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Vues: 11391 Created: 2007.11.12 Mis à jour: 2007.11.12

Infirmire Associe

Infirmire Associe

Ma femme est infirmière libérale. Elle est associée avec deux autres collègues. Les tournées sont organisées de telle sorte que tous les soirs une des trois est au repos.

Un soir, alors que je rentrais du bureau, je ne me sentais vraiment pas bien. Manque de chance, ma femme travaillais. Je me suis donc rendu chez Karin, une de ces collègues qui était de repos ce soir là.

Je sonnais, elle vint m'ouvrir. Me voyant dans cet état, je n'eue pas besoin de m'étendre longuement sur le motif de ma visite. Elle me demanda simplement si j'avais déjà pris quelque chose. A cela, je lui répondis que je venais directement du bureau.

Elle m'invita à passer dans la pièce à coté. Elle me demanda d'enlever mon pantalon et de me coucher sur la table d'examen. Elle prit une paire de gants en latex dans une boite cartonnée et les enfila doucement en me disant : « je vais déjà voir si tu as de la température ». Elle sortit un des trois thermomètres en verre qui étaient plongés dans une solution d'alcool. De l'autre main, elle attrapa un tube de vaseline. Elle en enduisit son index ganté. Elle fit le tour de la table d'examen pour se retrouver au niveau de mon postérieur. Elle souleva une fesse et me caressa l'anus avec la vaseline. Elle fit même pénétrer son doigt jusqu'à la seconde phalange, puis elle s'en retourna chercher le thermomètre. Elle refit le tour de la table et me l'enfonça doucement et profondément dans le rectum : « ça y est, il est dedans ! » s'exclama t-elle, contente de son travail.

Puis elle vint à nouveau vers moi pour entamer la discussion, mais lorsqu'elle vit que je cachais mon pénis en érection, elle ne put s'empêcher de s'exclamer : « ben, on dirait que ça t'excite ! ». « Ben oui, je suis assez sensible des fesses ». Elle s'approcha alors de moi et, avec ces mains gantées, me prit le pénis pour le caresser. Je n'en pouvais plus d'excitation et me couchais sur le dos pour lui laisser libre accès à mon organe en érection.

Ne me voyant pas du tout farouche, elle se mit à me masturber plus fermement. J'étais parti au septième ciel. Ma main gauche se mis à lui caresser ses fesses, mon bonheur était total.

D'un coup elle cessa et s'exclama : « voyons un peu de combien tu es malade ! ». Elle passa sa main sous mon sexe pour récupérer son thermomètre. Elle passa son doigt sur la réglette de lecture et « 38,8 ! , ce n'est déjà pas rien ! Je vais te donner quelque chose.

Elle déposa son thermomètre dans un haricot en inox et jeta ses gants enduits de vaseline à la poubelle.

Dans la foulée, elle en enfila une nouvelle paire et attrapa une boite de médicaments, une seringue et deux aiguilles et me faisant le dos, je pouvais tout de même deviner ce qu'elle était entrain de me concocter. Et effectivement, armé de sa seringue et d'un coton imbibé d'alcool, elle s'adresse à moi : « tournes-toi s'il te plait ! ». Je m'exécute pour éviter de passer pour un peureux. A peine le temps de m'installer dans cette nouvelle position, je sentais déjà le coton froid et mouillé caresser ma fesse. Un léger pique suivi et le produit s'écoula douloureusement dans la fesse. Je ne put retenir un « ahh » de douleur. Elle retira l'aiguille et désinfecta l'autre fesse. Elle repiqua et me dit : « il faut que tu sois brave jusqu'à la fin car tu n'as plus de troisième fesse ».

A nouveau l'injection me lançait, mon je pris mon pénis pour le masturber et oublier ce qui se passe. Je sentis l'aiguille se retirer « restes comme cela, je vais encore te mettre un suppositoire pour la douleur. Elle s'en alla déposer la seringue, puis ouvrit le réfrigérateur duquel elle sortit un suppositoire. Elle le déballa et revint vers moi, me souleva à nouveau la fesse et poussa le suppositoire et l'index jusqu'au bout. « Mmm, que c'est bon ! » m'exclamais-je. Sur ce, elle maintint son doigt dans l'anus et le fit tourner et me chatouilla la prostate pendant que je me remis à me masturber. Me voyant ainsi affairé, elle sortit son doigt de l'anus et me demande de me coucher sur le dos. Dans cette position, elle m'enfonça deux doigts dans l'anus et de la main droite elle reprit la masturbation. Je hurlais de bonheur, mes fesses se décollaient de la table. Dans l'élan final de l'orgasme, je ne maîtrisais plus rien. A tel point, qu'un début de selle fut expulsé avec le suppositoire. Quelle honte ! Le sperme giclait dans tous les sens. « ah ben bravo, toi au moins, on peut te faire plaisir avec quelque chose ! ».

Elle mit la selle de coté, me mis un bassin sous les fesses et me demanda d'expulser le reste. Mais là, blocage : faire caca devant elle dans une bassine, faut quand même pas exagérer !.

Ne voyant rien venir, elle me quitta pour ouvrir un autre placard. Elle en extrait un bol avec un tube ; un bock à lavement. Les douze coups de midi avaient sonné !!

« Voilà mon grand, je vais t'aider un peu. Elle suspendit le bock, prit la tubulure en main et à son extrémité, un embout de taille fort honorable, en tout cas pas destiné aux patients qu'elle avait l'habitude de visiter en ville. Elle enduisit à nouveau la canule de vaseline et m'écarta la fesse pour l'y introduire. « houff », l'engin est passé en force. Elle ouvrit de suite le robinet et je sentis l'eau s'écouler en moins. Pour une première, ce fut la bonne ! Je jouais de nouveau avec mon pénis et dès qu'il fut en érection, elle le reprit dans sa main gantée. Une fois le premier litre passé, je sentais les gargouillis s'intensifier. Une fois le bock vide, je me sentais plutôt mal. Tout en continuant à me masturber, elle m'arracha la canule. Tout le flot s'écoula dans la foulée remplissant la bassine. Une deuxième érection s'en suivit.

Dans la selle, elle récupéra le suppositoire et me le remis dans l'anus.

« Fin du soin ! ». elle retira la bassine pour la vider au W.C.

Je me rhabillais pendant qu'elle revint. Elle enleva ses gants et fit comme si de rien n'était. « Ta femme n'a qu'à te faire encore une injection demain matin et puis tu verras déjà pour la suite. Elle m'ouvrit la porte, me fit la bise et me salua.

Quel souvenir ! Je ne sais toujours pas si elle l'a raconté à ma femme, mais je pense que oui, car désormais c'est toujours elle qui me prend la température et de temps en temps, j'ai droit à un lavement.

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FDN33 Il ya 4 ans