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Vues: 5357 Created: 2007.07.13 Mis à jour: 2007.07.13

Ma Belle-Mre m'a Administr un Lavement

Ma Belle-Mre m'a Administr un Lavement

Je m'appelle Jean, j'ai 29 ans, marié, papa d'une fille et d'un garçon. Depuis plusieurs années, nous avions l'habitude, ma femme et moi, d'aller tous les quinze jours en week-end chez ma belle-mère, Denise. Depuis notre mariage, sans être désagréable, Denise avait une attitude dominatrice envers moi, voulant toujours avoir le dernier mot. Elle est veuve depuis sept ans et a, malgré tout, bien des côtés sympathiques.

Au réveillon de Nouvel An dernier, je suis tombé malade, sans doute une petite angine doublée de coliques dues certainement au repas de tête passé en famille. Ma femme reprenant son travail dès le lundi, je suis resté coucher chez ma belle-mère tandis que ma femme repartait avec les enfants.

Dans l'après-midi du lendemain, Denise me dit: "Je vais bien vous soigner! J'ai à ma disposi-tion tout le matériel nécessaire pour vous faire du bien." Au chaud sous les couvertures, je n'ai rien compris... "

Une heure plus tard, Denise revient avec la table roulante chargée de tout ce qu'il faut pour un lavement gigantesque! Un bock à lavement, une serviette éponge, un tube de vaseline, un tuyau, une canule qui, en fait, est un anus picket trafiqué de trois à quatre cm de diamètre et douze de long!

A mes vives protestations, Denise répond : "C'est ça ou je dis à ma fille que vous avez prétexté être malade pour tenter d'abuser de moi. Il est grand temps que vous fassiez connaissance avec mes talents d'infirmière. En plus, vous en avez réellement besoin."

En état de faiblesse physique et morale, je me suis laissé faire.

Denise installa la serviette éponge sous mes fesses et me fit mettre de côté pour offrir mon derrière. La pénétration fut délicate mais, la canule engagée, un début d'érection se fit sentir. Elle me branla plusieurs minutes avec l'instrument puis ouvrit le robinet.

"Vous voyez comme c'est bon!" Quelques minutes plus tard, elle ferma le robinet, suspendit le bock au plafond et le branlage reprit.

Quand elle rouvrit le robinet, j'ai cru mourir, c'était insupportable. A ce moment, elle se mit à me masturber le sexe et j'éjaculai.

Le supplice terminé, j'allai me soulager aux toilettes, l'eau du lavement était encore brûlante. La honte, m'empêcha de la regarder en face. Elle me fit un baiser et me dit: "Vous avez été très sage, ce soir je vous ferai une surprise."

Le soir-même, elle me fit une fellation extraordinaire, m'encula avec un gode à ceinture et m'envoya deux longues giclées de liquide dans le derrière.