Anonymous


Vues: 3382 Created: 2007.08.12 Mis à jour: 2007.08.12

Tous Mes Fantasmes

Tous Mes Fantasmes

Mon aventure est loin d'être banale, du moins en ce qui me concerne, car presque tous mes fantasmes ont été assouvis par une seule et même personne. Cette lettre m'aidera peut-être à la retrouver.

Karine est le prénom de cette belle femme de 35 ans que j'ai longtemps crue inaccessible. La première fois que je l'ai aperçue, c'était dans l'ascenseur. Elle venait tout juste d'emménager dans ma résidence. J'ai tout de suite été conquis par son charme et par la beauté de son corps, sa silhouette mince, ses hanches sexy et ses beaux yeux bleus. Ce n'est qu'un mois plus tard que j'ai vraiment fait sa connaissance, à l'occasion d'une réception donnée par des amis que nous avions en commun.

Ce jour-là, elle était belle comme un cœur. Après le diner, tous les invités se mirent à danser. Karine semblait toute légère avec ses petits seins qui remuaient librement sous son joli chemisier blanc. Histoire de lier connaissance, je l'ai invitée à danser un slow. Chaque fois que nous tournions le dos à l'assistance, j'en profitais pour remonter lentement ma main vers ses seins bien fermes. Karine devait apprécier mes caresses car ses pointes durcissaient à chaque passage de mes doigts. Ses beaux yeux avaient certes un air réprobateur mais ils me faisaient aussi comprendre qu'elle appréciait. Ce fut le point de départ de plusieurs mois de bonheur et de complicité.

Le soir-même, elle vint me rejoindre dans mon lit. Ce fut encore plus beau que je ne pouvais l'espérer. Ses caresses étaient si douces et si sensuelles que mon corps tout entier frissonnait de plaisir à chaque passage de ses doigts sur ma peau. Cette nuit-là, elle refusa que je la pénètre, mais pour me remercier de lui avoir donné beaucoup de plaisir avec ma langue, elle me récompensa d'une superbe fellation en avalant tout mon sperme.

Par la suite, elle vint souvent dormir dans mon appartement. Ce qui me fascinait chez elle, c'était sa façon de jouir. Avant chaque orgasme, son corps se déchaînait, mais pourtant elle restait toujours très pudique car aucun son ne sortait de sa bouche. Les traits de son visage s'adoucissaient, son teint devenait plus pâle et ses joues se mettaient à rosir. Dans mes bras, Karine se sentait heureuse.

Elle n'avait pas beaucoup d'expérience puisqu'elle avait connu très peu d'hommes avant moi, pourtant je sentais qu'elle était avide de découvrir de nouvelles positions. Un jour, je lui ai demandé si elle avait déjà pratiqué la sodomie. Elle me répondit alors qu'elle était encore vierge de ce côté-là, mais qu'elle me faisait entièrement confiance pour l'initier à ce nouveau plaisir. Je l'ai donc invitée à venir se positionner en levrette sur le lit, ce qui mettait bien en évidence ses fesses musclées, ses hanches parfaitement dessinées et son petit trou serré.

J'ai commencé à lui faire l'amour dans cette position puis, tout en continuant cette pénétration vaginale, je l'ai préparée en caressant son petit trou froncé que j'avais préalablement enduit de vaseline. Lorsque j'ai senti qu'elle était prête, j'ai commencé à apprivoiser son anus en entrant lentement mon majeur puis mon index. Peu à peu, Karine se détendit. J'en ai profité pour entamer un mouvement de va-et-vient. Je voulais prendre tout mon temps pour ne pas brusquer les choses. Ce n'est qu'au bout d'un quart d'heure que j'ai présenté mon gland à l'entrée de son petit orifice.

J'ai poussé le plus lentement possible pour ne pas la faire souffrir. Tandis que mon sexe disparaissait progressivement entre ses fesses, je me suis reculé un peu pour habituer Karine à cette nouvelle pénétration. J'ai recommencé plusieurs fois l'opération jusqu'à ce que mes couilles viennent buter contre sa peau. C'est seulement à ce moment-là que j'ai commencé à me mouvoir lentement en elle. Parfois, je faisais complètement ressortir mon gland pour mieux l'enfoncer de nouveau.

Plus tard, j'ai fait en sorte que ce soit Karine qui vienne s'empaler d'elle-même en balançant sa croupe contre mon sexe. De cette manière, elle pouvait ainsi imprimer son propre rythme. Au bout d'un certain temps, constatant que sa pastille restait complètement ouverte, j'ai repris les commandes. Quelques minutes plus tard, j'ai explosé au fond de ses entrailles. Ce fut un merveilleux moment de bonheur pour tous les deux.

A partir de ce jour, tout me fut permis. J'ai pu utiliser différents légumes de bon calibre pour l'initier aux joies de la double pénétration. Tandis que je la sodomisais, je mettais une banane ou bien une petite courgette dans son vagin, ce qui avait pour effet de rendre la position anale ou vaginale plus comprimée.

||ous avons aussi pratiqué la double sodomie. Alors qu'elle était à quatre pattes sur le lit, j'introduisais la banane dans son anus et je venais m'empaler par-dessus. Comprenant que je n'étais pas non plus insensible à ces jeux sur moi-même, Karine aimait beaucoup m'enfoncer un ou deux doigts dans l'anus en guise de préliminaire. Un jour, elle réussit même le tour de force de m'enfoncer sa main entière. Je dois reconnaître que j'ai eu assez mal, mais ce fut prodigieux.

J'appréciais beaucoup de voir mon sexe écarter très doucement ses lèvres nues avant de m'enfoncer en elle lorsque nous baisions,Karine adorait que je la prenne dans de multiples positions: debout, appuyée contre le mur ou allongée sur une table les jambes bien écartées afin que mon sexe soit juste à la hauteur du sien ou de son anus que je pénétrais de façon alternée. J'appréciais beaucoup de voir mon sexe écarter très doucement ses lèvres nues avant de m'enfoncer de plus en plus profondément jusqu'à ce que mon gland vienne toucher le col de son utérus.

Par la suite nous avons aussi essayé le lavement. Nous avons acheté le matériel nécessaire dans une pharmacie, puis nous nous sommes installés tout un après-midi dans un hôtel confortable. Après lui avoir parfaitement préparé l'anus, j'ai fait plusieurs allers et retours avec l'embout du flexible, avant de relâcher progressivement l'eau dans ses intestins.

Plusieurs fois, elle me demanda d'arrêter, puis de redémarrer afin que l'eau puisse la remplir lentement. À trois litres d'eau, elle me supplia tout de même de stopper. Son ventre était tellement déformé par le gonflement du liquide qu'elle donnait l'impression de se trouver enceinte. Pendant qu'elle conservait l'eau, je lui ai fait l'amour, d'abord dans son vagin comprimé d'eau, puis dans son anus. En allant et venant dans ses fesses, mon sexe agissait comme un piston qui faisait remonter l'eau dans ses intestins. Elle est vite allée se vider et c'est en se libérant de tout ce liquide qu'elle m'a fait une superbe fellation en avalant ma semence.

Malheureusement tout a une fin. Elle quitta un jour l'immeuble sans donner la moindre explication. La dernière fois que nous avions fait l'amour, j'étais allongé nu sur son canapé. Elle était venue s'asseoir sur mon sexe. Le sien avait bougé de telle sorte que j'avais eu l'impression qu'elle m'aspirait. C'était absolument divin et cela reste aujourd'hui comme l'un de mes plus formidables souvenirs érotiques.

Franck, Bordeaux