Jean


Vues: 8040 Created: 2007.10.06 Mis à jour: 2007.10.06

Camille

Chapitre 1

S’il faut décrire Camille, imaginez une piquante blondinette juchée sur des chaussures qui sans être extravagantes lui faisait une charmante tournure de jambes.

Une courte robe d’été laissait apercevoir au grés de ses mouvement virevoltant une lingerie délicate et d’une blancheur attendrissante.

Le torse ne révélait que peu de rondeur hormis le petit bec de charmants oiseaux dissimulé dans une gaze transparente.

Pas encore, une femme mais de charmants espoirs !

Camille donc refusait de faire partie d’un groupe composé d’Alice et Pierre, de Jean qui caressait l’espoir d’être son cavalier. Enfin cédant a la prière des trois, elle les suivit au bal champêtre ou après une danse polie avec Pierre elle se retrouva dans les bras de Jean pour une série de slow ou Jean se trouva comme enroulé sur elle ne la laissant pas ignorer tous le désir concentré dans sa culotte tendue presque avec indécence.

Le bal terminé les galants raccompagnèrent leur conquête a travers la campagne et bientôt a la seule lueur de la lune qui avait aussi décidé de jouer a cache-cache . Bien sur la première meule de foin offrit un abri à Alice et Pierre et bientôt les rires d’Alice se transformèrent en gémissement de plaisir.

Jean s’efforçait de guider Camille vers une autre meule mais se heurtais a une résistance inattendue.

Camille ne voulait pas perdre sa virginité de cette manière et opposait une résistance aussi farouche qu’inattendue . Elle voulait bien tout le reste, mais sa main en coquille devant son sexe interdisait toute approche.

Elle répétait à Jean qu’il se trompait, qu’elle n’était pas celle qu’il croyait mais plus elle se défendait, plus le désir de Jean grandissait. Il lui caressait les fesses enroulant sa main sur des rondeurs qu’elle lui abandonnait occupé à lui interdire tous mouvements de face. Bien sur il l’embrassait et elle lui rendais ses baisers et il avait réussit a se glisser sous les dentelles mais les cuisses cadenassées lui interdisait toute approche.

Il réussit a la faire choir sur le foin mais elle tomba a quatre pattes et comme il retroussait sa robe elle changea de tactique. Lançant une main derrière elle, elle eut vite fait de déboutonner le pantalon et de le faire tomber.

Adroitement le caleçon suivit le même chemin sur les genoux de Jean.

A genoux derrière une fille qui a la robe retroussée quoi de mieux que de baisser la culotte surtout si une main pleine de salive vous enrobe le sexe avant de vous guider entre deux fesses fermes vers un petit trou? Bien sur un garçon intelligent se dépêchera de lubrifier à son tour ce petit trou si complaisant et qui n’étais en règle générale conquis que bien longtemps après !

Guidé de main de maîtresse et la sentant faire des efforts pour l’accueillir au mieux il voulut contribuer a son plaisir mais il rencontra la main interdisant toute approche de ce coté en même temps une brutale poussée le fis pénétrer au fond de cette caverne interdite. La saisissant aux hanches il eut tôt fait de trouver un rythme puissant et profond Camille percevant l’enroulement et le déroulement du prépuce.

Enfin les puissantes giclées du sperme prodiguaient.

Comme il esquissait le mouvement de se retirer Camille le retient d’une main le laissant toujours prisonnier se dégonfler doucement en elle

Tournant la tête vers lui elle lui demanda humblement de faire pipi en elle !

Très surpris il se força et réussit à lancer un premier jet qui fut accueillis avec une sorte de grognement de satisfaction. Le chemin ouvert, il se vida en totalité, surpris de l’opération et de la satisfaction provoquée.

Mais l’excitation renouvelée il se retrouvait avec un sexe d’une grosseur surprenante, et a chaque mouvement il entraînait la muqueuse moulée autour de sa verge l’enfonçant a nouveaux d’un mouvement régulier. Camille ne pouvait assurer l’étanchéité et de petits jets accompagnaient les introductions.

Il jouit encore et épuisé il se dégageât et roula sur le côté. Camille libérée s’éloigna pour se vider de tous les dons reçus.

Jean retrouvant quelques vigueurs prétendis se faire sucer pour être bien sur d’être propre et d’avoir bien vidé ses burnes ! Camille qui n’avait pas jouis totalement voulais se satisfaire elle même mais Jean brutalement la força a se placer a genoux devant lui et glissant de force son sexe entre ses lèvres, réalisa un peut tard qu’elle pouvait le mordre cruellement, le forçant a se plier devant elle, qui d’un geste sur, le sonna du tranchant de la main sur la nuque offerte.

Etendu pour le compte il reçut un nouveau coup qui acheva de l’envoyer au pays des songes.

Camille le contempla rêveuse, il était ridicule la culotte sur les genoux, les fesses a l’air.

Camille allait lui laisser un souvenir !

Elle se mis derrière lui ,soulevant sa robe elle baissa la culotte mais cette fois ci pas pour montrer ses fesses mais au contraire exhibant un sexe male déjà en érection, privé d’avoir pus s’exprimer il se tendais vers le but offert involontairement.

Salivant sur le but a atteindre, elle s’enduisit rapidement de salive, et pointant au centre offert elle s’enfonçât d’une seule poussée au plus loin possible.

Malgré le sommeil artificiel Jean grognât, s’offrant à la pénétration vigoureuse de Camille.

Comme il semblait participer a sa sodomisation, Camille voulut le récompenser, et se couchant sur son dos, saisit une verge qui se tendait a nouveaux, et elle le branla vigoureusement, greffant sa jouissance sur la sienne.

Leurs jets simultanées eut des destination différentes et pour parachever sa domination, Camille attendis de se dégonfler suffisamment toujours bien enfoncé en lui, en forçant, elle réussit a envoyer une giclée d’urine, puis le passage étant fait elle vida sa vessie en lui, et c’est le plus formidable lavement que reçut Jean.

Il se réveilla encore vaseux, le ventre plein, l’anus encore dilaté par une verge se retirant de lui.

Sa propre verge satisfaite perlait encore de quelques gouttes de sperme. Vite il se soulageât, ignorant la présence de sperme mais surpris de rejeter une si grande quantité de ce qu’il croyait être une diarrhée. Le ventre satisfait il laissa « les filles entres elles » et comme il était prévu, Camille accompagna Alice, pour terminer la nuit.

Alice regrettais la prestation de Pierre a son goût insuffisante et dans le temps et dans l’invention.

Un soixante neuf se résumant a déglutir une petite cuillère de sperme et recevoir en échange une langue ni asses grosse ni asses agile la laissant insatisfaite . De plus il ne savait pas se servir de ses doigts.

Peut être que Camille ?

Mais bon !

De plus de récentes lectures lui avaient fait découvrir la pénétration anale ce qui dans son bain lui avait paru digne d’intérêt. De son côté Pierre découvrait des charmes cachent à Jean qui ressentait encore avec quelques envies secrètes de sa conversion récente.

La répartition dans les chambres se fit comme convenu et dans la chambres des « hommes » après un instant d’hésitation Pierre quitta son caleçon pour être a l’aise et laisser respirer le matériel qui avait déjà servi ce soir avec un petit regard plein de sous entendu vers Jean Bien sur à son tour en tenue et passage par la salle de bain ou un tube de crème figurait dans ses affaires.

Discrètement tout en cédant la place a Pierre il envisageât de se passer de la crème entre les fesses pour calmer la démangeaison.

Il éteignit la lumière laissant Pierre revenir dans une semi obscurité due à la Lune indiscrète révélant une solide érection de Pierre.

Un seul drap sur eux suffisait à cacher leur nudité.

Profitant des mouvements de Pierre sans doute en train de se masturber Jean voulu se passer de la crème ce qui intriguât son compagnon qui allumant la lumière le découvrit le tube a la main et un doigt entre les fesses.

Pierre proposât en repoussant Jean sur le ventre et saisissant le tube « laisse moi faire ».

D’autorité il enduisait l’anus de Jean y glissant même son doigt puis y joignant un autre doigt puis un troisième le dilatant au grand plaisir de Jean.

Il y eut une petite interruption puis Jean sentis contre son anus encore entrouvert la pointe de la verge se présenter doucement. Chez les filles Camille retira rapidement sa robe et se glissa sous le drap si vite que Alice qui venait de tourner la tête la retrouva couchée. Elle pris bien son temps, retirant le chemisier pour faire admirer son balconnet puis dégrafant sa jupe fit admirer sa petite culotte transparente gonflée outrageusement par des fesses abondantes et bien fendues.

Le soutient retiré il y eut la cérémonie du massage rituel de la poitrine et l’auto admiration de l’aréole au bout de seins tendu et saillant de presque un centimètre . Bien sur chaque seins y eut droit puis enfin montrant une petite culotte tendue sur un sexe charnus et fendu comme un abricot insolite, elle entrepris de se défaire du sous-vêtement.

La gymnastique destinée à faire franchir ses fesses par les tissus puis l’écartement de ses cuisses pour libérer l’entrejambes entrouvrais son sexe quelle ne cherchais nullement a cacher mirent Camille en émois. Enfin se coulant sous le drap elle se collas contre le dos de Camille, plaquant ses seins contre son dos et ses cuisses et son sexe contre ses fesses « Mais tu est toute chaude toi »

Et avant que Camille ne puisse rien faire lança ses mains vers son sexe toute surprise de sentir sous la fine culotte de dentelle un membre tendu par l’excitation.

« Et tu cachais un clitoris pareil ? »

Et glissant ses deux mains sous la dentelle saisit le membre qui grossit et durci encore.

« On partage non ? »

Et la petite culotte fut aussitôt retirée et du bout du pied expédié au pied du lit.

Alice enjambant Camille réussit dans le même temps à se glisser la verge tendue dans son sexe ouvert et baveux.

Cette fois ci elle étais ravie de la taille et de la vigueur de son partenaire et de l’usage qu’il faisait de leurs sexes.

Camille ne craignait plus de jouir trop vite aussi il en profita pour faire découvrir a Alice des positions pour elle inconnues.

Il se garda bien de jouir réservant sa semence pour des moments impossibles a retenir.

Alice se laissait aller délirant de sentir en elle cette si grosse verge après en avoir crus la propriétaire de son sexe elle découvrait enfin ce que Pierre n’avait su lui donner.

Avec raffinement Camille encourageait la perversité naturelle d’Alice et cette dernière ayant voulue sucer le sexe de Camille il lui fis découvrir la gorge profonde qui allait devenir la spécialité d’Alice tandis qu’il poussait sa langue presque a toucher sa matrice et buvant a la source même de ses sucs intimes.

Il lui fit percevoir la sensibilité de son périnée et poussant son exploration visita le petit trous ridée.

De la pointe de la langue il déplissa le petit anneaux qui se prêta de son mieux a cette savoureuse caresse.

Alternant les visites entre l’ouverture vaginale et l’anus il ne négligeait pas pour autant le clitoris qu’il tentais d’épanouir suivant ses désirs.

Au cours d’une de ses visites sa langue ayant trop sollicitée une autre ouverture secrète il reçut en récompense un petit jet tiède qu’il s’efforça d’amplifier.

Ce fut une cataracte qu’elle ne put arrêter alors même qu’il buvait a la régalade le jet que confuse elle répandait.

Comme elle aurait voulu a son tour le boire il lui promis qu’il accéderait a sa demande mais ultérieurement pour lui faire une grande surprise.

Comments

jean07 Il ya 12 ans