Anonymous
1 members like this


Vues: 8519 Created: 2007.07.30 Mis à jour: 2007.07.30

Je Me Sens Bien Dans Mes Grosses Fesses

Je Me Sens Bien Dans Mes Grosses Fesses

Autrefois, je détestais me montrer nue, en particulier de dos. On comprendra mon problème, si j'avoue que pour une taille de 1,55 m j'ai 102 de tour de hanches. Comme mon ventre est très plat, cette mensuration est due à la largeur de mes hanches, mais surtout au volume de mes fesses.

Je suppose qu'il s'agit d'un caractère héréditaire car ma mère et sa sœur ont toutes deux des hanches évasées et une forte croupe. De même, ma fille aînée, malgré ses 14 ans, a déjà des fesses imposantes. Nous nous taquinons affectueusement à ce sujet; l'autre jour, nous étions toutes les quatre ensemble, nous prétendions toutes que les autres étaient plus rondes» que nous-même, lorsque survint mon mari. Ma fille a eu la plaisante idée de le prendre pour arbitre. Ma mère et sa soeur se sont, certes, récriées qu'il n'était pas correct que leur gendre et neveu se mette à les détailler ainsi. Mais elles ont de bonne humeur accepté ce petit jeu.

Après un examen attentif et des contre-vérifications, Ph. a décrété que c'était moi qui détenait la palme! J'en ris maintenant. Petite fille, j'en souffrais. Dans ma famille, on parlait stupidement de «la grosse lune de J.». C'est ce qui me gênait le plus quand on me prenait la température ou qu'on me donnait un lavement ou le martinet. Avec la puberté, ce caractère morphologique ne fit que s'accentuer. Influencée par la publicité, les journaux de mode etc., j'en faisais bêtement un complexe. A 16 ans, j'ai du être hospitalisée et mon état nécessitait un lavement quotidien. L'infirmière voyant mes efforts pour me dérober à sa vue, me dit carrément «Ne faites-donc pas tant de manières, d'accord, vous avez de grosses fesses, vous devriez être contente, les hommes aiment ça». Sa remarque commença à modifier ma vision du problème, d'autant plus que j'eus dès le lendemain confirmation de ses dires. Le jeune médecin qui me traitait, homme fort séduisant, survint au moment où l'infirmière commençait à m'administrer mon lavement. Il lui dit de ne pas se déranger pour lui et resta à me parler. Couchée sur le côté, j'avais les fesses tournées vers lui. Je sentais ses yeux fixés sur mes fesses.

Ma psychologie évoluait; d'une part, je sentais que je lui plaisais, d'autre part, je me sentais encore complexée, mais de ce sentiment d'infériorité je tirais maintenant plaisir, c'était là l'élément nouveau. Cet homme, jeune et beau, auquel j'étais soumise en tant que patiente, assistait à mon lavement et semblait jouir du spectacle de mes grosses fesses. Ensuite, il y eut la rencontre avec Ph. et notre mariage d'amour. Je lui suis reconnaissante de m'avoir redonné confiance en moi, en m'aidant à surmonter mon complexe.

Cependant de l'extrême pudeur liée à mon ancien complexe, j'ai gardé quelques traces, j'éprouve toujours quelque gêne à me déculotter devant Ph., mais de cette gêne naît le plaisir, aussi ai-je une propension, dans un contexte amoureux, à rechercher les situations ou je me sens humiliée. J'aspire alors à me sentir entièrement soumise à la Volonté de mon «maître», qui a le pouvoir de me commander et de me punir. Je dévore toutes les lectures où il est question de domination et de punition. Je me mets toujours dans la peau des héroïnes soumises, humiliées, agenouillées, fouettées. J'affectionne toutes les situations où des femmes ou jeunes filles sont contraintes à une obéissance absolue et je me sens particulièrement remuée à partir du moment où le fouet entre en jeu, surtout quand il est appliqué sur les fesses.

Ces situations ont pour théâtre essentiellement les pensionnats et les prisons de l'ancien temps. Évidemment, de toutes les scènes de soumission, celles qui m'émeuvent le plus, sont celles qui répondent le mieux à mes propres désirs, celles où l'héroïne, à genoux, reçoit le fouet sur les fesses, comme moi dans nos préludes amoureux.

J'aime provoquer toutes les occasions d'exhiber mes fesses à mon mari : je lui demande de prendre ma température, de me mettre des suppositoires ou de m'administrer un lavement. Le lavement est entré dans notre arsenal érotique, et la position en levrette est devenue pour nous la plus normale. Je me sens maintenant bien dans mes fesses, en un mot libérée.