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Vues: 5985 Created: 2007.07.08 Mis à jour: 2007.07.08

Souvenir D'adolescence

Souvenir D'adolescence

J'ai 22 ans, je m'appelle Alain. J'habitais à la campagne avec mes parents et pour pouvoir suivre les cours dans une école de le ville, je logeais chez ma tante. Cela jusqu'à l'âge de 14 ans. Un matin, alors que mes cousines et me tante prenaient leur petit déjeuner dans la cuisine, je les rejoignis pour entendre me tante leur dire : 'Demain, je vous préparerai un bouillon pointu.' Je ne connaissais pas le signification de ces termes. Sur le chemin de l'école, je demandai à mes cousines ce que cela voulait dire. Elles m'expliquèrent qu'avec une grosse poire en caoutchouc, on administrait un litre d'eau dans le derrière lorsque l'on était constipé. La journée passe.

Le soir, rentré à la maison, je vis sur le cuisinière une bouilloire émaillée avec de l'eau en ébullition à laquelle me tante ajoutait six cuillerées à soupe de graines de lin et quatre cuillerées à café d'huile de ricin. Il y avait un litre d'eau dans cette cruchette. Ma tante nous explique qu'elle allait laisser tiédir le "bouillon pointu" et que demain nous resterions dans notre chambre pour recevoir notre lavement. Le soir, je demandai à me cousine, "Par qui crois-tu qu'elle va commencer?"

Elle ne le savait pas. Le matin, nous fûmes réveillés par me tante qui avait installé tous ses instruments de supplice. Comme personne ne voulait commencer, elle nous demanda de tirer au sort avec des allumettes. Celui qui aurait la plus petite serait le premier. C'est moi qui le tirai.

Ma tante me dit alors : "Ôte ton pyjama et mets-toi à genoux sur ton lit, le derrière levé."

Je m'exécutai. Je sentis tripoter mon anus, me tante me vaselinait et une tige me pénétra : ensuite l'eau s'écoula en moi. Je n'avais jamais subi un tel traitement et cela me faisait mal au ventre. La poire retirée, je me levai. Ma tante me dit de rester comme j'étais et je reçus le contenu d'une deuxième poire dans l'intestin. Je me mis à hurler et me tante poussa la poire encore plus profond. Mon membre alors se gonfla. Ma tante me dit d'attendre son retour avant de restituer dans un petit seau le liquide reçu. Elle alla rincer le poire afin de passer au tour d'Annie.

Annie vint me voir et me dit : "Tu vois, c'est bon hein!". J'étais gêné et lui dis que j'avais mal au ventre. Annie retira se petite culotte et se mit dans la position requise en attendant ma tante. Elle vaselina et enfonça la poire. Annie pleurnichait et suppliait ma tante de retirer la poire. Maintenant, quand nous nous revoyons, nous évoquons ces souvenirs.