue pour se retrouver devant chez elle. Elle monta les étages quatre à quatre espérant ne croiser aucun de ses voisin. Elle avait le coeur qui battait à 100 à l'heure. Arrivée sur le palier, un peu essoufflée, elle trouva porte close. Il y avait un mot sur la porte. " je suis rentré chez moi, j'ai tes clés. rejoint moi vite. Signé Marie ". Le coeur de Sophie s'emballa. Elle se retrouvait à la porte de chez elle, coincée dehors avec un énorme paquet de couches-culottes pour adulte et elle devait traverser une bonne partie de la ville pour rejoindre son amie... Il n'était évidemment pas question d'y aller à pied. C'était beaucoup trop loin. Le métro ? pas question. Il y avait trop de monde. Ce n'était pas envisageable avec cet énorme paquet de couches. Il lui restait le taxi. D'un coté, elle maudissait Marie. De l'autre, cette situation l'excitait énormément. La gorge sèche et le coeur battant, elle descendit dans la rue à la recherche d'un taxi. Elle ne savait pas comment porter son gros paquet de couche afin qu'il se remarque le moins possible. C'était peine perdue, quelle que soit la position, il était de toute façon difficilement camouflable. Heureusement, il faisait de plus en plus noir. Elle héla plusieurs taxis avant qu'un daigne s'arrêter. Ce moment lui semblait ne jamais finir. Dans le taxi, assise sur la banquette arrière, elle voyait le chauffeur jeter des coups d'oeils indiscrets au paquet qui était à coté d'elle sur la banquette. Elle était rouge de honte et faisait semblant de se concentrer sur le paysage qui défilait par la vitre. Après 15 minutes de course, le chauffeur stoppa devant l'immeuble de Marie.

Arrivée chez son amie, Sophie commença à rouspéter. Marie l'interrompit immédiatement en lui mettant le doigt sur la bouche. Elle semblait plus autoritaire. " Chut, pas un mot. On va reprendre ou on en était. Allez, déshabilles toi, et vite. " Un peu interdite, mais toujours très excitée, Sophie s'exécuta. Alors qu'elle était en sous-vêtements, Marie l'interrompit. " ça suffit comme ça, retourne toi maintenant. Marie menotta alors les poignets de son amie dans le dos. Elle prit ensuite un bâillon boule rouge et lui enfonça dans la bouche. " Le fait que tu ne puisses plus me parler m'évite de répondre à tes questions. Donc non, tu ne saura pas d'ou je sors ce genre d'accessoire... " lui glissa Marie à l'oreille. " hhhhhhfff " tenta de répondre Sophie à travers son nouveau bâillon. Effectivement, elle aurait bien aimé savoir d'ou son amie sortait ce genre d'accessoire ! Marie se retourna vers l'entrée et vit les affaires de Sophie en vrac sur le parquet. A coté était posé le paquet de Tena Slip. " tu as trouvé un paquet de couches ? c'est bien. ça nous sera très utile avec une petite pisseuse comme toi... " Marie poussa Sophie vers sa chambre. " allez, on y va ma chérie... ". Menottée et bâillonnée, en petite culotte et soutien gorge, Sophie avançât à petits pas vers le lit de la chambre de Marie. Son excitation était maximale. Celle de Marie aussi. Elles avaient tellement hâte de s'amuser... Sophie fut très surprise de trouver différents accessoires qui traînaient sur la moquette de la chambre de Marie. Avant que celle ci ne la pousse sur le lit, elle eu le temps d'apercevoir d'autres paires de menottes et quelques autres objets qu'elle n'eu pas le temps d'identifier. Marie pris d'ailleurs une seconde paire de menottes en acier. Elle détacha un poignet de son amie et lui menotta les deux poignets aux deux extrémités du montant de son lit. Sophie avait les bras écartés. Marie fit glisser sa petite culotte de dentelle jusqu'à ses petits pieds nus et les lui attacha de même avec d'autres menottes au niveau des chevilles. Sophie tenta de bouger un peu, mais elle renonça rapidement, s'abandonnant à son amie qui se découvrait bien plus perverse qu'elle l'avait imaginée... Elle commençait à baver à cause de son bâillon-boule. Marie lui caressa le baillon, d'un doigt. Celle ci voulu protester, mais ce fut sans effet. " je t'ai dis que j'allais m'occuper de ça tout à l'heure, et bien nous y voilà, je vais m'en occuper maintenant mon bébé... " lui dit Marie en caressant les poils sa petite chatte. Marie glissa une grande alaise carrée de cellulose sous les fesses de son amie, comme celles que l'on trouve en milieu hospitalier. Puis elle déposa une petite bassine d'eau chaude entre ses jambes écartées. Elle mouilla abondamment l'entre jambe de son amie. Elle prit ensuite une bombe de mousse à raser et commença à lui recouvrir sa petite chatte d'une mousse blanche et onctueuse. Elle l'étala en la massant doucement, consciencieusement. Sophie adorait cette sensation. Elle avait devinée ce qu'elle allait subir... comme son amie, elle serait bientôt complètement rasée au niveau de son petit sexe. C'était nouveau pour elle et elle n'avait rien contre, au contraire. Elle sentait le rasoir passer sur son pubis, elle sentait la main de son amie vérifier qu'aucun poil n'allait lui échapper. Marie rinça abondamment le sexe de Sophie. Elle la sécha en tapotant dessus avec un petit mouchoir de coton. Enfin, elle lui passa une crème apaisante en s'attardant sur certaines parties très intimes et très sensibles aux douces caresses de son amie. Sophie frissonnait de plaisir. Enfin quand Marie eu finit, elle se releva et regarda sa prisonnière. Sophie était superbe. Marie ne se lassait pas d'admirer ses deux gros seins rond qui semblait demander qu'on les suce encore et encore... " bien, et maintenant, je vais te mettre ta couche. Tu n'est pas allée les chercher pour rien quand même ! " Marie partit cherche le paquet tout neuf de Sophie. Sophie avait remarqué que l'achat de ce nouveau paquet n'était finalement pas vraiment nécessaire. Par la porte entrebâillée du placard, Sophie avait une vue sur le stock de couches de Marie. Plusieurs paquets étaient encore intacts... Marie revint et posa le paquet de couches sur le lit. Elle semblait faire exprès de prendre son temps comme pour mieux montrer à Sophie qu'elle était en train de la langer, comme une vilaine petite pisseuse. Sophie adorait cela. Marie ouvrit le paquet et en tira une couche qu'elle caressa puis déplia. " c'est pour qui cette grande coucouche ? " Elle la glissa sous les fesses de Sophie qui les leva sans faire d'histoire cette fois ci. " c'est pour ma petite pisseuse adorée ! " Marie était ravie. Elle rabattis la couche sur le sexe fraîchement rasé de son amie et scotcha les adhésifs. Elle appuya sa main contre le sexe de Sophie par dessus sa couche épaisse. Pour la seconde fois de la journée et pour la troisième fois de sa vie, Sophie portait une couche-culotte pour adultes. Marie la caressait de partout, elle lui léchait le corps, doucement, lui pelottais les seins, lui tirai sur les tétons, passait ses mains partout. Elle était complètement excitée par la vision de son ami menottée en couche. Elle fit jouir Sophie plusieurs fois dans sa couche.

La soirée était maintenant bien avancée. Elle devait maintenant détacher son amie afin d'éviter qu'elle ne se lasse, mais Marie ne voulais pas perdre l'ascendant sur Sophie. Elle sortit alors de son placard deux petites moufles roses qui semblaient se cadenasser aux poignets. Elle s'approcha de Sophie et lui mis sous les yeux. " Tu connais ça, mon bébé ? ". n'attendant évidemment pas de réponse de son amie bâillonnée, Marie enfila les moufles roses très épaisses sur les mains de Sophie, qui n'avait d'autre choix que de se laisser faire. Chaque moufle était fermée par un petit cadenas. Puis elle déverrouilla les menottes qu'elle avait aux poignets et aux chevilles. C'était bizarre. Bien que ses deux mains ne soient plus attachées, Sophie ne pouvait plus rien saisir, ni même manipuler, elle ne pouvait plus se servir de ses mains. La sensation était étrange. Elle était libre, mais incapable de faire quoi que ce soit. Les poignets de porte de l'appartement de Marie étaient de vieilles poignées au doré un peu passé et surtout, complètement rondes. Si marie fermait une porte, Sophie ne pouvait pas l'ouvrir. Et bien sur, Marie avait fermé la porte des toilettes, ce qui était somme toute une précaution inutile puisque qu'avec ses moufles, Sophie était totalement incapable de retirer sa couche toute seule. désormais, Sophie ne pouvait plus rien faire sans son amie. Toujours avec sa couche, un peu froissée, elle s'assied sur le lit et montra son bâillon boule à Marie. "hhhhfff ". Elle lui faisait signe de lui retirer.

Marie s'approcha de son visage. " Je vais te retirer ton bâillon. Mais je te prévient, si tu parles, si tu dit, ne serait-ce qu'un mot sans ma permission, je te mets une fessée ". elle avait fini cette phrase en se penchant à l'oreille de Sophie qui avait frissonné de plaisir en sentant le souffle chaud de son amie au creux de sa nuque. Elle acquiescia et Marie lui retira son baillon-Boule rouge qu'elle posa près du paquet de couches. Sophie bougea sa mâchoire, comme pour la masser un peu. Elle essuya avec ses moufles la bave qu'elle avait sur le bas du visage. Elle sourit à Marie, elle semblait heureuse. " je ne t'imaginai pas si perverse dis donc " lui dit Sophie. " Tu as eu la permission de parler ? " trancha Marie ? la seule chose que tu as le droit de dire c'est si tu souhaites que l'on arrête nos petits jeux, ou si tu trouve que cela va trop loin. Sinon, je ne veux pas t'entendre tant que je ne te l'ai pas autorisé. " Marie se rapprocha de Sophie qui continuait de sourire tendrement à son amie. Elle ne semblait pas vraiment impressionnée par sa nouvelle situation de petite soumise. " Pour ton premier écart, je ne vais pas te mettre de fessée " lui dit Marie. " j'ai autre chose pour toi " et elle lui souria. Elle se dirigea vers le placard et en sorti un collier. C'était un simple collier de cuir, semblable à un collier de chien. Elle l'attacha autours du cou de Sophie. Voyant que Sophie ouvrait de grand yeux, Marie l'autorisa à parler. Elle commença à lui expliquer " c'est simplement un collier ma chérie, cela te montre à tout moment que tu m'appartient ". " un peu comme ton esclave ? " lui répondit Sophie le coeur battant. " oui, un peu comme mon esclave, mais tu va voir, ce n'est pas désagréable... Allez, je ne veux plus t'entendre maintenant. " Immédiatement Sophie se tue. Marie lui annonça qu'elle allait se laver. Elle sortit de la chambre et laissa Sophie seule, nue, avec sa couche, ses moufles et son collier. Pendant que Marie prenait sa douche, Sophie essayait de retirer ses moufles, juste pour voir, elle adorait le jeu. C'était tout bonnement impossible. Ou marie avait elle eu ce genre d'accessoires ? elle lui avait caché certaines choses... Elle avait aussi remarqué que son amie était plutôt experte en câlins féminin... Elle poussa la porte du placard de son amie. Il y avait là quelques paquets de couche de différente marque et deux piles de couches déjà sorties près d'une boite à petites culottes. Par terre, elle y vit une laisse, de la corde et un godemiché. C'était la première fois que Sophie en voyait un en vrai. Elle passa sa moufle sur le devant de sa couche en tentant de se caresser doucement. Mais Marie arriva derrière elle " eh bien petite curieuse, qu'est ce qu'on farfouille ? attend voir, je vais régler cela vite fait moi ! " En se retournant, Sophie vit que Marie ramassait la corde qui traînait par terre. Elle lui prit les mains, toujours enfermées dans ses moufles et lui ligota solidement dans le dos. Elle serra les liens car la pression de la corde était atténuée par l'épaisseur des moufles. Elle passa ensuite la corde au niveau de ses seins et lui attacha les coudes en faisant passer la corde par dessus et par dessous sa grosse paire de seins. Ceci eu pour effet de renforcer l'aspect attirant de la poitrine de Sophie. Enfin, Marie passa la corde entre les jambes de Sophie, par dessus sa couche qui n'avait pas été changée depuis le câlin. Elle serra aussi afin que Sophie sente la pression de la corde. Elle jeta Sophie sur le lit, qui était toujours muette et lui ligota solidement les chevilles et les genoux. Elle regarda ensuite son travail. Sa petite amie était devant elle, solidement ligotée nue, avec sa couche. Marie se sentait à nouveau très excitée. Elle la retourna et commença à la fesser doucement à travers la couche. Elle lui assénait de petites tapes. " la prochaine fessée, tu l'aura sur tes fesses nue vilaine ". Sophie ondulait doucement, de plaisir. Elle aimait se sentir attachée, à la merci de son amie. Marie la retourna sur le dos et commença à l'embrasser, Sophie lui rendit son baiser. Leurs langues se nouaient, les mains de Marie caressaient à nouveau les seins prisonniers de son amie.

Soudain, la sonnerie de l'appartement retenti. Rapidement, Marie se leva, laissant Sophie ligotée nue sur son lit et se dirigea vers la porte d'entrée. Elle regarda à travers le judas. C'était Mathieu, avec un bouquet de fleur...