Juliette


Vues: 6096 Created: 2007.10.18 Mis à jour: 2007.10.18

Donnant, Donnant

Donnant, Donnant

Author: Juliette

Cela aurait put être la fin, ce fut le début. Voici comment commença notre complicité. Avec un peu de souplesse d'esprit, nous avons trouvé beaucoup de bonheur dans ce qui aurait put nous séparer.

Je dois d'abord vous parler de moi, élevée dans les années cinquante par une mère rigoureuse. J'ai gardé quelques principes de cette éducation, même à mon corps défendant.

Maman exigeait de nous ses filles une selle quotidienne, gage de bonne santé, et si nous n'arrivions pas à lui, donner satisfaction, elle usait de la poire à lavement aussi souvent que nécessaire pour avoir gain de cause.

A partir de mes treize ans, elle décrétât que j'étais une ‘'intestinale'' et traitement de faveur, cela me permettait de recevoir un grand lavement au bock une fois par semaine. Je subissais cet avantage tous les dimanches matin. Ce traitement me nettoyait si bien les entrailles que le lundi j'étais incapable de fournir la selle quotidienne tant convoitée, et la poire était là pour me rappeler à plus de discipline. Je trouvais fort désagréable de toujours devoir exposer mes fesses pour recevoir ce traitement, mais je n'envisageais pas de discuter.

Pas à discuter non plus sur le choix de nos dessous, la gaine était de rigueur, question de bonne tenue, « Et vous avez de la chance, votre grand-mère m'obligeait à porter un corset »

A dix huit ans, j'échappais enfin au cocon maternel, je travaillais dans la bourgade voisine et je pris ma chambre et mon indépendance, enfin je croyais, car les marques étaient profondes. Je me sentais toue nue dans mes petites culottes toutes neuves, j'étais tellement mieux en gaine ou en panty, et tellement sur de moi en combiné ! Bientôt je vis une poire à lavement remplacer les suppositoires qui décidément m'irritaient plus qu'ils ne me soulageaient. Et si mes copines avaient su que mon teint net et lumineux ne devait rien aux cosmétiques, mais à mon bock, il n'était plus en émail mais en matière plastique, c'était là le plus grand changement.

Quand mes fleurts avaient le mauvais goût de d'une remarque sur mes dessous, je les plantais séance tenante, et je n'ais appris que beaucoup plus tard que celui que j'ais épousé n'avait jamais fais la moindre allusion à ce sujet par ce qu'il avait découvert le corps de la femme alors qu'il était tout petit garçon dans les catalogues de vente par correspondance. Les pages lingerie étalaient de belles femmes soigneusement gainées et corsetées. Et lorsqu'en me déshabillant, il retrouva l'image de son enfance, il n'a rien dit, mais même s'il n'a pas tout de suite compris pourquoi, il savait que se serrait moi et personne d'autre. Quand il entendait un de ses copains se ventant de ses exploits féminins, dire : « Oh la galère elle portait un panty ! » Lui pensait « Quel crétin »

Donc me voilà marié depuis deux ou trois ans avec un bonhomme discret pas très démonstratif, pas très bavard, mais très doux et attentionné.

Ce dimanche matin là, je lui dis de rester au lit aussi longtemps qu'il le veut, moi j'ai à faire au jardin, et lui est rentré très tard et très fatigué. Il a passé sa journée d'hier à déménager un collègue de travail.

Je le laisse au lit et vais au jardin tailler mes rosiers. Au bout d'une grosse demi-heure une épine me déchire le doigt suffisamment pour justifier un pansement. Je rentre sans bruit dans la maison, et vais soigner mon doigt à la salle de bain. En passant devant la porte de la chambre entrebâillée je jette un œil sur le sommeil de mon chéri... Il n'est plus dans le lit... et je l'aperçois dans la pénombre debout devant l'armoire à glace, en train de s'admirer dans un de mes combinés, mais ce qui me choc le plus c'est son érection ! A cette époque je ne sais rien de son penchant pour la lingerie de maintien. Je pousse la porte et j'annonce : « je crois que je vais demander le divorce, je ne vois pas ce que je continuerais à faire avec un homme qui se travestit ! »

Bien sur lui fait un bond et se retourne rouge comme une pivoine, instantanément son érection a disparue. Il bredouille des mots incompréhensibles. Moi je pousse les volets et je peu le voir en plein lumière, il est vrai que nous avons la même carrure et que ce combiné ne lui va pas si mal... Mais pourquoi donc je le découvre en dessous féminin ? Il se calme rapidement et m'explique que de sa journée de déménagement d'hier, il a rapporté un solide mal de dos, et que se croyant seul, il voulait vérifier que le port de ce type de vêtement pouvait le soulager, mais qu'il n'envisageait pas pour autant de se travestir.

Son explication tien la route, mais je ne peu l'accepter si facilement, j'avais peur de perdre la face ! Je demande : « Et alors ça te soulage au moins ? à Ben oui, j'ai beaucoup moins mal avec ça sur le dos... » Il persiste, mais je viens de trouver la parade pour reprendre l'avantage. Je vais la jouer faux cul, mais dans sa position, il ne peu qu'accepter.

Deux ou trois fois depuis que nous sommes mariés, j'avais dû utiliser ma poire à lavement pour lui rendre le sourire, alors qu'il était tenaillé par une méchante constipation. Lui s'est bien accommodé du traitement, mais moi cela m'a profondément troublé de lui apporter ce genre de soin. J'y ais pris une sorte de plaisir... Et je viens de décider de retrouver ce plaisir étrange.

J'annonce avec assurance : « Tu sais que porter une gaine ça constipe ? Et moi je ne veux pas d'un mari constipé...Je vais donc devoir te faire un lavement ! à Ben s'il faut... »

Je lui ordonne de rester comme il est et de s'allonger sur le lit. Quelques minutes plus tard, je suis de retour avec le bock plein a raz bord, mon chéri n'en mène pas large : « Tout ça ? à C'est tout ça ou le divorce ! » Il s'attendait seulement à la poire. En signe de résignation il s'étend sur la serviette éponge que j'ais placé sur le lit. Je le fais s'allonger sur le dos jambes relevées et écartées, soigneusement et longuement je graisse ce petit trou qui va me permettre de sauver la face, et délicatement, mais d'un geste franc, je l'empale avec la longue canule vaginale. Il a un frémissement lorsque le robinet vint butter le petit œillet. Je libère le flot...

Je viens d'assister à un bien étrange mais bien intéressant phénomène : A mesure que j'enfonce la canule, son érection remonte. L'eau faisant son chemin dans ses intestins, il se tortille pas mal pour contrôler ses coliques. Lorsque le premier litre est passé, il se calme un peu et le reste pénètre sans problèmes. Du coin de l'œil je surveille son érection qui n'a rien perdu de sa superbe, bien au contraire. Lorsque le bock est tari, je vide le tuyau au maximum, juste pour faire durer le plaisir, et je retire la canule. Il me demande la permission d'aller se vider, par ce que çà pousse beaucoup ! Et comment ça doit pousser, quand je vois mon pauvre combiné tout distendu par le ventre gonflé de mon pauvre chéri, j'ais presque honte, mais il y a cette superbe érection qu'il serait dommage de laisser perdre.

Je décrète que pour être efficace il doit le garder au moins un quart d'heure, mais que je vais l'aider. Mon chéri rongé par les coliques commença vraiment à paniquer lorsqu'il me voit quitter mes chaussures, ma jupe, ma gaine culotte, retrousser le bas du combiné gaine qu'il m'a pris et délicatement m'empaler sur son bel instrument.

Je commence doucement un mouvement de va et vient, en prenant bien garde de ne pas lui appuyer sur le ventre, je ne voudrais surtout pas avoir le lit à nettoyer, et une quinzaine de mouvement plus tard il inonde ma chatte comme jamais personne ne l'a encore fait au paravent. Bien sur j'ais trouvé mon bonheur à cette fête et je le laisse s'enfuire avant même qu'il ne se soit écoulé cinq minutes.

Par contre il lui faut plus d'un quart d'heure pour évacuer tout ce qui emplit son ventre. Il revient penaud, voulant me rendre mon combiné, qui a repris des proportions normales. Je refuse prétextant qu'il doit le garder toute la journée pour que son expérience sois valable, mais qu'il doit mettre des bas pour bien tendre les jarretelles et empêcher le combiné de remonter, et qu'il peut s'habiller par-dessus. Ce qu'il fait, il n'y a plus rien a voir, je le surveille toue la journée du coin de l'œil : Il se comporte normalement, rien ne transparaît de notre petit jeu, et personne par mis ceux que nous rencontrons ne se doute de quoique ce soit.

Le soir je ne manque pas son déshabillage et lui demande ses impressions : il trouve les dessous féminins beaucoup plus confortable, et m'affirme qu'il n'a pratiquement pas souffert de son dos par rapport à ce qu'il attendait.

Finalement cette expérience m'a beaucoup amusée, je décide de la poussée plus loin. Quelques jours plus tard, je lui offre un combiné culotte bien à sa taille, je lui fit remarquer qu'avec celui-ci il n'aura pas besoin des bas pour l'empêcher de remonter : « Oui mais je devrais tout de même recevoir un lavement ? »

Ne croyez pas que cela le dérange, aujourd'hui il doit lui rester un ou deux slips, pour passer les visites médicales. Je continue de lui donner un lavement à chaque fois qu'il porte une gaine, (tous les jours quoi !) Maintenant, il a aussi le droit de me donner tous ceux que je consomme. C'est devenu un jeu entre nous, un jeu qui dure depuis plus de trente ans et nous ne nous en lassons pas ! Nous sommes en grande forme, et beaucoup voudraient comprendre le secret de notre vitalité.

Par ailleurs comme il porte tous les jours une gaine que je lui choisis toujours avec plein de dentelles, je doute qu'il puisse envisager de se déshabiller devant une autre...

Alors n'ais je pas bien fait d'entrer dans son jeu ?

Comments

lavement68a Il ya 12 ans  
rodindebxl Il ya 13 ans