Noémie


Vues: 35304 Created: 2007.10.08 Mis à jour: 2007.10.08

Noémie

Noémie

Je me présente. Je m'appelle Noémie, j'ai 24ans. Je suis bisexuelle avec une attirance plus forte vers les filles. Je suis châtain tirant sur le roux, j'ai les yeux verts gris, je mesure 1m65 pour une soixante de kilos (une femme avec des rondeurs), je fais un 110D (mais je n'aime pas trop mes gros seins) et pour finir j'ai le pubis, le sexe et la raie des fesses épilés. Pourquoi ? Parce que je suis une pisseuse invétérée.

J'ai très longtemps portée des couches, environ jusqu'à l'âge de 8 ans. Je n'arrivais pas en m'en passer et mon lit était très fréquemment mouillé le matin au réveil, donc mes parents ne m'ont pas pressé à me débarrasser rapidement de mes couches salvatrices. Mais tout a une fin, et donc vers mes 8 ans, lors de l'arrivée d'une nouvelle nounou mes fesses se sont retrouvées dans le fin tissu d'un pyjama. Une nounou ? Oui, mes parents sont tous les deux des personnes très occupées. Avocat pour mon père. Cadre supérieur d'une grande société internationale pour ma mère. Mon éducation à donc était laissée aux bons soins de diverses nounous et baby-sitters. Cela n'était pas pour me déplaire, les baby-sitters ne sont pas du genre à compliquer les choses, et peu d'entres elles refusaient de changer mes couches jusqu'à cet âge fatidique. Mais bon, là ce n'était plus possible, je dus donc me résigner.

Je passais donc mes premières nuits sans couches, mon lit et mon pyjama étaient mouillés mais la nounou ne lâcha pas prise. Six mois, un an puis deux passèrent et je ne fus toujours pas tout à fait guérie. Bien sur je ne me mouillais plus toutes les nuits, mais quelque chose me manquait sans trop savoir quoi. Et mes 11 ans arrivèrent, les premières chaleurs dans le bas du ventre. Mes premières caresses sur les tétons de mes seins qui commençaient à pousser (il faut dire qu'à 13 ans je faisais un 85C), les premières insertions d'un doigt sur le bord de mon sexe, les prémices d'une vie sexuelle que je ne regrette pas du tout jusqu'à ce jour. Mais qu'est ce qui me manquait tant. La réponse vint un jour sans prévenir. J'étais sur les toilettes pour faire un petit pipi, mais celui-ci tardait à venir. La chaleur monta dans mon ventre et ma main fut irrésistiblement attirée vers mon sexe. Je commençais une masturbation certes peu experte mais ô combien agréable. Et arriva ce qui allait changer ma vie, ma vessie s'ouvra et mon pipi me coula sur la main. Il aurait été naturel qu'un sentiment de dégoût me fasse retirer ma main, mais non je continuais à me donner un plaisir basique tout en laissant ma vessie se vider naturellement. Il n'y eu même pas de blocage de celle-ci comme cela arrive par moment lorsque l'on est pas sure de ce que l'on fait. Je crois que c'est dans ces toilettes que j'eu mon premier orgasme.

Je répétais, dès lors, l'opération assez fréquemment et le même plaisir s'empara de moi à chaque fois. Mais plus, j'avançais dans la répétition de cette pratique, plus j'avais envie de nouvelles sensations. Bien entendu, mon age et mon in-expérimentation me bloquaient, mais je sentais au fond de moi que je n'étais qu'au tout début des plaisirs que cette pratique pouvait m'apporter. Une nouvelle évolution arriva lors d'une séance de cinéma avec la nounou, un mercredi après-midi. Dans la file d'attente, je vis une petite fille se soulager sous elle dans ses vêtements, car elle ne pouvait plus attendre. L'image s'imprima en moi, et je n'eu plus qu'une idée en tête essayer. Je ne parvenais pas à me laisser aller, je dus donc m'habituer. Je commençais par me soulager à la maison, aux toilettes au travers de ma culotte. C'était divin. Mais une fois la chose effectuée, je m'empressée de quitter ma culotte et d'en enfiler une sèche. Puis j'eu plus de courage et j'arrivais à faire de même mais cette fois ci le matin au réveil au travers de mon pyjama. Mon manège ne tarda pas à amener les foudres de la nounou qui ne prenait guère plaisir à trouver et à laver mes culottes mouillées. Mes parents furent mis au courant. Des explications me furent demandées, et je jouais la honte.

- Je ne sais pas ce qui m'arrive, je n'arrive pas à me retenir... et patati et patata.

Mes parents désabusés et toujours trop occupés laissèrent à la nounou le soin de régler la chose. Celle-ci ne tarda pas à me prendre en aparté et à me menacer de la pire des choses qui puisse arriver à une gamine.

- Si je dois encore laver une culotte, je te jure que je te remets des couches, d'abord la nuit et tout le temps si nécessaire.

Je n'ai jamais su et je ne saurais jamais si la nounou se doutait que je faisais exprès de me mouiller.

Cette menace se répercuta des jours durant dans mon cerveau d'enfant. Des couches, qu'est ce qu'on ressent quand on porte des couches. Et les pipis comment ça fait d'avoir le pipi qui reste au contact avec la peau. Toutes ces questions se répétaient sans cesse. Il ne me resta bientôt plus qu'une solution, il fallait que j'essaye. Il fallait que la menace soit mise en œuvre. Je décidais donc de reprendre avec conviction le mouillage de mes culottes et de mon pyjama. Les colères matinales de la nounou n'étaient toujours pas suivies de ce que j'attendais. Il me fallait faire quelque chose pour la décider à mettre en application la dite menace. Une occasion se présenta assez rapidement. Lors d'une attente dans la pharmacie habituelle, une envie de pipi me prit. Et si...

Et si je me laissais aller là maintenant devant tout le monde, dans mon jean.

Peut-être que ? J'essayais de ne penser qu'aux couches que j'allais sans doute devoir reporter, je faisais le vide dans mon esprit et je sentis. Je sentis ma culotte se réchauffer, puis mon entrecuisses, puis mon jean, puis le long de mes jambes et enfin mes chaussettes. Des regards commencèrent à fuser dans ma direction lorsqu'une flaque grandit entre mes chaussures. Un chuchotement monta, alertant la nounou. Ses yeux se baissèrent, virent la flaque grandissante, remontèrent vers moi et je pus lire toute la honte qu'elle ressentait à ce moment précis.

- Mais t'es pas bien ? Regarde dans quel état tu es.

La jeune pharmacienne vint immédiatement à mon secours.

- Ce n'est pas grave, ce sont des choses qui arrivent avec la puberté, et mademoiselle semble être en avance de ce coté là (en regardant ma poitrine assez opulente pour mon jeune âge).

- Et comment règle-t-on un tel problème ? rétorqua la nounou.

- Vous devriez voir avec votre médecin traitant, maintenant si ça se reproduit trop souvent et dans un souci de confort pour la petite, je vous conseille de lui faire porter des protections discrètes.

La nounou furibonde :

- Discrètes ? Manquerait plus que ça. Donnez-moi ce que vous avez de plus gros en couches culottes pour une gamine de son âge. Je m'en vais lui faire passer l'envie de faire pipi dans sa culotte moi.

Aussitôt demandées, aussitôt achetées, nous repartons de la pharmacie avec un grand paquet de couches culottes nuit, un paquet d'alèses jetables pour le lit, et quelques culottes en plastiques largement "sponsorisées pour leur coté sécuritaire et anti-fuites" par la vendeuse.

Nous voilà donc arrivées à la maison. Et j'en suis contente car je me rappellerais que c'est très agréable de mouiller son jean mais que celui-ci une fois humide devient très irritant. Je fus immédiatement envoyée sous la douche, puis allongée sur mon lit. Ainsi nue et offerte, je fus emmaillotée dans un change complet celui-ci immédiatement recouvert d'une culotte en plastique rose pale. Je me relevais et senti pour la première fois l'épaisseur de la couche qui m'obligeait à écarter légèrement les cuisses. Je me précipitais vers un bas de pyjama pour recouvrir la dite couche, mais celui-ci me fut enlevé aussi sec.

- Non un bébé, n'a pas besoin de ça. Tu enfiles un tee-shirt et c'est tout ce que tu porteras dorénavant à la maison tant que je ne serais pas sure que tu ne mouilleras plus ta culotte. Et je préfère te prévenir que si jamais tu te mouilles la journée tu auras droit aussi aux couches pour aller à l'école.

Le soir mes parents trouvèrent étrange ma nouvelle tenue, mais furent convaincus par les explications de la nounou. Je passais donc ma première nuit, en couches, bien au chaud au fond de mon lit. Je n'attendis que quelques minutes avant de désirer au plus au point mouiller cette protection. Un peu de concentration et je me vidais dans ce cocon de coton. Puis je m'endormie, heureuse et béate de plénitude.

Les jours puis les semaines passèrent. Je n'imaginais plus une nuit sans mes couches. Mais plus le temps passait, plus je demandais à être langée de bonne heure. En à peine deux mois, je passais ainsi d'un change pour la nuit à 22h, à un change au retour de cours à 18h. Bien sur, ma couche n'en n'était que plus vite humide et surtout je frôlais le débordement de plus en plus souvent au réveil. Ma couche pendait entre mes jambes ce qui, pour moi, était d'autant plus excitant. Je dus bientôt me résoudre à accepter l'inévitable, je voulais porter mes couches plus souvent. Je parvenais ainsi, en mouillant quelques culottes, à être langées du vendredi soir au lundi matin. Je passais ainsi plusieurs heures durant le week-end à me balader a l'insu de tous langées sous mes vêtements.

J'atteignais alors l'âge de 12 ans. Mes parents, encore une fois trop occupés, pour se pencher réellement sur mon problème acceptaient la chose sans sourciller. La nounou elle, plus intuitive m'emmena chez divers médecins pour essayer d'enrayer le problème. Mais rien ni fait. Un soir alors que nous étions en train de dîner toutes les deux, elle me regarda, puis :

- Ecoutes, je sais que tes parents ne sont pas souvent là, j'essaie de faire de mon mieux mais là je comprends pas pourquoi tu as toujours besoin de ces satanées couches. Ou alors, c'est que tu aimes ça. Si c'est le cas dis le moi, je le saurais et nous pourrons, peut-être trouver une solution.

Mes yeux plongèrent dans les siens et je vis un réel souci pour mon bien-être.

- Oui j'aime bien ça. Je me sens bien quand j'ai mes fesses mouillées. Et puis ça me fait chaud dans le ventre, alors je me caresse par-dessus ma couche et ça me fait encore plus chaud dans mon ventre.

- D'accord, je comprend mieux.

Puis nous avons continué notre repas.

Au moment de me coucher, elle me demanda si ma couche était mouillée.

Bien sûr qu'elle l'était. Mais ce fut la réponse qui me troubla :

- Tu préfères la garder mouillée ou tu veux que je t'en mette une sèche pour la nuit ?

- Je préfère la mouillée.

Et j'eu droit à un "d'accord, bonne nuit" accompagné d'une tapette sur mes fesses qui se glissaient sous la couette. Je passais l'une des plus belles nuits, des rêves plein la tête.

Au réveil, Nounou tira la couette et directement posa sa main sur ma couche au niveau de mon entrecuisse.

- Tu es trempée la dedans, je vais aller acheter des couches plus absorbantes aujourd'hui, mais pour l'heure c'est la douche, puis le petit déjeuner et l'école.

Je fus donc amenée à la douche, déshabillée par ses mains expertes, lavée par les mêmes mains (et aucun recoins de mon corps ne fut épargné) puis ramenée à ma chambre et là je découvris mes vêtements de la journée. Une jupe mi-longue (genoux), une brassière que je n'avais pas porter depuis au moins un an (elle écrasait ma poitrine au lieu de la soutenir), un tee-shirt noir, une veste en jean mais surtout un change, une culotte en plastique blanche et une très haute culotte petit bateau blanche également.

- Surprise !... Tu n'es pas obligée, mais si tu veux tu peux mettre une couche pour l'école, puisque tu te sens bien dedans.

Je n'hésitais pas un instant et répondit par l'affirmative. Je fus donc ainsi habillée, puis conduite à l'école.

Devant l'entrée j'eu droit à un "bonne journée mon bébé" et à une tape sur les fesses. Celle-ci déclencha presque immédiatement un pipi. Je passais ainsi ma première journée de cours en couches. Je ne pus m'empêchais de me soulager de nombreuses fois dedans. De regarder les autres, tout en urinant ainsi me procura de nombreux coups de chaud dans le ventre. J'attendais avec impatience de rentrer à la maison pour le déjeuner car la situation devenait critique. Trop de pipi. Je sortis enfin de cours et je trouvais nounou qui m'attendait. Une tapette sur les fesses qui fit bougeait la substance moelleuse et terriblement humide qui compose une couche.

- Mon dieu, tu es vraiment trempée, tu dois être aux anges mon bébé.

Les choses se passaient au mieux. Je pouvais porter des couches jour et nuit.

Nounou achetait de temps en temps de nouvelles marques pour essayer et ma garde-robe de culottes en plastiques s'étoffait de jour en jour de nouveaux modèles.

L'entente avec nounou était vraiment excellente. Celle-ci avait trouvé intéressant de me racheter des sucettes et surtout quelques biberons dans lesquels elle me servait, lait chaud ou jus de fruits. J'étais vraiment bien.

Un matin lors de la toilette nounou remarqua que des poils commençaient à pointer le bout de leur nez sur mon pubis :

- Il va falloir penser à te raser ou à t'épiler le sexe mon bébé. Sinon tu vas très vite devenir femme.

J'avais alors treize ans. C'est à cette époque que se révéla en moi mon devenir sexuel. Mon attirance pour mes copines allait grandissant et je me prenais à rêver en train d'embrasser telle ou telle, de lécher machine ou truc. Mes masturbations étaient devenues beaucoup plus expertes, mais de plus en plus fréquemment je me finissais allongée sur mon lit la couche trempée ouverte sous mes fesses avec un doigt ou deux qui allait de mon sexe à ma bouche. Plusieurs fois j'urinais ainsi ouverte sentant mon pipi se répondre dans mon dos. Plus mes masturbations devenaient précises, plus le besoin de faire pipi en même temps se faisait sentir. Je finis donc par comprendre que pour atteindre le paroxysme de mon plaisir, je devais l'associer avec l'acte de la miction. Tant que je me donnais du plaisir seule, la chose ne me gênait pas, il y avait bien longtemps que l'urine ne me semblait plus "sale". Mais qu'en était il lorsque je m'offrirais aux doigts ou aux langues de partenaires qui ne sauraient tardés. Mon port de couches était dorénavant quasiment permanent (je ne quittais celles-ci que pour la toilette et pour la grosse commission), je n'avais aucune gêne quant à la découverte de celle-ci par ma famille ou mes camarades de classes. Bien sûr je dus supporter les railleries et les moqueries de certains ou certaines, mais le plaisir que mes couches me procuraient été largement supérieur à ces petits mots. De plus les moqueries ne duraient pas, quant les moqueurs se rendaient compte de qui j'étais. C'est toujours intéressant d'avoir des parents à la popularité reconnue.

Je vivais donc très bien mes plaisirs. Mes hormones me travaillaient beaucoup, mais je n'étais pas de celles qui font le premier pas. Ce fut donc ELLE, qui le fit. ELLE c'est la première fille que j'ai embrassée, déshabillée, caressée, doigtée, léchée et bue. ELLE c'est la première fille qui m'as embrassée, déshabillée, caressée, doigtée, léchée et bue. Et tout ça en une seule fois.

Tout à commençait lors du déshabillage dans les vestiaires collectifs de la piscine municipale, ou toutes les filles présentes ont pu admirer ma couche- culotte heureusement encore blanche. Son regard insistant sur mes fesses ainsi enveloppées me fit frissonner. Puis nous nous retrouvâmes toutes dans l'eau, tournant en rond sous les directives du professeur comme des poissons dans un bocal. Je ne fus que très peu surprise lorsque ELLE s'approcha de moi pour entamer la discussion. "Et pourquoi les couches, tu es malade etc….". Je lui avouais tout. Pourquoi je ne sais pas. Mais ELLE parue très intéressée par mes propos. Mais comme tout prof, celle de sport n'appréciât pas nos bavardages et nous octroyât dix tours de plus que nos comparses. L'heure de fin de cours approchait, et la sortie de l'eau fut annoncée. Toutes se ruèrent vers les douches, mais ELLE et moi furent arrêtées par la prof sadique :

- Dix tours de plus c'était prévu... Allez hop, à l'eau... Vous inquiétez pas Michel (maître nageur de son état) vous surveille et vous ouvrira le vestiaire.

Nous avons donc finis nos tours puis nous sommes sorties de l'eau, direction les douches. Mais arrivées devant celles-ci, ELLE me prit par la main et me tira (je n'ai que très peu résistée) vers une cabine douche réservée aux clients et non pas aux scolaires. A peine rentrées, le loquet fut baissé, et sa bouche se posa sur la mienne. Mes tétons réagirent aussitôt en se dressant sous le tissu de mon maillot une pièce. ELLE prit ma main, et la posa sur son sein gauche. Je sentis une vague de chaleur montait dans mon ventre. Sa langue fouillait ma bouche et cherchait ma langue qu'elle finit par trouver. Nous nous mêlâmes ainsi dans un tango lingual des plus audacieux. Puis les bretelles de mon maillot tombèrent de mes épaules laissant apparaître mes seins lourds et volumineux, blancs et laiteux de la fausse rousse que je suis. ELLE me murmura alors à l'oreille :

- Fais-moi tout ce que je te fais, je te ferais tout ce que tu me fais.

Ce fut les seuls et uniques mots que nous échangèrent durant toute cette explosion sexuelle. Je lui rendis donc la pareille et découvris deux seins terriblement jolis en forme de poire mais surtout avec des tétons surdimensionnés. ELLE ne tarda pas à remplacer le titillement de mes tétons par une succion de ceux-ci.

Je ne perdais donc pas de temps et lui rendit presque aussitôt la pareille. Nous étions gauches mais terriblement excitées, et c'est par l'excitation que nous nous sommes approchées du nirvana.

Puis nos maillots, devenus gênants, finirent sur le sol et je découvris alors son sexe tout aussi lisse que le mien. Sa main glissa entre mes cuisses pour venir caresser mes lèvres et mon clito, ma main suivie exactement le même chemin entre ses cuisses. Nous avons continué ainsi durant quelques minutes, main sur le sexe de l'autre, doigt(s) dans le sexe de l'autre et langue dans la bouche de l'autre. Puis j'eu un peu plus de courage et je me glissais à genoux. Ma bouche arrivant à la hauteur de son sexe. Les effluves qui en sortaient été tellement attirantes que je m'y collais aussitôt. J'entrepris de la lécher dans tous les coins que son sexe me présentait. L'ondulation de son bassin, me faisait osciller entre son bouton de plaisir et les pourtours de son anus clairs. Mais ni l'un ni l'autre ne me rebutait. J'étais une lesbienne, j'étais en train de faire l'amour à une fille, moi une autre fille... Qu'est ce que c'était bon.

Mon travail buccal devait faire son effet car dans un déhanchement final, ELLE m'attrapa derrière la tête pour coller son sexe à ma bouche et s'épancha de sa cyprine (mot et matière que je ne connaissais pas encore). Son regard baissa sur le mien, la bouche toujours collée à son sexe je la sentis se tendre ou se détendre, et un liquide chaud coula alors. Je connaissais très bien ce liquide.

Je n'avais que très peu envisagé boire mon urine alors celle de quelqu'un d'autre. Mais c'était ELLE et son regard m'hypnotisé. J'avalais alors ce précieux jus tout en continuant à lécher les bords de son sexe. Puis une nouvelle gorgée arrivé, que je bu sans hésiter, elle me lâcha alors la tête, posa ses deux mains sur le bord de son sexe, écarta ses petites lèvres et se lâcha. Le jet m'arriva sur la poitrine, instinctivement je me baissais pour le boire. J'étais une vraie salope mais qu'est ce que c'était bon. Lorsqu'elle eu terminée, elle me releva et me gratifia d'un langoureux et très humide baiser, puis elle s'agenouilla et me rendit en tous points la pareille. Plus expérimentée que moi dans le léchage des minous elle me fit partir trois fois.

Puis vint le moment où ma vessie excitée par tant de sollicitude s'ouvrit. ELLE n'en perdit pas une goutte, léchant les recoins de mon sexe pour tout recueillir. Lorsque j'eu enfin finit ma miction elle se leva, me regarda, et colla sa bouche à la mienne pour me donner un baiser.

Mais sa bouche était pleine de mon pipi que nous avons partagé durant de longues minutes. Nous avons finies pas nous doucher. Puis nous avons traversées le plus discrètement possible les vestiaires publics, nues, pour retrouvées nos affaires. J'ai ressortie la couche que j'avais enlevée en arrivant pour la remettre, mais elle m'a suggérée de rester cul nul, comme elle sous sa jupe.

Après tout pourquoi pas. Nous sommes sorties de la piscine. Nous nous sommes séparées, sans oublier de nous embrassées à pleine bouche avant.

Sur le chemin qui me ramenait chez moi, je sentais chaque variation de l'air entre mes cuisses, et je me rappelais ce que je venais de faire. J'étais dorénavant une lesbienne qui prend son pied avec les couches et le pipi. De quoi serait fait mon avenir sexuel si j'étais déjà une telle salope à mon age. Je venais de faire le premier pas dans un milieu où les plaisirs se conjuguent avec protections, moiteur, humidité et j'en étais très heureuse. ELLE n'avait pas semblée ne vouloir qu'une simple aventure et je me pris à imaginer, avec mon expérience de 13 ans, tout ce que nous pourrions faire ensemble. Nous ne n'avons passées que cette année là ensemble. Mais j'étais très loin d'imaginer tout ce que nous allions réellement faire ensemble.

Cette rencontre a changé ma vie, et je la remercie si elle me lit. Mais ça c'est une autre histoire, et je ne manquerais pas de vous la compter si d'aventure elle vous intéresse.

Comments

Amano Daichi Il ya 4 ans  
tsukasa Il ya 6 ans