Jean


Vues: 6184 Created: 2007.08.30 Mis à jour: 2018.11.13

Jean 3

Jean 3

Author: Jean

Juste avant sa puberté Jean avait été renversé par une voiture et pour étouffer l’ivresse du conducteur on avait conclu un marché : Tous ses frais lui seraient remboursés ainsi qu’une rente a vie et une infirmière a son entière disposition. Ses parents disparus, un médecin lui servis de tuteur quelques mois mais des sa majorité atteinte il renvoya son infirmière pour en engager une a sa convenance.

Alice se présente et suit les indications fournies par une petite sonorisation.

« Je vous prie de m’excuser, mais justement il me faut satisfaire un besoin naturel et avec tout ça ! »

« Justement c’est mon travail de vous aider, si vous le voulez bien ! » Elle se dirigeât vers la chaise roulante et poussât celle-ci vers la pièce de soins.

« Petite ou grosse commission ? »

« Désolé, les deux je crois ? »

« Mais non c’est bien ! » Et elle entrepris de descendre le pantalon de jogging

« Oh ! Mon pauvre ami ! »

Elle venait de découvrir une couche-culotte bien remplie ! D’un geste sur elle défaisait les coté pour découvrir un sexe presque honteux de son existence et bien sur de la marmelade sur ses fesses. Retirant la couche elle disposât le pot sous l’ouverture de la chaise après lui avoir essuyé les fesses. Sous le contact de la petite main il s’était mis a bander mais elle ne semblais pas s’en rendre compte.

« Soulagez-vous, je vous donnerais un bain ensuite ! Si vous arrivez à faire rentrer ce personnage dans le pot ! »

Elle sortis de la pièce et il pus débander et uriner normalement mais malgré ses efforts impossibles de libérer ses selles.

« Alors ? Ça y est ? Ah! non juste un gros pipi » A ce moment-là un vent énorme se fit entendre !

« Combien de jours ? »

« Trois, mais dans une couche ! »

« Je comprends ! Encore que ! Mais je vais vous aider et pour ne pas vous irriter plus on va y aller doucement ! » Elle se saisit d’un tube de crème après avoir enfilé des gants de latex.

« Les gants c’est juste parce que le contact peut être plus agréable. Poussez comme pour aller à la selle ! »

Et il sentit un doigt plein de crème entrer sans effort dans son anus aidé par le glissement sur le latex. Il n’avait jamais eu la qu’un thermomètre ou un suppositoire. Il avait une formidable érection, et ce doigt qui remontais dans son rectum le faisait encore grossir et durcir.

« Il semble que ce soit une découverte ou je me trompe ? »

« Non c’est vrai, mais mon éducation sexuelle s’est fait uniquement par des livres. Je ne connais les femmes qu’en photo et ce n’est pas le dragon qui m’aurait aidé sur ce plant la ! Un jour elle a constaté dans ma couche des traces de sperme d’une éjaculation spontanée et soit disant pour me punir m’a mis un lavement si grand que je me suis évanouis ! Un autre jour elle voulait que je suce son anus et son sexe ! »

« Et ? »

« Je lui aie vomi dessus. Apres j’ais eut la paix sauf pour les culottes en caoutchouc et les couches »

« Ecoute-moi bien Jean – Je puis t’aider mais on se tutoie, et tu m’appelle Alice et surtout tu me fais confiance ? »

« Apprend moi tout Alice si tu veux bien ? »

« Si je comprends bien tu n’a que des connaissances livresques de la sexualité, des femmes, enfin bref tu ne connais rien a rien ? »

« Exactement ! Mais comment faire ? Je dois te paraître vicieux ? »

« Je vais commencer à m’occuper de toi, et ensuite on verra ! »

Elle fit rouler le fauteuil près d’une table de massage et louât sa force pour se hisser sur la table a l’aide de ses bras. Elle l’installa sur une allése en caoutchouc, puis entrepris de passer un gant sur le bas de son corps.

« Et si on t’épilait ? Tu serrais plus a l’aise ? »

« Tu prends toutes les décisions que tu veux ! » Tout en le l’épilant elle se raconta.

« Vers mes dix ans, je ressemblais à une petite guenon mais comme a la maison il ne restait que mon père et parfois un infirmier pour lui donner des soins, je faisais toute confiance a cet homme. Laid, mais gentil et avec des mains très douces mon premier souvenir de –fille- cela était à l’occasion d‘une grippe ou je me retrouvais au lit avec de la fièvre et dans un nuage on enfonçait dans mon derrière quelque chose. Oh! très doucement puis il disait –

« Tu as de la fièvre il faut la faire descendre ! »Puis a nouveaux on m’écartait les fesses pour m’enduire copieusement de crème et un doigt forçait ma petite ouverture mais très doucement puis totalement entrée je le sentais explorer de l’intérieur mais sans provoquer aucune douleur ! Ensuite il a enfoncé très loin deux suppositoires et je me suis endormie, mon sexe de fillette tout humide. Ce genre de séance a bien sur continué bien longtemps après la fin de ma grippe, nous feignons de croire tous les deux que cela était pour des raisons médicales qu’il me dilatait l’anus. Pour me donner l’illusion de voyager, je changeais la disposition de ma chambre et c’est ainsi qu’un jour j’ais pus voir dans un miroir qu’il se branlait vigoureusement pendant qu’il me masturbait le rectum. D’une toute petite voix, et tout en lui tendant le tube de crème je lui demandais de faire doucement et lui tendis mes fesses. Je n’ai jamais eut mal, peut être suite à ses manipulations ou à cause de sa douceur mais comment dire la sensation de cette grosse chose qui se glissait doucement en moi ? Il avait franchi la bague sans douleur et je le sentais remonter dans mon rectum, repoussant les chairs, provoquant une envie de pipi par la pression sur ma vessie et toujours cette sensation incroyable de faire caca à l’envers ou d’un énorme suppositoire qui remonterait en moi ! Enfin je sentis ses poils contre la bague de mon anus dilatée. Il resta un moment en moi sans bouger et ce fut moi qui provoquai un petit mouvement de vas et viens et ensuite il le compléta avec force jusqu’à notre jouissance simultanée ou tandis que je sentais les jets de sperme dans mes intestins ou du moins a l’entrée de mon colon, je ne pus faire autrement que lâcher des petits jets de pipi pour accompagner mes secrétions qui coulaient à flot. Puis il sortis de moi et même le retrait fus agréable. Ainsi tout le soir après s’être occupé de mon père il venait dans mon lit me remplir l’anus de son sperme je dois le dire a mon grand plaisir. A la mort de mon père j’étais tout juste majeure et si mon anus supportais vaillamment la verge de Julien, j’étais toujours vierge, enfin officiellement. Comme je voulais faire des études de médecine je sortais très peut et un jour ou, j’assistais un chirurgien au service d’urgence, nous recevons une patiente dans un sale état ! Le chirurgien me demande de vérifier ses réactions, savoir si comme vous la moelle épinière n’étais pas touchée. Comme je restais sans réaction un des jeunes assistants interne me glisse dans l’oreille (« met lui un doigt dans le cul, si elle se crispe c’est qu’elle te sent, si non ! » ) J’obéis et la sentis se crisper sur mon doigt. Pendant toute l’opération je renseignais le chirurgien sur la tonicité de la pauvre fille. A la fin je retirais mon doigt et constatais que le vagin avait beaucoup sécrété et l’essuyait. Le patron me fis un grand sourire et commenta – « C’est très bien de faire ressentir au patient une sensation qui le détourne de sa douleur, vous savez tous et toutes, du moins je l’espère que les endomorphines sont les plus puissants analgésiques connus et naturels et de plus tout en nous indiquant sa perception. Mademoiselle vous avez une place toute trouvée en neurochirurgie » Et l’interne qui m’avait soufflé l’action m’a demandé si j’avais réussi à rester sèche avec tout ça et je l’invitais à vérifier de suite dans la salle de repos. Bien sur ma petite culotte collait a mon sexe et j’étais inondée, il n’a eut aucune peine a me pénétrer et c’est moi qui lui ais recommandé de se laver après mon dépucelage fait sans douleur (mais sans grand intérêt pour moi), depuis je continue mes études et pour les financer je m’occupe de grand bébé comme vous »

« C’est bien pour cela que je vous ais engagée . Hé ! Oui c’est moi le patron même si c’est la banque qui paye . Par curiosité moi aussi on ma mis le doigt dans le .. »

« Peut-être, mais ça peut être l’interne ou pas du tout, le sexe masculin informe suffisamment ! »

« Et la fille ? »

« Pour me chambrer, un interne lui a dit, et en rougissant, elle a voulu recommencer ( elle a aimée !) Mais je l’ais vue en rééducation puis un jour elle m’a offert un café dans la rue et confié « Qu’elle était fiancée et ne détestait pas ce genre de jeux ». Pendant tout ce temps elle l’avait épilé totalement et seul son sexe se dressait .

« D’abord le nettoyage ! et à votre tour de raconter ! »

« Oh moi c’est simple. A mon réveil j’avais des sondes partout et ce n’est que plus tard, que au cour de ma toilette, que je me suis rendu compte que mon sexe se tendais, et une nuit a force de frottement involontaire j’éjaculait pour la première fois, j’ai même appelé l’infirmière de garde, qui en faisant la gueule, m’a essuyée avec dégoût, puis ma mis une culotte en caoutchouc, non sans m’avoir mis, a main nue, deux suppositoires tout en agitant bien son index qui est sortis couvert de … Le contact du latex sur mon sexe m’a fait bander et jouir, puis les suppositoires on fait leur effets, et c’est dans une mélasse innommable que ma sexualité a commencée avec les femme et s’est achevée ! Depuis une petite branlette dans un mouchoir en papier et c’est tout ! »

« Et voilà ,tout propre mais je vais m’occuper maintenant de votre ventre ! Un petit lavement a la poire ! pour commencer ! Vous pouvez supporter une grosse canule m’a dit mon doigt, donc une grosse poire et une grosse canule et en avant ! Vous me direz si ça fait mal » Et comme il était sur la table cuisses relevé par des étriers il sentis la grosse canule s’enfoncer en lui et d’un battement de paupières il lui fit signe de continuer.Un système perfectionné permettait de vider la poire sans sortir la canule puis la réintroduire. On pouvait même débrancher la poire en laissant la canule en place étanche bien sûr ! Elle lui proposa une autre poire et il accepta de même ainsi qu’une troisième mais il leva la main avec une grimace. Elle posa ses lèvres en un délicat baiser sur les siennes tout en massant le ventre supprimant la crampe. D’un hochement de tête il lui fit signe de continuer mais un nouveau signe l’arrêta et a nouveau un massage et un baiser cette fois ci en glissant sa langue dans sa bouche et jouant avec la sienne. Il était prêt a subir d’autres poires pour avoir a nouveaux ses lèvres mais elle jugea qu’il n’en supporterait plus d’autre. Retirant la canule elle lui mis un genre d’obturateur qu’elle gonfla avec une petite poire. Elle lui massait le ventre et lui caressait le sexe mais se gardais bien de provoquer une éjaculation. Retirant le bouchon après l’avoir dégonflé elle lui conseilla de laisser les choses se faire sans pousser ni se retenir et après quelques instants un gros bouchon de matière tomba dans le bassin glissé sous ses fesses suivit d’un torrent liquide pâteux et gazeux qui lui fit croire qu’il se vidait totalement. Vite elle vida le bassin et glissant rapidement une canule bizarre composée d’une tige munie de deux ballons gonflables avec une poire et des robinets. Elle n’introduisit que le premier et le gonfla pour occuper l’espace disponible puis le deuxième assurant une étanchéité totale et un arrachement impossible. Raccordant une grosse poche fixée a une potence elle ouvrit le passage du liquide mais avec douceur. Elle allait le rincer en profondeur. Comme précédemment elle le maintenait avec une douce érection et lui massait le ventre pour supprimer les crampes et des qu’il ouvrait la bouche soit pour se plaindre ou demander quelques choses elle jouait avec sa langue en une si délicieuse caresse qu’il ne pouvait que gémir comme un chiot. Doucement le contenu de la poche se retrouva dans son ventre et après quelques minutes elle le laissa se soulager et il put constater que l’eau qu’il évacuait était légèrement trouble ,elle ne sentais rien. Se servant du portique elle le conduisit a la baignoire et le doucha partout avant de remplir la baignoire. Le délivrant de ses sangles elle lui demanda

« Le bain ? il y as longtemps ? »

« Je ne m’en rappelle plus ! »

« La baignoire est immense, on pourrait s’y baigner a deux »

« Vient , je t’invite si tu veux bien ? »

Elle ouvre doucement son chemisier et dégrafe son soutien-gorge laissant sa poitrine menue mais ferme libre et les pointes de ses seins se dresser.

« Je voudrais être un petit bébé et téter tes seins, il sont si beaux ! »

« Encore un instant et je te les confie »

Elle dégrafe sa jupe qui tombe a ses pieds et fait rouler a ses chevilles une culotte toute simple en coton mais déjà marqué d’une tache de sécrétions féminines. Elle enjambe le bord de la baignoire ouvrant bien une fente glabre qui s’entrouvre sur son sexe et plus loin sur son anus. Tétanisé il ne pense même plus a se retenir et coule et en réflexe se redresse crachant l’eau. Elle a bondi jusqu'à lui et se trouve avec le ventre a hauteur de ses yeux !

« Tu peux toucher ça ne mord pas ! »

En un instant ses doigts sont partout, il a tant a découvrir, a palper , a explorer. Sa bouche est sur le téton d’un sein qu’il tête vigoureusement comme s’il espérait lui ravir un lait inexistant. Un doigt lui a déjà appris qu’elle n’est plus vierge mais il la soulève dans ses bras puissant et présente le sexe de petite fille a sa bouche ou il se glisse d’une langue gourmande faisant saillir le clitoris qu’il entreprend a son tour de sucer. Elle lui inonde la bouche de sa liqueur de femme qu’il boit gloutonnement , la faisant jouir et buvant a nouveau les preuves salées de son plaisir.

« Arrête Jean ,j’ais envie de faire pipi ! »

« Ne te retient surtout pas je veux tout de toi ! »

Et a long jets elle vide sa vessie dans sa bouche tandis qu’il boit et comme elle avance les lèvres pour l’embrasser il se rince la bouche pour ne pas lui présenter de pipi, ce qui bien sur la fait rire. Avec prudence elle présente son sexe au-dessus du sien et doucement le fait pénétrer dans un lieu brûlant. Avec ses muscles vaginaux elle le masturbe et en deux ou trois aller-retour le fait jaillir en elle. Ils restent enlacés un long moment puis elle se lève pour atteindre des savons et shampoings et bien sur lui tourne le dos laissant le sperme couler le long de ses cuisses et former des filaments dans l’eau du bain. Saisissant ses hanches il l’assoie sur lui, son sexe ravis se glissant dans la raie des fesses. Il lui savonne la tête et elle lui rend le même service avant de se rasseoir avec précaution pour ne pas s’empaler sur la verge qui se redresse. Il lui savonne les seins a deux mains la faisant jouir a nouveaux et comme elle se penche en avant pour échapper aux mains caressantes elle sent sur son petit trou la pointe d’un visiteur qu’elle avale sans trop de résistance. Il navigue entre ces deux belles fesses et la sentant jouir il la rejoint. Apres de longues minutes il se sent diminuer et prenant garde a le conserver elle se tourne vers lui et lui propose maintenant a son tour de faire pipi dans elle ! Il a la force de lancer de longues giclées mais excité a l’idée de ce qu’il fait il se remet a bander encore plus fort et au risque de faire déborder la baignoire la fait monter et descendre sur son sexe lui arrachant des gémissements qui ne sont pas que de plaisir il lui semble même franchir une autre ouverture musclée qui le comprimant encore lui font gicler ce qui lui reste de sperme. Rapidement il se dégonfle et sort de son logement et comme il veut lui sucer l’anus elle se sauve sur les toilettes ou elle se laisse aller.

« Parole d’infirmière ça c’est un sacrés clystère »

« Un quoi ? »

« Un lavement, mais j’ais beaucoup aimé la canule ! »

« Tu me laissera goûter a ton petit trou ? »

« Si vraiment tu le veux mais seulement quand il serra vide et propre. Ne me dit pas que tu es amateur de caca ? »

« Non pas pour en manger mais je crois bien que l’eau du bain a effacé des traces »

« Oui vilain mais cette nuit pour que tu ne nous fasses pas baigner dans le reste d’eau de tes intestins je vais juste te mettre une culotte de latex et tu verras que ce n’est pas si désagréable, d’ailleurs je vais en porter une aussi si tu veux bien me donner un lavement mais pas avec ton sexe ! »

Il fut fait ainsi après que jean ais retrouvé son fauteuil et Alice pris place sur la table de massage réglée au plus bas. Elle eut droit a toute la gamme de la nouvelle science de Jean les poires et le bock avec toute la gamme des canules et quand enfin elle s’estima propre il put glisser sa langue dans ce petit trou si visité. Très vite le frétillement la porta aux paroxysme du plaisir et elle du crier grâce vidée de toutes forces.Un petit repas les apaisa et après les plaisirs de la nouveauté ils convinrent de plus de modération. Alice lui fit remarquer que au cours de leurs jeux a plusieurs reprise elle avait vu ses jambes bouger ce qui était un espoir de rééducation mais en revendiqua l’exclusivité. Jean bien sur fut tout a fait d’accord mais c’est lui qui revêtis son infirmière d’une nuisette scandaleusement transparente décidant en prime que la petite culotte coordonnée étais superflue et l’envoyant plus loin, ne portant plus que leurs culotte de latex il s’endormirent dans les bras l’un de l’autre. Le lendemain au réveil ils prirent une douche ensemble pour effacer la transpiration due au latex et les petites traces inévitables. La rééducation commença et après quatre heures Alice assise sur les jambes de Jean lui faisait bouger les orteils lui montrant sans le savoir sa petite culotte et ses petites fesses, puis de face, les muscles des cuisses pour tenter de la soulever . Cherchant son regard elle le vis fixer sous sa courte jupe le satin moulant son sexe et elle fit semblant de ne rien voir mais dosant la vision aux progrès réalisé elle put obtenir un début de mouvement mais le sexe tendu allait exploser aussi elle décréta la fin des exercices et baissant le jogging pris en bouche le sexe tendu aspirant sa sève en quelques coup de langue.

«Que veut tu comme récompense ? »

« Tu as un si joli petit cul ? »

« D’accord mais ce soir dans le lit OK ?»

« OK »

Et le soir après un passage par la salle de bain elle revint dans sa petite nuisette et se coulant dans le lit lui tendirent ses fesses nues déjà enduites de crème. Il n’eut qu’a centrer sa verge et pousser doucement. Il sentis la pastille s’ouvrir doucement et le gland s’engager dans un rectum déjà prêt a le recevoir. Pour mieux s’engager il enroula ses jambes aux siennes et il fut au paradis ! Il se gardait de bouger retardant l’éjaculation qui terminerait son plaisir. Enfin comme elle se plaignait d’une crampe il déplaça sa jambe et se rendant compte qu’il avait commandé des membres qu’il croyait morts il éjacula au plus loin qu’il put, percevant au bout de sa verge des matières molles ou il s’enfonça giclant au plus loin.

« Chérie ? »

« Oui je sais ne dit rien, tu as bougé ta jambe a au moins deux reprises, je t’aime mais tu as aussi déchargé dans mon caca ! »

« Pardon ! »

« Pas de problème je vais me soulager puis je reviens te laver »

« Comme tu y vas , tu pourrais emmener mon pipi aussi ? »

« Tu est un grand sale ! mais j’aime aussi ! vas-y ! »

Et elle tendit bien ses fesses a la verge qui la remplissait pour son plaisir aussi .Quand elle revint pour lui donner un petit coup de lavage il dormait déjà mais au contact de la petite main le sexe se mis au garde a vous et elle put le nettoyer et de retour elle se mit face a lui et laissa la verge se glisser en elle. Sans bouger elle le garda en elle un bon moment sa respiration suffisante à faire bouger son clitoris contre la verge tendue et elle eut plusieurs jouissances et en dormant, il donna un coup de rein qui le fis pénétrer en totalité en elle. La verge se tendit encore plus et tout en dormant il déchargeât une incroyable quantité de sperme. Elle le garda en elle et ce n’est qu’au matin qu’ils se réveillèrent collé par le sperme et ses secrétions à elle.

En consultant ses mails il apprit un matin que le représentant de la banque et un médecin mandaté par eux voulait le rencontrer ! Ça tombe bien je suis libre toute la journée , fini les dossiers, à mon tour de rire un peu ! Sans vouloir lui en dire plus Alice toute joyeuse insista pour réunir tous les documents et avant leur arrivée lui fit un long et vigoureux massage qui lui permit de nouveaux progrès !

A l’heure dite deux faces de croque mort se présentent voulant voir Jean qui les reçois et comme ils font signe a Alice de sortir, elle se rebiffe soutenue par Jean qui exige la présence de - son infirmière -

« Ce n’est pas l’opinion d’une quelconque infirmière qui nous intéresse mais celle d’un médecin ! »

« Vous aurez l’obligeance de m’appeler docteur Alice et si l’absence de résultats a été la règle ce n’est plus le cas ! Avec les conseils du professeur Lachaume que j’ai eu l’honneur d’assister lors d’intervention nous avons obtenus une récupération des fonctions sensorielles et motrices de plus ma spécialisation en neurophysiologie sous la direction des plus éminents professeurs nous dispensent d’un quelconque examen ! »

« Mais si vous rendez notre accord caduque votre directeur auras a répondre devant la justice de ses malversations diverses et croyez moi j’ai eu le temps de préparer un dossier solide ! Je pense qu’il est inutile de vous raccompagner, nous n’avons plus de temps a perdre »

Les deux personnages s’éclipsèrent sans dire mot.

Porte bien fermée Alice revint avec deux flûtes de champagne pour célébrer sa victoire.

« A ton doctorat ! et a ce que la banque vas désormais cracher ! »

« A tes jambes bientôt retrouvée ! »

« Et a notre amour ! »

« Si tu en est sur ! il reste des étapes a franchir ! »

« J’en suis sur . Mais pour parler d’autres choses je suis surpris qu’avec toutes tes connaissances tu sois célibataire et aussi peu complexée coté cul ? »

« Tu veut dire sexe ou anal ? »

« Anal ! bien sur tes expériences de gamine y sont sans doute pour quelques chose mais alors que les femmes , par oui dire n’accordent leur faveur qu’a regret , vraies ou fausses souffrances physiques ou morales ! Toi tu t’en sert comme d’un autre sexe complémentaire ? »

« Tu veux faire psy ? je te propose une association ! Sans rire j’ai du plaisir de ce côté pour plein de raison et la première c’est que toi aussi, hors fausse pudeur ou machisme . J’espère bien augmenter « nos » plaisirs de ce côté comme tu dis. Comme récompense si tu arrives à soulever les deux cuisses ensembles tu auras une surprise ! »

« Vite »

Et elle poussa son chariot vers la salle équipée quand il fut sur la table elle le mis nu pour juger de ses efforts et rajouter de l’érotisme. Se tenant a la table il s’efforça de soulever ses jambes, crispé sous l’effort elles décolèrent petit à petit et il réussit tout tremblant a les maintenir à la verticale puis les redescendis doucement.

« Bravo tu a réussi un très grand pas. Je vais te récompenser et te faire mieux comprendre ce que je te disait » Elle s’absenta quelques instants pour revenir nue et équipée d’un sexe postiche de taille normale avec une texture très proche de celle de la peau. Apres l’avoir enduit de lubrifiant elle réclama a Jean un effort supplémentaire lui faisant lever les jambes elle enduisis son anus de lubrifiant et centrant le postiche poussa doucement. Le faux prépuce se déroula et la bague anale lentement avala le gland factice. Son rectum avala la totalité de l’engin le faisant geindre doucement. La sensation de plénitude finalement agréable fit se dresser sa verge alors qu’Alice maintenant le pistonnait et qu’il se crispait pour le retenir ou poussait pour mieux s’ouvrir. Très souple elle réussit à le prendre en bouche ou il jouit immédiatement en même temps qu’elle libérait en lui le contenu d’une petite poire tiède. Il la sentis se retirer à regret mais fut honteux des traces sur le postiche.

« C’est le lot de ce genre de surprises ! Alors tu as aimé ? »

« Avec toi oui ,mais un homme véritable brrr… ».

« Et nous pauvres femmes c’est notre lot ! Quoi que pour les homos c’est la même chose».« Un partout c’est le cas de le dire , donc nos culs nous appartiennent ! »

« Pendant mon stage j’ai assisté a quantité d’intervention ou les hommes et parfois les femmes s’introduisent vraiment n’importe quoi ! Depuis la classique bouteille de coca en passant par les légumes les plus divers et variés avec tous les problèmes que ça pose ensuite. »

« De quel ordre les problèmes ? Jamais aucun de ces phantasmes ne t’a tentée ? »

« Oh ! Les dilatations irréversibles, déchirures, incontinence et autres de plus les plaisirs ne reviendra plus !

Mais une nuit le SAMU nous ramène un couple avec chacun une motte de beurre d’un bon kilo a cet endroit ! »

« Et ? »

« Rien on a attendu que ça fonde ! Mais on leur a envoyé le beurre avec la facture». « Si tu veux je t’amène une fille qui est en étude avec moi et qui phantasme comme une folle de tout ce qu’on peut faire a un infirme ! Elle a juste peur qu’on prenne l’initiative mais si elle croit que c’est elle ! J’aimerais bien voir ta verge en action ou même la guider dans son petit cul…

Depuis le temps qu’elle copie ! »

« Quand tu veux »

Le samedi soir elle était la !

« Comme tu es infirmière tu vas m’aider je dois donner des soins à Jean »

En un instant jean se retrouve nu sur la table de soins et Alice demande à Marie

« Prend sa température tu veux bien ? »

Et marie rougissante présente le thermomètre mais Jean qui s’amuse fait

« Aie »

Aussitôt Alice se précipite

« Mais malheureuse tu vas lui faire du mal ! Il faut le lubrifier et dedans aussi , oui avec ton doigt et masse bien »

Et Jean sent le doigt de Marie gluant de lubrifiant s’enfoncer dans son rectum et sur les conseil d’Alice bien préparer le passage. Il trouve le thermomètre trop fin et la séance trop courte. Faisant signe a Alice il lui propose a mis voix qu’elle lui donne un lavement et sur le même ton Alice lui confirme que ça vas être sa fête !

« Commence par lui placer deux suppositoires de glycérine »

Toute intimidée Marie a du mal a pousser les globes gélatineux qu’il s’ingénie à repousser. Enfin le dernier est au fond mais Alice tend a son amie une poire avec une canule vaginale et lui conseille l’injection et l’angle d’introduction et Jean sent sur ses fesses le souffle des deux filles. La troisième poire et suffisante pour qu’il se plaigne de crampes aussi le plaçant sur le dos elles lui massent le ventre laissant la verge se dresser. Alice professes

« Il est trop tendu, masse le pour le soulagé ! »

Et lui tendant le tube de lubrifiant oblige Marie a enduire le ‘mat’ et a le masturber vigoureusement jusqu'à des jets de sperme dans leurs cheveux.

« Tu te méfie ,il est probable que ça vas ressortir , met lui vite le bassin »

« C’étais de justesse mais maintenant on fait quoi ? »

« Si tu n’as jamais donné de grand lavement c’est le moment »

« Je devrais savoir faire mais on lui en met combien ? trois litres ? »

« Très bien, surveille et à la fin tu lui mets ce bouchon gonflable et tu peux profiter d’une nouvelle érection ! »

« En profiter ? »

« Ben oui, pour une fois que tu disposes d’une belle bite !

Tu peux en faire ce que tu veux. Le plus classique le branler, le sucer, la faire entrer dans ton vagin ou même dans ton petit cul ? Ça te tente pas ? Tu m’avais dit avoir envie de sodomie , c’est le moment et si tu veux je peut t’aider ! »

« Oh Alice ! »

Glissant sa main sous la courte jupe de son amie Alice mis l’index sous la petite culotte et n’eut pas grand peine a trouver un petit trou tout frémissant. En un instant elles furent nues , seul jean avait son bouchon et une verge tendue. Marie se laissa caresser par Alice qui lui enduisit la rondelle de lubrifiant y glissant un , puis deux et tenta un troisième doigt mais il fallait laisser à l’anus le temps de se dilater. Alice guida Marie accroupie au-dessus de la verge pointée puis la fit descendre sur la vulve ruisselante. Enfin Jean la soutenant et lui écartant les fesses présenta la rondelle juste au-dessus de la pointe tendue et Jean la laissa doucement descendre tandis que l‘empalée criait son plaisir, enfin pesant sur ses épaules il s’assura de la complète intromission. Ce fut jean qui manœuvra les hanches de la fille, la soulevant puis la faisant redescendre tandis qu’Alice lui suçait le bouton et la pointe des seins. Marie enchaînait orgasmes sur orgasmes, ivre de plaisir mais l’anus torturé par la verge qui le taraudait. Enfin a long jet il l’inonda de sa crème onctueuse et elle mêla son urine a la cyprine qui salait la bouche d’Alice. Comme elle était assise sur sa verge il restait en elle et Alice lui soufflant à l’oreille

« Vas y fait pipi dans son cul ! »

Se crispant il réussit à lancer dans le rectum accueillant quelques giclées d’urine qui la firent jouir a nouveau tandis qu’il se sentait regonfler dans ce rectum béant. Alice venait de s’asseoir sur la bouche de Jean qui entrepris de lui sucer la pastille tandis que Marie souplement réussit à glisser sa langue dans le vagin de son amie puis entrepris de sucer le petit bouton déclenchant une nouvelle vague de jouissance et l’épuisement des partenaires. Marie épuisée se retrouvait sous Jean mais Alice facétieuse retira le bouchon inondant les deux. Une douche était indispensable et a la surprise générale Jean tout tremblotant se rendis seul dans la baignoire ou les filles le retrouvèrent pour une bonne douche doublée de câlins distribués sans restriction.

« Jean, je voudrais savoir ? Tu as eu l’air d’aimer les lavements ? c’est vraiment si agréable ? »

« Le plus simple c’est d’essayer si tu veux ? Alice qui est spécialiste va nous aider ! Restons dans la baignoire et si Alice veut bien approcher la table avec les ustensiles Voilà qui est parfait ! D’abord à la poire ! Et avec une canule vaginale ! Apres la taille de mon sexe c’est presque un amusement ! Oui ça rentre bien, trois poires pour commencer et si tu protestes je mélange avec mon goupillon !»

Les trois grosses poires injectées il plaçât sa verge au centre , et sans effort entra en elle. Il devait la maintenir pour lui éviter de boire l’eau du bain mais soudain d’une torsion du buste elle déboîta la cheville de chair et se vida a grand spasmes. Il fallut vider l’eau, les rincer puis estimant la leçon insuffisante il introduisit une canule gonflable en deux poires qu’il raccorda sur une grande poche et tandis que le liquide se ruait en elle il lui caressaient les seins ,puis la soulevant a bout de bras lui fit faire un demis tour et l’installa face a lui, adossée contre ses jambes, un pied de chaque côté, lui offrant sa vulve ou il se glissa doucement. Le tube d’injection sortant de ses fesses mais la vulve enfoncée par le pieu elle se sentait totalement investie. Elle jouit à répétition puis attirant Alice entre eux, offris ses fesses à Jean tandis qu’elle dévorait le sexe en buvant toute la sève puis la faisant tourner s’efforçait de recracher dans l’anus les secrétions féminines. Marie ne pouvait en faire plus mais comme à la suite des nombreuses injections reçues tous les trois avaient des pertes anales ils durent porter des culottes étanches. Heureusement Jean pouvait récupérer très vite et comme il avait des années de revanche à prendre les filles n’eurent jamais à regretter sauf parfois une petite irritation qu’un coup de langue ou une crème spécialisée suffisait à calmer. Le sexe de Jean toujours en service se faisait parfois aider Les plugs, godes, vibrants ou non trouvaient refuge dans leurs orifices.