popoculott
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Vues: 869 Created: 2009.01.14 Mis à jour: 2009.01.14

La deuxième expérience de Clara

Chapitre 2

J’aime comme je n’avais jamais aimé et je suis aimée comme jamais je ne l’avais été. Lucas est l’homme de ma vie, je le sais. Je l’ai rencontré à la fac pour la première fois et... j’ai eu le coup de foudre, le vrai, quelque chose qu’on ne connaît qu’une fois dans sa vie ; ça m’a fait un effet incroyable et depuis je comprends pourquoi on nomme ça coup de foudre ; rien ne ressemble davantage à ce que l’on ressent à ce moment là que la vivacité de l’éclair suivie de l’explosion de la foudre qui diffuse dans le sol sa la longue décharge d’énergie. Ce sont des copines qui me l’ont présenté. Au moment de lui serrer la main je l’ai regardé dans les yeux... c’est là que ça m’est tombé dessus. Je sais pas combien de temps je suis restée comme ça, à lui tenir la main, K.O debout mais je me souviens que mes copines autour ont dû me rappeler sur terre parce que je le lâchais plus. J’ai dû inventer un truc en quatrième vitesse pour leur expliquer mon absence soudaine... Ce que je ne savais pas à ce moment là c’est que s’il n’avait pas réagi lui-même c’est parce qu’il était frappé par cette même force incompréhensible.

Mais bref, comme on a un peu de misère tous les deux on a pas osé faire le premier pas même si on se côtoyait assez souvent, jusqu’à ce fameux soir où je me suis retrouvée d’un seul coup nez à nez avec lui en train de pousser dans ma couche. Depuis on ne se quitte plus et Lucas prend soin de moi. Marine, la sœur de Lucas, qui n’est toujours pas propre à cinq ans a été un peu surprise de retrouver sa babysitter au petit déjeuner, assise sur les genoux de son grand frère, une couche-culotte mouillée sur les fesses en guise de sous-vêtement. Elle a pris son petit déjeuner sans broncher, c’est après qu’elle s’est mise à poser des questions. Lucas lui a alors expliqué que parfois même les grands doivent mettre des couches, se gardant bien de lui dire que sa babysitter est une chipie qui prend un malin plaisir à se salir. La petite n’a pas insisté et est partie regarder ses dessins animés du matin pendant que son frère me câlinait et me couvrait de baisers. A un moment le coquin a glissé sa main dans ma couche ; je n’ai pu retenir un petit cri.

_Tu es fou... soupirai-je... ta sœur est à côté, elle va tout entendre...

_Tu as raison mon cœur, il vaut mieux monter, je connais une demoiselle qui a besoin d’un change...

Une certaine humidité envahit mon intimité à ces mots, et mon pipi n’y était pour rien même si je lâchai un petit jet dans ma couche mouillée pour me contenter un peu pendant que mon chéri me portait dans ses bras jusqu’à la salle de bain. Il me posa sur le grand matelas à langer de sa sœur, m’allongea et détacha les adhésifs de mon change dont le rabat tout imbibé retomba lourdement sur le matelas. Attrapant des lingettes pour bébé il se mit à nettoyer mon entrejambe, des gestes qui se transformèrent en caresses sensuelles quand sa main se posa sur mes petits poils et sur mon sexe, humide de mon pissou et trempé de désir. Nous avions fait l’amour une partie de la nuit mais il m’en fallait encore et lui aussi semblait très désireux de reprendre les hostilités sans tarder. Quelle drôle de fille je fais... l’instant d’avant j’étais un petit bébé et Lucas changeait ma couche et voilà que maintenant je me sentais résolument femme et n’avais plus qu’une hâte : sentir son sexe en moi, sa peau contre la mienne et son souffle court dans mon cou. La table à langer était un joli et gros meuble en chêne massif sur lequel même une grande fille comme moi avait largement la place de s’allonger, elle avait dû être faite spécialement pour la petite sœur de Lucas, plutôt grande pour son âge. J’étais étendue sur un grand matelas à langer rose dont je cramponnais l’extrémité derrière ma tête, mes petites fesses encore posées sur ma couche-culotte ouverte, fermant les yeux et me mordant les lèvres sous le feu des savantes caresses de mon amoureux. Je n’y tenais plus, je le voulais lui, je le voulais maintenant, je le voulais ici.

_Prends-moi ! Réclamai-je. Prends-moi là et tout de suite !

Le moins qu’on puisse dire c’est qu’il ne se fit pas prier. Retirant son boxer, il grimpa sur la table et l’instant suivant je sentais en moi son pénis aller et venir dans ma petite chatte toute mouillée. Ce n’était pas un fantasme et c’était pourtant totalement fantasmagorique ; j’étais une petite babysitter malpropre à qui son chéri faisait l’amour sur la table à langer... et ce fut divin, indescriptible... malgré notre violente excitation nous avons réussi à temporiser, à faire durer notre acte d’amour ; Lucas était en nage, je sentais son dos, ses cheveux trempés sous mes doigts, tandis que des gouttes de sueur perlaient sur mon front et que je me sentais moite dans mon petit chemisier de coton blanc. Au bout de vingt minutes nous laissâmes l’orgasme nous submerger totalement, nous ne luttions plus ; Lucas laissa échapper un cri et se mit à murmurer mon prénom à tue-tête, je le sentis se libérer en moi tandis que le plaisir absolu m’arrachait des cris à mon tour, mes mains de nouveau cramponnées à mon petit matelas et mes orteils tout recroquevillés par la tension qui avait pris tout mon corps. Jamais je n’avais connu un orgasme aussi fort, aussi long...

Nous étions ivres quand enfin nous sortîmes de la salle de bain, mes jambes ne me portaient presque plus. Aussi épuisé que moi, Lucas n’avait pas eu la force de finir de me langer ; n’ayant pas emporté de petite culotte, je demeurai nue sous mon jean que mon chéri m’aida à enfiler avant que nous ne redescendions tenir compagnie à sa sœur dans le salon. Nous sommes restés affalés, l’un contre l’autre sur le canapé durant deux bonnes heures. Marine nous tira de notre engourdissement, nous avions oublié de la changer après son petit déjeuner et elle avait mouillé son pyjama. Lucas voulut se lever mais je le retins.

_Laisse mon amour, n’oublie pas que la babysitter, c’est moi. Lui dis-je un sourire radieux aux lèvres.

_Tu veux bien venir avec moi Marine, ma chérie ? On va aller changer la couche et enlever ce pyjama tout mouillé.

Après avoir déshabillé la petite, je lui donnais une douche et demandai à Lucas de lui sortir des habits propres pendant que je la talquais et lui ajustais une nouvelle pampers.

Toute belle dans ses jolis habits que sa maman avait choisi avec goût, Marine me fit un grand sourire. Je ne m’étais jamais imaginée avec des enfants, c’était tellement loin encore dans mon esprit, mais la petite Marine était tellement choupie que je ne pus m’empêcher de penser que c’est une comme ça qu’il me faudrait le jour venu. Me tirant de mes songes, ma toute petite belle-soeur m’entraîna dans sa chambre où elle se mit en devoir de me présenter ses poupées et ses barbies. Elle était tellement adorable que je m’assis sur le parquet et me mis à jouer de bon cœur avec elle pendant une bonne heure. En bas j’entendais Lucas s’activer dans la cuisine pour préparer le déjeuner. La matinée avait été occupée et quelque peu éreintante et il devait être près de 13h. Au bout d’une demi-heure à jouer aux barbies avec Marine, j’entrai complètement dans le jeu et je ne me souciais plus du reste. Assise en tailleur, je ne sentis pas les premières gouttes s’échapper ; oubliant complètement que je n’avais pour une fois pas de change sous mon jean, pas même de culotte, je ne m’alarmais pas en sentant ma foufoune et mes petites fesses se réchauffer ; c’est seulement quand l’humidité gagna mes cuisses que je réalisai que quelque chose clochait. J’avais à peine senti que je faisais pipi, un long pipi qui mouillait mes vêtements et se répandait sur le parquet. Quand enfin je pris conscience de ce qui était en train de se passer, il était bien trop tard. Par réflexe je tentai de m’arrêter mais c’était peine perdue et je me résolus, le rouge aux joues, devant le petite qui continuait à jouer devant moi à laisser mon envie se tarir et en quelques instants je baignais dans une grande flaque légèrement dorée. Je n’osais plus bouger. Marine finit par s’apercevoir que quelque chose n’allait pas. _Tu joues plus ? Me demanda-t-elle.

Je rougis jusqu’aux oreilles et bredouillai.

_Marine, ma chérie, tu... tu peux aller chercher ton frère s’il te plait... ?

La petite se leva avec un petit sourire aux lèvres et les yeux brillants. Avait-elle vu ? J’avais trop honte ; j’étais tellement habituée à mes chères couches-culottes et tellement lasse après nos ébats passionnés de la matinée que je n’avais pas fait attention et j’avais fait pipi sous moi, devant la petite en plus !

J’eus la réponse à mon interrogation deux minutes plus tard quand j’entendis Marine avec sa petite voix appeler son frère dans la cuisine.

_Lucas ! Y a Clara elle a fait pipi dans sa culotte ! Quand Lucas arriva dans la pièce, traîné par la main par sa sœur j’étais toute rouge de confusion.

_J’ai fait pipi dans mon pantalon... murmurai-je, j’ai pas fait exprès... je suis désolée...

Mon chéri arborait un petit sourire amusé. _Sois sage Marine, tu peux rester là à jouer mais tu fais bien attention de pas marcher dans la flaque de pipi, hein, sinon tu vas en mettre partout. Je dois m’occuper de Clara, je reviens nettoyer juste après et puis on ira manger, d’accord.

_D’accord. Lui répondit sa sœur.

Je me levai doucement, et me dirigeai vers la salle de bain en faisant bien attention de pas mouiller le sol sur mon passage.

Marine allait retourner jouer quand son frère la retint par la bras, et, se baissant, il lui dit à l’oreille :

_Ce qui arrive à Clara c’est un secret, hein, c’est un secret entre nous trois, on doit le dire à personne que Clara met des couches parce qu’elle fait encore pipi dans sa culotte à son âge, d’accord ? Tu me promets que tu le diras à personne ? Même pas à papa et maman ?

_Oui Lucas, je te le promets, je dirai à personne, c’est notre secret parce que moi je l’aime bien Clara, elle est gentille !

Lucas sourit en l’entendant et moi aussi.

_Et tu sais, moi je l’aime beaucoup Clara, c’est mon amoureuse, et si on disait à tout le monde qu’elle fait encore pipi dans sa culotte ça lui ferait de la peine et à moi aussi ça me ferait de la peine.

_Moi je veux pas qu’elle soit triste Clara, je dirai pas à papa et maman, c’est promis ! Je peux retourner jouer maintenant ?

_Oui vas-y ma puce. Lui dit son frère avant de venir s’occuper de moi.

_Je suis désolée mon chéri, j’ai vraiment pas fait exprès, je suis tellement habituée maintenant à avoir ma couche que je fais plus attention... en plus j’étais fatiguée... je voulais pas faire ça devant ta petite sœur... en plus on lui dit qu’il faut qu’elle arrête les couches pour devenir une grande et je lui donne tout l’exemple inverse... je suis désolée...

Lucas me sourit, de son beau sourire qui me fait craquer.

_Ne t’inquiète pas, c’est pas grave, un pipi culotte ça peut arriver, même aux grands, et puis on lui a expliqué ce matin pourquoi tu portais des couches.

_C’est pas beau de mentir aux enfants, dis-je en riant alors qu’il me soulevait de nouveau dans ses bras pour me hisser sur la table à langer après m’avoir retiré mon pantalon tout dégoulinant d’urine.

_Tu avais drôlement envie ma chérie. Me dit-il comme il me posait sur le matelas. A nouveau il m’allongea, écarta mes cuisses et se mit à me nettoyer à l’aide des lingettes... quel délicieux moment que le change... Ses doigts sur ma fente m’excitent encore mais je n’ai plus la force pour aller plus loin, lui non plus du reste mais que c’est bon...

Puis, quand je fus toute propre, il prit ma dernière couche bambino, avec ses petits motifs enfantins sur la ceinture, la déplia, me fit lever les fesses, appliqua le coussin entre mes jambes ferma les adhésifs. J’étais à nouveau toute propre. Je sautai à pieds joints de sur le carrelage de la salle de bain et me lovais dans ses bras. J’étais bien et je savourais chaque seconde de mon premier jour de bonheur.

Nous avons mangé tard ce jour-là. Après le repas mon chéri vérifia ma couche, mais j’avais été sage, je m’étais retenue et elle était sèche... pour l’instant. Comme mon pantalon n’était toujours pas sec, je lui donnai les clés de mon appartement et il me ramena un paquet de bambino et le nécessaire pour me laver et me vêtir pour le reste du week-end que nous passâmes chez lui jusqu’au retour de ses parents qui furent surpris et amusés par la coïncidence qui les avait fait engager comme babysitter la jeune femme dont leur fils était amoureux... Heureusement ils ne savent pas tout et nous nous garderons bien de les éclairer.