Anonymous


Vues: 13605 Created: 2007.10.09 Mis à jour: 2007.10.09

J'Examine Mes Patientes

J'Examine Mes Patientes

Avec Tamara, son assistante, le Dr G, une doctoresse vicieuse de 45 ans prends soin de Mme D. :

Je la tire ainsi vers le salon et la mène là où je la veux près de la table basse sur laquelle je la fais s'allonger à plat ventre. Tamara se saisit de ses chevilles qu'elle attache à chacun des pieds de la table à l'aide d'une serviette. Mme D. se laisse attacher sans émettre le moindre mot. Je force ses poignets à venir se joindre à la base des autres pieds du meuble. Une fois fixée à la table je saisis une longue courroie et fixe ma victime par la taille contre le plateau de verre.

Après cela je me recule pour jouir du spectacle. Tamara a glissé un coussin sous le ventre de Sabine, ce qui lui soulève les reins dune manière exagérée.

Mme D. nous dévoile ses deux orifices Elle est immobile, à notre merci. Son anus, livré sans défense, palpite d'appréhension. Je pose deux doigts de part et d'autre de l'œillet crispé et je les écarte pour tenter de l'ouvrir davantage, mais Sabine se crispe pour refermer le cul.

Je me moque d'elle. - Tu peux serrer les fesses, ma chérie, je te garantis que tu vas les ouvrir.

Je prends ma voix de médecin pour m'adresser à Tamara. - Il me semble qu'un bon lavement lui ferait le plus grand bien! Pour lui assouplir le caractère et en même temps en la préparant d'une manière idéale à recevoir le membre de son mari qui meurt d'envie de lui défoncer la rondelle!

Sabine, dans un ultime effort, se cabre dans ses liens. - Quoi! Etes-vous folle? rugit Mme D.

Sa colère non feinte nous fait éclater de rire. Toute joyeuse, Tamara se précipite dans la salle de bains. Mme D. au bord de l'hystérie, se débat sur la table, mais ne parvient qu'à s'ouvrir davantage. Pour la mortifier, et lui faire bien sentir combien elle est offerte, sans défense, je joue avec son anus, m'amusant à effleurer les petits plis crispés du cratère que ma victime serre avec I'énergie du désespoir.

Tamara revient enfin, tenant religieusement les nécessaires au lavement.

Il y a là sur un plateau un bock en émail, une serviette blanche pliée en quatre et une boite ouverte contenant toutes sortes de canules en ébonite noire.

Mme D. se met à hurler de rage, dès qu'elle se rend compte que nous ne plaisantons pas.

Voyant que sa colère nous laisse de marbre, elle éclate en larmes et nous supplie en se tortillant d'arrêter ce "jeu stupide... " Je lui flatte la croupe, faussement maternelle:

- Inutile, ma belle. Tu seras lavée et enculée. C'est le programme de la soirée. Alors, sois raisonnable. Si tu résistes, cela risque d'être long et douloureux, alors un conseil: offre-toi bien sagement... De toutes façons, tu n'as pas le choix. D'un doigt, j'étale un peu de pommade sur son anus et je me mets à le lui masser. Ouverte comme elle l'est, Mme D. ne peut nous dissimuler la moindre de ses réactions. Je prends mon temps, Je sais combien cette attente est intolérable pour la victime qui attend l'exécution du châtiment, Je décide d'accroître son trouble en la fustigeant de mon ironie:

- Rendez-vous compte, Sabine, de quelle manière vous êtes honteusement présentée? Vous êtes si ouverte que jamais, j'en suis sure, personne ne vous a vu le trou du cul et la chatte aussi parfaitement que nous... Et voulez-vous que je vous le dise? Vous allez nous l'ouvrir davantage, Sabine, votre cul! Vous allez nous montrer votre bonne volonté en collaborant à votre propre supplice. Vous allez vous offrir à la canule de vous-même, en attendant de recevoir un calibre plus respectable dans votre cul... Allons...

Mme D. pousse un cri rauque, qui est en fait celui de sa capitulation. Elle en est arrivée au stade où l'on peut tout exiger d'elle. Après une grande inspiration, elle semble cambrer les reins davantage, comme mue par une force intérieure. Je vois la corolle qui se dilate. Mon doigt en profite et se pose au centre du cratère, l'effleure avec douceur pour contrôler les efforts de ma victime.

- Poussez un peu, Sabine...

Je me penche pour bien la voir s'ouvrir. La rondelle bistre s'agrandit, se boursoufle et devient plus rose. Le centre du cratère s'élargit et se creuse, mettant à jour des chairs plus rouges, luisantes. Mon doigt progresse au gré des efforts de ma victime. Celle-ci, abdiquant toute pudeur, pousse comme Si elle était en train de faire sous nos yeux. J'imagine qu'elle doit être sa honte d'avoir à effectuer sous nos yeux des efforts aussi intimes. C'est dire à quel point elle est maintenant dressée!

Je me garde bien d'émettre le moindre commentaire ironique, de crainte de la voir abandonner ses efforts pour collaborer à son supplice, mettant ainsi une fin à son action aussi impudique que nous l'obligeons à réaliser à nu et sous nos yeux.

Je réserve pour plus tard mes sarcasmes. Peu à peu, le trou du cul s'ouvre de lui-même sous l'effet du relâchement de son sphincter. L'anus bâille sur ses profondeurs sombres. Mon doigt glisse en son cœur, se plante jusqu'à la garde.

C'est à cet instant précis que, mû par une force incontrôlable du sphincter, l'anus se resserre sur l'intrus, le serre comme entre une mâchoire sans dents. il est maintenant impossible, tant ma vic-time serre le cul, de retirer mon doigt sans faire un gros effort. Mme D. le serre spasmodiquement comme pour le broyer. Puis, peu à peu, les spasmes se font plus doux. L'anus vaincu se dilate de bonheur et s'ouvre à nouveau. Elle pousse d'une manière incontrôlable pour expulser l'intrus. Je joue le jeu, glisse, accompagnant la force qui me pousse dehors. Je sors au moment où Sabine ne s'y attendait pas et l'anus se resserre convulsivement, comme si la femme punie éprouvait soudain la peur abjecte de se vider sous nos yeux.

- Tout va ensuite très vite Tamara présente au centre du cratère la pointe noire de la canule d'ébonite. Elle est arrondie à son extrémité, comme une olive. L'anus a un petit mouvement pour se rétracter, tandis que Tamara pousse. Mme D. gémit, impuissante dans ses liens. Elle serre le trou du cul puis sentant que Tamara ne relâche pas sa pression, elle capitule en poussant un soupir pitoyable. La canule pénètre dans l'étroit canal parfaitement lubrifié, et le tube d'ébonite glisse au cœur du rectum jusqu'au petit robinet qui commande l'arrivée de l'eau.

Une fois en place, la canule est suffisamment engagée pour que les réactions musculaires ne puissent l'éjecter. En experte parfaite, Tamara saisit alors le bock émaillé, rempli aux trois quarts d'eau tiède et le fixe en hauteur sur une étagère de la bibliothèque.

Nous nous redressons pour jouir avec le recul nécessaire du spectacle de choix qu'offre notre souffre-douleur en position disciplinaire. Elle est prosternée à l'extrême, le cul ouvert d'une manière obscène. En son centre jaillit un long serpent de caoutchouc rouge qui rend la pose insolite et ridicule. En experte des clystères, Tamara presse sur les reins pour prendre un appui et pour accroître autant que faire ce peut la cambrure déjà exagérée des fesses. De l'autre elle actionne le petit robinet, ouvrant enfin les vannes du bock.

Il n'y a aucun bruit. Personne ne parle : ni la victime, ni le bourreau, ni les spectateurs... Un silence pesant, religieux, règne sur le salon. Puis il y a soudain ce petit ruissellement étouffé de l'eau qui coule à petits jets au plus profond des entrailles de la victime. Nous pouvons voir le niveau du bock qui baisse peu à peu. Tamara a dû mettre deux litres d'eau, ce qui représente un lavement assez copieux. Nous sommes à l'affût des premières réactions de Sabine. Elles ne tardent pas. Cela commence par un tremblement incoercible des cuisses écartelées et la chair de poule recouvre peu à peu l'épiderme blafard de la croupe tendue. Puis un gémissement bizarre qui semble venir de très loin, une sorte de mélopée triste s'élève, tandis que Mme D. tangue imperceptiblement dans les liens qui la maintiennent ouverte sur le pilori. Son abdomen se gonfle d'une manière remarquable, accroissant la cambrure de ses reins, rejetant davantage vers le plafond le trou du cul outragé.

Le bock est au trois quarts vide maintenant. Mme D. ressent les premières douleurs. Tamara, qui maîtrise l'art du clystère pour l'avoir maintes fois subi elle-même de mes mains, réduit alors le débit de l'eau, elle attend un moment que les spasmes se calment pour ouvrir à nouveau en grand les vannes.

Mme D., cette fois, manifeste à haute voix les affres des premières coliques. Au fur et à mesure qu'elle se remplit elle ouvre la bouche, comme pour obéir à la loi des compensations. Ce sont les dernières gouttes du lavement qui sont les plus terribles pour la victime : l'eau, en s'engouffrant dans ses intestins, entraîne avec elle de l'air. Cela fait un bruit d'évier qui se vide et Sabine gémit de honte.

Tamara ferme alors le robinet. Elle laisse néanmoins quelques minutes encore le tuyau fiché dans le cul de la patiente. Peu à peu, celle-ci s'agite, en proie à une lutte intestine incoercible. Un bruit incongru de gargouillis s'élève de son ventre. Tandis qu'elle fait des grimaces atroces pour exprimer la gêne qui peu à peu, naît dans ses entrailles. Les choses se corsent au moment où Tamara entreprend d'extraire la canule. Elle doit tirer de toutes ses forces, tant le trou du cul est hermétiquement fermé. Mme D. résiste, incapable d'aider son bourreau, tant elle craint en se relâchant de tout laisser s'échapper. Mais elle n'est pas en position pour résister. La canule glisse peu à peu hors de l'anus. Tamara force avec le même geste que le dentiste pour extraire une dent de sagesse en donnant de petits mouvements circulaires. Enfin le cul s'entrouvre pour laisser s'échapper le bout renflé de la canule, non sans avoir laissé échapper une goutte trouble qui hésite, puis glisse lentement et comme à regret le long de la raie du cul. Mme D., qui a un instant cru ne pas pouvoir se clore suffisamment, supplie qu'on la détache

- Je vous en prie... Je ne vais pas pouvoir... Oh... Lutter Si longtemps !... laissez-moi sortir!

Tamara sait trop combien l'attente est atroce pour la patiente au ventre distendu. Mme D. est livide. Elle tremble comme si elle avait la fièvre, se demandant si elle va pouvoir se retenir bien longtemps, lutter pour ne pas se répandre sous nos yeux de la plus ignoble façon...

- Tu as encore le temps. Si tu veux qu'il soit efficace, un lavement doit être conservé dix minutes au moins. Concentre-toi, fais des efforts il faut avoir le cul bien propre pour qu'on l'encule...

Nous ricanons tous les trois tandis que Mme D. accuse les premiers signes d'épuisement. Ses coliques deviennent de plus en plus aiguës... Je vois le trou du cul qui est maintenant à bout de forces. La rondelle est boursouflée, dilatée, arrondie comme des lèvres de négresse. Sur un simple signe de ma part, nous retirons tous les trois les liens qui l'attachent aux pieds de la table. Hagarde, Mme D. se redresse comme un diable qui sort de sa boîte et se comprime le ventre à deux mains. Son abdomen est gonflé comme celui d'une femme enceinte. il y a un bruit de clapotis quand elle bouge un peu. Elle nous regarde avec sur le visage une expression désespérée. Une de ses mains abandonne son ventre pour venir plaquer deux doigts entre ses fesses, afin d'aider l'anus à se fermer.

Elle reste ainsi quelques instants, les yeux fermés, immobile, toute concentrée.

Enfin, elle se met en marche à petits pas précautionneux, s'arrêtant parfois pour laisser passer une colique plus violente que les autres. Elle a l'air pitoyable, ainsi, une main soutenant son ventre, l'autre en bouchon sur le trou du cul. Son pas s'accélère, comme Si elle craignait tout à coup de ne plus pouvoir se retenir jusqu'à la porte des toilettes. Brusquement, elle semble s'aviser qu'elle n'aura pas le temps d'y arriver. Alors, elle se tourne vers la grande baie du salon qui est ouverte sur le jardin. Elle s'élance dehors d'une étrange et insolite démarche de canard. Elle se précipite sur la pelouse et là, s'accroupit et dans une sorte de sanglot rauque, bruyamment, elle se laisse aller, toute pudeur abolie.

Elle se soulage sous nos yeux, au comble de la déchéance, réalisant, toute nue et en public l'acte le plus intime et le plus honteux qui soit.

Nous la regardons faire, amusés, un peu dégoûtés quand même. Ayant enfin vidé ses intestins, Mme D. tourne vers nous son visage ravagé par la honte. Elle arrache une poignée d'herbes et s'essuie le cul sous le feu de nos sarcasmes impitoyables.

Quand elle se redresse enfin, elle est définitivement brisée dans son orgueil et sa pudeur. Pour elle, rien ne sera plus jamais comme avant.