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Vues: 51606 Created: 2007.10.15 Mis à jour: 2007.10.15

Ma cousine Hélène

Chapitre 1

Cette année-là, je venais d'avoir 17 ans. A l'occasion de la communion d'un de mes cousins habitant la même ville, la famille la plus proche avait été invitée à la cérémonie qui durait deux jours.

Tous étaient logés à l’hôtel à l'exception d'une de mes cousines à qui on avait réservé ma chambre, me reléguant dans une petite pièce adjacente sans fenêtre où ma mère avait installé un lit cage.

Informé de ma nouvelle installation le matin même de leur arrivée, j'eus tout de suite un certain ressentiment à l'égard de cette intruse que je ne connaissais pas ou à peine, car elle habitait dans le Nord avec ses parents et je ne l'avais vu qu’en de rares occasions, la dernière remontant à plus de trois ans.

Tout ce que je savais d'elle, c'est qu'elle était fille unique, qu'elle se prénommait Hélène et qu'elle avait quinze ans.

J'oubliai immédiatement mon ressentiment envers elle lorsque je la vis avec sa mère à leur arrivée à la maison. Elle était merveilleusement jolie, avec ses grands cheveux blonds roulant sur ses épaules, encadrant un fin visage dévoré par des yeux d'un bleu profond, surmontant un petit nez légèrement retroussé sur des lèvres finement ourlées qui dévoilaient dans un sourire enjôleur des dents blanches harmonieusement disposées.

Le bas ne déparait pas le haut. Des rondeurs comme il fallait, là où il fallait, le tout planté sur des jambes fines et nerveuses, largement dévoilées par une jupe courte à souhait pour des yeux admirateurs comme les miens.

Elle savait être désirable et ne faisait rien pour atténuer les lueurs d'admiration et de convoitise qu'elle déclenchait dans les regards de la gente masculine.

De mon côté, je vis dans ses yeux que je ne lui étais pas indifférent. Il est vrai que j'entendais dire souvent que j'étais un beau garçon et que je devais faire des ravages dans le coeur des jeunes filles.

Certainement ces deux jours allaient être très agréables et passer malheureusement très vite.

Une fois à l'intérieur de la maison, ma tante portant une valise demanda à ma mère de lui indiquer la chambre destinée à sa fille pour aller ranger ses affaires. Les deux femmes disparurent aussitôt dans l'escalier montant au premier étage.

Resté seul avec ma cousine je ne sus pas comment engager la conversation et intérieurement je me traitai de nigaud. Hélène qui s'était aperçue de ma brusque timidité, aggrava la situation en déboutonnant son corsage à la limite de la bienséance ; sous prétexte de la chaleur qui régnait dans la pièce. Elle se laissa tomber dans un fauteuil dont la profondeur la surprit et elle se trouva assise, les genoux en l'air, la jupe remontée, découvrant le triangle blanc de sa culotte qui se détachait sur la couleur bronzée de ses cuisses écartées.

Sa surprise non feinte passée, elle oublia volontairement de rabattre sa jupe en riant de ma gène et de mon trouble que traduisait la couleur écarlate de mes joues.

" Et bien quoi ! Tu n'as jamais rien vu, on dirait ! Moi qui pensais te faire plaisir. Un peu d'eau froide sur le visage te ferait le plus grand bien" me dit-elle d'un air moqueur.

Profitant de son offre pour échapper à ses moqueries, je m’éclipsais et montai dans la salle de bain pour reprendre mes esprits.

La porte de ma chambre qui donnait dans la salle de bain étant ouverte, j'entendis la conversation de ma tante avec ma mère :

Ma tante : " Je vous suis très reconnaissante d'avoir accepté de loger Hélène. J'aurais pu la prendre avec moi à l’hôtel, mais c' est toujours risqué. Bien que je lui mette tous les soirs des couches et une culotte en caoutchouc, elle arrive encore à mouiller les draps tant elle fait pipi au lit. Je vous demanderai surtout de veiller à ce qu'elle soit suffisamment langée. Je n'utilise pas les couches modernes en cellulose je préfère la vieille méthode des couches en coton. J'ai fait faire par une couturière des couches en forme de pointe et des couches rectangulaires. De même je préfère les culottes en caoutchouc fermée de notre temps, aux culottes ouvrantes en matière plastique, les seules qu'on puisse trouver en France. Je commande directement ces culottes en Angleterre où il y a un choix vraiment exceptionnel. A tout hasard, j'ai pris également une alèse en caoutchouc pour le lit, bien que vous en ayez certainement chez vous."

Ma mère : "Ne vous inquiétez pas. Tout ira bien. Je langerai moi-même Hélène. Je n'ai pas perdu la main, car vous savez sans doute que mon grand garçon a fait pipi au lit également jusqu'à l'âge de 15 ans, et comme vous, je lui mettais aussi des couches et une culotte en caoutchouc pour la nuit. Ce n'était peut-être pas recommandé, mais c' était surtout bien pratique pour le lavage. Je ne lui mets plus de couches mais il arrive qu'il mouille encore son lit de temps en temps. Aussi il couche encore sur une alèse en caoutchouc."

Ma tante : « Je pense qu'Hélène arrêtera aussi de faire pipi au lit avec l’âge. C'est pourquoi je ne lui dis rien. Encore heureux qu'elle ne se mouille pas constamment dans la journée comme une de ses amies. Encore merci pour votre compréhension et votre gentillesse."

Ainsi ma jolie cousine faisait encore pipi au lit. Il y avait de quoi, là, lui rabattre son caquet. Mais au fond, il fallait être juste, j'étais exactement comme elle à son âge.

Je redescendit donc, parfaitement calme et heureux de connaître ce petit secret de ma cousine.

L'après-midi se passa très vite, me prenant au jeu de séduction de ma cousine qui ne manquait pas une occasion de me montrer la naissance de sa gorge et le haut de ses cuisses fermes et rondes.

J'attendais le soir avec impatience. J'avais préalablement déplacé légèrement l'armoire à glace de ma chambre de façon à voir de la salle de bain, la porte entrebâillée, le lit de ma chambre. J'avais bien l'espoir d'assister incognito à la toilette infantile de ma cousine.

Le moment tant attendu arriva enfin. Hélène m'embrassa pour me dire bonsoir, son air enjoué de l'après-midi avait disparu. Je la sentais tendue et inquiète. Sans doute se préoccupait-elle du moment où, nue, elle s'offrirait aux mains expertes de ma mère qui l'envelopperaient dans les couches comme un jeune bébé de quelques mois.

Je les précédais dans l'escalier et après avoir entrebâillé très légèrement la porte de séparation, j'ouvris en grand les robinets de la baignoire pour simuler ma toilette.

La porte de ma chambre donnant sur le couloir, j'entendis ma mère dire à Hélène :

" Je voudrais que tout se passe comme si tu étais chez toi. Ta maman te lange t'elle sur le lit ou debout ?"

Une petite voix toute timide répondit :

" Sur le lit"

" Bien. Déshabille-toi et allonges toi sur le lit."

Un instant j’eus la révélation d'une apparition furtive. C'était la première fois que je voyais une jeune fille toute nue et une certaine émotion s'empara de moi. Bien que gêné et honteux pour ma cousine, je ne perdis pas un seul mouvement précis de ma mère qui avait retrouvé les mêmes gestes qu'il y a deux ans lorsqu'elle me langeait au même endroit pour la nuit.

Je la vis glisser sous les fesses de ma cousine, les deux couches superposées, les rabattre entre ses cuisses écartées et les attacher autour de la taille avec des épingles de nourrice. Elle prit ensuite la culotte en caoutchouc qu'elle passa autour des pieds puis remonta le long des jambes jusqu'à la hauteur des genoux. Là, elle prit Hélène par les bras et l'aida à se mettre debout, après quoi, elle glissa la culotte autour de sa taille, veillant à ce qu’aucune partie des couches ne dépasse des élastiques de l’entrejambe.

Faisant glisser la chemise de nuit préalablement remontée sous les bras, elle aida ma cousine à s'allonger, remonta sur elle drap et couverture, l'embrassa sur le front et quitta la chambre après avoir fermé la lumière.

A mon tour je fermai la porte et très énervé par ce que je venais de voir, la verge tendue et raide j'allai m'étendre sur mon lit.

Bien que fatigué, je mis très longtemps à m'endormir, ne pouvant oublier le tableau érotique toujours présent à mes yeux.

Ce fut ma mère qui me tira de mon profond sommeil en me secouant par les épaules :

" Réveille-toi, grand fainéant. Il est plus de huit heures. Ta cousine est déjà levée et prend en ce moment son petit déjeuner.

Lève-toi et fais ta toilette avant de descendre. " Tout à fait éveillé, une sueur froide me coula entre les épaules.

J'avais eu chaud. D'habitude ma mère me réveillait en rejetant drap et couverture au pied du lit et me tirait par les pieds. C'eut été la catastrophe, si elle avait agi ainsi aujourd'hui. En effet la veille au soir, ne pouvant trouver le sommeil, j'avais retiré l'alèse en caoutchouc de dessous le drap et, après avoir retiré ma culotte de pyjama, je m'étais emmailloté dans le caoutchouc froid et lisse et une fois sur le ventre, je m'étais frotté contre le caoutchouc, éjaculant à plusieurs reprises, jusqu'à ce que je m'endorme, épuisé, assommé par la fatigue.

Maintenant j'étais reposé, heureux de sentir la moiteur qui m'enveloppait. Pour compléter mon plaisir, je lâchais un petit pipi qui coula dans les plis de l'alèse jusqu'à venir baigner mes fesses de sa chaleur humide. Alors mon sexe se réveilla et se redressa quémandant une caresse.

Non, je ne devais pas céder à la chaleur qui gagnait mon ventre.

Ce soir je pourrais prendre tout mon temps et j'étais décidé à ne pas m'en priver.

Une fois levé, j’essuyais l'alèse ornée de longues traînées blanchâtres et la remis à sa place habituelle entre le matelas et le drap.

Dans la salle de bain, je préparai cette fois mon bain, lorsque mon regard fut attiré par un seau placé dans un angle et recouvert d'une serviette. Curieux, je soulevais la serviette et je fus stupéfait du contenu du seau. J'en retirais d'abord une merveilleuse petite culotte en caoutchouc rose toute ruisselante d'un liquide jaune d'or, sous laquelle gisaient les couches que ma gentille cousine avait largement trempées durant la nuit.

Comme un automate je pris une des couches et la portai à mon visage, respirant l'odeur piquante qui s'en dégageait. Puis poussé par je ne sais quel fantasme, je plaçais la couche encore chaude entre mes cuisses serrées, faisant couler le pipi le long de mes jambes. Je poussais un râle de plaisir, ma verge se dressant au-dessus du tissu éponge jauni qui gouttait sur le carrelage.

Gardant les cuisses serrées sur le tissu humide, je pris la culotte en caoutchouc et glissai mon membre à l'intérieur. Puis le faisant glisser dans l'enveloppe caoutchoutée, lubrifiée par le pipi de ma cousine, en quelques mouvements de va et vient, j'arrivai rapidement à l'orgasme, ne pouvant retenir un petit cri, lorsque ma semence se répandit dans le caoutchouc de la culotte.

La jouissance avait été si intense que je dus m'appuyer, les jambes flageolantes, contre la baignoire. C'est alors qu'un léger bruit me tira de ma torpeur et dans la glace située au-dessus du lavabo, j'eus la vision d'une ombre quittant la chambre voisine et fermer la porte. Sans aucun doute ma séance de massage un peu particulier avait eu un témoin clandestin, qui ne pouvait être que ma cousine, ma mère ayant manifesté sa présence et réagi à sa manière.

Qu'allait être notre prochaine rencontre ?

Après tout, la situation était assez piquante.

Ma cousine savait que je savais qu'elle faisait pipi dans ses couches, et je savais qu'elle savait que je m'étais masturbé dedans.

Finalement j'étais content de cette situation équivoque et des événements imprévus qui devaient en découler.

Je nettoyai la culotte en caoutchouc et remis le tout en place. Après avoir fait ma toilette je descendis prendre mon petit déjeuner.

En entrant dans la salle à manger je rencontrai Hélène. Elle me regarda avec un sourire énigmatique, une lueur brillante dans ses yeux. Puis elle m'embrassa sur la joue et sans un mot, elle s'esquiva, faisant virevolter sa jupe autour d'elle.

Le reste de la journée consacrée aux cérémonies religieuses et aux repas, se passa sans événements notables, sinon qu'à table pendant le déjeuner, assis, à coté d'Hélène, je sentis à un moment donné, son genou s'appuyer contre ma cuisse. Personne ne faisant attention à nous, je glissais ma main sous la table et la posai sur son genou, puis la remontant sur sa cuisse, je la glissais sous sa jupe jusqu'à atteindre son entrejambe où sa culotte était toute mouillée, un petit gémissement de contentement s'échappa de ses lèvres, passant inaperçu dans sa conversation avec son voisin de gauche, et elle serra un moment ses cuisses retenant ma main prisonnière.

Aucun autre signe ne parut sur son visage et elle semble m'ignorer totalement et par la suite elle évita toute possibilité de me trouver seul avec elle ne serait ce qu'un instant.

Le soir arriva très vite. Déçu et fâché même, je me mis au lit sans passer par la salle de bain, alors que ma mère, comme la veille, aidait ma cousine à revêtir sa tenue infantile vespérale.

Toutefois, en pensant à ce qui se passait de l'autre côté de la cloison, je retirais l'alèse en caoutchouc et m’enveloppais dedans.

Le contact du caoutchouc sur ma peau ne tarda pas à faire l'effet escompté.

J'avais déjà joui une première fois, lorsque j'entendis la porte de ma chambre s'ouvrir doucement.

Une lueur diffuse venant de derrière découpa un instant une silhouette de rêve. Bien que ce fut très bref, mes yeux habitués à l'obscurité distinguèrent dans les moindres détails cette apparition enchanteresse. La nuisette arachnéenne mettait en relief, d'une façon presque impudique, le corps gracile et nu de la jeune fille, à l'exception de la taille, enveloppée dans une culotte bouffante serrée aux cuisses et à la ceinture. L'obscurité redevenue totale, la silhouette indistincte s'avança vers mon lit, le silence uniquement rompu par le bruissement que fait un vêtement en caoutchouc en marchant, suivi aussitôt du craquement du sommier métallique de mon lit sous le poids de ma visiteuse.

" C'est moi, Hélène. N'allume pas, je t'en prie." Dit-elle d'une voix rapide un peu rauque. " Je te dois quelques explications.

Je t'ai vu ce matin dans la salle de bain. Tu sais maintenant que je mets des couches et une culotte en caoutchouc pour la nuit."

- Jeoooooo

-"Non, ne m'interromps pas. Ne me rends pas la tache difficile. Si je fais pipi au lit, comme tu as pu t'en apercevoir, et dont tu as égoïstement profité, soit dit en passant, c'est tout à fait volontaire, sache que j'aime être mouillée et enveloppée de linges humides et chauds dans lesquels je prends mon plaisir. Maman n'y voit aucun inconvénient, bien au contraire, elle m'encourage à me maintenir dans cet état infantile pour des raisons bien à elle.

A plusieurs reprises, elle m'a demandé de garder mes couches et ma culotte en caoutchouc dans la journée, par sécurité, dit-elle. A regret, je ne le fais pas quand je vais à l'école, car j'ai peur que ça se devine sous mes vêtements habituels et qu'on se moque de moi. Mais quand je reste à la maison, le dimanche ou pendant les vacances, crois moi que je ne rate pas une occasion de faire pipi dans mes couches pendant la journée.

Lorsque je suis mouillée, maman exige que ce soit elle qui me change et ses yeux brille de plaisir lorsqu'elle me talque et me met des couches propres. Tu as remarqué que ce sont des couches comme celles que l'on met au bébé, en tissu éponge et non pas celles pour adulte qu'on trouve dans les pharmacies.

Si je l'écoutais je devrais mettre aussi une barboteuse et prendre une sucette pour m'endormir.

Elle pense ainsi me garder plus longtemps auprès d'elle et éloigner de moi toute fréquentation avec des garçons qui n'aiment pas selon elle, les filles qui ont toujours leur culotte mouillée.

Ce qui n'est pas toujours vrai, car j'en ai fait l'expérience personnelle.

Un jour, un garçon, un peu plus déluré que les autres, a glissé sa main sous ma jupe. Je l'ai laissé faire pensant le surprendre et le dégoûter par la suite.

Hé bien non. Lorsqu'il a senti le caoutchouc sous sa main, il a glissé un doigt sous l'élastique et a caressé la peau sous la culotte en caoutchouc. La surprise et un certain émoi ont fait que je me suis soulagée aussitôt dans mes couches, inondant ses doigts et sa main, au lieu de le décourager, je n'ai fait que l'exciter :

- " mais tu pisses dans ta culotte comme un bébé, s'écria-t'il. Ce doit être vachement bon de b..., un bébé. Et, debout, me serrant d'une main contre lui, il chercha de l'autre à baisser ma culotte en caoutchouc, dont le contenu inonda son pantalon alors que pressé contre moi, ma jupe retroussée, il me faisait sentir sa virilité.

L'arrivée de passants mit fin à son projet, bien près d'aboutir, et il se sauva, me laissant à la fois rassurée et déçue, surtout déçue en fin de compte, car une chaleur subite et agréable s'était emparée de mon ventre. J'étais toute mouillée entre les cuisses et j'aurais cédé à son désir sans l'intervention des passants.

Je suis folle de te dire tout cela. Mais après t'avoir vu ce matin, je suis rentrée dans ma chambre et me suis caressée. J'ai joui dans ma culotte comme jamais auparavant. Cette culotte je l'ai gardée sur moi toute la journée et tu as pu te rendre compte comme elle était mouillée et pour une fois ce n'était pas du pipi.

Voilà mon histoire. Depuis, aucun autre garçon ne m'a touchée. Maintenant j'en meurs d'envie et je voudrais que ce soit toi le premier qui me fasse crier de plaisir. Je sais que toi aussi tu en as envie.0uf ! Ca y est. Ç’a été dur, mais je suis heureuse de te l'avoir dit. J'attendais ce moment avec une telle impatience."

Depuis le début de son histoire avec le garçon, elle avait posé sa main sur le drap, là où il moulait une de mes cuisses, puis peu à peu, sa main avait remonté vers l'entrejambe, cherchant en tâtonnant l'endroit de mon sexe. Malheureusement, celui-ci, bien que gonflé par le désir, était maintenu plaqué contre mon ventre par l'alèse en caoutchouc passé entre mes jambes.

Excité au plus haut point par cette main qui caressait doucement le drap, je lui dis :

-" Donnes moi ta main." Sans un mot elle la plaça dans la mienne qui l’entraîna sous le drap à l'endroit où elle désirait aller. Hélène poussa un "HO" de surprise lorsque sa main se posa sur le caoutchouc.

"Oui, Hélène, moi aussi j'aime être mouillé, au chaud dans le caoutchouc. Je n'ai plus de culotte en caoutchouc à ma taille et je me contente de m'enfermer dans l'alèse pour me caresser en toute sécurité jusqu'à ce que je jouisse dedans." Tout en parlant, j'avais guidé sa main jusqu'à mon sexe qui s'était légèrement redressé. Elle le prit alors à pleine main et gratta de son ongle le caoutchouc recouvrant l'extrémité de mon membre qui se mit à grossir sous l'inhabituelle mais combien excitante caresse et je poussais un râle de plaisir.

Ne voulant pas être le seul à parvenir à la jouissance finale, je repoussais doucement sa main et me redressai dans mon lit pour pouvoir, en étendant le bras, glisser ma main entre ses cuisses jusqu'à atteindre sa culotte en caoutchouc. Toutefois ma position assise face à elle ne me permettait pas de glisser comme je l'aurais voulu ma main sous la ceinture de sa culotte.

Comments

TINflux12 Il ya 6 ans  
n/a Il ya 12 ans  
John FL Il ya 13 ans  
bruno67640 Il ya 13 ans