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Vues: 8868 Created: 2007.08.02 Mis à jour: 2007.08.02

Un Agreable Sejour A L'hopital

Un Agreable Sejour A L'hopital

Auteur : Bébé Pat

Il commençait à se faire tard, et la fatigue devenait de plus en plus forte. Cela faisait des heures que roulais et la route était mauvaise en cette nuit de Novembre. La pluie venait de faire son apparition et j'y voyais de moins en moins. Il fallait que je trouve un hôtel pour passer la nuit, et avant tout un endroit pour me mettre une couche propre car depuis que je roulais, je ne m'étais pas arrêter une seule fois, et j'étais largement trempé, je commençais à craindre des fuites. Je me mis à réfléchir aux endroits où je pourrais m'arrêter... Tout d'un coup la voiture devant moi se mit brusquement à freiner. Perdu dans mes pensées, je ne pu freiner et vint la percuter... Embardées, coups de volant, tonneaux. Je perdis connaissance...

A mon réveil, j'étais dans une grande pièce blanche, que je n'arrivais pas à reconnaître. Une femme en blouse blanche se tenait à mes côté.

"Vous êtes réveillé ? Vous êtes dans un hôpital, vous avez eu un grave accident, mais vous êtes hors de danger à présent." me dit-elle d'une voix douce. J'avais mal aux jambes, je soulevai le drap et je constatai qu'elles étaient toutes les deux plâtrées. Je vis également que je portais une de ces couches jetables comme les bébés, mais adaptée à ma taille d'adulte. J'étais étonné d'en porter... Ah oui, je me rappelais, pour supporter la longueur du voyage, j'avais mis une grosse couche rectangulaire bien garnie avec une culotte en plastique à pressions par dessus. Mais pourquoi, maintenant, dans cet état ?

"Ce n'est pas grave, me dit l'infirmière, dans quelques jours ça ira mieux. Pour ce qui est de votre petit problème, on a deviné quand on vous a amené ici. Comme vous étiez garni, on à continué à vous mettre une couche-culotte et à vous changer quand cela était nécessaire. On a préféré vous mettre des couches jetables, question d'hygiène. Votre culotte en plastique a été lavée et est dans le placard."

J'étais gêné que l'on me voit avec une couche, j'avais toujours gardé ça secret. "Ne craigniez rien, c'est moi seule qui me suis occupé de vous pendant que vous étiez inconscient, personne d'autre ne le sait. D'ailleurs c'est moi qui continuerait, jusqu'à ce que vous alliez mieux." Que faire? Lui avouer que porter des couches et uriner dedans m'excitait énormément, ou continuer à jouer le rôle d'un faux incontinent qui doit porter des couches 24h/24 ? Je décidai de ne rien dire et de profiter au maximum de la situation de pouvoir partager mon plaisir avec quelqu'un. Un plaisir physiologique non dissimulé me ramena les idées au clair, je commençai à bander. Finalement, malgré les plâtres, j'appréciai la situation : se faire changer par quelqu'un d'autre pouvait être plaisant, qui plus est lorsque ce quelqu'un est une femme...

De plus, je commençai à la trouver plutôt mignonne. Elle devait avoir 25-26 ans, brune, les yeux d'un bleu magnifique, de taille moyenne, et la poitrine qui se dessinait sous son uniforme était plus qu'attrayante. Elle se leva de sa chaise et me dit : "Je dois partir maintenant, si vous avez besoin de quelque chose, vous n'avez qu'à sonner et je viendrai. Avant que je parte, vous avez besoin d'être changé ?" me dit-elle en soulevant le drap. En regardant ma couche, elle eu un petit sourire aux coins des lèvres. L'érection que j'avais se voyait malgré l'épaisseur de la ouate qui l'enveloppait.

"Ce sont les restes de l'anesthésie..." dit-elle avant de partir. Décidément, je trouvais que c'était une drôle d'infirmière.... Au bout d'un moment, tout redevint normal, mais je sentis une drôle de sensation au niveau de la vessie. Celle-ci se vida automatiquement et déversa dans la couche un flot d'une douce chaleur qui me ravissait. Je mis cette incontinence sur le compte de l'accident et des médicaments, avant de me rendormir.

Le lendemain matin, l'infirmière revint pour me réveiller. "Bonjour," dit-elle en ouvrant les volets. "Bien dormi ?" "Oui." dis-je d'un ton reposé "Vous préférez que je vous fasses la toilette avant le petit-déjeuner ou après ?"

"Puisque vous êtes là, autant le faire maintenant." lui dis-je. Elle sortit de la chambre pour revenir quelques instants plus tard avec un chariot à toilette. On pouvait y voir des serviettes, des gants, du savon, du shampooing, des pots de crème, et des changes complets. A mince... le change, c'était vrai, je l'avais oublié, je portai une couche culotte. Un rapide passage sous les draps me firent constater que je m'étais effectivement laissé allé la veille, que j'étais tout mouillé, et que j'avais besoin d'être changé. J'étais à la fois gêné et excité. Je ne savais pas comment cela aller se passer. Allait-elle découvrir que je me pissais dessus que par plaisir, et qu'être garni était pour moi le comble du ravissement. Qu'allait-il se passer si je me mettais à bander quand elle me changerait ??? Je ne pouvais répondre, et de toute façon, je ne pouvais faire marche arrière.

On verrait bien ce qui se passerait.

Elle commença par fermer la porte de la chambre à clés, avant de soulever le drap. "Je suis arrivée juste au bon moment à ce que je vois, cinq minutes de plus, et vous auriez eu des fuites. Pourquoi n'avez-vous pas appelé Stéphanie, ma collègue de nuit ? Elle vous aurez changée." A demi-mot, je lui dit que je n'avais pas osé.

"D'habitude je me change les couches tout seul, comme un grand." lui dis-je en rigolant. Ces petits mots détendirent l'atmosphère, et elle se mit à rigoler, ce qui faisait faire à sa poitrine de léger petit va et vient qui attira mon regard. Ca y est je bandais... Elle commença à défaire les adhésifs un à un, puis une fois fini, elle prit les rebords du change, avant de les rabattre sur mon sexe et de m'essuyer les restes d'urine qui coulais encore le long de ma queue. J'étais gêné de mon érection. En temps normal, je n'aurais pas été gêné, mais là, avec une couche... En voyant cela, elle me dit "Ce n'est pas grave, je suis habitué, et puis ce n'est pas parce que vous êtes garni que vous êtes impuissant. Si ça peut vous rassurer, je suis flattée que je vous mette dans cet état. Vous savez, en tant qu'infirmière, je suis souvent amené à changer les malades. La plupart du temps ce ne sont que des petits vieux qui ont perdu cette réaction depuis bien longtemps, mais qui sont devenu beaucoup plus vicieux." "Comment ça ?" fis-je pour essayer de discuter et de dissiper cette érection. "Ils n'arrêtent pas de lorgner par dessus ma blouse pour voir mon soutien-gorge et mes seins. A chaque fois, il y en a au moins un qui me demande si je veux pas le sucer après l'avoir nettoyé. Quand c'est pas un autre qui essaie de glisser sa main dans ma culotte."

J'aurais mieux fais de me taire. Ce dialogue devenait excitant et je commençais à m'imaginer la situation. "Vous voulez pas me le faire? J'ai terriblement envie de vous," lui dis-je sur un air moqueur en prenant une voix de petit vieux tandis qu'elle me nettoyait l'entrejambe avec un gant. "Soyez un peu sérieux..." dit-elle, avant de rajouter, "...pas aujourd'hui, j ai du travail, un autre jour peut-être...".

Une fois la toilette fini, elle me dit : "Vous n'avez jamais songé à vous raser entièrement ? Vous savez c'est plus pratique pour vous nettoyer. Si vous voulez, tant qu'on y est je peux vous le faire."

"Volontiers." dis-je pour prolonger ce moment agréable, et ce tête-à-tête. Elle prit alors un tube de crème dépilatoire sur le chariot, et dévissa le bouchon. Elle prit alors mon sexe qui avait repris son état normal avant de me tartiner le pubis de crème. Le contact de la crème et ses gestes pour l'étaler eurent l'effet attendu. "Décidément, vous êtes en forme ce matin...".

Une fois la crème étalée, elle me dit qu'on devait attendre une dizaine de minutes comme ça le temps que ça agisse, et que mon sexe ne devait pas toucher la crème car c'était irritant. De temps en temps, dés que je commençais à débander, elle se mettait à effectuer des mouvements de va et vient pour maintenir mon érection... Ouf ça y était dix minutes, la crème avait du faire son effet. Elle reprit le gant et enlèva la crème et la totalité des poils que j'avais. J'avais le sexe aussi lisse que celui d'un bébé, exception faite de la taille. Ca faisait bizarre d'être entièrement rasé.

"Vous voyez, c'est beaucoup mieux comme ça. Vous êtes très mignon, on dirait un vrai bébé. Et en plus ça sent très bon dit-elle en s'approchant de mon sexe. Sans prévenir elle me mis un coup de langue sur le bout du gland. "Excusez-moi," dit-elle en rougissant, "mais j'ai pas pu résister." Et elle me rabattit le change dessus, avant de le serrer sur mes hanches, de défaire les adhésifs, et de finir de me langer. "C'est pas grave, tout le plaisir était pour moi." Elle sortit de la chambre et quelques instants plus tard, on m'apporta mon petit-déjeuner. Mis à part la télévision je n'avais pas grand chose à faire et je commençais à trouver le temps long. Je me mis à penser à ce que j'avais vécu ce matin et je décidais de boire beaucoup pour pouvoir rapidement inonder ma couche et ainsi avoir la chance d'être changé souvent. C'est ainsi que je bu entièrement et d'une seule traite la bouteille d'eau minérale qui était sur la table.

Une heure plus tard, la pression sur ma vessie commençait à se faire sentir. Je décidai d'alors de garder au maximum ce liquide à l'intérieur de moi. Quand la pression fut trop forte, je ne pus continuer à résister et ma vessie se vida entièrement. La couche que j'avais n'arriva pas à contenir les flots d'urine qui s'écoulait, et il commençait à y avoir des fuites de tous les côtés. Quel bonheur... Entièrement trempé et à la merci d'une infirmière pour me changer. Je n'avais même pas à avoir honte de porter une couche et de m'afficher dans cette état. Quand cela fut fini, j'appuyai sur la sonnette.

Quelques instants plus tard elle arriva, et je souleva le drap pour lui montrer mon état. Elle comprit aussitôt et alla dans l'armoire et sortit un change du paquet. En arrivant plus près du lit, elle put constater les dégâts et dit : "Je crois qu'une seule couche ne suffira pas, il faut que j'aille chercher du renfort." Elle s'absenta pour revenir avec une épaisse couche rectangulaire et un change complet beaucoup plus épais que celui que je portais actuellement. "C'est le modèle le plus absorbant que nous ayons. Je rajoute une autre couche dedans, comme ça vous n'aurez rien à craindre, vous serez bien au sec."

Elle m'enleva doucement le change avant de le jeter à la poubelle. J'étais encore tout dégoulinant d'urine. Elle prit alors un rouleau de papier absorbant pour m'essuyer les fesses et mon sexe lisse. En voyant que les draps étaient aussi garni de belles auréoles jaunes, elle me dit qu'il vaudrait peut-être mettre aussi une alèse en caoutchouc. J'acquiesçais sans rien dire, trop content qu'on s'occupe de moi de la sorte. J'avais l'impression d'être à nouveau un petit bébé. Une fois qu'elle eut mis l'alèse en caoutchouc sous mes fesses, elle entreprit de me changer. La présence de la couche rectangulaire à l'intérieur du change me faisait un entrejambe énorme. J'avais vraiment l'impression d'être un bébé. En voyant cela, elle me dit : "A tout à l'heure mon bébé, et m'embrassa la joue en me tapotant la couche. Si tu es gentil, je t'apporterai un bon biberon tout à l'heure." Le paradis sur terre, ça y est je l 'ai trouvé, c'était mieux que dans mes rêves, j'étais un gros bébé. Même les draps remontés, cela me faisait une énorme bosse, qui laissait deviner à tout le monde ce que j'avais entre les jambes. Après le repas de midi, je me laissais aller à une petite sieste.

Dans l'après-midi, une infirmière rentra dans la chambre. Elle était beaucoup moins chaleureuse et sexy que celle qui s'occupait de moi. C'était une bonne grosse vieille femme, l'infirmière acariâtre comme on l'a voit dans les films.

"Vous avez déjà fait caca hier ou aujourd'hui ?" dit-elle. "Non," répondis-je, "pas depuis mon accident."

"Bon, retournez vous," me dit-elle, "je vais vous faire un lavement." Et elle souleva le drap. Ah, vous êtes garni à votre âge ? Vous n'avez pas honte, vilain petit garçon ?" Elle défit les adhésifs et enfonça non sans mal dans mon anus une canule en plastique de vingt centimètres de long. Elle appuya sur la poire et vida le liquide chaud et visqueux dans mes intestins. Elle me fit remettre sur le ventre et referma le change. "Serrez les fesses, le temps que ça agisse, et tenez, prenez ça, c'est un laxatif, ça va vous aider." Elle me donna un cachet que j'avalai en redoutant les effets qu'il pourrait avoir.

Au bout d'une demie heure, je n'en pouvais plus. Le lavement et le médicament faisaient effet et je ressentais une envie urgente qui émanait de mes intestins. Je ne pouvais pas me lever pour aller aux toilettes. La seule chose qui me restait à faire c'était de me laisser aller et de faire dans ma couche. Avec l'épaisseur que j'avais je ne craignais pas les fuites. Le seul problème c'était que je n'avais jamais osé faire dans mes couches. J'essayais de me lever, mais je n'ai pas pu et fus contraint à rester au lit. J'essayais de m'imaginer cette masse brunâtre et chaude sortant de mes intestins et se répartissant dans la couche.

La pression devenait de plus en plus forte, et je me laissai aller en me décontractant... Ca y est, j'y arrive... Mais c'est agréable finalement, cette masse chaude qui se répand... Une fois fini, je dus appeler mon infirmière préférée car l'odeur qui commençait à se répandre n'était pas aussi agréable que le fait de faire dans sa couche. Elle arriva presque de suite, et c'est non sans mal qu'elle me nettoya. Une fois propre, elle me mis du lait de toilette sur les fesses et talqua mon sexe. Elle déplia une couche propre et me l'a mit. "A tout à l'heure me dit-elle, je repasserai vers seize heures pour le goûté." Vivement seize heures me dis-je dans ma tête.

A seize heures tapantes, elle entra et referma derrière elle. Elle s'approcha de moi. "Je n'ai pas trouvé de biberon, mais j'ai beaucoup mieux pour vous." Elle commença à défaire les pressions de sa blouse et dégrafa son soutien-gorge, ce qui révéla ses seins magnifiques qui demandaient qu'à être embrassés. Mon souhait fut exaucé lorsqu'elle se pencha vers moi et me tendit un sein. "Vas-y mon bébé, c'est pour toi, suces le sein à maman, régales-toi mon bébé." Je ne me fis pas prier et me régala du plaisir de prendre son sein à pleine bouche. Je suçais comme un bébé, essayant de faire sortir du lait de sa poitrine. Je croyais avoir un an. Au bout d'un petit moment, elle commença à gémir.

Elle finit de défaire entièrement sa blouse et enleva sa culotte. Elle était entièrement nue, et moi je continuai à téter. Elle enleva ensuite le drap qui me recouvrait et me caressa à travers la couche. Je n'avais vraiment pas besoin de ça pour être excité. Elle enleva son sein de ma bouche et défit les adhésifs de mon change complets pour prendre mon sexe dans sa bouche. La succion qu'elle exerçait était intenable, je n'en pouvais plus, je croyais mourir. Le fait de porter des couches depuis plus de deux jours et de ne penser qu'à ça, m'avait terriblement excité. Elle se mit à se caresser entre les jambes et une fois prête, elle me chevaucha et engloutit mon sexe dans sa vulve dégoulinante de plaisir. C'est elle qui faisait tout car moi j'avais les fesses sous ma couche et je ne pouvait pas bouger à cause des plâtres.

J'ai joui comme jamais je n'avais joui. Une fois fini, elle descendit du lit et remis mon sexe dans sa bouche. "C'est pour nettoyer." dit-elle. Elle finit ensuite de me rattacher le couche-culotte sur les hanches avant de se rhabiller.

"Tu sais," lui dis-je, "j'ai quelquechose à te dire." "Quoi ?" dit-elle. J'étais décidé à tout lui dire. A lui dire que je portais des couches seulement par plaisir et que j'avais terriblement envie que cela continue, qu'elle s'occupe de moi comme ça chez moi... "C'est à propos des couches, je voudrai te dire... " "Chut," me dit-elle, en mettant un doigt devant ma bouche, "je sais tout, tu n'es pas vraiment incontinent..."

"Comment sais-tu ?" dis-je interloqué qu'elle le sache. "Tu sais, je suis resté auprès de toi pendant plus de deux jours quand tu étais inconscient. Tu portais une couche, mais tu es resté sec pendant tout ce temps là. Pas à un seul moment j'ai eu besoin de te changer. J'en ai donc déduit que tu portais des couches seulement par plaisir et non par nécessité. J'ai joué le jeu. Je te trouvais très mignon et trouvait ça très excitant que de voir un adulte en couche-culotte comme les bébés. J'ai donc tout naturellement eu envie de toi et eu envie d'être ta nounou pendant ton séjour." Et elle sorti de la chambre comme elle était venue.

Tout naturellement...