Anonymous


Vues: 12043 Created: 2007.11.17 Mis à jour: 2007.11.17

Humiliée Devant la Bonne

Humiliée Devant la Bonne

La petite aventure suivante m'est arrivée Il y a quelques années. J'avais alors vingt-neuf ans, j'étais mariée, sans en-fant. Pour son travail, mon mari était contraint à s'absenter parfois plus d'un mois à l'étranger. Quelquefois, je l'accompagnais.

En ce beau et chaud mois de juillet, il était parti seul, et j'avais décidé d'aller passer une dizaine de jours chez une jeune tante que j'aimais beaucoup. Ma tante, de dix ans mon aînée, était veuve et habitait avec une domestique une agréable maison à la campagne.

C'était une très belle femme, gaie et toujours accueillante, aussi mon projet fut-il tout de suite accepté.

Installée comme une reine dans cette belle demeure, j'y passais quelques jours délicieux. Le temps se partageait entre le bavardage, les promenades dans les environs, quelque visites et de petites courses dans la ville voisine. Tout était d'autant plus merveilleux que ma tante était servie par Maria, une jolie Portugaise de vingt ans environ, et de ce fait, nous n'avions qu'à nous laisser vivre.

Un matin, je me réveillai avec un mal de tête, et ma journée en lut gâchée. Après goûter, bien que cette migraine se soit en partie dissipée, ma tante me dit : "Ma chérie, un de mes voisins est un vieux monsieur charmant, c'est un médecin en retraite, je vais lui demander conseil. Il faut que tu sois en forme pour le reste de ces vacances."

Une heure plus tard arriva ce vieux et charmant médecin. Nous bavardâmes un moment tous les trois, puis il me dit, "Alors, qu'est-ce qui ne va pas, ma petite ?" Il me prit le pouls, me regarda la gorge, me fit tirer la langue, puis dît: " Rien de grave, chère amie, je vous conseille de donner à votre nièce un peu d'aspirine, de lui faire ce soir un dîner léger et, demain matin, un purgatif, ou mieux, un lavement ".

Je me sentis brusquement gênée quand ma tante dit, "Merci, cher ami, nous suivrons vos conseils... "Lorsque nous fûmes seules, ma tante me regarda en souriant. "Que penses-tu de son ordonnance ?"

Je ne savais trop que répondre. Si ce n'est que la perspective d'un lavement m'inquiétait un peu. "Bah," répondit ma tante, "c'est une médication simple et efficace. Tu verras que tout se passera sans problème".

Après un dîner léger, comme prescrit, une pe-tite promenade autour de la maison - sans oser parler de ce qui m'attendait le lendemain, mais en y pensant tout le temps - nous rentrâmes à la maison et ma tante me conseilla de me coucher de bonne heure. Elle me laissa devant la porte de ma chambre en m'embrassant, comme tous les soirs.

Contrairement à l'habitude, je me réveillai à sept heures. La maison était calme. Vers huit heures, j'entendis ma tante descendre et retrouver dans la cuisine Maria. La cuisine et ma chambre donnant sur le jardin, et les fenêtres étant ouvertes, j'entendis leur conversation. C'est ainsi qu'au bout de cinq minutes, ma tante dit à Maria : "Voulez-vous faire bouillir deux litres d'eau dans cette grande casserole, c'est pour un la-vement que va prendre mademoiselle Jacqueline." Elle ajouta aussitôt : "Je vais faire un saut chez le pharmacien acheter un flacon de glycérine."

J'entendis alors Maria répondre : "Eh bien. Mademoiselle Jacqueline va être gâtée. et avec ce que vous lui préparez, elle va pas mal se tortiller."

J'étais rouge de confusion et furieuse. Ainsi, cette Maria s'amusait à la per-spective de ce qui allait m'arriver. Je ne pouvais rien faire qu'attendre. Dix minutes passèrent. Ma tante était à nouveau dans la cuisine. "Bon," dit-elle, je vais préparer le matériel."

J'entendais le remueménage, les bruits d'eau... Je devinais ce qui se passait, et tout cela devant Maria que, comble d'humiliation, j'entendis dire, "Oh, madame, vous allez lui mettre cette grosse chose dans le derrière ?"

Mon Dieu, quelle canule ma tante comptait-elle utiliser? A l'humiliation s'ajoutait maintenant une certaine angoisse.

Je n'entendais plus rien depuis un moment, lorsque je perçus des pas dans l'escalier. Ma tante entra, portant une grande serviette blanche et derrière Maria tenait l'appareil équipé de son long tuyau, terminé par une canule que je jugeai volumineuse. J'avais le souffle coupé. Je me sentis rougir et ma tante, devinant mon trouble, me dit en m'embrassant : "Bonjour ma chérie, ne sois pas inquiète, tu verras, tout se passera très bien."

Voyant que mes yeux ne quittaient pas Maria, elle ajouta en riant, "Je pense que tu n'es pas gênée Si Maria m'aide. C'est beaucoup plus facile, et c'est pour moi l'occasion de lui apprendre à administrer un clystère. Allons. ma chérie, tu vas être très sage et faire ce que je vais te demander. D'abord, lève-toi, que je mette sur le lit cette serviette-éponge. Bon, maintenant, allonge-toi sur le côté, et laisse-moi te remonter ta chemise."

Avec gêne, je sentis ses mains dénu-der complètement mes fesses que, malgré moi, je contractais. "Décontracte-toi, ma chérie. Maria, posez le bock sur la petite table. Bon, maintenant, donnez-moi le tube de vaseline."

Un doigt très gras me garnit mon intimité que j'essayais en vain de défendre. "Bon, maintenant, Maria, passez-moi la canule." Je me serrais avec force mais ma tante, après m'avoir tapoté les fesses pour calmer mon appréhension, introduisit la chose, doucement. Doucement, c'est vrai, mais j'avais l'impression que ça ne finirait jamais. J'étais crispée et anxieuse, et puis la présence de Maria m'humiliait tellement que je serrais les dents, ne voulant surtout rien dire, me jurant même de ne pas bouger. J'avais gardé en mémoire les propos de Maria sur mes fesses qui se tortilleraient...

"Bien," dît ma tante, "cette fois, nous pouvons y aller. Maria, vous allez d'abord bien agiter l'eau avec la grande cuillère en bois afin de mélanger la glycérine qui, sans cela, resterait en surface. Maintenant, vous allez lever le bock, encore un peu. Bien, ne bougez plus. Voyez, j'ouvre le petit robinet."

Je ne pus réprimer un mouvement en sentant l'eau arriver.

"C'est trop chaud, ma chérie?" demanda ma tante. Je fis non de la tête, et comme je me l'étais promis, je ne bougeai pas. Mais c'était long, long, et je sentais de plus en plus l'effet de cette eau, qui coulait toujours. J'espérais être à peu près au bout de mes peines. Ma tante dit alors à Maria:

- A quel niveau sommes-nous?

- A la moitié, Madame.

J'eus une sueur froide. Jamais je ne pourrai tenir jusqu'au bout. "Ça va, ma chérie ?" dit ma tante. Je répondis par un petit gémissement. Elle me tapota les fesses, ce qui me fit les contracter, et elle insista : "Ma chérie, Si tu as des coliques. il faut remuer un peu, décontracte- toi. Tiens, je vais arrêter un instant et fermer le robinet."

J'avais effectivement de plus en plus envie de bouger, mais Maria me regardait et je ne voulais pas lui donner ce spectacle supplémen-taire. Ma tante ouvrit à nouveau le ro-binet, et dit à Maria : "Levez le bock plus haut." Cette fois, je commençai à déplacer une jambe puis l'autre, puis a tortiller ma croupe d'une façon que je sentais indécente, mais je ne pouvais plus du tout tenir en place. Je murmurai : "Assez, assez."

"Encore un demi-litre," dit ma tante. "Maria, baissez le bock et faites-le passer tout doucement."

Je sentis alors la canule glisser et j'eus l'impression que tout allait partir. "Attention, attention," dis-je en serrant les fesses de plus en plus fort. Mais ma tante répondit : "Sois sage ma chérie, c'est moi qui fait bouger un peu la canule afin que le lavement trouve bien Sa place. C'est très bien, tu es très sage."

A peine avait-elle dit cela qu'une ter-rible envie de remuer me domina. Cette fois, ma volonté fut impuissante. C'est alors que, mes cuisses se contractant et se décontractant, je sentis une main se glisser sur mon ventre et s'arrêter sur mon intimité. "Sois calme, ma petite," dit ma tante, "tu vas voir que tout cela va t'aider."

Et en effet, sous ce doigt habile, je ne sentais plus les horribles coliques mais une jouissance terrible, qui venait sans que je puisse la contrôler. C'est ainsi que, devant Maria qui n'en perdait rien, j'eus une succession d'orgasmes, m'entendant gémir, "oui, oui, oui..."

Et puis ce fut la fin. Ma tante retira la canule, dit à Maria de tout ranger et resta seule avec moi.

J'étais rouge, confuse, et ne savais que dire. Alors, ma tante m'embrassa et me dit : "Tu as été très bien, ma chérie. Saurais-tu à ton tour me donner un bon lavement, un jour prochain ?"

Malgré les coliques qui m'obligeaient à serrer les dents, je la regardai avec à la fois étonnement et plaisir, et je m'entendis lui répondre : "Pourquoi pas ? Mais avec Maria pour m'aider."

Ma tante rosit un peu et, m'embrassant. me dit, "Eh bien d'accord, demain matin."

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n/a Il ya 10 ans  
TSM Il ya 15 ans