Après avoir fait plus ample “connaissance” avec ma postière M, c’est maintenant à moi de me laisser faire après cette séance mémorable.

Nous sommes donc dans le lit de M. et cette dernière prend les choses en main puisqu’elle me bande les yeux et m’ordonne de me laisser faire.

Elle me rhabille du jock strap et en profite pour me branler lentement en dégageant mon sexe sur le coté. A chaque va et vient, elle tire davantage sur mon prépuce et ce faisant elle me dégage le gland de façon à le rendre encore plus turgescent. Après cette branlette bien excitante, elle remet ma bite sous le devant du jock strap pour se concentrer maintenant sur ma partie non couverte: mes fesses et mon anus.

Elle me demande de me mettre à quatre pattes (elle ajoute: chacun son tour!) et commence à me fouetter avec un martinet à lanières de cuir. Chaque coup est sur et précis, et je suis certain que M a déjà utilisé cet instrument sur d’autres fessiers. Chaque coup est vraiment douloureux mais cela m’excite au plus haut point. Ma verge suinte de liquide séminal et je mouille complètement le devant de mon jock.

Alors que je commence à avoir chaud aux fesses (en fait, ça me brule!) M s’arrête et me fait mettre sur le dos. Je ne sais toujours pas ce qu’elle me prépare mais ça me permet d’imaginer les scenarios les plus fous. Je sens alors qu’elle écarte mes cuisses et qu’elle m’enduit copieusement l’anus d’une crème froide lubrifiante.

Je m’attends donc à être pénétré mais j’ignore si ce sera ses doigts, un gode, un plug ou bien une canule pour lavement. Elle commence avec un doigt, puis deux et enfin trois. Je suis complètement distendu et je bande toujours aussi fort. Puis elle retire ses doigts pour me violer (sa revanche!) avec le plug le plus gros. Après plusieurs essais non fructueux, elle parvient finalement à me l’introduire complètement et ça m’excite autant que ça me fait mal. Ma punition pour ce que je lui ai fait avant c’est de le garder en moi jusqu’à ce qu’elle me le retire.

Elle abaisse ensuite mon bandeau car c’est maintenant l’heure du deuxième DVD sur les massages de la prostate.

Les premières minutes du DVD sont vraiment explicites. On y voit de jolies filles faire à leur mec ce que M m’a fait à l’instant: branlettes et pénétrations anales avec les doigts puis des godes. Tout ceci est vraiment excitant, et j’ai vraiment envie que M continue à me faire subir les mêmes sévices.

Au lieu de ça, elle m’abandonne et se dirige vers la cuisine pour y préparer mon (ou) mes lavements? Quand elle revient avec tout l’attirail, je m’attends à ce qu’elle me retire le plug pour qu’elle me remplisse avec le contenu du lavement. Pas si vite mon ami me dit-elle; tu vas d’abord me lécher la chatte tout en m’injectant un troisième lavement. Tu aimes les lavements? Eh bien moi aussi, je suis une véritable clystérophile et je suis de nouveau à ta merci! Comment refuser une telle demande?

C’est donc dans la même position (moi allongé sur le dos, elle à califourchon sur moi avec la chatte face à ma bouche) que j’ai commencé à la lécher goulument, tout en pétrissant ses fesses. Elle me dit ensuite, vas-y maintenant: injecte le moi et d’un seul coup, sans t’arrêter! Je m'exécutais sans broncher et cela m’excitait au plus haut point. Sa chatte était gluante de mouille et ma langue se régalait à aller et venir entre ses lèvres pendant que le bock se vidait dans son ventre. Bientôt son corps se mit à trembler et je constatai avec plaisir que M était non seulement une clystérophile avertie, elle était de plus capable d’avoir plusieurs orgasmes dans la même soirée! Elle me quitta ensuite pour aller se vider puis elle revint s’occuper de moi.

Avec douceur et très lentement, elle retira le gros plug qu’elle m’avait introduit. Puis elle décida de me faire un lavement évacuateur à l’aide de sa grosse poire à lavement. Je pense qu’elle avait du mettre de la glycérine pure et du savon car en dépit du faible volume injecté, j’avais très vite envie d’aller me soulager. Mais c’était sans compter sur son autorité: tu restes où tu es et tu le gardes en toi tant que je ne t’ai pas dit d’aller te vider! Ce moment était un vrai supplice: je ne voulais plus de sexe, je voulais simplement rejeter au plus vite ce liquide puissant qu’elle m’avait administré. En fait, c’était ça sa vengeance! Et il fallait que je me retienne le plus longtemps possible. Ne pouvant plus tenir une seconde de plus, elle s’en aperçut et céda finalement à ma demande. A mon retour des toilettes, elle me fit m’allonger de nouveau avec les jambes écartées. Je vais maintenant te rincer pour tu sois parfaitement propre pour ton massage de la prostate. Et c’est là que j’ai compris: en vraie clystérophile, M avait un équipement complet, avec un bock de quatre litres, ce que je n’avais jamais vu auparavant. Je savais donc à quoi m’attendre: une veritable séance d’irrigation colonique! L’expérience était plutôt agréable mais je restais un peu sur ma fin question prostate… Comme j’avais tort: M avait tout prévu et le massage tant attendu était le feu d’artifice final qu’elle m’avait réservé:

Elle commença par une fellation experte tout en me mallaxant fermement les couilles afin que celles-ci puissent fabriquer autant de sperme que possible. Elle alla ensuite chercher dans son armoire un speculum anal qu’elle m’introduisit délicatement avant de visser la molette pour l’écarter au maximum. Et finalement, elle prit un gode allongé et recourbé à son extrémité qu’elle enduisit de crème lubrifiante. Elle le glissa au travers du speculum et tout en me branlant la bite, elle commença à me masser la prostate par des petits mouvements de va et vient. Très vite l’excitation devenait insoutenable. Le bouquet final (je pense n’avoir jamais éjaculé autant de sperme en jouissant de cette façon – ma queue n’arrêtait pas de gicler à chaque secousse de mon orgasme) ne se fit pas attendre. Je jouissais enfin (quel orgasme!) après toutes ces séances plus excitantes les unes que les autres.

Merci M pour m’avoir apporté ce colis endommagé! Je t’adore ma douce clystérophile! A bientôt pour d’autres séances coquines…