Carolie
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Vues: 14916 Created: 2007.08.29 Mis à jour: 2007.08.29

Isabelle, Baby-Sitter

Isabelle, Baby-Sitter

Chapitre 1

Mon histoire commence il y a quelques mois. Etant à la fac et dotée de parents pas spécialement fortunés, je galèrais comme toute étudiante pour arrondir mes fins de mois. Je faisais du baby-sitting, un peu de sondages à l'occasion, mais rien de bien rémunérateur. Comme je m'en ouvrais à l'une de mes copines, elle m'avoua avoir trouvé un moyen de se faire un peu d'argent sans trop d'efforts.

"Je m'en vais à Toulouse à la fin de l'année," me dit-elle. "Si tu veux,

je te refile le plan. Tu te fais 500 francs par soirée ou 1000 francs par samedi ou dimanche, et en pour cela, tu n'as pas à te déshabiller."

J'étais bien sûr très intéressée à l'idée de pouvoir gagner jusqu'à 2000F par week-end, c'était ce que j'arrivais à gagner en un mois, en période faste ! Je demandais un peu plus d'explications.

"Tu verras, ça ne te changeras pas beaucoup du baby-sitting habituel, les bébés sont justes un peu plus gros," me répondit ma copine en riant. "Tu n'as qu'à venir avec moi dimanche, c'est mon dernier jour. Je t'expliquerais comment ça se passe. Tu ne seras pas payée la première fois, mais si ça te plaît, tu prendras ma place." Caro ne voulu pas m'en dire plus, et rendez-vous fut pris pour le dimanche matin à 8h30. J'étais un peu intriguée mais pas plus que cela et le reste de la semaine, je ne n'y pensais plus.

Le dimanche matin, fraîche et dispo, car couchée tôt exceptionnellement, je me rendis à l'adresse indiquée par Caro. C'était une maison bourgeoise en banlieue de notre ville de province, sans caractère particulier. Ce fut ma copine qui répondit à l'Interphone et actionna l'interrupteur de la barrière électrique. Elle m'attendait sur le perron, tout sourire. Elle était habillée en puéricultrice avec une blouse rose à fines rayures roses et blanches, une coiffe blanche et un tablier de coton qui lui ceignait entièrement la taille et dont la bavette était épinglée à la blouse par deux épingles à nourrice dorées. Jambes nues, elle portait des sabots blancs aux pieds.

"Entre vite," me dit-elle, "je vais attraper la mort, si je reste dehors. Et surtout, ne fais pas de bruit, le petits dorment encore." Je la suivis à l'intérieur, cette fois-ci vraiment intriguée. Caro me fit monter directement à l'étage jusqu'à une petite chambre.

"C'est ma chambre, quand je viens ici," m'expliqua t'elle, "je vais te donner un uniforme et en même temps je vais te dire de quoi il s'agit. Il faut que tu soit une nurse impeccable, ils sont très exigeants là-dessus."

Elle s'exécuta et me sortit une blouse identique à la sienne, à la différence qu'elle était bleu ciel et blanc et un tablier de coton à brettelles croisées au dos. Je commençais à me déshabiller.

"Le travail est tout simple," me dit-elle. "C'est juste du baby-sitting.

Tu as suivant les jours de deux à cinq bébés à t'occuper. C'est comme d'habitude, tu dois t'assurer qu'ils n'ont pas faim, qu'ils sont secs et les coucher quand ils en ont besoin. Pour le reste, tu vas voir, ils sont adorables. Ils jouent ou ils regardent des dessins animés." Elle semblait brusquement gênée et cherchais visiblement ses mots.

"Oui, et ensuite...," fis-je pour la mettre et confiance. "Bon, la seule chose différente des baby- sitting habituels, c'est qu'ils s'agit de bébés adultes. Ce sont des gens tout à fait normaux qui de temps en temps ont envie de redevenir des bébés. Il ne font de mal à personne, ils n'ont rien de graveleux."

Je n'en revenais pas. Je n'avais jamais entendu parler de cela. J'hésitais entre prendre mes jambes à mon cou et la curiosité de voir à quoi pouvait ressembler ces étranges bébés. Ma copine, voyant mon hésitation, m'aida à enfiler la blouse et me noua le tablier au dos. Elle ramena mes cheveux en chignon et y piqua la coiffe à l'aide d'épingles. Elle me tourna face à un grand miroir.

"Regarde comme tu es mignonne, Isabelle," me dit-elle en riant, "n'as-tu jamais eu envie d'être infirmière quand tu étais petite ?" Son rire emporta la décision. Je lui dis que j'acceptais de rester jusqu'au soir.

Chapitre 2

Mon amie m'amena à la cuisine pour préparer le petit déjeuner de ses pensionnaires. Là trônaient trois énormes biberons manifestement destinés à des adultes. A côté, trois assiettes de bébé en plastique, décorées de motifs enfantins attendaient manisfestement leur contenu. Caro m'expliqua comment préparer tout cela, bouillie de bébé dans les assiettes et lait chocolaté dans les biberons, additionnés d'une cuillère de diurétique et d'une cuillère de purgatif légers "parce qu'ils sont parfois constipés" comme me l'expliqua ma copine.

Il était maintenant l'heure de réveiller nos pensionnaires et Caro m'emmena au dortoir à l'étage. J'avoue que j'avais maintenant hate de voir ces curieux pensionnaires. Elle ouvrit la porte d'une vaste chambre, à peine éclairée par une petite veilleuse. La tronaient trois grands lits de bébés, bien rangés côte à côte. C'étaient trois vrais lits de bébé à barreaux, aux proportions près, de bois blanc, revêtus de tour de lits représentant des nounours sur fond jaune.

Caro alla ouvrir les rideaux, assortis aux tours de lit. Elle entrepris de réveiller son monde. Dans le permier lit, un gros bébé adulte nous regardait en souriant derrière sa tétine. Il était engoncé dans une douilette en pilou bleu ciel et sels ses bras, revêtus de velours vert en dépassaient.

"Je te présentes Charles," me dit mon amie, "il est tout doux, ne pleure presque jamais et obeis comme un grand garçon, bien qu'il n'ait que un an."

Dans le lit suivant, il y avait une ravissante pouponne, toute en rose qui nous regardait aussi avec curiosité. Elle portait un joli bonnet de bébé en coton, une chemise de nuit assortie à manches courtes et était couchée dans de jolis draps jaunes.

"Ca, c'est Justine," continua Caro, "elle est toute mignonne aussi. Elle a deux ans et elle est très gentille aussi. Elle adore les bisous. Elle est juste un peu embêtante parce qu'elle veut toujours têter comme un bébé."

"Tu la laisse te tête ?" demandai-je, stupéfaite. "Bah oui, de temps en temps." répondit-elle. "Elle aime tellement ça. Mais tu feras comme tu le sens."

Le troisième lit était occupé par un autre bébé fille adulte. On ne voyait que son visage car elle était emprisonnée dans une gigoteuse à manche longue en duvet blanc, portait des moufles aux mains et un bonnet de bébé blanc. De plus, je vis que ces mains étaient attachées par un ruban de soie rose et que la gigoteuse était sanglée au lit, empêchant tout mouvement à son occupante. Je remarquais aussi que sa tétine était attachée derrière la tête, lui interdisant de l'ôter.

"Voila Sarah, la plus difficile de nos pensionnaires. On est obligé de l'attacher, sinon elle sort de son lit et réveille les autres. Elle ne comprend que les punitions et tu verras, il ne faut pas hésiter à être ferme avec elle." Caro me montra comment abaisser les barreaux du lit sur un côté, libérant ainsi les bébés. Après les avoir libérés des turbulettes et leur avoir mis des chaussons, nous les emmenâmes au salon et Caro alla chercher les biberons. Nous les avions assis directement sur un grand tapis de jeu en mousse, comme on en voit dans les garderie. Caro retira les tétines, noua un grand bavoir au cou de chacun des bébés, bleu pour le gracon et et rose pour les filles et leur tendit un biberon. Chacun d'eux contenait bien un litre.

"Fait attention qu'ils boivent bien tout," me dit mon amie, "moi je vais préparer le reste." Pas besoin de les encourager, mes gros bébés buvaient de bon coeur, avec force bruit de succion. Je me surpris à sourire, c'est vrai qu'ils étaient mignons. Au moment ou Caro revenait, chargée d'un plateau contenant trois assiettes de bouillie, je remarquais quelque chose. "Regarde Caro, on dirait que la petite Sarah a eu une fuite, son pyjama est tout trempé aux cuisses." En effet, sa grenouillère était foncée et manifestement mouillée en deux longues trainées à l'intérieur des jambes. Ma copine était furieuse.

"Cette petite peste n'a pas réclamé le pot et vient de faire pipi comme une dégoutante alors que sa couche était déjà pleine", gronda Caro. "Puisqu'elle aime mariner dans son jus, nous allons la laisser comme cela, ca lui servira de punition." La petite commenca a pleurer, alors que les deux autres, pas solidaires pour un sou, riaient sous cape mais Caro resta intraitable.

"Ce n'est pas la peine de faire du cinéma," lui dit-elle durement, "il fallait y penser avant. Réjouis-toi plutôt que je ne te donne pas la féssée que tu mérites." Après cet incident, je donnais la bouillie à Charles pendant que mon amie, plus habituée, s'occupait des deux autres. Il mangeait goulument, se barbouillant allègrement la bouche, et je devais faire attention de ne pas tout mettre par terre. Puis, après lui avoir essuyé la bouche, je le tins contre moi comme Caro me l'avais montré jusqu'à ce qu'il fasse son rot. Il sentait bon le bébé et le lait chaud, bien que l'on devine aussi l'odeur d'une couche mouillée. Le cochon me fit un petit renvoi sur l'épaule de ma blouse et la brettelle de mon tablier. Tandis que je m'essuyais, il me fit un si beau sourire que je n'eus pas le coeur de le disputer. Après le petit déjeuner, nous les mîmes au pot. Caro avait sorti trois pots de taille adulte en plastique de couleur vive et, les bébés couchés sur le dos, nous otâmes les couches mouillées. Ils portaient tous les deux des culottes de plastiques, avec des dessins de nounours pour Charles, roses avec des pressions pour Justine. Caro m'appris à bien essuyer les derrières et les devants imberbes avec des lingettes et du lait. Pendant ce temps, Sarah la punie pleurnichait au coin, les mains attachées au dos.

"On ne leur remet pas de couche tout de suite," me dit mon professeur, "on va d'abord les mettre au pot." Elle prit sur la table une boite de médicaments et une paire de gants en latex qu'elle enfila.

"Je t'explique. Si tu ne veux pas avoir de couches pleines de caca à changer, tu feras comme moi. Tu leur mets un bon suppo de glycérine dans la lune et tu es sûre que le pot est rempli dans les minutes qui suivent. Tu vas voir, ils ont l'habitude." En effet, Justine remontait déjà ses jambes, se prêtant à l'introduction. Caro s'enduit un doigt de crème et l'enfonca sans hésiter dans son anus. Le doigt entra tout seul. Après quelques va et viens, destinés à lubrifier le petit trou, elle introduisit le suppo et rabattit les jambes. Puis elle fit de même avec Charles qui se prêta d'aussi bonne grâce, mainfestement aussi habitué à recevoir son dû. Ensuite nous les assîmes sur leur pot et effectivement, après quelques minutes, nos deux bébés, assis l'un en face de l'autre libéraient leus intestinc dans les récipients de plastique.

"Comme cela, tu es tranquille pour la journée. Si l'un deux te fait le coup de remplir sa couche quand même, soit impitoyable, tu verras que c'est trop dégoutant à nettoyer. Maintenant, on les laisse un moment sur leur pot pour préparer le bain. Nous en profiterons pour nous occuper du cas de Sarah." Je commencais à prendre mon 'métier' à coeur et j'avais hâte maintenant de voir le sort réservé à la pauvre Sarah. Je ne pensais plus du tout à quitter cette étrange maison mais était au contraire impatiente de connaitre la suite des évènements.

Chapitre 3

Après avoir fait couler le bain de mes deux enfants sages, je les emmenais dans la salle de bain. Ils me tenaient la main, comme deux vrais bébés, en riant et en disant des bêtises. Je du les disputer en les déshabillant et les menacer de la fessée pour les calmer.

Une fois dans le bain, je leur donnais des petits jouets en plastique et protégeais les cheveux de Justine sous une charlotte en plastique. Elle me réclama une tétine mais je la lui refusais. Cela ne me paraissait pas très hygiénique de suçoter une tétine dans le bain. Je leur fit promettre d'être sage et j'allais rejoindre ma copine.

Caro avait déjà commencé à s'occuper de Sarah. Elle finissait de la déshabiller quand j'arrivais dans la salle. Elle ne pleurait plus mais elle faisait pitié avec les traces de larmes sur ses joues et les fesses toutes rougies par le pipi. Caro finit de lui retirer son body de coton et la retourna face à moi. Je vis alors que Sarah avait un petit sexe de garçon. J'étais stupéfaite ! Je ne l'aurais jamais deviné, surtout qu'elle avait deux jolis petits seins en poire. Caro s'aperçut de ma stupeur. "Eh oui!, notre petite Sarah est pleine de surprises, dit-elle en riant. Mais pour lui éviter de connaître son infortune, elle n'a pas le droit ni de toucher, ni même de regarder son étrange minou. Si elle le fait quand on lui enlève ses couches, elle a droit à une bonne correction, comme celle qu'elle va recevoir maintenant. N'est ce pas, ma petite pisseuse."

"Oui, Mademoiselle," répondit piteusement Sarah. Je m'approchais et me penchais pour étudier son petit sexe. Complètement lisse, il était tout petit, d'environ trois centimètres et son scrotum ne formait qu'une seule petite poche accroché à la verge, comme chez un enfant dont les testicules ne sont pas descendus. Sous mes doigts, la petite verge s'érigea à moitié, tout en gardant sa taille ridicule.

"Ce sont les hormones féminines qui lui ont rendu comme cela," m'expliqua mon amie, "et quand elle sera plus grande, elle se fera opérer pour être comme les autres petites filles. A ce moment, elle pourra enfin regarder entre ses cuisses." Caro tapa dans ses mains, toujours gantées de latex.

"Bon maintenant, la punition. Tu connais le principe, Sarah, mouiller ses couches, c'est normal, mouiller son pyjama, c'est la fessée. C'est Isabelle qui va te la donner. Après tu auras ton biberon et tu pourras aller jouer avec les autres." Si je me doutais bien qu'une bonne fessée attendait la petite Sarah, je ne m'attendais pas à la donner moi-même. Une douce chaleur que je connaissais bien m'étreignit le bas-ventre et je sentais ma culotte se mouiller délicieusement. Caro avait sorti un tablier de caoutchouc blanc qu'elle noua à la taille. Je me laissais faire sans comprendre.

"Voilà, tu es prête" me dit-elle. "Je vais t'aider pour la première fois." Elle fit asseoir sur une chaise droite et plaça Sarah, toute nue, en face de moi.

"D'abord la politesse," annonça Caro. "Je t'écoute Sarah." "Merci Mademoiselle pour la punition que vous allez me donner," répondit-elle en faisant une petite révérence. "J'en ferais bon usage et je promets de changer mon comportement." Satisfaite, mon amie la plaça en travers de mes genoux. On voyait que la punie avait l'habitude car elle ramena elle-même ses mains derrière son dos et écarta les jambes. Seuls le bout de ses doigts de pieds touchaient encore le sol.

"Comme tu débute, je vais lui attacher les mains mais quand tu auras l'habitude, tu pourras lui tenir mes poignets d'une main et fesser de l'autre," me dit mon professeur, très sérieuse. Elle prit un ruban de satin rose et attacha les mains de la punie, puis je commençais à fesser.

Je commencais doucement, en prenant mon temps entre chaque coup, pour lui laisser le temps d'apréhender chaque claque. Puis j'accélérais progressivement. Les claques sonnaient divinement sur son joli derrière et je sentais mes joues s'empourprer, tant par l'effort que par l'excitation. Les fesses rougissaient au fur et à mesure, et je m'appliquais à ne pas laisser un centimètre carré de peau blanche. Sarah geignait au rythme de mes claques mais je voyais bien qu'elle n'osait pas crier. Elle devait avoir l'éxpérience de punition plus douloureuse encore en cas de cris intempestifs. Le fessier était maintenent écarlate mais j'attendis que ma copine me dise d'arrêter pour stopper la correction. Caro me regardait d'un air admiratif pendant que Sarah pleurait sans bruit.

"Pour une débutante, tu es une sacrée fésseuse," me dit-elle en détachant Sarah. "On voit que tu y mets tout ton coeur, tout comme moi d'ailleurs."

Elle aida la punie à se remettre sur ses jambes et je compris alors pourquoi Caro m'avait mis un tablier de caoutchouc. La petite cochonne s'était oubliée sur mes genoux. Une petite tache de sperme s'étalait en plein milieu du tablier et sur le ventre de la punie. Caro aperçut ma grimace.

"La petite s'est oubliée," fit-elle. "Elle a fait son pipi blanc sur toi. Elle le fait presque à chaque fois. Tu comprends pourquoi j'ai été obligée de te protéger avec ce tablier de caoutchouc."

"Mais c'est dégoutant, elle mérite bien une autre punition tout de même."

"Non, non, car vois-tu, Il est normal qu'elle soit incontinente. C'est pour cela qu'elle doit porter des couches jours et nuits.. Il en aurait été autrement si elle s'était touchée. Là, bien sûr, elle aurait été sévèrement corrigée." Vaincue par les arguments de mon amie, je tapotais les fesses rougies de la jolie Sarah.

"Allez, c'est fini." lui dis-je. "Ravale tes larmes. Un bon biberon, un bon bain, et il n'y paraitra plus.

Chapitre 4

Quelques temps plus tard, je soufflais un peu. Ouf! Enfin, tout le monde était propre et lisse. Les trois bébés étaient assis bien sagement sur la moquette de la chambre, la tétine bien vissée dans la bouche, bien au chaud tout emmaillotés dans d'immenses serviettes de bain blanches. Nous ouvrîmes la grande armoire pour y prendre de quoi habiller nos petits. D'abord Charles, le plus petit. Je l'aidais à grimper sur le lit et l'allongeais sur l'alèze pacée au milieu du lit. J'avais mis des gants de caouchouc et je lui enduis les fesses de crème grasse pour bébé. Pas de danger d'être inrrité avec cette protection. Je lui glissais une couche propre sous les fesses, et lui fermais sur le ventre, sous l'oeil attentif de Caro. Je fis bien attention de lui mettre le zizi vers le bas, pour que le pipi ne s'échappe pas par le haut de la couche en cas d'accident. Je veillais aussi à la symétrie des adhésifs, il aurait été dommage de gacher l'esthétique de ce joli derrière bien rebondi. Après la couche, je lui enfilais une culotte de plastique. Bleu foncé, elle était garnis de larges bandes élastique blanches à la taille et aux cuisses. Elle était très épaisse et bruissait au moindre mouvement. Je lui passais ensuite un body de coton blanc dont je fermais les pressions à l'entrecuisse puis un sweat-shirt jaune orné d'un clown. Je finis avec une culotte courte de bébé bleu ciel, bouffante et munie de brettelles et de pressions à l'entrejambe. Des soquettes blanches, des chaussons jaunes, un grand bonnet de bébé attaché sous le menton et mon grand bébé, tout sourire, était prêt à aller jouer. Il semblait ravi de mes services.

C'était au tour de Justine. Etant plus grande, elle grimpa toute seule sur le lit et présenta ses jolies fesses. Là encore je commencais par lui l'enduire de crème pour bébé, insistant bien sur le sexe rasé et le petit trou. Caro me montra comment introduire l'index, d'abord dans le minou puis dans son anus pour bien protéger le tout. Comme elle commencait à se tortiller, elle eu droit à une bonne claque sur la fesse et elle se tint tranquille. Après le change complet, elle aussi eu droit à sa culotte de plastique translucide, rose cette fois-ci. Je cachais le tout sous une paire de collants blancs opaque puis avec une grande culotte de satin rose avec de ravissants rangs de satin blancs cousus sur le derrière. Justine descendit du lit pour la suite. Un petit tee-shirt de coton blanc sans manche pour le confort et je boutonnais à la taille un jupon bouffant de tulle blanche. Je l'aidais alors à passer sa robe. Quelle merveille! Toute de soie rose et de dentelles blanches, elle arrivait juste au dessus des genoux en un tomber impeccable. Boutonnée au dos par de gros boutons de nacre, elle était ajustée à la taille par un énorme noeud de satin bleu ciel, formant une large ceinture. Justine tremblait d'excitation au contact de la robe. Je lui fis enfiler une paire de vernis noirs à bride et lui nouais un gros noeud de soie rose dans les cheveux et l'amenait enfin devant le miroir. Elle était rouge de plaisir et moi-même, j'avais du mal à réaliser que cette petite fille modèle n'avait pas deux ans. Bien sûr, sa taille était celle d'une adulte, mais le reste était tellement parfait que l'impression était extrêmement étrange. Je lui arrangeait les plis de sa robe et elle demanda à me faire un bisou que je lui accordais bien volontiers. Caro prit un malin plaisir à la faire redescendre de son petit nuage.

"Tu as intérêt à garder ta robe jusqu'à ce soir, ma petite," lui dit-elle, sinon gare au martinet. Ma petite fille adulte baissa les yeux et acquiesca. C'était maintenant au tour de Sarah. Je me doutais qu'elle aurait un traitement spécial et en effet, dès que ce fut son tour, ma copine pris les choses en main. Allongée sur le lit, elle aussi fut enduite de crème sur le sexe et l'anus puis Caro lui mit une couche culotte dans laquelle elle avait insérée deux couches droites à l'entrejambe. La couche était la plus épaisse qui soit et quand elle se mit debout, cela lui faisait un derrière énorme. Par dessus, mon amie lui enfila une grosse culotte de caoutchouc rose, puis un justaucorps à manches courtes de la même matière. Il montait jusqu'au cou et était serré en bas juste au dessus du genou. Il était fermé par des pressions au dos mais Caro, impitoyable, bloqua le col par un petit cadenas, pour être sûre que ce grand bébé adulte ne puisse pas l'enlever. Par dessus tout cela, mon amie lui fit encore porter une robe de caoutchouc bleu ciel et un tablier blanc, de caoutchouc lui aussi. Soquettes blanches, vernis blancs, et Sarah était fin prête.

"On dirait Alice au pays des fétichistes," plaisanta Caro en lui donnant une claque sur les fesses. "Allez, va jouer avec tes amis, et sois sage..." Les grands bébés partirent en courant jouer dans la salle à manger.

Après avoir tout rangé et fait la vaisselle du matin, il était déjà temps de préparer le repas de midi. Décidément, les journées passaient vite ici ! Je restais à surveiller les petits, tout en relisant mes cours, pendant que Caro préparait le repas. Pour les faire manger, nous avions noué des tabliers en plastique transparent à usage unique par dessus nos tabliers de coton pour éviter les projection de nourriture. Bientôt, nos trois bébés adultes étaient installés bien sagement dans leur chaises hautes. Une fois encore, je ne pouvais m'empêcher d'admirer le sens du détail du propriétaire des lieux. Hormis la taille, ces chaises étaient la réplique exacte de chaises de bébés. Tablette, coussins ornés de nounours, boulier, tout y était, y compris un harnais de cuir blanc pour attacher les petits et éviter qu'il se blessent en tombant. Ce harnais était composé de deux bretelles croisées au dos attachées à une ceinture, elle même fixée au dossier de la chaise. Je nouais un grand bavoir au cou de chacun de nos bébés et quand je nouais celui de Sarah, elle croisa d'elle même ses main derrière le dossier.

"C'est vrai, j'avais oublié de te le dire," fit mon amie qui arrivait chargée d'un grand plateau, "Sarah est toujours attachée pour les repas.

Si on ne le fait pas, elle ne fait que jouer avec la nourriture et de toute façon, elle ne mange rien." J'attachais donc cette petite fille si spéciale. Les chevilles furent d'abord d'abord entravées aux pieds de la chaise haute, puis j'attachais ensemble les poignets derrière le dossier et je reliais le tout à la ceinture du harnais. Ainsi, la pauvre ne pouvait pratiquement pas bouger.

Caro déposa les assiettes de plastique sur les tablettes. Nos pensionnaires avaient droit à une purée de légumes et jambon mélangés. J'y goutais par curiosité. Beurk ! Sans sel ni poivre, on ne peut pas dire que c'était très bon. Je donnais une petite cuillère à Charles et Justine qui attaquèrent leur assiette avec appétit pendant que je nourissais Sarah à la becquée. Elle gobait chaque cuillèrée avec bonne volonté mais pendant ce temps, les deux autre en profitaient pour manger comme des cochons. Justine avait complètement sali bavoir, tablette et mains et sa figure était verte de purée. Charles n'était pas mieux et les deux rigolaient comme des fous. Mon amie qui revenait juste de la cuisine avec les biberons de lait poussa les hauts cris.

"Regarde-moi ces cochons, pas moyen de les laisser deux minutes. Je vous préviens, c'est la fessée pour tous les deux," dit-elle en posant les biberons géants sur les plateux. Les deux crapules se regardèrent et continuèrent à pouffer. Sarah, voyant cela, ne put s'empêcher de rire à son tour, recrachant sa bouillie sur son menton.

Cette fois, la moutarde me monta au nez.

"Mais ils se foutent de nous, en plus. Je crois qu'il va falloir sévir vraiment s'ils se fichent même de la féssée. Tu vas voir," menaça mon amie, "il vont moins rire tout à l'heure." Son ton acerbe eut le don de faire taire tout le monde en une seconde et les bieberons de taille adulte, contenant pourtant chacun un litre furent avalés en quelques minutes. Je donnais celui de Sarah qui le pris sans histoire, bien qu'elle commencait à regarder sa nounou avec appréhension.

En effet, il ne fallait pas compter sur Caro pour oublier cette rebellion.

Après le repas, tout ce petit monde fut déshabillé et mis au à genoux face au mur, les uns à côté des autres, juste vêtus de leur couche-culotte et les mains attachées au dos, une tétine dans la bouche en attendant les préparatifs de leur punition. Je regardais faire mon amie avec curiosité.

Elle avait fait chauffé de l'eau à laquelle elle avait ajouté un peu de glycérine, puis rempli trois espèces de bouillotes en caoutchouc rouge vif munies d'un robinet à la base. Elle prépara alors un tube de vaseline et de longs tuyaux de caoutchouc blancs, d'environ un centimètre de diamètre et terminés par une extrémité bombée et percée. Je ne posai pas de questions, préférant voir leur usage sur le vif et en profitait pour préparer deux longs tabliers de caoutchouc blanc. Cette fois-ci, je me doutais que nous en aurions encore besoin.

Caro revint dans la salle ou attendait nos punis, qui se faisaient tout petits dans leur coin. Il faut dire que nous étions assez impréssionnantes, avec nos tabliers tombant jusqu'aux chevilles, gantées de caouchouc et la mine fermée.

"Bien. J'annonce le programme," lança-t-elle à la cantonnade. "Pour vous apprendre à manger proprement, vous allez recevoir une fessée dont vous me direz des nouvelles. Et comme cela n'est apparemment plus suffisant pour vous faire obéir, vous allez recevoir un bon lavement qui vous remettra les idées en place." Les épaules de nos pensionnaires s'affaissèrent d'un coup à l'énoncé de la sentence. Mon amie prit Justine qui voulu protester mais, baillonnée par la tétine, ne put émettre que des gargouillis ridicules. J'étais très curieuse de voir cela de près. Je n'avais jamais vu de lavement et assister à celui de mes bébés adultes me passionnait.

Justine fut donc la première à subir la punition. Bien calée en travers des genoux, la couche otée mais toujours baillonnée par sa tétine, la petite reçu une magistrale fessée. Mon amie ne s'arrêta que lorsque ses fesses furent rouges écarlate, de la taille au haut des cuisses. Justine fut ensuite reconduite par mes soins à son mur ou elle s'agenouilla, tremblante et en pleur. Les deux autre eurent droit à la même dose. Caro était infatigable. Elle ne s'arrêta que quand les trois paires de fesses furent uniformément rouges.

A SUIVRE...