Alain70
2 members like this


Vues: 720 Created: 2008.01.19 Mis à jour: 2008.01.19

Marie, jeune fille au pair

Chapitre 5

Matthieu était à la porte de l’appartement 23. Marie sentit une boule se former dans son estomac. Comment gérer cette situation ? Elle pouvait ne pas répondre et faire comme si l’appartement était vide. Mais c’est étrange, elle choisit d’ouvrir la porte. Sans réfléchir, par instinct surement, par excitation aussi, par gout du risque et du challenge surtout, elle préféra faire entrer Matthieu dans son appartement, alors que son amie se trouvait dans une situation extrêmement compromettante, ligotée entièrement nue et solidement bâillonnée sur son lit, avec, pour finir le tableau, une jolie couche pour adulte incontinent. Marie sentit battre son coeur et monter son excitation. C’était un peu comme lorsqu’elle allait acheter ses paquets de couche. Il s’agissait d’une forte excitation mêlée du sentiment de faire quelque chose de très sexuel et d’un peu transgressif. Oui, elle allait ouvrir la porte…. Et si le regard de Mathieu était amené à trop vagabonder, alors, il apercevrait dans l’entrebâillement de la porte de la chambre, une jeune fille dans une situation très humiliante…

Marie se sentait très excitée par cette pensée. Avant d’ouvrir, elle tira, sans fermer complètement, la porte de sa chambre, laissant Sophie qui la regardait avec sa grosse boule rouge dans la bouche, les cheveux en bataille et de grand yeux interrogateurs…et…sans réfléchir plus longtemps, Marie ouvrit la porte.

Matthieu ! quelle surprise ! que puis je pour toi ?

Bonjour Marie, déjà, tu peux accepter mes fleurs…

merci, elles sont magnifiques, entre, installe toi dans le canapé…mets toi à l’aise

Matthieu franchi le pas de la porte et alla s’installer dans le salon. D’ou il était, il ne pouvait pas voir Sophie, qui ne bougeait plus du tout, comme figée. Elle avait entendu la conversation et un sentiment de surprise, mêlé d’incompréhension puis de honte l’avait envahi. Elle s’était senti rougir, puis devenir moite. Sa situation ne l’amusait plus du tout, et elle se trouvait soudainement complètement grotesque, attachée sur le lit de son amie avec cette si grosse couche qui lui tenait très très chaud tout à coup. Marie allait regretter de lui avoir fait ce coup là ! En attendant, elle retenait son souffle, tentait d’entendre la conversation et ne remuait plus d’un pouce. Elle était en sueur… Qui était ce garçon ? et que venait il faire ici ? Décidément Marie était vraiment très surprenante dans sa conception du sexe et des relations en général…

Sophie essayait maintenant tant bien que mal, et surtout sans faire le moindre bruit, de retirer ses moufles, afin de défaire ses noeuds. Mais ni les moufles roses, cadenassés à clef, ni les cordes bien serrées n’étaient décidés à céder…elle tirait sur ses liens vainement et avait les mains en sueur dans ses moufles trop chaud. Il lui était définitivement impossible de s’échapper.

Elle entendait les voix dans le salon. Marie et le jeune homme discutaient de la pluie et du beau temps. La conversation dura une éternité…30 minutes, une heure ? Sophie avait perdu la notion du temps. à cause du bâillon boule, elle avait assez mal à la mâchoire et elle n’arrêtait pas de baver sur le lit, formant une petite auréole sur les draps de Marie. à chaque petit mouvement de ses poignets dans le dos, et malgré l’épaisseur de la couche, elle sentait la corde se resserrer sur son entre jambe, mais elle n’était plus du tout excitée et se trouvait maintenant simplement ridicule. Elle fut très surprise et son coeur commença à s’emballer quand elle entendit à la vois de Marie qu’elle avait débuté une séance de séduction. Elle la connaissait très bien et au simple son de sa voix, elle savait exactement ce que faisait Marie pour attirer le jeune Mathieu dans ses filets. Cela lui serait le coeur, mais elle était encore loin de s’imaginer la suite du plan de sa machiavélique et gentiment perverse petite amie. Elle les entendit se lever du sofa et se rapprocher de la chambre. Marie avait prit Mathieu par la main et l’entrainait vers la pièce ou Sophie était retenue prisonnière. Sophie paniquait. Sa panique augmenta à son paroxisme quand elle entendit Marie prononcer les mots suivants :

- Attend, je vais te montrer quelque chose.

Le temps se figea.

Et Soudain, la porte de la chambre s’ouvrit d’un coup brusque. Mathieu avança jusqu’à la porte et resta muet devant le spectacle de cette superbe femme qu’il ne connaissait pas, et qui était solidement ligotée et bâillonnée sur le lit de Marie. Immédiatement, son regard fut attiré par la couche qu’elle portait. Qui était elle ? et comment s’était-elle retrouvée dans cette situation ? Cette femme était là, attachée et simplement vêtue d’une couche pour adulte. En gémissant, Sophie regarda le jeune homme. Lequel était le plus rouge des deux ? Puis elle tourna la tête pour se cacher. Marie s’approcha du garçon et lui saisi le sexe à travers son pantalon.

- Ne me dit pas qu’elle ne t’excite pas….? Elle est magnifique non ?

Mathieu avait effectivement le sexe qui durcissait rapidement. Quel spectacle ! Quelle incroyable vision. De son coté, Sophie était mortifiée. elle ne réfléchissait plus, et attendait simplement que les deux voyeurs sortent de la chambre. Elle avait le coeur qui battait très fort et cette sensation de honte, ce sentiment de toucher le fond, d’être incapable de savoir comment tout cela allait finir la submergeait.

Alors Marie commença à déboutonner son chemisier de façon sensuelle devant un Mathieu affolé. Elle était maintenant en petite jupe, collants et en soutien gorge de satin noir. Elle entraina Mathieu par la main vers le lit et s’assit sur le bord. Juste au bon niveau pour déboutonner le pantalon de Mathieu, qui se laissait complètement faire. Il retira sa chemise et se retrouva en caleçon près de Marie.

- Installes-toi mon chéri, j’ai très envie de toi, lui lança Marie, gourmande.

- Je… j’arrive Marie, pas de problèmes, répondit Mathieu encore chamboulé par la tournure que prenait les événements.

Il regardait cette jeune femme attachée et bâillonnée, aux joues rouges de honte… Quel était le plan ?

- Attends, retire le paquet de couches du lit et pousse cette demoiselle un peu vers le bord du lit, qu’elle nous laisse de la place.

Mathieu n’osait pas toucher Sophie, bien que l’envie de caresser ses deux gros seins ronds et ces jolies cuisses fermes soit très forte. Marie poussa son amie doucement, comme un paquet fragile, comme une poupée, et la laissa en chien de fusil, la tête orientée vers le couple maintenant en sous vêtements. Elle lui jeta un regard très coquin et lui posa un doigt sur le baillon boule tout humide.

- Ca va être super… lui susurra-t-elle.

Sophie était loin d’être de cet avis. Puis Marie commença à pousser Mathieu sur le dos et à faire glisser son caleçon sur ses genoux. Allongé, le sexe dressé, Mathieu regardait à tour de rôle une Marie, maitresse entreprenante et Sophie, ligotée, impuissante et complètement soumise à la situation.

- Mais, heu… Elle est d’accord ta copine ?

- Ma copine n’a pas son mot à dire. Sauf si elle me fait un signe, qu’elle n’a pas fait me semble-t-il…

Evidement que Sophie n’avait pas eu le temps de lui faire le signe qu’elles avaient mis au point pour dire stop ! Quel culot ! Elle avait été prise de cours et de toutes façons, maintenant, il était trop tard ! Sophie ne pouvait plus que faire confiance à son amie. Mathieu était très excité. Marie le sentait et elle s’allongea sur lui pour continuer de l’exciter. Ils allaient faire l’amour devant une Sophie médusée et complètement impuissante. Marie retira doucement son soutien gorge et Mathieu fit glisser sa jolie petite culotte de satin noir, laissant apparaitre son joli pubis brun. Après quelques caresses rapides, Marie s’empala sur Mathieu et le chevaucha pendant quelques minutes, ne ménageant pas ses cris de jouissance et ses regards en coin vers son amie ligotée à 60 cm du couple.

Lorsqu’ils eurent fini et que les deux partenaires, très excités eu ressenti une jouissance très forte, Marie s’allongea près de Matthieu. Vu d’en haut, sur le lit était Matthieu, Marie, et Sophie attachée.

- Quoi, tu veux la toucher ? Vas-y, ne te gène pas… lança Marie à Matthieu.

- Non, arrête, je ne peux pas faire ça, si elle n’est pas d’accord…

- Elle est d’accord. Hein, pupuce, que tu es d’accord ?

Sophie n’était pas d’accord, mais elle ne fit pas le signe convenu. Peut être par lassitude, peut être parce qu’elle avait, sans se l’avouer été elle aussi très excitée par ce qui venait de se passer.

- Allez, caresse-la un peu, elle ne peut pas faire grand chose la pauvre petite…

Marie pris la main de Matthieu et la posa sur un des seins de Sophie. Matthieu senti le sein durcir un peu. Sophie était maintenant un peu moins rouge, elle avait la tête complètement vide et laissait parler son corps. et son corps voulait jouir lui aussi.

- Dis donc, elle est bien attachée… Qu’est-ce qu’elle a fait pour se retrouver comme ça ? demanda Matthieu.

- Elle aime bien ça, se faire attacher… C’est son truc… répondit Marie.

Matthieu continuait à lui caresser doucement la poitrine. Il passa ses doigts sur le menton pour essuyer un peu sa bave.

- Et elle, pourquoi elle porte une couche ?

- Parce qu’elle fait encore pipi au lit… Et surtout, parce que tu imagines bien qu’elle ne peut pas aller aux toilettes attachée comme ça… Je ne veux pas qu’elle mouille mon lit.

Sophie ne réagissait pas. Elle commençait à aimer cette séance d’humiliation. Elle se trouvait là, à se faire traiter de petite pisseuse sans pouvoir répondre quoi que ce soit.

- Ah bon, elle fait encore pipi au lit ? Mais elle a quel âge ? Au moins 30 ans, non ?

- 32 ans… 32 ans et elle porte encore des couches. Quelle honte.

Pendant cette conversation, Mathieu n’avait pas arrêté de caresser Sophie. Sa main effleurait maintenant sa couche. Il s’était déjà retrouvé lui aussi avec une couche aux fesses lors de leur première rencontre et il ne l’avait pas oublié. Il savait ce que ça faisait.

- Bon Matthieu, il est temps pour toi de partir.

- Quoi, mais… je… je pensais qu’on allait terminer la soirée ensemble ?

- Non, tu ne pensais pas bien. Il est tard, je suis fatiguée et je veux dormir. Rhabilles-toi et rentres chez toi. Je te téléphonerai peut-être.

- Bon, ben… je… ok.

Et Matthieu, piteux, un peu frustré commença à se rhabiller. Ce fut plutôt rapide et quelques minutes plus tard, après un bref au revoir, il était dehors.

Marie se retourna alors vers son amie.

- La nuit n’est pas terminée ma belle… En fait, je ne suis pas fatiguée du tout.

- Mmmmfffff mmfffffffm mmfffffffffff

- Oui, je sais tu veux prendre un peu de plaisir, tu est vraiment une petite cochone.

Elle passe délicatement son index sous la fronce de la couche de Sophie, effleurant légèrement son pubis un peu mouillé. Elle aimait la regarder, impuissante, attachée les bras dans le dos, ses seins gonflés et les deux jambes bien serrées. Elle aimait l’entendre, tentant de geindre sous son baillon-boule humide, essayant vainement de desserrer ses cuisses ligotées, les frottant l’une contre l’autre, froissant ainsi sa couche dans un bruissement de plastique fin. Elle aimait la sentir, chaude et douce sur la peau. Sophie regardait sa maitresse. Elle se sentait à sa merci, complètement prisonnière. Elle ne savait pas ce qui allait se passer maintenant.

Marie commença à détacher les chevilles puis les cuisses de son amie, avec mille et une caresse, elle se positionna entre ses jambes, puis descotcha sa couche toute froissée. Elle lui mit sur le visage. Elle avait à la main un superbe godemiché qu’elle utilisa sur Sophie pendant une bonne partie de la nuit. à la fin, elle retira les moufles cadenassés, la libéra de ses cordes et elles s’endormirent l’une contre l’autre.

Le lendemain, c’est une Sophie radieuse et tirée à quatre épingles que Marie retrouva à la table du petit déjeuner.

j’ai une réunion super importante aujourd’hui, je me sens en super forme !

mmmmm, je ne suis pas réveillée moi…fait moi un bisou…

Sophie pris Marie et l’embrassa. Elle était très contente de la soirée, et surtout de la nuit incroyable qui avait suivi. Sophie n’avait jamais connu pareille jouissance. Elle adorait ce mélange de soumission, d’excitation et d’humiliation que lui faisait vivre son amie.

- C’est quoi comme réunion ?

- Un conseil d’administration de la banque, ça ne rigole pas !

- Je veux que tu portes une couche.

- Non, je ne peux pas. Je fais une présentation et ma jupe est super serrée, regarde.

Sophie se leva et fit un tour sur elle même. Son tailleur anthracite était effectivement assez ajusté et lui mettait les fesses en valeur.

- Je veux que tu portes une couche quand même.

- Marie, là, c’est pas possible…je te promets de faire ce que tu veux à mon retour ce soir d’accord ?

- Bah, tu fais déjà tout ce que je veux faire….

- Oui, mais là, tu aura droit à un truc spécial, je te le promets. Ce que tu veux.

Sophie parti ce matin sans couche, mais aussi, sans sa petite culotte. Marie lui avait caché et ne la lui rendit pas malgré les supplications de Sophie, qui céda voyant l’heure tourner.

Durant sa réunion, Sophie fut excellente, pugnace et très persuasive. Elle mena avec brio la négociation. Qui aurait pensé parmi l’assemblée de vieux mâles qui fantasmait sur elle pendant sa présentation que cette jolie responsable financière de 32 ans était il y a encore quelques heures, entièrement soumise en couche-culotte à sa petite amie ?

Le soir, Sophie se rendit directement chez Marie. Elles étaient tout excitées de se retrouver. Marie déshabilla Sophie, qui se retrouva toute nue devant sa maitresse.

- Allez, va me chercher ta jolie laisse ma chérie, on va jouer un peu…

Sophie s’exécuta et parti la tête un peu baissée. Elle revint avec sa laisse entre les mains, et selon le nouveau rituel de sa maitresse, se mis à genoux en lui présentant maladroitement l’objet qui allait l’humilier plus que tout. Et Marie adorait tout particulièrement ce moment là. Elle lui pris doucement la laisse.

- C’est bien, tu es une gentille fi-fille, et lui attacha, d’un clic. Tu es ma petite chienne à moi.

Sophie était rouge de honte. Elle le savait bien qu’elle était sa petite chienne. Marie lui faisait tellement sentir.

- Allez à quatre pattes, vite ! On va chercher d’autres jouets dans ma chambre, et puis on va mettre la couche…

Marie se leva et Sophie la suivi à quatre pattes jusqu’à la chambre. La soirée ne faisait que commencer...

FIN